jeudi 25 février 2021

Ce dont les êtres humains peuvent être fier

Livre IV

La vraie famille

Chapitre premier

La vraie famille prévue à l’origine au temps de la création

7. Ce dont les êtres humains peuvent être le plus fier

Dieu a créé un homme et une femme. Et Il projetait qu’ils se marient et vivent de façon céleste, après qu’ils aient atteint la perfection.

Le plan de Dieu était de faire d’Adam et Ève les premiers conjoints de l’histoire, et qu’ils commencent à établir le Royaume de Dieu. Si ce plan s’était réalisé, les deux premières bénédictions de Dieu, « être fécond et multiplier », se seraient accomplies à ce moment.

Dieu leur ayant donné le pouvoir de multiplier des enfants, leurs enfants seraient aussi devenus des êtres humains parfaits et sans péché. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 319)

Que leur serait-il arrivé d’autre ? Les péchés ne se seraient jamais transmis au genre humain. En donnant naissance à de tels enfants, Adam et Ève seraient devenus le vrai père et la vraie mère prenant Dieu pour centre. Ils seraient devenus les vrais parents du genre humain.

Si Adam et Ève n’avaient pas chuté, mais avaient atteint la perfection, ils auraient accompli non seulement la perfection individuelle, mais aussi la perfection de l’univers. De plus, une nouvelle famille fondée sur l’amour de Dieu aurait pu commencer.

Si un clan, une tribu, un peuple, une nation et un monde s’étaient constitués ainsi à partir de la famille, le monde serait devenu la grande communauté d’une seule famille étendue au service de Dieu. Au centre de cette communauté d’une seule famille étendue, se seraient tenus Dieu et Adam.

Dans ce monde, la vie quotidienne ou le cours de la vie de la famille d’Adam basée sur Dieu, serait passée à la postérité comme la tradition historique. Son style de vie, ses mœurs, ses conventions et son milieu, seraient devenus la tradition historique. Ces traditions auraient été mêlées du début à la fin à l’amour de Dieu.

L’amour de Dieu est la source de la vie et l’origine de tous les idéaux ; ainsi, nul ne peut quitter Son étreinte, même s’il le voulait ; si d’aventure il lui prenait l’envie de partir, il n’aurait d’autre choix que de revenir. Même dans ce monde déchu, nous voyons que, lorsque quelqu’un qui a vécu avec ses parents doit les quitter, ainsi que ses frères et sœurs, il se sent seul et ils lui manquent en permanence.

De même, quiconque s’attache à l’amour de Dieu, sujet de la vie et des idéaux, ne saurait se séparer de Dieu. Si d’aventure il délaissait Dieu, il se sentirait si seul et frustré à longueur de temps, que toute joie lui deviendrait impossible à éprouver. Aussi n’a-t-il d’autre choix que de devenir un avec Dieu dans la sphère de Son amour. Dans de telles circonstances, ce dont les êtres humains peuvent s’enorgueillir est, tout d’abord, le fait que Dieu est notre Père, ensuite, que nous sommes les fils et filles de Dieu qui peuvent recevoir Son amour, et enfin, que nous sommes les héritiers de l’univers créé par Dieu. Voyez, de nos jours, ces gens si fiers, simplement parce qu’ils sont devenus le gendre d’une famille riche. Mais il n’est rien dont nous puissions être plus fiers que d’avoir Dieu pour Père et de recevoir la plénitude de Son amour. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 319)

Si Adam et Ève avaient fondé la famille idéale en prenant Dieu pour centre, la volonté de Dieu se serait réalisée, et la famille d’Adam aurait servi Dieu, « au-dessus d’eux », comme le Père, devenant, « au-dessous », la famille qui aurait été le point de départ de l’amour uni, en tant qu’ancêtres du genre humain. Cette famille serait ainsi devenue la base sur laquelle Adam et Ève auraient pu s’unir dans l’amour pour parfaire leurs idéaux. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 320)

8. La famille d’Adam qui aurait fixé la tradition comme vraie famille

Si nos ancêtres humains n’avaient pas chuté, de qui seriez-vous les fils et filles ? Sans aucun doute, vous seriez nés comme fils et filles de Dieu. Si Adam et Ève n’avaient pas chuté, tous les êtres humains auraient été de vrai fils et filles de Dieu. Nous ne serions pas une tribu que les ennemis dupent et dominent, ou des gens dont les ennemis disent du mal, comme c’est le cas aujourd’hui.

Le fils de Dieu a un pouvoir absolu, représentant, où qu’il aille, l’autorité absolue et la puissance de Dieu. Quand une famille se forme autour de ce fils, cette famille devient la famille de Dieu ; toute existence dans l’univers doit s’y soumettre. En outre, quand une tribu apparaît autour de cette famille, la création entière doit protéger cette tribu et s’y incorporer.

Mais à cause de la chute, non seulement les êtres humains ont perdu leur position de fils et filles de Dieu, mais ils sont devenus un groupe de personnes que les ennemis dupent. Si les premiers ancêtres, au lieu de transgresser le commandement de Dieu, s‘étaient unis avec Dieu éternellement, nul n’aurait pu les soustraire à ce lien d’amour basé sur cette unité.

Après qu’ils soient nés et aient grandi comme fils et filles de Dieu, si quelqu’un venait leur demander : « Qui est votre père ? », cherchant à les persuader à coup de théories ou de doctrines, rien ne pourrait les faire renier leur relation avec leur père, fût-ce sous la menace d’armes. (Testament Accompli I, p. 330)

S‘il n’y avait pas eu la chute, la première famille du Ciel se serait formée dans le jardin d’Éden, et cette famille se serait épanouie sous la souveraineté de Dieu, bien loin des calomnies de Satan. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 330)

Si Adam et Ève n’avaient pas chuté, ils auraient reçu tout l’amour de Dieu. S’ils s’étaient unis étroitement dans l’amour de Dieu comme Son fils et Sa fille, recevant Son amour dans sa plénitude, ils auraient donné naissance à des enfants en prenant l’amour de Dieu pour centre.

Puis, baignant dans l’amour vrai de Dieu, ils auraient pu établir les traditions de l’époux, de l’épouse, du fils et de la fille. Et si la tradition de la famille fondée sur l’amour de Dieu avait été forgée, la volonté de Dieu serait devenue une réalité. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 331)

Adam et Ève, en accord avec la volonté de Dieu, auraient dû devenir parfaits, recevoir la Bénédiction et établir la nation de Dieu à partir de la famille qu’ils auraient fondée. Leur perfection aurait dû se faire sur la base de l’amour vrai. Si Adam et Ève avaient ancré la relation horizontale en Dieu, le monde du but de la création aurait commencé et ce monde se serait étendu à l’univers.

Un monde fondé sur la tradition d’unité établie par l’union d’Adam et Ève dans leur couple aurait vu le jour. Cependant Adam et Ève désobéirent à la volonté de Dieu et chutèrent. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 332)


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