lundi 8 mars 2021

Les détenteurs de l’organe sexuel ont été intervertis

Livre XI

L’essence fondamentale de l’univers

Chapitre II

La création de l’être humain et l’accomplissement de l’idéal de l’amour

4.2. Les détenteurs de l’organe sexuel ont été intervertis

Ce trésor, l’homme n’en est pas le détenteur. Le trésor de l’homme est à son épouse et le trésor que la femme possède appartient à son mari. Bref, il y a interversion. L’organe sexuel de la femme ne lui appartient pas. Sachez qu’il appartient à son mari. Ce que nous avons ne nous appartient pas. Et c’est pareil pour l’homme. Par conséquent, on ne peut pas en faire ce que l’on veut. Les femmes américaines pensent que leurs cinq sens sont à elles et qu’elles sont libres de faire ce qu’elles veulent ; elles en font n’importe quoi. Et les hommes aussi, ils n’en font pas de bonnes choses ! Vous n’êtes que le gérant. Or le gérant se comporte comme s’il était propriétaire.

Si je demande aux femmes, quand avez-vous rencontré le propriétaire ? Le propriétaire est votre mari. Et vous, les hommes, ce que vous avez est-il à vous ? Alors, qu’est-ce que le mariage ? Le mariage est l’action de chercher le propriétaire de ce qu’on a. L’électricité positive et l’électricité négative se recherchent et une fois qu’elles se rencontrent, le tonnerre gronde et c’est ce qu’on appelle l’amour. Il en est de même pour nous. Une femme se marie plus pour « cette chose » que pour le visage de son mari ! Un homme ne se marie pas pour les mains de son épouse, mais pour « cette chose ». Et un mariage entre femmes ou un mariage entre hommes, qu’est-ce que c’est que cela ? Est-ce que l’homosexualité est possible ? Est-ce permis d’avoir des pédérastes et des lesbiennes ? Ils sont voués à l’extinction. En moins d’un siècle, en une génération, ils n’existeront plus. Alors, de ce point de vue, faut-il, oui ou non, se marier ? Pourquoi se marier ? C’est pour s’adapter l’un l’autre. Il faut absolument se marier. (162-50, 22.3.1987)

L’organe sexuel de la femme n’appartient pas à elle, mais à son mari. Jusqu’à maintenant tout le monde a pensé que c’était à soi, mais ce n’est pas juste. La femme n’en a pas besoin. C’est l’homme qui en a besoin. Vous devez savoir qu’elle a ce qui appartient à son mari. C’est à l’homme, à son mari. C’est ce qui appartient à l’homme ; avoir la folie de penser que c’est à soi mènera le monde à la ruine. S’il n’y avait pas d’homme, alors, à quoi servirait « cette chose » ? À quoi servirait-elle ? C’est une question importante. Nous en avons été ignorants jusqu’ici. (275-132, 4.12.1995)

L’amour de l’homme est propriété de sa femme. C’est à elle. L’amour de la femme est propriété de son mari. C’est à lui. Les hommes le savent bien ! Ce qui pend chez l’homme, à qui est-ce ? On ne le savait pas jusqu’ici. Vous en croire détenteur est un péché. C’est un grand péché pour une femme de se croire propriétaire de son organe sexuel. (141-172, 21.2.1986)

Un homme vrai ne change pas. Une vraie femme ne change pas. Où trouver un homme absolument immuable et une femme absolument immuable en amour ? Si de tels gens existaient, l’univers entier ne pourrait que s’incliner devant eux ! C’est ainsi que ça se passe. Étant le roi de la sagesse, Dieu a fait en sorte que le trésor de l’homme soit gardé très précieusement par sa femme et que le trésor de la femme soit sous la protection de son époux. C’est bien le cas de l’organe sexuel. (142-335, 14.3.1986)

Quel est le but de l’être humain ? C’est de rechercher le chemin de l’amour. Voilà pourquoi les organes sexuels que l’homme et la femme possèdent ne sont pas à eux. À qui appartient « cette chose » suspendue chez l’homme ? Ce n’est pas à lui, mais il a toujours cru que c’était sa chose. À qui appartient l’organe sexuel de la femme ? Ce n’est pas à elle ; le propriétaire en est le mari. Et l’organe sexuel qui est chez l’homme appartient à son épouse. Vous devez savoir ce fait extraordinaire : les propriétaires de l’amour, les organes sexuels, ont été intervertis. (143-66, 15.3.1986)

Une chose diffère chez l’homme et la femme. De quoi s’agit-il ? De l’organe sexuel. Votre organe sexuel est-il à vous ? Après le mariage, est-ce à vous, les femmes ? C’est à votre mari. Et « cette chose » qui pend chez l’homme, à qui est-elle ? C’est le bien de la femme à tout jamais. Le pouvoir de possession de l’amour absolu est fixé par l’amour vrai. Si les hommes ont mené une vie de débauche dans le monde satanique, ils devront supplier à deux mains auprès de quelqu’un de leur couper « cette chose », afin d’être pardonnés. (180-334, 5.10.1988)

Est-ce qu’un homme et une femme s’unissent par des baisers ? Est-ce qu’ils s’unissent en s’enlaçant ? L’unification parfaite de l’homme et de la femme se produit dans la vie conjugale, quand chacun recherche le propriétaire de ce qui a été interverti. (190-130, 18.6.1989)

Un homme existe pour une femme qui est son partenaire. Comme Dieu est le roi de la sagesse, Il a créé l’organe sexuel de l’homme et l’organe sexuel de la femme de façon à ce qu’ils ne puissent se séparer, même s’ils se disputent, car ce qu’il y a de plus précieux a été placé chez l’autre. Il s’agit du Saint des Saints de l’amour. Ce que Moïse a construit pour l’arche était le Saint des Saints, n’est-ce pas ? Si quelqu’un y touchait, il était frappé par la foudre. La destruction frapperait sur des dizaines de générations à venir. Le propriétaire, le grand prêtre, est son mari, et personne d’autre. (190-134, 18.6.1989)

En les créant, Dieu n’a pas fait l’homme et la femme à la hâte. Il les a créés en se basant sur l’organe sexuel. Pourquoi ? Parce que Dieu est l’ancêtre de l’amour, l’origine de la vie et la racine du lignage. C’est là que l’homme transmet l’amour idéal. L’organe sexuel de la femme appartient à son mari et inversement. Ce n’est pas moi qui en suis propriétaire. Ce n’est pas moi qui peux l’ouvrir. La femme ne peut ouvrir le sien ; de même l’homme ne peut ouvrir le sien. C’est uniquement la femme qui peut ouvrir celui de l’homme et uniquement l’homme qui peut ouvrir celui de son épouse. C’est là que le foyer de l’amour peut porter ses fruits. (193-301, 8.10.1989)

La femme est née pour l’homme et l’homme est né pour la femme. Partant de là, l’homme et la femme ne sont pas propriétaires de leurs organes sexuels. Dieu est un Être très sage. Il a inversé les propriétaires de l’organe sexuel. Les hommes sont enclins au plaisir charnel, n’est-ce pas ? Ces gredins méritent que la foudre leur tombe dessus ! C’est une chose absolument impardonnable dans l’Église de l’Unification. (198-122, 25.1.1990)

À qui appartient cette chose concave de la femme ? Est-ce utile à la femme ? Ou bien à l’homme ? Est-ce l’homme qui en a absolument besoin ou alors la femme ? Aussi, « cette chose » de l’homme est absolument nécessaire à la femme. Qui a la clef pour l’ouvrir ? C’est l’homme qui l’a pour ouvrir « la chose » de la femme et c’est la femme qui a la clé pour ouvrir celle de l’homme. C’est pourquoi, une seule personne peut l’ouvrir. Parce que l’amour vrai est unique, les deux seules personnes qui peuvent dominer le seul amour vrai est l’homme vrai et la femme vraie. (210-108, 1.12.1990)

Qui détient l’organe sexuel de la femme ? L’homme. L’organe viril est nécessaire à la femme et l’organe féminin l’est à l’homme. Ils ont été créés pour se correspondre ainsi. Les sujets ont été échangés. (227-59, 10.2.1992)

L’amour veut être absolu. Absolu veut dire qu’il y en a un, pas deux. Quelque chose d’absolu demeure un éternellement. Il n’y a donc qu’un seul homme et une seule femme qui ait droit d’être partenaire d’amour. À ce titre, Dieu a créé un Adam et une Ève. Comment le nier ? Nul ne pouvait changer cela. (254-273, 15.2.1994)

Pour qui existent les seins des femmes ? Est-ce pour elles-mêmes ? C’est pour nourrir leurs enfants. Ce n’est pas pour elles. Et pour qui donc doivent-elles être larges de hanches ? C’est pour leurs enfants. Les seins de la femme sont à ses enfants. Et qu’en est-il de leur organe sexuel ? Il existe pour son partenaire. Pourquoi ? Tout ce qui existe sur la terre est pour l’autre. À qui, dites-vous, appartient l’organe sexuel de la femme ? Il appartient à son mari. Et « cette chose » de l’homme, à qui appartient-elle ? C’est son épouse qui en est la propriétaire. Dieu est magnifique. Il a interverti les propriétaires pour empêcher l’homme ou la femme de prendre la fuite. (201-196, 1.4.1990)

Le visage d’une femme ne lui appartient pas. C’est le visage que son mari aime. Rien n’appartient à la femme. Cet organe sexuel qui se trouve là en bas ne vous appartient pas. C’est à votre mari. Rien n’existe qui ait été créé pour vous-même. Tout existe pour vos fils et filles et pour votre mari. C’est le chemin qu’il vous faut aller. C’est la femme qui peut embrasser les deux mondes. Il faut se donner les mains. La femme est un bol d’amour qui peut embrasser pour la première fois le monde terrestre, verticalement et horizontalement. (263-180, 23.8.1994)

Si vous regardez le corps d’une femme, ses fesses et ses seins existent pour ses enfants et son visage et « cette chose » qu’elle couvre, ont été créés pour son mari. Tout a été créé de la sorte : dessous-dessus, à gauche et à droite. Rien n’existe pour soi-même. Qui en est le propriétaire ? Quel propriétaire ? « Cette chose » n’existe pas pour soi-même. La femme ne peut faire n’importe quoi avec « cette chose » qui appartient à son mari. Si seulement les gens le comprenaient, le monde n’irait pas à la débauche comme c’est actuellement le cas. Comment peut-on parler de promiscuité ? D’homosexualité ? Prendre ce qui est à autrui et l’utiliser à sa guise, n’est-ce pas du vol ? Les voleurs vont en enfer et sont pendus à l’envers. (290-158, 18.2.1998)

Nous avons ici des présidents de plus de dix nations différentes ; faites passer une fois en public ce que je dis ! Demandez si l’homme a un organe sexuel pour lui ou bien pour sa femme ! Dire que c’est à soi-même, c’est être un voleur ! Ceux qui croient posséder ce qui est à eux sont des voleurs. Il n’y a pas de quoi rire. C’est une proclamation historique. Si tous vivaient ainsi, la paix serait déjà là dans le monde. En ce qui concerne la volonté de Dieu, ce qui a trait à l’amour est de la plus haute importance. Pour transmettre à l’être humain Sa volonté concernant l’amour, Dieu a créé le plus précieux, à savoir l’organe sexuel, de sorte que celui de l’homme est à son épouse et celui de la femme est à son mari. Ainsi soit-il ! Êtes-vous d’accord ou pas ? (277-182, 15.4.1996)

Les organes sexuels de l’homme et de la femme sont les pôles plus et moins qui peuvent capter l’amour de Dieu. Ce sont les recharges de la pile. Sans eux, on ne pourrait se recharger avec l’amour de Dieu. L’être humain peut faire le plein de cet amour et se recharger chaque jour en faisant l’amour. Ce n’est pas le cas des animaux qui, eux, ne s’accouplent qu’une fois l’an. (134-200, 20.7.1985)

Le système familial en Amérique est tel que le grand-père et la grand-mère ne peuvent visiter leurs petits-enfants quand ils le veulent. S’ils veulent leur rendre visite, ils doivent d’abord téléphoner. C’est après avoir fait de telles démarches qu’ils peuvent les voir. Réfléchissez-y ! Entre personnes qui s’aiment, il faut demander la permission pour s’aimer : « Ce soir, je peux t’aimer ? » Que ce soit le mari ou que ce soit l’épouse, les deux doivent toujours être d’accord pour faire l’amour quand l’un des deux dit : « Faisons l’amour ! » C’est un devoir conjugal. C’est correct. On ne peut pas répondre : « Je suis fatigué (e), je n’ai pas envie. » Son organe n’appartient pas à soi. Le propriétaire de l’organe féminin est le mari et le propriétaire de l’organe masculin est l’épouse. Qui peut dire le contraire ? (246-53, 23.3.1993)

Vous, mesdames, avez-vous de gros seins pour vous-mêmes ? Et de grosses fesses pour vous ? Rien de ce que vous avez n’est à vous. Rien de ce que possède une femme ne lui appartient. C’est pour les autres, pour leurs enfants et pour leur mari. Tout l’appareil de reproduction appartient à autrui. À qui appartient l’organe viril, alors ? À la femme. Qui en a la clef ? C’est l’époux. Un mauvais usage vous vaudra la punition du Ciel. Pourquoi la destruction de Sodome et Gomorrhe ? Pourquoi l’Amérique court elle à sa perte ? L’adultère et la drogue en sont les causes. (142-150, 8.3.1986)

Vous ne savez pas ce qui fait qu’un homme est un homme et une femme, une femme. Ce sont tout simplement les organes sexuels. Y a-t-il quelqu’un qui ne les aime pas ? Si vous les aimez, combien les aimez-vous ? Jusqu’ici, vous avez peut-être pensé qu’il n’était pas convenable d’accorder de la valeur aux organes sexuels, mais dorénavant vous devez les chérir. À quoi ressemblera le monde de demain ? S’il devait absolument chérir les organes sexuels, ce monde serait-il bon, ou mauvais ? Devrait-il prospérer, ou décliner ? Je ne plaisante pas. En créant l’être humain, dans quelle partie Dieu a-t-Il mis le plus grand effort créatif ? Les yeux ? Le nez ? Le cœur ? Le cerveau ? Tous ces organes périront éventuellement, n’est-ce pas ?

Quel est le but de la Fédération des Familles pour la Paix et l’Unité dans le Monde ? Si les êtres humains allaient complètement au-delà des domaines traditionnels de la moralité et de la religion, mais étaient en parfaite harmonie avec leurs organes sexuels, gagnant l’approbation et les applaudissements de Dieu Lui-même, à quoi ressemblerait ce monde ? À qui appartiennent les organes sexuels masculin et féminin ? L’organe sexuel de l’homme appartient à sa femme, et l’organe sexuel de la femme appartient à son mari. Nous ne savions pas que l’organe sexuel était la propriété du sexe opposé. C’est une vérité simple, mais incontestable. Même lorsque l’histoire se sera prolongée de milliers d’années, cette vérité ne changera pas. (279-244, 1996.9.15)

Dans le monde terrestre, où l’amour de Dieu peut-il exister ? Sachez bien que c’est grâce aux parties sexuelles de l’homme et de la femme !

Les organes de l’amour originel non déchu devaient être le Saint des Saints. Nous étions ignorants de ce fait incroyable : à cause de la chute, nous avons hérité de la lignée de la famille de Satan, qui est l’ennemi de Dieu. Mais cette fontaine du palais royal devait transmettre ce qui est le plus précieux, à savoir la descendance de la famille royale de la nation céleste. (134-185, 7.4.1985)

L’homme et la femme peuvent s’aimer grâce à leurs parties sexuelles. Or Dieu a eu la sagesse de les intervertir, pour les empêcher de se quitter même s’ils le voulaient ! Et même s’ils se séparaient, ils seraient bien obligés de revenir les rechercher, car ils ne peuvent aller nulle part, sinon à cet endroit. Qu’ils aillent ailleurs, ils ne pourraient jamais s’établir dans la détente. C’est en vivant avec cet organe sexuel que vous serez accueillis et vivrez harmonieusement, où que vous alliez au ciel et sur terre. (148-290, 25.10.1986)


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