
Livre VI
La vie humaine et le
monde des esprits
Chapitre III
Les Vrais Parents et
le monde spirituel
3. Les Vrais Parents
et les œuvres de l’amour
5. Le dernier souhait
de la vie
Plus vous êtes
persécutés, plus vous irez dans un lieu idéal et élevé. Quand vous irez là, ce
sera pour devenir un noble citoyen du Ciel. Dieu vous regardera en
disant : « Celui-ci est mon fils bien-aimé ! » Vos cinq
sens seront grisés de l’amour de Dieu. L’univers entier voudra s’incliner et
vous adresser sa louange. Voilà le monde qui vous attend, comme si c’était la
venue d’un saint. Tel est notre but ultime. Comprenez-vous ? (294-96,
14.6.1998)
Je n’ai pas rendu les
coups. J’ai encaissé, encaissé et encaissé jusqu’à la fin, et j’ai marché en
faisant le dos rond. À force de persévérance, j’ai vu que ce chemin-là me
permettrait d’accéder à la plus haute position – la position où je pouvais
recevoir les droits d’héritage de Dieu sans rendre les coups. Loin de périr,
j’ai remporté la victoire sur le monde qui voulait ma perte et atteint
l’hégémonie. J’ai créé un environnement où je pouvais être accueilli au-delà de
la nation et au-delà du monde. J’ai achevé toutes ces tâches d’égalisation du
monde terrestre et même du monde spirituel. Je dis : « Amen !
Amen ! » (302-207, 13.6.1999)
Fini pour moi le
temps de m’arracher les tripes pour servir la Corée. À partir de la nation, les
choses se mettent en place à présent. Je vous ai montré l’exemple, vous devriez
dire : « Avant de mourir, je travaillerai même plus dur que le Père,
et laisserai quelque chose de digne après ma vie sur terre. » Sinon, vous
ne pouvez suivre les pas des parents du monde céleste. Vous avez reçu les
droits d’héritage, alors sachez influencer l’entourage de votre famille dans
votre nation, même si ce n’est que l’ombre de l’exemple des parents. Si vous
n’arrivez pas à devenir un tronc, devenez une branche. Si vous n’arrivez pas à
devenir une branche, devenez une feuille. Vous faites partie de l’arbre. Vous
pouvez rassembler le monde spirituel autour de vous. (267-279, 20.1.1995)
Quand je dormais la
nuit poings fermés, ma main se raidissait et, une fois, Dieu me prit la main,
la détendit et me dit de ne pas faire cela. Je vis alors que les choses
allaient se résoudre. Pourquoi s’en faire quand on est quelqu’un qui croit en
un tel Dieu ? Des miracles et des œuvres comme cela, on en trouve à la
pelle dans les coulisses de l’Église de l’Unification.
Les témoignages que
Sang-hun a donnés sur le monde spirituel ne sont rien. Je sais tout cela. Le
monde ne croit peut-être pas, mais pour moi, c’est une certitude. Ce n’est pas
que je crois ; je le sais à 100 %, à 1 000 %. Les êtres humains
doutent de ces choses-là, mais parce qu’ils doutent, le Ciel ne les aide pas.
Quand ils iront dans le monde spirituel, ils devraient m’en être
reconnaissants.
Même Sang-hun Lee
pensait devoir souffrir dans le monde spirituel pour avoir cru en l’Église de
l’Unification. Or il travaille depuis la plus haute position, là-haut. C’est un
prodige bien réel dont il n’avait jamais rêvé. Pourtant, il ne peut passer son
temps à sourire. Il doit encore traiter un problème sérieux. Si vous ne croyez
pas ces choses, plantez un couteau dans votre flanc et priez très fort, car
vous mourrez si vous somnolez. Il faut vous vous lancer dans de telles prières
désespérées. On ne peut pas faire les choses à moitié. (302-270, 17.6.1999)
Je ne suis pas
quelqu’un de banal. Une fois que je me souviens de quelque chose, je ne
l’oublie pas. J’en fais mon affaire. Vous ne savez rien… Je suis encore loin
d’être sénile. J’ai beau être un vieil homme de quatre-vingts ans, je me porte
bien et j’ai toutes mes facultés. Vous devriez voir en moi un vieux monsieur
auquel un ordinateur viendrait présenter ses respectueuses salutations. Si je
me mets quelque chose en tête, je ne l’oublie jamais. Je m’en souviendrai même
après être allé dans le monde spirituel. Si vous avez mal agi sur cette terre,
il faudra le résoudre. (298-129, 1.1.1999)
Après les années
1960, j’ai souvent gravi les hauteurs pour aller chasser. Pour m’acquitter de
toutes mes responsabilités envers la nation, dès 1963, je me suis lancé dans
des projets maritimes, en allant au-delà du monde animal. Je dois occuper à la
fois la mer et la terre. Je dois offrir des rites sacrificiels pour reprendre
ces lieux occupés. Personne d’autre que les Vrais Parents ne peut établir un
tel lien d’avoir aimé Caïn – un lien qui prouve son amour – sur le fondement
d’Abel, en faisant des offrandes sacrificielles. Personne d’autre ne sait le
faire.
Les membres de
l’Église de l’Unification ne peuvent pas le faire. Tout ce qui a été séparé à
cause des faux parents doit s’accomplir grâce au vrai parent. Aussi, qu’il
neige ou qu’il pleuve, j’ai travaillé en me concentrant sur la mer. Est-ce que
la libération ne viendra pas dans le monde spirituel pour tous ces esprits
sacrifiés sur la mer et tous ces esprits qui vécurent en enfer sur terre ?
Leur cas est le même. Si j’ai béni tous ces esprits qui sont morts en mer,
c’est dans ce but. Sachez donc combien j’étais sérieux en introduisant ce terme
capital de « Vrai Dieu. » Comprenez-vous ce que je dis ?
(298-19, 31.12.1998)
À des gens purs et
incultes comme vous, qui ne pouvez comprendre les combats que j’ai menés,
j’entends transmettre la position de roi. Je gagnerai librement et facilement
le monde spirituel, sans bagages. Puisqu’un monde meilleur, le monde spirituel
est préparé et m’attend, que puis-je bien amener avec moi depuis la terre, moi
qui brûle d’un ciel meilleur ? (299-239, 17.2.1999)
À présent, tout est
fait ou presque. Je vous ai tout enseigné. Ce monde compliqué finit par me
fatiguer et me rendre malade : j’y ai été éreinté, pestiféré, rejeté. C’est
épuisant à la fin. Je vais donc vivre dix ans à regarder un pin dans un lieu
tranquille ; et dix ans à scruter un rocher. En faisant cela, je me
préparerai à aller dans le monde spirituel. Ne dois-je pas mettre de l’ordre
dans toutes les choses compliquées du monde spirituel ? Le
saviez-vous ? (296-286, 10.11.1998)
Puisque je devais
ouvrir le chemin pour toute l’humanité, je suis aussi devenu l’ami des repris
de justice ; j’ai porté des menottes avec les voleurs, j’ai partagé ma
pitance avec eux et je les ai réconfortés. Voilà quelque temps, je suis même
allé à Las Vegas afin de prier pour ceux qui étaient détenus en prison. Si j’ai
acheté l’Hôtel New Yorker, c’était pour dégager les pires repaires de Satan à
New York et bâtir un nouveau fondement. Je devais y aller, me mêler à eux et
les réconforter. Alors seulement, je peux ouvrir le chemin et tracer la voie,
même pour tous ces condamnés dans des cercles et des niveaux variés du monde
satanique. Ouvrir le chemin sur terre, c’est la seule façon de pouvoir ouvrir
les barrières dans le monde spirituel afin que le monde puisse s’unir. Alors,
j’ai aussi donné les mariages interraciaux aux noirs comme aux blancs.
J’achèterai des maisons pour les blancs et pour les noirs. Voilà comment je
fais des choses comme on n’en a jamais fait dans ce monde. (91-160, 6.2.1977)
Je suis outré en
pensant au traitement que j’ai reçu de cette nation. Pas mal de gens dans
l’Église de l’Unification voient en moi un bâton usé jeté par un vieil homme.
Ils voudraient m’employer à creuser un petit trou à caca. Allez dans le monde
spirituel voir un peu ce qui se passe. Ils ne savent pas quel malheur les y
attend ; ils n’en finiront pas de pleurer de chagrin en gardant cette
douleur chevillée au corps pendant des millions d’années devant les tribunaux
de leurs grands ancêtres. Le sachant, je suis arrivé où j’en suis. (263-221,
4.10.1994)
Quelqu’un peut venir
la nuit asperger de poison ceux qui dorment en paix, profanant ainsi le chemin
de millions d’années. Je mets donc ma vie en jeu et je vis comme si j’étais
assis sur un coussin d’aiguilles. Je ne me suis jamais assis ni endormi avec
l’esprit en paix. Je dormais pelotonné sur le côté. Mes membres ne peuvent se
tourner vers le ciel à moins de remplir ma mission. Ma vie, c’était ça.
(247-81, 21.4.1993)
Vous portez tous des
cravates, mais je suis vêtu plus simplement. Je suis prêt à partir à tout
moment. Je suis en avance sur tout le monde. Chez moi, je retire mes
chaussettes et me promène pieds nus. J’essaie de vivre sans habits autant que
possible. Pourquoi ? Ces choses sont comme des dépôts d’argent. Je donne
pour les personnes qui meurent de faim. C’est devenu une habitude et cela
m’ennuie de porter des chaussettes, d’ailleurs. J’ai calculé combien de
semaines il y a dans ma vie et combien je pouvais économiser. Quand j’irai dans
le monde spirituel, si cela fait plusieurs milliers de dollars, je ferai un
dépôt qui servira à sauver les malheureux en Afrique. Je pense établir un fonds
avant de partir. (279-308, 22.9.1996)
Quel est l’idéal
original de Dieu pour la création ? C’est de bâtir un royaume au ciel et
sur terre au nom des Vrais Parents. Le Royaume de Dieu ne peut être créé sans
les Vrais Parents. Jésus est le premier fils bien aimé de Dieu, mais quand on
demande aux chrétiens aujourd’hui comment il se fait que Jésus soit au paradis
plutôt que dans le Royaume de Dieu, ils ne savent quoi répondre. Le Royaume de
Dieu sur terre et au ciel ne peut s’établir que par la perfection des Vrais
Parents et sur le fondement de l’amour. Unifier le royaume dans le monde
spirituel est la mission des Vrais Parents, personne d’autre ne peut le faire.
(131-182, 1.5.1984)
Ma vie tout entière
fut un combat de vie ou de mort. Dans ce monde, on évite ce qui fait mal, mais
cette tâche-là, on ne peut pas l’éviter. Elle ne peut s’accomplir ni par la
force brute ni par la puissance.
Si vous ne vivez pas
selon les principes et les lois, vous ne pouvez pas éviter les flèches qui
pleuvent en tous sens. Ce combat est plus ardu que lorsque Dieu créa le ciel et
la terre. Quand ce combat faisait rage, vous n’imaginez pas, même en rêves,
comment j’ai pu établir les fondements spirituels et poser les conditions
d’indemnité. Ce fondement est la base d’une victoire universelle pour établir
ce point de transition.
J’ai triomphé du
chemin de la mort des centaines de fois pour tracer ce chemin. Je suis celui
qui a fait pleurer Dieu des centaines de fois. Dans l’histoire entière, nul n’a
jamais aimé Dieu autant que moi. Alors, le monde peut bien essayer de toutes
ses forces de disposer de moi, je ne périrai jamais, car Dieu me protège.
Entrez, vous aussi, dans cette sphère de vérité que j’enseigne, et alors Dieu
vous protégera. (279-256, 15.9.1996)
Vivez avec la
fraîcheur d’un nouvel esprit qui innove, et vous ne vieillirez pas. De
tempérament, je ne mourrai pas allongé ; je bougerai jusqu’à ma mort. Je
bougerai même si je dois ramper. Ma vie a été une souffrance continue. Rien ne
serait plus insultant que de continuer à vivre jusqu’à un âge très avancé, sous
l’attention et les soins de l’entourage. Puisque je connais le monde spirituel,
quelle liberté j’aurai après avoir pu me débarrasser de mon corps ! Dans
le futur, si vous avez un système de pensée qui embrasse l’océan – l’eau – vous
aurez la domination sur le monde. L’eau est la ressource la plus importante.
Aussi, avant de partir pour le monde spirituel, je dois lancer des projets dans
ces vastes domaines. Je crois que si j’ai pu enseigner sur tout et parler de
tout, les futures générations l’accompliront. (276-296, 10.3.1996)
Ce n’est pas dans ma
nature d’aller dans le monde spirituel et d’y donner des ordres, juste assis
sur mon trône. En allant dans le monde spirituel, je deviendrai le brave soldat
qui aura ouvert une dimension plus élevée du cœur de Dieu, un monde dépassant
l’imagination des personnes dans le monde spirituel et qui jusqu’ici ne pouvait
être trouvé et revendiqué. (276-75, 4.2.1996)
Un spiritualiste
avait prié pour savoir si j’étais vrai ou faux, et se mit à pleurer très fort.
Il pleurait si amèrement, malgré lui. Il pleura un jour, puis deux, puis chaque
jour. Pourquoi cela ? Me connaître, c’est goûter le cœur des larmes
amères. Sans quoi, on ne peut me connaître. Qui peut connaître la situation
dans laquelle je pleure de chagrin, embrassant l’amer chagrin de milliers d’années,
quand j’entends quelqu’un dire quelque chose sur ma vie ? Si je n’avais
pas connu Dieu, je n’aurais pas été vilipendé de la sorte. À cause de mon crime
de connaître Dieu trop bien… Que c’est triste pour Dieu, qui ne peut placer Sa
confiance qu’en moi ? En vingt ans, j’ai dû restaurer par l’indemnité
l’histoire qui était emmêlée depuis deux mille ans. Est-ce si simple ?
Est-ce si facile à dire ? (137-183, 1.1.1986)
Quel sera mon plus
grand espoir en allant dans le monde spirituel ? Au comble de l’amour qui
me dévorait quand j’ai fait l’expérience du cœur la plus profonde, j’appellerai
le Père. J’aspire à ce niveau dans lequel j’ai reçu l’amour du Père. (282-311,
7.4.1997)
Dieu et l’humanité se
sont séparés dans les larmes. Aussi, après que Dieu ait tant pleuré, Il
embrasse Son fils en pleurs et lui dit : « N’est-ce pas ce que tu as
désiré ? ». Je sais que c’est seulement par la transmission et la
réception des paroles de bénédiction que l’autorité victorieuse des Vrais
Parents, celle d’une victoire éternelle, peut être léguée. C’est une affaire
sérieuse. J’offre ma vie entière pour ce jour. (288-153, 27.11.1997)
Quel cadeau vais-je
apporter à Dieu en allant dans le monde spirituel ? J’ai cette
préoccupation. J’ai travaillé pour la nation et le monde que Dieu a désirés, et
j’ai vécu pour éduquer les futures générations qui établiront la société idéale
et le monde idéal à venir. Je les ai aimés comme Dieu.
Il serait donc
naturel pour moi de continuer sur ma lancée, même en allant dans le monde
spirituel. Ce sera le prolongement exact de ma vie, ni plus ni moins. Je
poursuis mon entreprise. Puisque Dieu établit Son Royaume, je serai auprès de
Lui et accomplirai cette tâche avec Lui. C’est pourquoi Dieu peut dire avec
fierté : « Ma nation est ta nation. » Pourquoi donc ? Dieu
dira : « Avec un amour immuable, tu n’as pas changé après M’avoir
connu. Avec Mon amour, tu as été constant quand la tempête faisait rage ;
même quand tu étais en prison et souffrais le mépris ; même quand des individus,
des familles, des sociétés, des nations, le monde et le monde spirituel entier
étaient contre toi. Avec la même attitude immuable que Moi, tu as poursuivi cet
amour et cet idéal. Ainsi, la nation que tu as établie est Ma nation ; ce
que tu as restauré pour l’humanité est sûrement Ma nation. » (205-212,
2.9.1990)
Quel est mon unique
et seul désir ? Il s’agit de savoir comment Dieu me traitera quand j’irai
dans le monde spirituel. Quand je serai en Sa présence, Dieu sera assis sur Son
trône, mais Il ne pourra Se retenir de bondir comme une flèche. M’étreignant et
me couvrant de baisers pour mes durs travaux, Il dira : « Que Mes
bénédictions éternelles puissent être sur toi. » Mon souhait est de voir
ce jour. Je ne peux pas mourir, même si je le voulais, sans laisser derrière
moi ces œuvres sur la terre. Telle est la situation des Vrais Parents,
sachez-le. (264-63, 9.10.1994)
Quand la famille est
sauvée, c’est au tour de la nation de l’être ; après le salut de la
nation, viendra le salut du monde ; et quand le monde sera sauvé, il faudra
sauver l’univers. Plus tard, même Dieu doit être libéré. Même Satan et même
Dieu doivent être libérés. On n’en est pas encore là. Il me faut y arriver. Si
je devais aller dans le monde spirituel sans avoir rempli ma responsabilité, il
me faudrait vivre dans la honte d’avoir failli à ma responsabilité, tel un
criminel. Je risque ma vie. Je suis en train de libérer le monde spirituel tout
entier. Après l’avoir libéré, je ne vais pas dire : « Je vous ai tous
libérés, alors vivez pour moi. »
Dans le monde
spirituel, je leur dis de vivre pour Dieu, de venir s’appuyer sur moi afin de
vivre pour le monde. Tel est le cœur de piété filiale et le cœur d’un serviteur
loyal. Le moi ne peut pas devenir le centre. (301-187, 26.4.1999)
Quand Adam a failli à
sa responsabilité, la route vers la vallée de l’enfer s’est ouverte. Nul ne
sait toute la souffrance du cours de la restauration qu’il a fallu pour
redresser cela et rouvrir un chemin de vie tout en essuyant les humiliations et
les persécutions, le cœur plein d’amertume. Dieu seul le sait.
Quand les
spiritualistes prient pour savoir qui est le révérend Moon, le cœur de Dieu ne
peut répondre que par des larmes. Quand j’entends cela, je dis
simplement : « Père, ce n’était rien… » Combien de larmes de
gratitude Il versera ! En déclarant ces choses après m’être avancé avec
cette sorte de cœur, Dieu a été libéré de Son emprisonnement. Vous devez tous
en prendre conscience. Le but de ma vie était de savoir comment redonner vie au
cœur du Père Céleste pour que, à mon entrée dans le monde spirituel, Il veuille
bien m’accueillir avec joie, et me recevoir comme un être dont la valeur est
des milliers et des dizaines de milliers de fois plus grande que celle d’Adam.
(301-187, 14.6.1999)
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