mercredi 10 mars 2021

L’espoir de Dieu

Livre XIV

La vie des enfants de vraie piété filiale 

Chapitre IV

Loyauté et piété envers Dieu

1. L’espoir de Dieu

Quel genre d’être est Dieu ? Il est le Parent de l’humanité, le Roi des rois de l’humanité ; Il est de surcroît le centre de tout. Pour devenir le fils de Dieu, vous devez pratiquer la piété filiale au niveau mondial, en plus de devenir un fils pieux au niveau familial.

Attendu que seul celui qui occupe la position réunissant les plus hautes qualités de piété filiale, de loyauté et de sainteté, peut servir Dieu, les gens qui parviennent à ces qualités séparément ne peuvent le faire. L’espoir de Dieu est de voir la personne qui regroupe toutes ces qualités à la fois : être un enfant de piété, un sujet loyal et le saint des saints, tout cela en même temps.

À cet égard, Dieu est sûrement ce genre d’être. Nous nous efforçons de servir ce Dieu comme notre parent pour nous acquitter de nos obligations envers Lui comme Ses enfants. S’il y a un groupe, une dénomination, ou une race qui cherche la voie de l’excellence dans la piété, leur cours ne sera pas facile. On ne recrute pas des enfants de piété de ce calibre chez ceux qui choisissent la voie facile, ils ne viennent pas de ce genre de personnes. Du point de vue de la majorité, ils sont dans l’erreur. Tous les autres veulent aller à l’est, mais eux devront non seulement aller à l’ouest, mais aussi au sud, à l’est, et de nouveau à l’ouest…

Dieu fera suivre aux vrais enfants de piété le chemin que les autres n’arriveront pas à suivre. Voilà le genre de religion qui doit apparaître. Même sous l’angle du bon sens, on ne peut qu’aboutir à ce genre de conclusion. (62-33, 10.9.1972)

 

Historiquement, même s’il y a eu beaucoup de sujets loyaux, d’enfants de piété, et de femmes vertueuses axés sur le roi, il n’y en eut pas eu un seul axé sur la volonté de Dieu. Mais nous, aujourd’hui, sommes différents. Tous s’étaient dévoués à la liberté et la libération selon des critères terrestres. Ils étaient peut-être devenus des gens dont Dieu se préoccupait, mais sans devenir eux-mêmes des sujets de joie et de réconfort pour Dieu. Pour l’instant, il n’y a eu aucun sujet loyal, fils filial, ou femme vertueuse dont Dieu pouvait être fier.

Devenir des sujets loyaux, des enfants de piété, ou des femmes vertueuses de Dieu a beau être le cours normal des êtres humains, nul n’y est arrivé. Ils peuvent l’avoir fait pour leur roi, ou leurs parents, mais nul ne l’a fait pour Dieu. En voyant ces gens, pouvez-vous sonder Son ardent désir : à quel point Il aurait voulu les voir devenir Ses sujets loyaux, Ses enfants de piété et Ses femmes vertueuses ? (11-77, 29.1.1961)

Dieu veut que tous puissent devenir des enfants de piété et des sujets loyaux. Et parmi eux, Il veut ceux qui sont du plus haut niveau. Dieu veut des personnes qui ne suivront que le chemin de loyauté et de piété filiale.

Ceux qui ne prennent pas responsabilité pour la vie et les biens de leurs parents et n’amènent pas la paix et le développement à leur famille, ne peuvent devenir des enfants de piété. Si les parents perdent tous leurs biens, ils doivent alors être prêts à leur offrir tout ce qu’ils ont.

Parce que l’idéal de la création fut détruit, ceux qui sont en position d’avoir foulé aux pieds la vie, les biens, la paix et l’idéal, ne peuvent devenir des sujets loyaux ou des enfants de piété. Vous devez vous demander : « Quand me suis-je occupé des affaires de Dieu comme si elles étaient les miennes ? Quand ai-je senti une menace sur la vie du Père ? Quand ai-je essayé désespérément d’amener la paix et l’unification dans la famille du Père ? Vous avez peut-être essayé de le faire, mais du point de vue de Dieu, loin d’être loyal et fidèle, vous vous êtes montré déloyal et ingrat. (18-341, 1.10.1967)

Dieu veut susciter des sujets loyaux et des enfants de piété et par eux transférer Son amertume à Satan. Mais comme Il ne peut le faire inconditionnellement, après avoir éduqué des sujets loyaux et des enfants de piété, Il leur fait traverser le chemin de souffrance historique. (13-128, 20.12.1963)

Trouver un enfant de piété qui peut libérer Dieu et libérer l’amour lui-même, est important. Dieu Lui-même voudrait aussi être dans cette position et dire : « Si je pouvais être un enfant de piété au moins une fois. » Les Vrais Parents aussi disent : « Si je pouvais être un enfant de piété au moins une fois. » Comme ce serait fantastique s’il y avait une telle route pour que Dieu et les Vrais Parents accomplissent ensemble la piété filiale devant l’amour.

Dieu Lui-même est dans la position du Père qui a vraiment parfait l’amour, et le fils remplit son devoir filial en s’appuyant sur l’amour de Dieu et l’amour fondamental de l’univers, puis il s’unit au Père. Comment Dieu peut-Il tracer la route de la piété filiale d’une plus haute dimension devant l’amour ? Si cela avait pu se faire, la chute ne se serait pas produite de toute éternité.

Telle est la sphère de la libération. Cette sphère va au-delà de la sphère du Principe. C’est le monde originel. Quand on y pense, on ne peut pas se dire que tout est achevé en réalisant l’idéal de la famille, le Royaume de Dieu sur terre et le Royaume de Dieu au ciel. Il reste encore des traces, souillées par le sang de Satan, à traiter dans la racine interne.

Des dizaines de millions d’années d’histoire se sont écoulées : même si plusieurs fois cette durée, dix fois, ou même plus de cent fois cette durée s’est écoulée, pensez-vous qu’il soit possible d’oublier le monde de la chute ? Vous devez vous pencher sur l’idée que c’est l’espoir suprême de Dieu d’oublier tout cela, pour que vous et moi soyons unis, pour que les fils et filles se réunissent et deviennent des enfants de piété qui peuvent réconforter Dieu, qui prend la peine de nous aimer. (300-33, 21.2.1999)

Quand Dieu tendit Ses bras et donna les trois bénédictions à Adam et Ève, quel genre d’espoir Dieu avait-Il pour eux comme leur Père ? Il leur aurait très probablement dit : « Embrassez l’univers que J’ai créé et devenez des sujets loyaux qui m’honorent comme le roi. » Dieu avait ce genre d’espoir.

Par conséquent, Adam et Ève auraient dû établir le principe d’être des sujets loyaux parmi toute la création et auraient dû vivre leur vie en s’appuyant sur cette tradition pour toute l’éternité. Si Adam et Ève étaient devenus des enfants de Dieu vraiment pieux et l’avaient servi et honoré comme leur vrai Père, la loyauté et la piété montrées à Dieu seraient alors devenues la tradition, et l’histoire du monde se serait poursuivie jusqu’ici avec la même tradition de cœur unifié entre Dieu et Adam et Ève. Si tel avait été le cas, le mal n’aurait pas pu s’imposer. Si le mal devait dominer le monde du cœur de Dieu, alors la providence de la restauration et du salut serait impossible. (9-105, 24.4.1960)

Dieu aurait espéré voir Adam et Ève, qui étaient Ses enfants devenir, en grandissant, des enfants de piété, des sujets loyaux, des saints et des fils et filles de Dieu. Dieu en attend autant de vous, mais avez-vous jamais pensé à devenir un enfant de piété dans votre famille, un sujet loyal dans votre nation, un saint dans le monde, ou un fils ou une fille de Dieu au ciel et sur terre ?

Du point de vue historique, tous les saints ont enseigné à devenir des enfants de piété, des sujets loyaux, des saints, et des fils et filles de Dieu. Les religions qui ne l’enseignent pas ne tiendront pas longtemps la route. C’est l’inévitable destinée que nous autres humains devons suivre. La destinée est de l’ordre de la relation entre parents et enfants. On ne change pas sa destinée. Il y a des choses dans votre sort que vous pouvez changer, mais pas votre destinée.

Si vous ne comprenez pas cela, vous ne pourrez pas tenir vos rôles de vrais parents dans vos familles. Comme vrais parents, vous devez enseigner à vos enfants la progression des choses : devenir des enfants de piété, des sujets loyaux, des saints et des fils et filles de Dieu. Vous devez leur enseigner à accomplir tout cela avec vous, et au-delà, devant Dieu. (287-23, 10.8.1997)

L’idéal de Dieu tenait à un seul couple, qui aurait dû Lui retourner la gloire ; or la chute a changé la gloire en tristesse. La responsabilité d’Adam et Ève n’était pas seule en cause ; l’archange déloyal y eut aussi sa part. L’archange aurait d’abord dû établir le devoir de loyauté et de piété envers Dieu, mais la chute survint parce qu’il ne remplit pas sa tâche. Aussi la providence de la restauration vise-t-elle à établir l’ordre correct de la loyauté, de la piété filiale et de la vertu.

Dieu ayant mis la loyauté, la piété filiale et la vertu au centre de nos esprits, toutes les religions et les chemins de foi doivent les exalter. Les ascètes s’y sont tous essayés. Jésus aussi voulut fonder une famille pour pouvoir établir la voie de la loyauté, de la piété filiale et de la vertu.

Dieu fonda la nation d’Israël pour pouvoir établir une telle famille. Jésus aurait d’abord dû établir la voie de la loyauté, de la piété filiale et de la vertu. Le grand-prêtre aurait alors dû établir la loyauté, la piété filiale et la vertu. Alors Satan pouvait être subjugué. Nos familles bénies ne doivent pas être perdantes par rapport aux autres quand il s’agit d’être des exemples de loyauté, de piété filiale et de vertu. Toutes ces qualités commencent à la maison. La Bénédiction signifie que vous héritez l’espoir du Père. Jusqu’ici, beaucoup de familles ont fait preuve de loyauté et de piété filiale devant Dieu, mais pas de chasteté. Avant d’inaugurer le Jour de Dieu, on ne peut pas établir la chasteté, et tant que des conditions sont là pour l’invasion de Satan, la chasteté n’entrera pas dans les faits. (14-209, 4.11.1964)

Pour vous tenir droits devant Dieu, être loyal à un seul pays comme la Corée est insuffisant. En faisant cela, vous ne pouvez pas complètement devenir des fils et filles de Dieu. L’apôtre Paul comprit ce point. N’importe qui peut aimer son propre peuple. Je veux dire que tout le monde peut aimer son pays, mais il faut aussi aimer ceux des autres pays. La raison en est que Dieu n’aime pas seulement la Corée. Comprenez bien que tous sont égaux dans l’amour de Dieu.

Pour comprendre le cœur de Dieu, nous devons chercher un pays frappé par l’adversité et qui connaît une situation difficile. Et nous devons épouser sa cause. Cela doit être fait. Même du point de vue du Principe, il est stipulé que nous devons pratiquer la voie de la loyauté et de la piété filiale dans au moins trois pays.

Maintenant en Corée, quand vous êtes résolus à me seconder et à remplir votre devoir de loyauté et de piété filiale envers le Ciel, ne pensez pas que cette loyauté et cette piété filiale que vous pratiquez sont pour vous uniquement. Vous devez prier Dieu : « Père, j’offre ma loyauté et ma piété filiale d’abord à ce peuple, d’abord à ce monde, d’abord au ciel et à la terre. Fais qu’elle reste propriété du ciel et de la terre. » Alors, même après votre mort, elle restera ce qui appartient au Ciel et ce qui appartient à la terre. Et l’humanité la transmettra comme bien de la terre. C’est comme cela. (155-235, 31.10.1965)

Le temps où nous pouvons être des enfants de piété pour Dieu n’existera pas toujours. Il n’existe pas dans le monde spirituel après la mort. Au cours de notre vie terrestre, laquelle est, au regard de l’éternité, tout aussi brève que le tic tac de l’horloge, nous devons établir la condition d’avoir aimé Dieu, en même temps que celle d’avoir rempli notre devoir de piété filiale envers Lui.

Nous devons en outre confirmer notre statut d’enfants absolument nécessaires pour Dieu, et nous devons l’accomplir de notre vivant. (26-114, 19.10.1969)

Ce qui nous tient ensemble, c’est la destinée, fruit de l’histoire de la providence de Dieu, dans laquelle Il a poursuivi Son but longtemps chéri de dissoudre Son angoisse accumulée pendant plus de 6 000 ans. Nous avons été appelés pour adhérer à l’Église de l’Unification avec ce but à l’esprit. Par conséquent, même si nous avons des noms de familles différents, nous devons vivre avec un amour plus grand que des frères et sœurs de sang.

Même si nous honorons des parents qui ne sont pas nos propres parents, nous sommes ceux qui essayent de servir les Vrais Parents encore plus sincèrement que s’il s’agissait de nos parents charnels. Par dessus le marché, même si nous avons notre propre pays, nous sommes ceux qui cherchent à vivre pour la nation de Dieu avec loyauté, piété filiale et vertu. (47-81, 19.8.1971)

Voici venu le temps de la fin. Les parents doivent trouver « mon pays ». Pour faire cela, toutes les familles bénies doivent former un cercle horizontalement autour du Père et de la Mère et les représenter en remplissant progressivement les devoirs de piété filiale, de sujets loyaux, de saints et de fils et filles de Dieu. Là dessus, nous pourrons occuper ces positions et passer à l’observance des lois du palais et des lois de la nation de Dieu. Vous devez comprendre que la constitution céleste commence en fait avec nous. Voilà ce que signifie : « mon pays ». (197-87, 7.1.1990)

Le jour où le peuple coréen comprendra le cœur de Dieu est le jour où il dominera le ciel et la terre. Pourquoi en est-il ainsi ? Même s’il y a beaucoup d’en­fants et beaucoup de citoyens, un seul a droit au titre de fils ou fille suprême ou de sujet loyal suprême. S’il est naturel, même pour les parents du monde déchu, d’être plus attentionnés pour l’enfant maltraité, ne pensez-vous pas que ce soit encore plus le cas pour Dieu ?

Dieu ne cherche pas une race ou un peuple en particulier. Ce qu’Il cherche ce sont des enfants de piété qu’Il peut aimer le plus. Et Il veut être fier d’eux devant tout le peuple.

Dieu a mis de l’ordre dans le monde pour retrouvrer un peuple, a mis sur pied Israël pour retrouvrer une parenté ; Il a mis de l’ordre dans la parenté pour retrouvrer une famille ; Il a mis de l’ordre dans cette famille pour retrouver un individu.

Retrouver cette seule personne équivaut à retrouver le monde. Et cette personne doit être la personne qui a à cœur de libérer Dieu de toute Son angoisse historique. Seule l’apparition d’un tel fils donne aux être humains déchus la possibilité d’expier leurs péchés. (10-239, 16.10.1960)

Dans les derniers jours, nous devons par dessus tout être les personnes qui comprennent le cœur de Dieu. L’être humain est doté des trois fonctions essentielles que sont l’intellect, le sentiment et la volonté. Il nous reste à atteindre le sentiment céleste en nous appuyant sur l’intellect et la volonté. L’amour de Dieu coule à travers nos cœurs et parce qu’il y a une providence céleste pour le peuple coréen, nos cœurs doivent battre fortement avec ardeur, piété filiale et loyauté pour le Ciel plus que toute autre race. (4-250, 22.6.1958)

Si vous voulez devenir un sujet loyal du Ciel, vous devez vous venger de Son ennemi. Si vous voulez devenir un enfant de piété, vous ne le pouvez pas tant que les ennemis de vos parents sont dans les parages. Il faut donc vous en débarrasser. C’est pareil pour une femme vertueuse. Jusqu’au jour où vous forcez l’ennemi à rendre des comptes pour ses péchés, si vous n’êtes pas préparés à aller de l’avant et vous battre au risque de votre vie éternelle, vous ne pourrez passer la crête déchirante de la chute. Vous devez vraiment franchir ce pic ; alors seulement, pour la première fois, Dieu sera soulagé de ce qui tourmente Son esprit. Il vous dira : « Mon fils loyal, filial et vertueux, je t’attends depuis 6 000 ans. » Et Il tendra les deux mains en l’air pour vous bénir. Le Dieu « trois-en-un » pourra enfin entrer dans Son sabbat. Dieu ne peut connaître ce sabbat tant que ce modèle du cœur n’est pas établi. (9-122, 24.4.1960)

Dieu est le premier Parent parmi les parents, le premier Roi parmi les rois, l’Être qui seul peut régir tout le ciel et la terre, et le premier ancêtre capable de formuler Son idéal. Notre but dans l’Église de l’Unification est d’avancer pour devenir des enfants de piété, des sujets loyaux et des saints centrés sur Lui, et pour la première fois d’hériter de l’immense œuvre de la création de Dieu, en se tenant dans une position où l’on n’a pas à rougir. (84-205, 29.2.1976)


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