mardi 9 mars 2021

Les États-Unis sont la Rome du 20e siècle

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre IV

Les civilisations océaniques du point de vue providentiel

1. L’histoire de la civilisation humaine et le cours de son développement

1.3. Les États-Unis sont la Rome du 20e siècle

Sur le continent européen, les États-Unis furent appelés le nouveau monde. Les gens qui immigrèrent vers ce nouveau monde avec espoir au cœur étaient des gens très religieux en quête de leur liberté de foi.

Ces gens-là avaient perdu tout espoir sous la tyrannie de l’ancien régime. Embarqués sur un petit bateau appelé le May Flower, ils étaient bien décidés à atteindre cet endroit où ils pourraient servir Dieu comme ils l’entendaient, même s’ils devaient perdre la vie dans l’océan Atlantique. Après cinquante-sept jours d’un voyage difficile, ils arrivèrent aux États-Unis dans la région maintenant appelée la Nouvelle Angleterre. Ce furent les Pères pèlerins, les ancêtres des États-Unis. (100-246, 14.10.1978)

Rompant avec l’histoire du christianisme couvrant deux mille ans, se développa en Occident un nouveau système appelé protestantisme. Les protestants cherchèrent une nation idéale de foi fondée sur la liberté de culte. Ils franchirent l’Atlantique pour y fonder une société. L’État protestant indépendant représentant cette société se nomme les États-Unis. Le Vatican romain avait été la base du catholicisme dans le passé. Les États-Unis constituaient une nouvelle dimension du Vatican romain sur la base protestante. C’est ainsi. Les États-Unis se retrouvent dans cette position, car Dieu y travaille depuis six mille ans. Il s’agit de savoir comment aboutir à un heureux dénouement. C’est en fait le désir que Dieu et Jésus représentant le christianisme, ont caressé tout au long de l’histoire. J’ai pour mission d’assouvir ce souhait. Voilà comment je vois les choses. (81-279, 29.12.1975)

Les États-Unis furent créés par des personnes qui franchirent l’Atlantique en quête de liberté religieuse pour échapper aux flèches de la persécution. Je comprends que ses principes fondateurs reposent sur la croyance puritaine. Voilà comment Dieu a rassemblé les peuples du monde à cet endroit, et a déversé les bénédictions matérielles sur cette nation. Un temps viendra à l’avenir, où Satan frappera en se servant de l’économie et de l’infrastructure comme arme. Dès lors, en vue de cela, Dieu a fait pleuvoir d’énormes bénédictions matérielles sur les États-Unis, permettant à son peuple de vivre dans une abondance peu commune par rapport à d’autres. S’appuyant sur la sphère culturelle chrétienne, les États-Unis sont la seule nation à se voir conférer une si grande autorité ; aucune autre nation au monde ne peut y prétendre. (53-315, 5.3.1972)

Qu’est-ce qui précipita la chute de Rome ? Dieu cherchait à sauver le monde, mais Rome se crut au-dessus de tout. Rome aurait dû aspirer à l’unification mondiale en se sacrifiant comme une offrande avant la venue du Seigneur. Alors que Rome persistait dans sa volonté de sens unique, Dieu voulait une circulation à deux voies. C’est pour cela que la révolution chrétienne éclata à Rome.

Il en sortit un protestantisme de la rupture et d’un nouvel horizon. Une nouvelle souche, toute fripée qu’elle soit, poussa en plein cœur. Le protestantisme naquit en plein dans l’adversité et la persécution. Les chrétiens puritains n’ont-ils pas fait le pas décisif pour arriver à leurs fins ? Les zélotes protestants d’Europe franchirent tous l’Atlantique. Ces Puritains n’allaient pas là-bas en quête d’une vie plus rose. Ils franchirent l’Atlantique en risquant leurs vies pour leur foi.

Le foyer providentiel de Dieu commença à partir de cette résolution face à la mort. Les puritains vinrent pour la défense du protestantisme. Deux siècles plus tard, ils fondèrent un État indépendant protestant. Telle est l’histoire des États-Unis. Il n’y eut pas un seul président catholique jusqu’à Kennedy. Jusque dans les années 1960, la gauche et la droite devaient s’unir en se centrant sur les Nations-unies. Le Président Kennedy se vit accorder cette chance parce c’était un temps pour que l’avant et l’arrière, le haut et le bas, s’unissent. (229-295, 13.4.1992)

Les protestants rompirent avec le Vatican romain dans leur fervent désir du nouveau monde de Dieu. En particulier, les puritains anglais déclaraient que l’Angleterre n’était pas faite pour bâtir le monde de Dieu et parmi de sévères persécutions, ils cinglèrent vers le nouveau monde.

Le nouveau monde qu’ils découvrirent était le continent américain. Les protestants désertaient alors le Vatican romain en masse. Poussés par leur désir de servir Dieu, les Pères pèlerins, des protestants, embarquèrent sur le May Flower. Malgré de nombreuses avanies, ils franchirent l’océan Atlantique pour atteindre les États-Unis dans leur désir de suivre Dieu. Plus tard, des gens de nombreuses nations de toute l’Europe se retrouvèrent aux États-Unis. Des Anglais, des Français, plus tard des gens de cette Allemagne qui deviendrait l’ennemi, et bien d’autres peuples d’Europe franchirent l’Atlantique et vinrent aux États-Unis. À leur arrivée, ils affrontèrent les Indiens et poursuivirent leur expansion territoriale vers l’Ouest. (215-199, 17.2.1991)

Durant les années catholiques, les persécutions de l’Église catholique poussèrent les protestants à traverser l’Atlantique. Si vous considérez les principes fondateurs de votre patrie, de votre nation, vous pouvez voir que vos ancêtres avaient franchi l’Atlantique au risque de leur vie. Aussi, quand ils arrivèrent sur cette terre et se mirent à bâtir une nation, ils cherchèrent à créer un royaume idéal du désir de Dieu, un monde sous Sa volonté. Qu’en est-il aujourd’hui de ces idéaux fondateurs ? On est acquis au libéralisme et l’on ne dit pas un mot du créationnisme, déclarant au contraire que la théorie de l’évolution est correcte. Sachez que nous vivons les dernières heures de la sphère culturelle chrétienne où l’autorité des Églises est en perte de vitesse.

Il fut un temps où vos ancêtres s’étaient fixés pour règle de conduite de braver tous les dangers : franchir l’Atlantique, risquer leurs vies dans la guerre d’indépendance et lutter contre les Indiens. Ils risquèrent leurs vies pour franchir l’océan et s’offrirent durant la guerre d’Indépendance. Sachez qu’ils étaient bien décidés à offrir leurs vies pour Dieu. En franchissant l’Atlantique, vos ancêtres n’avaient pas de guide. Simplement, ils suivaient Dieu. Durant la guerre d’Indépendance, alors qu’ils se battaient avec leurs faibles soldats, ils firent cela pour suivre Dieu. Sachez qu’ils servaient Dieu comme leur capitaine et allèrent jusque là, priant et versant des larmes avec le Ciel. (131-315, 19.5.1984)

L’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud sont dans la sphère culturelle chrétienne. Le catholicisme et le protestantisme sont comme des frères. Si l’Amérique telle qu’elle est actuellement devait venir en Asie, les peuples d’Asie se diraient que les États-Unis ont franchi le Pacifique, sans s’occuper de leur frère, pour voler une nation loin de chez eux. Ils ne penseraient pas que les États-Unis soient venus pour aider. Quand les Américains viennent en Asie, la plupart des Asiatiques les voient ainsi. Ils se diraient : « Quelle aide peuvent-ils bien nous apporter, eux qui viennent ici sans s’unir avec leur propres frères, voire même les combattent et les abandonnent ? » Ils se diraient que les Américains sont venus pour les voler. Dieu dirait aussi : « Vous les Américains, vous avez fort à faire pour mettre de l’ordre dans vos agissements ». Même s’ils traversent le Pacifique pour aller en Asie, ils y trouveront le ferment de l’hostilité. Le Japon est un empire économique et la Chine est un empire démographique. Quant à l’Union soviétique, c’est un empire idéologique. Alors, pour pouvoir satisfaire ces nations vous devez amener quelque chose de plus grand ; mais que peuvent bien leur fournir les États-Unis ? C’est ce qui leur fait dire que les États-Unis sont venus pour les piller. (272-138, 1.10.1995)

Les deux frères les plus proches en Amérique sont l’Amérique du Sud et l’Amérique du Nord ; l’une est catholique, l’autre protestante. Cette situation existe quoique les États-Unis puissent déclarer à propos de l’Asie… Le Japon en Asie était l’ennemi des États-Unis. La Chine et l’Union soviétique sont aussi ennemies des États-Unis. Ils ne considèrent pas les Etats-Unis, qui sont pourtant riverains du Pacifique, comme leur voisin. Ils voient les États-Unis comme un pays étranger. Les États-Unis ont beau faire tout ce qu’ils peuvent pour établir des liens amicaux avec d’autres pays, si un problème surgit au Japon, tous vont reculer. C’est absurde. Si vous pensez au futur, les États-Unis doivent ensemble, avec l’Amérique du Nord et du Sud, embrasser le Japon. Ils doivent embrasser l’Asie. (272-186, 5.10.1995)

Quand le conflit éclata entre protestants et catholiques, des protestants franchirent l’Atlantique pour établir en Amérique une nation protestante indépendante. Dieu a bâti cette nation. En conséquence de quoi les États-Unis extraient l’essence de l’Europe depuis deux cent ans. Ils ont tout extrait, depuis ses liens, jusqu’à l’essence de la foi, et en l’espace de deux cent ans, ils ont porté les fruits des deux mille ans d’histoire en s’appuyant sur la sphère culturelle féminine par rapport au Pacifique, et la sphère culturelle chrétienne. (228-222, 3.4.1992)

Satan a combattu l’union des États-Unis et du Japon et fait obstacle à la fusion de l’Asie. Satan est un être extérieur obsédé par les problèmes économiques. Avec leurs problèmes économiques à l’esprit, les États-Unis ont usé de politiques restrictives fondées sur les lois américaines pour empêcher le Japon de venir sur les marchés. Les États-Unis ne font ainsi que mettre un frein à tous les pays du Pacifique dont le Japon, la Corée, la Malaisie, l’Inde et Taïwan. Sachez que dans ce temps critique des derniers jours, les États-Unis frôlent le moment de commettre une grave erreur. (135-128, 1985.10.4)

2. Signification de la civilisation insulaire

2.1. L’Angleterre, la plus grande nation insulaire océanique

Les anciennes civilisations prirent pied sur les continents. Après avoir pris son essor sur les bords du Nil en Égypte, la civilisation humaine gagna ensuite les péninsules hellénique et italienne, dans le bassin méditerranéen. De péninsulaire, la civilisation devait ensuite devenir insulaire, créant ainsi la sphère de la civilisation atlantique autour de l’Angleterre, nation insulaire.

La civilisation insulaire de l’Angleterre devait finir par traverser l’océan Atlantique. La civilisation moderne prit sur le continent américain un essor miraculeux, créant la sphère de la civilisation pacifique.

Le flux de l’histoire ne va pas s’arrêter là. J’ai pleinement conscience des plans de Dieu : en franchissant le Pacifique, cette civilisation va éclore en tant que nouvelle civilisation insulaire au Japon, pays insulaire comparable à l’Angleterre, puis s’établir sur la péninsule coréenne, qui correspond à la péninsule italienne ; cette civilisation englobante comparable à celle de la civilisation romaine du passé, créera un monde unique et aboutira à une nouvelle sphère de civilisation unifiée adjacente au continent asiatique. (78-254, 7.6.1975)

Dieu est derrière le mouvement de la sphère de la civilisation mondiale du continent occidental : du Nil jusqu’à Rome par la Méditerranée, de l’Angleterre aux États-Unis pour former la civilisation continentale américaine et de là à la sphère de la civilisation pacifique. Pour faire cela, Il a dû regrouper les civilisations insulaires et avait besoin d’une nation péninsulaire, autrement dit une région péninsulaire correspondant à la  Rome qui avait influencé la sphère culturelle de la Méditerranée. Sachez que celle-ci est la Corée. Les fruits ultimes de la civilisation occidentale et les fruits ultimes de la civilisation asiatique doivent être produits sur la péninsule coréenne et offerts à Dieu. (79-75, 1.6.1975)

L’échec du peuple juif allait frustrer le dessein de Dieu pour le continent de conquérir le monde à partir de la péninsule italienne. Dieu réitéra Sa tentative en s’appuyant sur la civilisation insulaire fondée sur l’Angleterre mais échoua à nouveau. Le continent américain a réussi cette mission mais pour revenir dans l’autre sens, il doit passer par l’indemnité. L’indemnité doit être payée en s’appuyant sur les nations insulaires ainsi que sur les nations péninsulaires. Sans faire cela, il n’y a pas moyen d’atteindre le continent. (80-255, 24.10.1975)

Le domaine providentiel passa par Rome, l’Italie et la péninsule ibérique, et passa de la civilisation insulaire à la civilisation continentale. Ce qui débuta sur le continent asiatique autour de Jésus passa par la péninsule, par l’île, et aboutît au continent. La péninsule romaine échoua ; l’Angleterre, nation insulaire, échoua ; les États-Unis ont échoué. Tout s’est soldé par un échec. Que doit-on faire de tout cela ? (227-67, 10.2.1992)

En se penchant sur le courant du développement de la civilisation dans le cours de l’histoire humaine, on voit que l’ancienne civilisation continentale qui naquit autour des vallées fluviales se déplaça vers les civilisations péninsulaires de Grèce, de Rome et d’Ibérie. On passa des civilisations péninsulaires à la civilisation insulaire fondée sur l’Angleterre, et cette civilisation insulaire passa à la civilisation continentale axée sur les États-Unis pour revenir au Japon, une civilisation insulaire. Le périple de cette civilisation doit à présent porter des fruits en Corée comme civilisation péninsulaire ; voilà les grandes lignes de la providence. (279-208, 20.8.1996)

En observant le monde occidental, les États-Unis sont nés de l’Angleterre et sont donc comme son fils. Mais les Etats-Unis, qui sont comme un fils, dominent l’Angleterre. À ce stade, ce sera la fin du monde occidental. C’est comme cela que je vois les choses. Aussi ces trois nations – les États-Unis, l’Angleterre, qui est la plus grande puissance océanique insulaire, et la France, la nation archange – doivent se réunir. À partir de là, une ville océanique prendra la barre, les États-Unis guidant la nation archange pour occuper la terre. Comprenez bien ; telle fut la deuxième guerre mondiale. La nation de type Adam, non la nation de type Ève, doit contrôler la nation de type Ève et la nation Archange. Alors seulement, elle peut toucher terre.

S’étant unies autour des États-Unis, l’Angleterre et la France doivent ensuite aller vers la terre. Aussi la deuxième guerre mondiale a-t-elle éclaté pour pouvoir occuper la terre. Soyez conscients du fait que la deuxième guerre mondiale permit d’établir un fondement, grâce auquel la sphère victorieuse regroupant les États-Unis, l’Angleterre et la France pouvait contrôler le monde entier. (119-241, 13.9.1982)

Il y a restauration complète quand trois peuples et nations qui étaient divisés s’unissent. C’est le point de vue du Principe. Ce genre de théorie peut s’appliquer partout. Où est la nation de type Adam pour ce qui est de l’Europe ? En ce qui concerne le monde libre tout entier, ce sont les États-Unis. Pourquoi ? Parce qu’ils sont nés de l’Angleterre. L’Angleterre prospéra durant l’époque de la reine. Au 16e siècle, durant le règne de la Reine Elizabeth 1er, des cités maritimes s’ouvrirent et contrôlèrent les océans du monde en occupant les États-Unis comme colonie.

Comment l’Angleterre en vint-elle à s’emparer des droits océaniques du monde ? L’Angleterre, une nation océanique, était la nation de type Ève. Comme il s’agissait d’une nation féminine et d’une nation insulaire, elle ouvrit et contrôla les océans du monde. C’est ainsi qu’elle fit des États-Unis sa colonie. Les États-Unis sont comme un fils de l’Angleterre. Ève doit être celle qui donne naissance au mari idéal. Autrement, un mari idéal ne peut pas naître. (119-241, 13.9.1982)


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