samedi 6 février 2021

L’amour conjugal, fleur de l’univers entier

Livre III

L’amour vrai

Chapitre II

L’amour en pratique

4. L’amour conjugal

4.1. L’amour conjugal, fleur de l’univers entier

L’homme est un être qui porte l’image yang de Dieu et la femme est un être qui porte l’image yin de Dieu. Les époux sont tel un balluchon où tout l’univers est emmitouflé. Voilà pourquoi les époux peuvent ressentir le cœur de l’amour idéal de Dieu. (13-67, 17.10.1963)

Dieu est une personne aux caractéristiques duales verticales et l’être humain un être substantiel aux caractéristiques duales horizontales. L’idéal du mari et de la femme est que l’homme et Dieu ne fassent qu’un et forment une sphère parfaitement ronde comme une pomme, servant de corps parent pour tirer et attacher l’idéal d’amour aux quatre directions, qui ont la forme de quatre caractéristiques. (5.5.1982)

Quand le mari et femme sont unis dans un amour explosif, alors que leur cœur est tout amour pour Dieu et pour l’humanité, Dieu sera enivré ; l’univers sera fou de cette famille. Cet amour ne peut pas être autre chose qu’un amour pour Dieu et pour l’humanité. Où la racine de cet amour se trouve-t-elle ? Elle ne se trouve pas en nous-mêmes. Dieu est la source de l’amour et la source de l’amour de l’humanité. (35-240, 19.10.1970)

Quel genre de couple forment des époux idéaux ? Ce couple-là va donner substance au meilleur art et à la meilleure littérature. Avant de pouvoir entrer en contact avec l’idéal dans ce qu’il a de plus haut et le monde de la culture à son zénith, l’amour dans toute sa douceur chez des époux magnifiquement épris doit devenir la meilleure œuvre d’art au monde. La vie des époux est elle-même de la littérature au plus haut niveau et doit devenir la substantialisation de cette littérature. (22-270, 4.5.1969)

On a toujours besoin de stimulation. Le bonheur ne vient pas sans stimulation. Il faut avoir de la stimulation. Tout comme la faim donne aux mets de chaque jour une fraîcheur nouvelle à chaque nouveau repas, l’amour entre mari et femme doit toujours être nouveau. Plus le mari et la femme se voient l’un l’autre, plus ils doivent brûler de se voir encore ; et ils doivent vouloir être ensemble toute la journée. Pour cela, nous devons faire une étude sur nous et faire une étude sur Dieu. (23-57, 11.5.1969)

Une famille où l’amour de Dieu peut éclore sous forme des trois grandes formes d’amour humain est le désir du monde, le désir de l’humanité et le désir du futur. Il y a quelque chose de beau et de précieux : la nouvelle fleur de l’amour entre mari et femme : il en émane un parfum que l’histoire pourra présenter pour la première fois devant la loi du ciel et de la terre. (35-240, 19.10.1970)

L’amour est éternel. Cet amour n’existe qu’à un exemplaire, pas deux. Quand un homme et une femme s’unissent dans l’amour, ils doivent vivre ensemble cent ans sur terre et même après la mort, ils sont faits pour vivre ensemble éternellement. Ils ont deux corps, mais deviennent un seul corps en s’unissant et en tournant. Quand les deux corps n’en font qu’un, ils se mettent à tourner avec Dieu, établissant le fondement des quatre positions de l’amour, qui n’est autre que le monde idéal. Il ne peut être envahi par l’amour faux, seul l’amour vrai peut s’y loger. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 344)

Le mari et la femme qui se sont unis par les liens du cœur doivent former une famille dont l’affection ne manquera pas de déborder le plan du quotidien et de dépasser la vie pour ne faire plus qu’un avec le but de Dieu. Sinon, on ne peut retourner au Royaume de Dieu, où Dieu réside. (35-180, 13.10.1970)

La perfection de l’amour entre un homme et une femme, c’est la perfection de l’univers. Le moment où cet amour se brise, l’ordre de l’univers est détruit et le monde vertical entier se fracasse. (Tongil Segye, 21.7.1982)

Le mari et la femme parviennent à la capacité de créer dans la même position que Dieu en s’unissant par l’amour conjugal. Le résultat, c’est l’enfant. (3.2.1973)

Ce que le Ciel recherche, c’est un couple, un homme et une femme purs qui peuvent représenter le ciel et la terre, le cœur embrasé par la passion amoureuse ; le Ciel recherche un mari et une femme liés ensemble de cette façon. Tâchez d’avoir un tel amour conjugal et d’élever vos fils et vos filles dans un tel amour. (Newsletter 172-3)

Les baisers, les étreintes d’un homme et d’une femme : voilà une scène où les pôles s’entrechoquent, pour créer la lumière qui permet de trouver l’amour. Quand une lumière blanche y resplendit, des couleurs doivent être ajoutées à la lumière pour lui donner un éclat coloré. Sachez que quand ces lumières sont mélangées par l’amour vertical de Dieu, un monde splendide et idéal se dévoilera, aux couleurs éclatantes d’arc-en-ciel. (134-170, 7.4.1985)

Partout aujourd’hui, les affaires amoureuses sont vécues sur le mode de l’alimentation en sachet, et cela pose problème. L’amour ne gagne pas en profondeur parce que vous prenez un bain dans une baignoire remplie d’aromates. L’amour d’un couple de paysans qui se lavent à l’eau froide et vont au lit est plus pur et se fait plus profond à la longue. (Tongil Segye, 1986. 2-34)

L’époux et l’épouse ne doivent pas s’unir autour de l’argent, du pouvoir, ou des honneurs, mais par l’amour originel de Dieu. Ils doivent créer une famille aimant Dieu, la femme vivant pour son mari, et le mari qui aime sa femme. (1.5.1983)

L’homme est un alter ego du vrai père, et la femme est un alter ego de la vraie mère. Aussi, le mari qui dédaigne sa femme, dédaigne aussi la vraie mère, et en trompant son mari, la femme trompe aussi le vrai père. Le pouvoir qui fait que l’homme peut dominer la femme et la femme peut dominer l’homme est l’amour. Nul autre pouvoir que l’amour ne peut leur donner le pouvoir de se dominer l’un l’autre ; seul l’amour peut diriger. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 334)

En termes de force physique, la femme n’est pas l’égale de l’homme, mais quand l’amour s’en mêle, la femme et le mari poussent et tirent l’un et l’autre et ne font qu’un. Quand une personne devient un partenaire objet d’amour devant Dieu, Dieu va-t-Il aimer cela ? Oh ! Que oui. (Tongil Segye, 1986. 4-22)

La mélodie que Dieu aime le plus, ce sont les rires d’un couple qui est heureux parce qu’ils s’aiment mutuellement. Quand un tel couple vit une vie avec un cœur qui peut embrasser le monde et recevoir l’univers entier, ses rires n’auront aucune peine à fuser. Aux yeux de Dieu, à quoi d’autre qu’une fleur cette vue ferait-elle penser ? Ce n’est pas juste un idéal ou de l’abstraction. Je parle du monde originel. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 887)

Une conversation entre un mari et une femme qui s’aiment est plus belle que n’importe quel poème ou peinture dans le monde. Et en plus, comme c’est beau et splendide d’entendre ceux qui s’aiment dire – « juste nous deux ! » (Tongil Segye, 1986, 2-28)

Quand un homme et une femme reçoivent la Bénédiction et goûtent la joie de donner et de recevoir un amour complet, aux yeux de Dieu c’est comme une fleur qui a éclos sur la terre. En outre, toutes les choses harmonieuses qui voient le jour quand ils s’aiment sont comme des parfums pour Dieu. Dieu vient parce qu’Il veut vivre dans un tel beau parfum. Le fondement sur lequel l’amour de Dieu peut venir est la scène de l’amour conjugal. C’est à cet endroit-là que toutes les choses et l’univers se retrouvent en harmonie. (La Bénédiction et la famille idéale, p. 887)


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