
Livre XI
L’essence fondamentale de l’univers
Chapitre II
La création de l’être humain et
l’accomplissement de l’idéal de l’amour
1. La valeur absolue de l’amour
1.3. L’organe sexuel : l’alpha et l’oméga du
problème fondamental
Vous ne pouvez pas salir vos parties intimes
comme bon vous semble ! À qui appartient « la chose » de la femme ? Ne riez pas
! Je suis en train d’expliquer l’essence de l’univers ! Demandez-vous si c’est
vrai ou pas !
Vous savez combien j’ai sué sang et eau pour
connaître cette vérité ? C’est facile à dire mais est-ce que vous vous rendez
compte combien le contenu est extraordinaire ?
C’est bien là que le ciel et la terre se
divisent, que le monde se divise en deux et que les bons et les mauvais se
séparent. (177-219, 20.5.1988)
Où est le palais royal de l’amour ? N’allez
pas trouver étrange que je tienne des propos de ce genre. Si nous ne le
corrigeons pas de la bonne manière, le monde ira tout de travers. Si les choses
ne peuvent pas être ajustées entre elles de la bonne façon, la vilenie
pullulera dans le monde entier. Je me suis rongé les sangs pour résoudre le
problème fondamental de l’humanité, révéler l’origine de l’univers, et au terme
de cette entreprise, j’en suis arrivé à conclure que c’était l’organe sexuel.
Après être arrivé à l’organe sexuel, j’ai
bien réfléchi pour m’apercevoir que l’harmonie du ciel et de la terre jaillit
de cet endroit comme un tourbillon. Voilà qui tient du prodige. (197-24, 7.1.1990)
Vous savez que le révérend Moon a examiné à
fond toute la vérité compliquée du monde, n’est-ce pas ? Dieu a acquiescé à ma
détermination de tout découvrir. En peinant, en recherchant si difficilement,
j’ai compris que la réponse se trouvait sous mes yeux. Bien sûr, j’étais étonné
et reconnaissant, mais je me rendais compte à quel point ma quête avait été
futile. (295-15, 16.8.1998)
Vraiment, je ne savais pas que la solution
des problèmes fondamentaux avec lesquels l’humanité s’est battue jusqu’ici, était
si simple et facile. J’ai souffert pour rien ! Étant ignorant des questions de
ce monde, j’ai versé de nombreuses larmes et je suis même entré dans le monde
spirituel pour y confronter toutes sortes de difficultés. Mais une fois que je
l’ai su, c’était tout ce que je possédais ! Je me suis dit : « Oh, je ne le
savais pas ! » Tout est en moi. Tout l’univers se trouve en moi. Tout l’univers
demeure à l’intérieur de chacun de nous. (199-314, 21.2.1990)
Je me suis débattu pendant neuf ans pour
découvrir l’essence de l’univers et j’ai fini par la découvrir. Une fois
trouvée, elle s’est avérée d’une logique très simple. « Oh, vraiment, je ne
savais pas que c’était aussi simple que ça ! Nous la possédons tout en nous et
ne le savons pas ! » Pas vrai ? Un vieillard qui prospectait du ginseng sauvage
s’en alla tout au bout des monts déchiquetés comme le Mont Taebaek ; tout ça
pour s’apercevoir qu’à l’endroit même où il s’était reposé et venait d’uriner,
il y avait un champ de ginseng ! Il n’en avait rien su ! Sur le chemin du
retour, il est retourné à l’endroit où il avait uriné au départ, à l’endroit où
il avait jeté son mégot de cigarette, pour le ramasser et le fumer, mais
qu’a-t-il découvert ? Justement des racines de ginseng sauvage ! C’est quelque
chose qui peut arriver. Dans ce cas-là, revenir sur ses pas pour ramasser un
mégot et le fumer, c’est la fortune qui sourit ! C’est tout à fait possible !
(196-130, 31.12.1989)
Je ne suis pas un galopin ! Après m’être
plongé dans l’essence de l’univers, je l’ai révélée. Pour la découvrir,
fallait-il traverser toutes ces épreuves en ce monde ? Quand je l’ai su, j’ai
été confondu car il s’est avéré que j’avais toutes les réponses en moi. C’est
pourquoi, quand vous irez dans le monde spirituel et atteindrez les hautes sphères,
lorsque vous demanderez : « Où est Dieu ? », la réponse viendra de l’intérieur
: « Oui, je suis là ! » De là cette maxime qui veut que « l’être humain est
Dieu ! »
Vous n’avez pas idée de tout ce qui m’est
arrivé lorsque je cherchais à résoudre l’énigme de l’essence de l’univers ; je
n’ai pas trouvé la réponse simplement, comme on apprendrait la mélodie d’un
chant en écoutant la flûte. Versant de la sueur et du sang, j’ai concentré mes
cinq sens et toute mon attention nerveuse sur le point central, et j’ai fini
par le saisir. Même si j’ai réussi à m’en emparer, si je n’avais pas eu la
capacité de le garder, Dieu ne m’aurait pas laissé faire. (225-281, 26.1.1992)
D’après vous, qu’est-ce qui vous a protégés
et vous a permis de survivre jusqu’à maintenant ? Est-ce le révérend Moon qui
vous a protégés ? Y a-t-il quelqu’un qui veuille se ruiner et n’ait pas envie
de s’épanouir ? Toutefois, pour recevoir la protection de la fortune céleste,
il faut suivre un chemin qui ne mène pas à notre bien-être personnel. Et quel
est ce chemin ? C’est bien le diable qui nous a donné pour devise de vivre pour
soi-même sur cette terre ; l’univers, pendant ce temps, protège quiconque
transcende cela. Sur la base de la pensée de Dieu, en suivant la pensée
fondamentale, en poursuivant l’œuvre inachevée de la création basée sur
l’altruisme, et en agissant en conformité avec le but originel du créateur de
chercher l’idéal d’une vie pour les autres, vous sentirez substantiellement que
« l’univers me protège ». (197-253, 19.1.1990)
Vous ignorez tout ce que j’ai du subir pour
trouver la voie que nul ne connaît. Vous ne sauriez sonder les tourments
éprouvés dans ma jeunesse, à tâtonner dans les ténèbres. J’ai bien vu que les
problèmes fondamentaux sur l’essence de la vie, l’univers et l’histoire, ne
pourraient se résoudre sans soulager la douleur de Dieu ! Mais la victoire est
là, une organisation a été montée pour arriver à cette fin ; au-delà des mots,
il y a les actes, le monde entier en est à présent témoin. Nous sommes maintenant
dans l’ère où chacun peut entrer dans la nation céleste si seulement il fait
demi-tour et se tient à nos côtés en portant l’étendard. (209-292, 30.11.1990)
Nous ne savions pas que le problème le plus
crucial avait commencé avec la lutte entre le corps et l’esprit ; nous y avons
perdu la base où est enfoui le trésor universel. Personne ne savait que le
chemin intérieur vers l’unification du soi est de découvrir l’amour qui mène à
la perfection de soi. Et ceci ne peut se découvrir qu’après avoir déchiffré l’univers
entier. Sinon, la réponse est introuvable. Que dites-vous de tout cela ? Vous
vous sentez heureux ou malheureux ? Quel est votre bonheur ? (224-164,
24.11.1991)
À quoi tiennent, essentiellement, la
perpétuation de l’univers, la continuation de l’histoire et des nations, ainsi
que la succession de générations ? Quel est l’élément de base qui sous-tend les
divers champs de relations, l’élément central qui peut représenter la totalité
? C’est un point capital. Ceux qui adhèrent à l’Église de l’Unification tombent
parfois, au bout d’une ou deux décennies, dans une sorte de routine. Alors
qu’au tout début ils étaient pleins de zèle et pensaient d’abord au but de
l’ensemble avant de penser à eux-mêmes, peu à peu, ces traits s’estompent, ils
se laissent prendre aux filets de Satan, ne cherchant que leur intérêt
personnel. Cela marque le début du déclin. (253-223, 30.1.1994)
Pourquoi parle-t-on de Principe divin ? Parce
que c’est la théorie de l’essence. Le Principe se réfère à la logique de
l’origine. La révélation du Principe ayant réponse aux questions fondamentales
sur la vie et l’univers, rien au ciel ni sur terre ne peut en entraver le
cours. Voilà comment se trace le cours de la vie vers la paix, la détente,
l’équilibre. Il est très important qu’en arrivant à l’unité, vous ne sentiez
rien d’autre que cela. (258-304, 20.3.1994)
Vous aurez beau prier et faire du
remue-ménage, Dieu ne peut vous enseigner ce qu’est l’essence de l’univers.
Sachez qu’un tel contenu ne se dévoile pas comme ça au tout-venant ! N’est-ce
pas étrange ? Si Dieu l’enseignait, l’unification du ciel et de la terre se
ferait en un jour ; mais étant donné que l’être humain a fauté et commis le
péché, c’est donc à lui de liquider le péché.
Tombé dans un état d’ignorance, il doit s’en
sortir et seulement celui qui aura franchi cette ligne sera éligible pour
trouver la solution ; c’est pareil à un patient qui ne peut sortir de l’hôpital
tant qu’il n’est pas guéri. En creusant l’essence, ce qui ressort est la
question de la relation entre Dieu et l’être humain, et la réponse est simple.
Moi qui vous parle, je me suis plus que tout
autre ingénié à résoudre le problème : « Quelle est l’essence de l’univers ? »
Ayant tranché cette question, j’en suis venu
à fonder l’Église de l’Unification. Ce problème ne peut se résoudre dans le
monde humain. Quand je suis allé dans le monde spirituel, il m’a fallu procéder
comme dans une vraie vente aux enchères. (198-104, 25.1.1990)
Si Dieu, le fondement même de l’univers,
n’existait pas, ce monde ne disposerait d’aucun critère de valeurs absolues.
L’humanité, en ce cas, serait sans échelle de valeurs morales et cette société
serait sans aucune base philosophique pour que les être humains soient
seigneurs de la création. (259-127, 29.3.1994)
J’ai étudié les sciences et, parce j’avais
parfaitement confiance dans l’infaillibilité des principes fondamentaux de
l’univers que j’avais élucidé, j’ai posé ces bases théoriques.
Toute ma vie, j’ai connu la persécution, la
prison, les coups, j’ai subi tous les affronts, toutes les épreuves, mais en
silence, sans élever la voix, et je m’en suis sorti pour aller à la conquête du
monde. Est-ce que Dieu peut S’évanouir, Lui qui est le centre de l’amour vrai
et de toute la puissance ?
Son partenaire d’amour peut-il s’écrouler ?
Celui qui frappe autrui se frappe lui-même, n’est-ce pas ? Qu’en est-il de Dieu
? Si vous demandez à Dieu s’Il veut avoir un partenaire d’amour moins beau que
Lui ou alors plus beau, Il répondra : « Je désire la même chose que vous tous !
»
La vérité prodigieuse et extraordinaire que
voilà, sur l’essence de l’univers ! Eh bien poursuivez et demandez Lui : « Tu
espères que Tes fils et filles soient meilleurs que Toi, n’est-ce pas ? », Il
répondra la même chose. L’être humain a perdu la valeur privilégiée qui aurait
dû être la sienne. (217-189, 27.5.1991)
Quand bien même j’aurais enquêté sur chaque
vérité en ce monde, remué le monde spirituel et le monde physique et cherché
dans tous les écrits, il n’y aurait toujours pas moyen de savoir : est-ce que
Dieu existe, oui ou non ? Comme Dieu existe, Il ne peut laisser le monde
tel qu’il est. Il a lutté pour apporter le jugement.
Quelle est la règle fondamentale de
l’existence de l’être humain, la cause de sa naissance ? L’homme est né à cause
de la femme. C’est la vérité suprême de toutes les vérités.
Pour une femme, un homme idéal qui se tient
devant elle est la vérité la plus extraordinaire. Sachez qu’il est le corps
individuel de vérité idéal qui a pu parfaire l’univers tout entier. Et pour un
homme, une femme idéale est le corps individuel de vérité suprême. Elle est
l’incarnation absolue de la vérité. (267-230, 8.1.1995)
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