mardi 9 juin 2020

Dieu est comme un prisonnier

Le Vrai Dieu
Chapitre IV : Les aperçus du Père sur Dieu
Section 5. Libérer Dieu
5.1. Dieu est comme un prisonnier
Qui saura mettre fin au combat entre le Dieu du bien et le dieu du mal ? Ce n’est ni Dieu ni Satan. Mais qui alors ? Un maître d’amour pourra le faire : pour mettre fin à la guerre entre Dieu et Satan, il devra placer l’amour vrai à la première place et le porter en lui, et toute l’humanité le suivra. Il faut en finir avec cette guerre, sans quoi la paix restera un rêve impossible en ce monde et dans l’histoire.
« Idéal », voilà un mot sentimental et creux. Dieu envoie donc un représentant de l’amour vrai, le Messie ou le sauveur. Le sauveur ne se contente pas de sauver les gens, mais doit aussi libérer Dieu. C’est lui qui punira le mal. Le sauveur a la responsabilité globale de libérer Dieu et de mettre un terme au mal. (136-219, 29.12.1985)
La responsabilité du sauveur est de libérer Dieu et de punir Satan. Qui nous débarrassera de ce meneur odieux qui n’a cessé d’accuser l’humanité ? Dieu ne peut le faire ; seul le Messie, le sauveur, en est capable. (136-219, 29.12.1985)
Quel genre d’Église de l’Unification voulons-nous ? Nous voulons trouver la religion des parents. Nous ne cherchons ni la belle vie, ni des relations fondées sur la morale ordinaire. Axés sur les Vrais Parents, nous voulons trouver la voie de l’amour vrai et par là libérer Dieu. La libération n’est envisageable que par rapport aux principes et aux conditions de l’amour. (136-222, 29.12.1985)
Avez-vous songé à la nation qui est du goût de notre Père et qu’il va trouver ? Quand on est prêt à aller en prison, un chemin s’ouvrira en cours de route. Ouvrir ce chemin de vie et de mort, c’est ouvrir la voie aux gens et un chemin d’espoir au-dessus d’un précipice de ténèbres, mais nul ne le sait. Nul ne connaît les conditions dans lesquelles je me suis battu pour pouvoir percer un tunnel afin de libérer les peuples du monde.
En suivant le chemin de loyauté envers Dieu, j’ai honoré Dieu comme le centre : je vois en Lui un être que je dois servir avec soin tout en chérissant l’amour. Quelqu’un comme moi vit avec une certitude : c’est le seul chemin. Le temps et les modes peuvent changer, mais le chemin est là pour des dizaines de millénaires. (163-304, 1.5.1987)
Dieu doit être libéré. Je dois libérer Dieu. Ne cherchons pas à être sauvés, mais à libérer Dieu. Toute la providence du salut tend vers ce dénouement. (136-263, 29.12.1985)
L’Église de l’Unification ? Une armée de libération de Dieu. Libérer le monde, certes, mais pas seulement. Libérer le monde est facile. Que les gens s’unissent, et le monde sera libéré, mais la libération de Dieu requiert l’unité dans le domaine du cœur. Nous devons avoir le Principe et un ensemble doctrinal qui peut unifier la sphère de l’amour, mobiliser le monde spirituel, et bâtir des passerelles de cœur sur terre : une révolution plus redoutable et plus difficile que tout autre.
Libérer l’humanité est aisé, mais libérer Dieu est ardu. L’étonnant, c’est ce révérend Moon qui s’avance en porte-drapeau pour accomplir cette tâche difficile et sans précédent, avec le but de régler tous les points de l’histoire providentielle. (136-285, 29.12.1985)
Les guides religieux de nos jours se mettent à genoux et prient pour leurs bénédictions. Mais je n’ai jamais prié pour recevoir des bénédictions. J’ai plutôt prié : « Fais de moi une offrande du sacrifice pour Ta libération. »
L’âge de l’Ancien Testament fut un âge pour restaurer le peuple de Dieu en sacrifiant les choses de la création ; l’âge du Nouveau Testament fut un âge pour restaurer les parents en sacrifiant les enfants ; et l’âge du Testament Accompli est un âge pour libérer Dieu en sacrifiant la famille des parents.
Nous devons honorer les parents originels sur terre et vivre avec eux pour toujours. Il y a une chanson du folklore coréen qui dit : « Lune, lune, la lune brillante, la lune qui a joué avec Lee Tae Baek... » Elle parle ensuite du grand laurier sous la lune. Mais il y est aussi question de vivre avec ses parents pendant des dizaines de milliers d’années. Voilà qui nous révèle quelque chose du peuple coréen – vivre avec les parents du Ciel pour des milliers et dizaines de milliers d’années. À chaque évocation de ce chant, un flot d’émotions inoubliables resurgit dans mon cœur. (137-185, 1.1.1986)
Dieu fait pleuvoir sur les États-Unis des bénédictions de niveau mondial depuis deux cents ans. Or les Américains croient que c’est pour eux, pour leurs Églises chrétiennes et pour leur pays. Ils ont oublié leur responsabilité de libérer toute l’humanité et de promouvoir le bien-être des êtres humains en sacrifiant l’Amérique et le christianisme. Ils ne pensent au contraire qu’à la suprématie américaine et font appel à une politique unilatérale où seul compte l’intérêt national.
La volonté de Dieu est que l’Amérique bâtisse un fondement mondial, dût-elle se sacrifier et le christianisme avec elle. Mais elle n’en prend pas le chemin, tout au contraire. Le déclin des États-Unis n’a pas d’autre cause. Les familles éclatent, les Églises perdent du terrain, la nation vole en éclats. Le mal est partout. (143-189, 18.3.1986)
Il faut pénétrer en enfer pour pouvoir libérer Dieu et les Vrais Parents et sauver le monde. Après être passés par le fond de l’enfer, nous accèderons au Royaume de Dieu. Le plus court chemin est d’aller par le fond de l’enfer. C’est pourquoi on insiste sur le sacrifice et le service, n’est-ce pas ? Dites : « J’adhère à l’Église de l’Unification pour mon salut personnel », et vous aurez un zéro pointé. Vous ne pourrez jamais atteindre le niveau mondial. Vous devriez plutôt dire : « J’irai de l’avant pour pouvoir libérer Dieu, libérer les Vrais Parents, et sauver le monde. » Vous comprenez ? C’est toute la différence. (148-163, 8.10.1986)
Vous ne pouvez continuer sans aplanir ce chemin au risque de votre vie. Je le sais bien, et c’est ce que j’ai fait toute ma vie. Je porte ce fardeau malgré les persécutions reçues, qui m’ont jeté en prison. Si je vais en prison, est-ce par plaisir ? C’est pour Dieu et pour la libération de Dieu. J’y vais pour libérer l’humanité et le monde satanique. Je suis la voie de la restauration par l’indemnité. À moins de suivre ce chemin, il n’y aura pas de libération : on ne se sépare pas de Satan dans la quiétude et le confort. (148-168, 8.10.1986)
La responsabilité de la libération est une affaire de cœur avant tout. Dieu doit être libéré, et les Parents doivent l’être aussi. Comme ce doit être pénible pour Dieu d’être en position d’avoir affaire aux parents du mal depuis qu’ils sont apparus ! Nous devons donc libérer les Vrais Parents et Dieu. Vous devez être de tels enfants de piété filiale. Êtes-vous en train de vous la couler douce, en laissant le Parent céleste souffrir dans le malheur ? Est-ce que vous cherchez une vie confortable pour vos enfants ? Comment pouvons-nous chercher une vie confortable ? Pouvez-vous penser à faire cela ? (148-222, 9.10.1986)
Dans notre vie quotidienne pour libérer Dieu, sachons que nous ne pouvons pas invoquer Dieu sans un cœur plein de larmes. Aussi Jean le Baptiste criait-il dans le désert : « Repentez-vous, car le Royaume de Dieu est proche. » Jésus disait de même : « Repentez-vous, car le Royaume de Dieu est proche. » Il faut se repentir. Vous devez comprendre avec quelle insolence honteuse et indigne vous avez abordé la providence. Même si nous n’arrivons pas à libérer le monde, il faut libérer Dieu de Sa douleur. (161-113, 11.1.1987)
Comment le monde peut-il être unifié, et comment la libération peut-elle se faire ? Quelqu’un doit venir avec la puissance de Dieu pour pouvoir unifier le domaine de Satan. Il n’y a que cela qui puisse unifier et libérer les mondes spirituel et physique. Seule l’apparition d’une personne qui peut dominer Satan amènera la libération des mondes spirituel et physique.
Dieu a-t-Il besoin de libération ? Dieu en Lui-même est bien sûr déjà un être libéré. Dieu doit être libéré parce que les gens doivent l’être. Dieu est déjà libéré. Dieu ne peut goûter à la condition de la libération simplement parce que les gens ne sont pas libérés et doivent l’être. Mais il n’est pas quelqu’un qui ne peut pas être libéré. Cela dépend des gens. (161-243, 22.2.1987)
Le christianisme a la philosophie du second avènement. Que fera Jésus à son retour ? Il y a beaucoup de chrétiens aujourd’hui qui ont perdu la tête. Veulent-ils vraiment monter au ciel sur les nuées pour des réjouissances millénaires ? Ce sont là des balivernes. Que fera Jésus quand il revient ? De quoi Jésus peut-il être fier à son retour ? Dieu doit éradiquer Satan, qui résiste à Dieu avec des exigences injustes. Sans quoi, Il ne peut jamais éviter l’obstruction perpétuelle de Satan. Qu’est censé faire le Seigneur en revenant sur terre ? Il ne vient pas apporter une vie facile à quelques centaines de millions de chrétiens. Il doit libérer Dieu. Le Seigneur à son retour doit être celui qui suit la voie de la justice et remplit la responsabilité de libérer Dieu. (162-186, 12.4.1987)

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  1. De quoi Jésus peut-il être fier à son retour ? Dieu doit éradiquer Satan, qui résiste à Dieu avec des exigences injustes. Sans quoi, Il ne peut jamais éviter l’obstruction perpétuelle de Satan. Qu’est censé faire le Seigneur en revenant sur terre ? Il ne vient pas apporter une vie facile à quelques centaines de millions de chrétiens. Il doit libérer Dieu. Le Seigneur à son retour doit être celui qui suit la voie de la justice et remplit la responsabilité de libérer Dieu. (162-186, 12.4.1987)

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