samedi 6 février 2021

Divisé, l’amour conjugal est incomplet

Livre III

L’amour vrai

Chapitre II

L’amour en pratique

4. L’amour conjugal

4.2. Divisé, l’amour conjugal est incomplet

L’être humain, par nature, ne veut pas que l’amour pour le partenaire soit divisé. L’amour conjugal horizontal, bien différent de l’amour vertical parents-enfants, perd sa plénitude dès qu’il est divisé. Ceci parce que, d’après le Principe de la création, le mari et la femme doivent s’unir dans un amour absolu. L’amour donne à chaque époux la responsabilité de vivre absolument pour l’autre. (Les Vrais Parents et la Vraie Famille, 1996)

Si un couple marié est réuni par la force puissante de l’amour, ils doivent se réjouir et être aimant quoi que fasse leur partenaire. Si une femme dit qu’elle déteste l’odeur de son mari, ou si un mari ressent ou bien pense qu’il n’aime pas la façon dont sa femme bouge, c’est parce que l’amour complet ne s’est pas réalisé entre eux. Un tel couple en effet est uni pour un certain but, par un certain intérêt. (Tongil Segye, 1983, 3-22)

L’expérience de la vie commune, avec ses hauts et ses bas, ses ouragans, ses pluies orageuses, et ses coups de tonnerre autour de l’amour et à la poursuite de l’idéal de l’amour avec toute la gamme des sentiments, rendra un couple plus heureux que s’ils devaient vivre toute leur vie dans le confort. Pour résoudre le problème entre hommes et femmes, nous avons besoin d’amour, pas d’argent ni de savoir. (167-213, 19.7.1987)

En écoutant les gens parler, vous verrez que les femmes ont un timbre de voix plus haut que celui des hommes. Pourquoi est-il aussi élevé ? La femme est plus faible que l’homme en termes de force physique, mais la femme est plus haute en termes d’affection. Et les hommes alors ? Les hommes aiment plus largement. La femme est plus haute pour ce qui est d’aimer en pensant à son mari et à ses enfants, mais l’homme a un cœur plus profond pour aimer sa parenté ou son pays. On apprend donc de sa mère à aimer ses fils et filles et sa famille, et de son père comment aimer le monde. Un seul aspect dans un sens ou dans un autre crée l’instabilité ; l’équilibre vient en les liant ensemble. (129-55, 1.10.1983)

Dans les trois premières années, en gros, vous ne serez pas encore accordés. Comment un homme et une femme issus de milieux familiaux différents, avec des manières et des façons de faire différentes, pourraient-ils être en phase ? Des efforts sont à faire pour aller bien ensemble jusqu’à ce qu’ils ne fassent plus qu’un. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 895)

Ce n’est que par l’amour que quelque chose de plus grand peut surgir. L’abondance ne croît que par un amour qui vit pour les autres. L’amour des couples qui se battent ne sera bon qu’à produire des enfants qui mettront le pays en péril ; mais l’amour qui vit au service des autres produira de sages princes et princesses, reflets fidèles de Dieu, qui ont toutes les essences du ciel et de la terre. (204-106, 1.7.1990)

Pourquoi un mari et une femme se battent-ils ? C’est parce que chacun d’eux cherche à recevoir l’amour. Des groupements où les membres veulent recevoir l’amour ne durent pas longtemps. Une famille où tout le monde essaie de recevoir l’amour éclatera. Mais une famille où tout le monde essaie d’aimer les autres ne se brisera pas, si dur qu’on essaie de la briser, même en offrant des sacrifices. L’amour où chacun veut donner à l’autre est éternel. (36-76, 15.11.1970)

L’amour est quelque chose d’écervelé et idiot. Vous ne tenez pas compte des opinions d’autrui. Si vous aimez vraiment quelqu’un, le regard d’autrui ne vous importune pas. Si vous êtes conscients que les autres vous regardent, c’est que votre amour a posé ses limites. L’amour n’est-il pas bien niais et bête quand vous n’êtes pas conscients d’être sous le regard des autres ? (33-113, 9.8.1970)

Il ne faut pas laisser les soucis financiers créer une fissure dans la relation entre mari et femme. Le savoir et l’ignorance ne peuvent pas édulcorer l’amour des époux. Ce que le Ciel recherche, c’est un couple, un homme et une femme purs qui peuvent représenter le ciel et la terre, le cœur embrasé par la passion amoureuse ; le Ciel recherche un mari et une femme liés ensemble de cette façon. (Tongil Segye, 28.2.1986)

Pourquoi, selon vous, la question du divorce surgit-elle entre ceux qui s’aiment ? Considérant le fait que les gens divorcés ou en instance de divorce étaient tous liés à la vie à la mort dans l’amour, cela implique qu’il y a eu une erreur quelque part. On divorce pour un tas de raisons, mais cela signifie que quelque chose a changé, et la relation en a été affectée. Ça leur est arrivé parce qu’ils n’ont pas su garder et cultiver leur amour. L’amour lui-même ne change pas, c’est le cœur des gens qui a changé. (Tongil Segye, 1986, 2-28)

Dans ce monde, les revenus qu’apporte le mari font la force des rapports des époux. La femme va puiser sa force en voyant l’argent qu’il a amené ; le mari trouve la sienne en voyant sa femme qui a trouvé de la force.

Alors quand la pompe à finances se tarit, c’est le début des soucis, et leur lien conjugal peut même rompre. De vrais époux doivent former une unité d’amour dont Dieu est le centre. (Tongil Segye, 1982, 7-26)

Certains hommes, voyant une jolie femme, la verraient bien comme épouse, alors qu’ils sont déjà mariés. Un homme qui a une telle duplicité dans son esprit, je dis qu’il a une âme de voleur. La duplicité d’âme remonte à Satan et on ne commet pas d’erreur en disant que l’homme à l’âme double est Satan. Un homme comme cela, s’il existe, n’est pas différent de Satan. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 348)

Un couple peut être vu comme un tandem. Chaque visage est singulier, de même, nous avons tous des destins différents. Nos destinées ne prennent pas les mêmes chemins. Même si le mari peut avoir le mauvais sort, si sa femme a une bonne destinée, cela peut changer la destinée du mari pour le mieux. Inversement, si la femme est mal lotie mais que son mari a une bonne destinée, cela peut changer sa destinée pour le mieux.

Nous pouvons donc dire que la destinée des époux, c’est un peu comme de créer un terrain plat en rasant les montagnes. Une fois le terrain plat créé, ils peuvent planter des arbres, labourer le champ, et mettre en chantier tous les plans d’amour avec l’idéal des époux. D’après un principe comme celui-ci, vous ne devez pas vous arrêter aux apparences extérieures pour trouver votre partenaire. Le mariage est redoutable. (La volonté de Dieu et le monde, p. 544)

Vous pensiez pouvoir être heureuse après avoir rencontré votre mari, mais parfois, ça se passe mal. Il ne faut pas espérer que de bonnes choses. Être exposé à la lumière du jour vingt-quatre heures sur vingt-quatre sans relâche, serait-ce une bonne chose ? Il doit aussi y avoir des nuits. N’y a-t-il pas un principe qui dit que les choses élevées doivent s’abaisser ? (30-143, 21.3.1970)

Dans une famille heureuse, quand le mari revient chez lui, il discute avec sa femme de tout ce qui s’est passé dehors et là, ils découvrent des facteurs pour un renouveau. Dans une famille heureuse, ils joindront leurs forces et étudieront ensemble. Quand les parents font cela, les enfants apporteront leur force et les suivront, exprimant leur détermination à bâtir un tel foyer. (Tongil Segye, 1986, 2-28)

Un mari et une femme aimants ne doivent pas déterminer de façon unilatérale à quoi doit ressembler le visage de leur conjoint. Si le visage de votre partenaire était d’un seul tenant, rien ne serait plus ennuyeux. Regardez donc le visage de votre partenaire avec joie, et il aura l’air joyeux ; si vous le regardez avec un cœur aimant, il aura l’air beau. Vous devez toujours sentir la nouveauté du visage de votre partenaire, tout comme lorsque l’eau s’écoule en faisant des méandres, une nouvelle forme apparaît à chaque nouveau méandre. (3.3.1976)

La beauté humaine ne se résume pas au visage. Elle peut être vue et ressentie de toutes les directions. La beauté a trois dimensions, comme une sphère. Vue de dessus, de profil ou de tout autre direction, une personne a sa beauté parfaite à elle. Ne critiquez donc pas le visage de votre femme de façon arbitraire. Beaucoup de belles femmes sont pauvres, mais les femmes qui ont la vertu ou une bonne fortune sont différentes. Nous voyons souvent que même dans le cas d’une femme au joli visage, son visage devient étrange après avoir deux ou trois enfants. Nous pouvons donc dire que celles qui peuvent maintenir leur beauté même après les naissances sont de belles femmes. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 543)

Le mari et la femme doivent s’aimer en voyant en l’autre un représentant de Dieu. Quand on s’aime sur un plan purement humain, les défauts se révèlent, et cela peut finir par un divorce. (1.5.1983)

L’amour prend sa valeur quand les amants brûlent l’un de l’autre. En demandant l’amour, si vous avez une bouche, ouvrez-la, et si vous avez des yeux, ouvrez-les, de façon à pouvoir plaire à celui qui donne l’amour ; sachez qu’en restant terne, l’amour rebroussera chemin et prendra la fuite. Aimer sans sérieux et avec une attitude passive, ça fait drôlement mal, non ? (La Bénédiction et la famille idéale, p. 887)

S’il faut se brosser les dents avant de donner un baiser à son conjoint, ce n’est pas de l’amour naturel ; l’odeur du dentifrice les empêchera de pouvoir savourer le goût unique du corps humain. De voir tous ces gens qui se brossent les dents avant de passer au baiser, je deviens confus : ils veulent goûter de l’amour ou bien du dentifrice ? Regardons le monde actuel, c’est fou tout l’amour calculé, artificiel, hypocrite qu’il contient, à telle enseigne qu’on ne sait plus trop ce qu’est le bonheur humain ; cet amour-là, c’est l’ennemi public N°1 qui mène le monde à sa perte. (Tongil Segye, février 1986, p. 34)

La pâte de haricot en potage n’est jamais meilleure que servie dans le ttukbaegi (bol coréen traditionnel). Le goût désagréable et néanmoins savoureux de la soupe de haricot est quelque chose que vous ne pouvez jamais oublier une fois que vous y avez pris goût. Pareillement, les gens qui se sont mis au goût désagréable et savoureux de l’amour, ne changeront jamais. On se lasse vite de la nourriture en sachet, qui est uniquement sucrée, et si vous pouviez vous procurer de l’amour facile partout comme la restauration rapide, franchement, on ne pourrait pas parler d’amour vrai. (Tongil Segye, 1986, 2-34)

Qui les a vu danser nus dans le jardin d’Éden, d’après vous ? Vous pouvez faire de telles choses quand il n’y a personne dans les parages. Quand un mari et une femme dansent nus dans leur chambre, est-ce quelque chose d’inquiétant ? Entre mari et femme, s’ils veulent danser nus ou faire d’autres choses étranges, est-ce que cela regarde quelqu’un ? Qu’est-ce que cela peut faire lorsqu’un mari et une femme le font entre eux ? (21-242, 24.11.1968)

Même les pigeons font « cou, cou, cou » et se réjouissent ensemble ; alors s’il y a un son pour la rencontre entre mari et femme, un son de personnes qui s’aiment vraiment et se retrouvent, quel genre de bruit cela va pouvoir faire ? Pas moins que le bruit du tonnerre. (Tongil Segye, 1979, 6-15)

Les mots secrets qu’un mari et une femme se murmurent l’un à l’autre au lit deviennent un tonique pour dissoudre toute la fatigue et la haine du monde. Parmi ces mots murmurés, vous ne pouvez pas dire : « Tu dois m’aimer, c’est comme ça. » Tout comme l’amour est naturel, les mots secrets d’amour doivent être quelque chose de beau et de tendre. (Tongil Segye, 1986, 2-26)

Quand un mari et une femme font l’amour, même si le père ou la mère du mari dorment à côté d’eux, ils peuvent crier comme ça leur chante en atteignant l’orgasme. Tout le monde au village devrait être au courant de leur amour, et ils diront donc : « Ce couple, c’est fou ce qu’ils s’aiment, et quand ils font ce drôle de bruit la nuit, c’est la stupeur chez les rats du village et le coq cesse de chanter sur le champ. » Si quelqu’un demande pourquoi cet accident des rats tétanisés et des coqs réduits au silence, ils peuvent toujours dire : « Qu’est-ce que vous croyez ? C’est à cause de ce raffut d’amour à vous secouer ciel et terre. » (136-34, 20.12.1985)

La scène de l’amour conjugal est la fleur de l’univers entier. Dans la chambre nuptiale où un mari et une femme, qui sont apparus dans l’histoire comme l’incarnation des âges, ne font qu’un, Dieu vient S’établir. Quel endroit solennel et redoutable que la chambre nuptiale qui est créée par l’amour ! Quand vous pensez que vous avez ouvert une route vers Dieu en jouant à fond le rôle de pôle négatif (–) de l’amour, le soleil de l’amour du ciel et de la terre se met à poindre à partir de là. Vous devez aller vers la chambre de votre femme après être devenu un nid de vie et un nid d’idéal. (179-91, 1988.7.22)

On ne porte plus de beoseon (chaussettes coréennes traditionnelles) de nos jours, mais jadis, on en portait pendant des mois, jusqu’à ce que les doigts de pied en sortent. Alors bien sûr, elles dégageaient une odeur fétide et toutes sortes d’odeurs aigrelettes, mais pour le nez des femmes affectueuses, ces odeurs étaient préférables au parfum. Avec l’amour, vous irez jusqu’à lécher des doigts de pied puants. Ils seront d’un goût piquant, sucré, acidulé, singulier. Quand on mesure avec une antenne d’amour, un coefficient d’affection s’élèvera largement au-dessus du coefficient de haine. (194-49, 15.10.1989)

Est-ce facile de recréer vos fils et filles ? Il faut en faire des choses pour engendrer un nouveau fils ou une nouvelle fille. Vous devez faire toutes sortes de choses extrêmes. Alors, le crachat de votre mari affectueux est-il sale ou pas ? Si votre mari vous crache sur la paume, et que vous portez une robe de soie, et vous n’avez rien d’autre pour vous essuyer, êtes-vous prêtes à le lécher et le manger ou pas ? Soyez honnêtes. Pour que ce soit de l’amour vrai, vous devez dire : « Je veux le manger. » L’amour ne connaît rien de sale. Quand l’amour conjugal prend feu, les deux vies s’unissent puis les lignages s’unissent et se mettent à bouillir par l’amour. Et c’est là que ma vie est plantée comme le propriétaire. Quand la vie d’un homme et la vie d’une femme se rencontrent par les corps de cette façon et entament un mouvement d’amour où les forces centrifuges et centripètes s’unissent, tout tournera. Ça monte ça descend… Quand le bourgeon pousse dans une position montante, cela donne un fils, et s’il pousse dans une position descendante, cela donne une fille ! C’est la théorie : est-elle vraie ou pas, je l’ignore. Puisque ceci s’accorde à la théorie, si vous étudiez et trouvez si c’est réellement comme cela ou pas, vous serez candidat pour un doctorat et pour le prix Nobel. (300-53, 21.2.1999)

Le temps de la naissance d’un enfant est un temps pour conquérir le monde supérieur de Dieu. Le fait de monter à la position de Dieu vous amène à aimer vos enfants dans la position de Dieu et vous permet de ressentir à quel point Dieu a aimé l’être humain après la création, de ressentir vous-même cette relation cachée. (224-28, 21.11.1991)

Une vie basée sur l’amour pourra tout résoudre. Même les yeux de tigre du vieillard rapace, lorsqu’il aime, prendront la forme pittoresque de la lune, et sa bouche figée se fendra d’un sourire. C’est l’amour qui peut complètement faire fondre ce qui était gelé, et c’est aussi l’amour qui peut geler ce qui était fondu. Ce qui peut contenir les extrêmes et même davantage est l’amour. Si vous regardez bien le caractère chinois ho () (signifiant « aimer »), il combine l’homme et la femme. On dit qu’une dispute entre mari et femme est comme de couper de l’eau au couteau. Quand vous coupez de l’eau avec un couteau, cela laisse-t-il une trace ? Non. Même après une dispute, lorsqu’ils se mettent à rire avec leurs fronts qui se touchent, la paix revient. C’est pour se relier à jusqu’à Dieu qu’un mari et une femme s’aiment entre eux. (127-245, 15.5.1983)

Dans l’amour authentique, on aime en s’unifiant avec le corps tout entier, avec le cœur et le lignage. Cet amour-là, ce sont le mari et la femme qui peuvent le vivre. Un monde où il n’y aurait pas de couple, pourrait-on y trouver la joie de vivre ? (26-151, 25.10.1969)

Même dans le monde déchu, un homme et une femme qui tombent amoureux parleront d’un « coup de foudre. » Cette étincelle qui tombe d’un seul coup provient de l’archange – elle n’active qu’une seule cellule. Le courant d’amour qui jaillit du monde originel est la foudre d’amour de l’univers. Sa force est des milliers de fois plus puissante que celle du premier ; en outre, les cellules de chaque organe humain entament un mouvement qui fait un bruit du tonnerre. Dans la vision du Principe, l’homme et la femme qui s’unissent dans l’amour vrai dans le monde originel ne peuvent pas rencontrer Dieu à moins de se concentrer de toute leur force sur le point d’impact de la foudre de l’amour. C’est aussi l’accomplissement du but de la création. (Tongil Segye 1986, 9-26)

Pensez-vous que Dieu va se pencher sur vous et vous regarder faire l’amour, ou pas ? Est-ce que Dieu, qui transcende l’espace et le temps, fermerait Ses yeux durant la nuit quand des milliards de personnes dans le monde font l’amour, ou pas ? Que va-t-Il ressentir en vous regardant ? Combien de bons époux et de bonnes épouses y a-t-il ? Songez-y. On peut en voir des choses. Vous faites l’épouse parce que vous n’avez pas le choix, vous vous laissez faire parce que c’est comme ça et vous essayez de plaire à votre partenaire parce qu’il le faut bien, mais ce n’est pas ainsi qu’on doit vivre. Quel genre d’amour est-ce là ? Est-ce une façon de vivre ? Si le monde entier pouvait devenir comme le jardin d’Éden, selon l’idéal de la création désiré par Dieu, rempli de parfums de fleurs et de papillons et d’abeilles volant de ci de là, en harmonie au ciel et sur la terre ; si le monde pouvait devenir ce genre d’endroit où Dieu pourrait en devenir ivre et tomber de sommeil, ce serait formidable ! Y avez-vous déjà pensé ? Vous devriez tous essayer de vivre comme cela. (222-252, 3.11.1991)

Comment se fait-il que les femmes n’aient pas de barbe ? Voyant Adam et sa longue barbe, Dieu n’en fut pas satisfait, et fit donc une Ève imberbe. Alors, quel est le chef-d’œuvre de toute la création de Dieu ? Ce sont les femmes. Les femmes sont la meilleure œuvre d’art, mais pour qui ? Elles sont une grande œuvre d’art pour les hommes. Voyez-le ainsi. (38-181, 3.1.1971)


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