dimanche 28 février 2021

La tradition est transmise par les parents

Livre VII

Traditions et cérémonies

Chapitre IV

Traditions et code de conduite quotidien d’une famille bénie

4.2. La tradition est transmise par les parents

Ce qui me préoccupe, ce n’est pas de laisser derrière moi le nom de l’Église de l’Unification, mais c’est comment laisser derrière moi des gens qui ont hérité ma tradition. Aussi n’ai-je pas cessé d’éduquer au sujet de l’importance de la tradition. (35-115, 4.10.1970)

Vivre bien dans le futur, qu’est-ce que cela veut dire ? Avoir des richesses matérielles importe peu. Nous devons être responsables pour éduquer nos descendants. Il faut leur laisser un bon exemple. Jusqu’ici, nous avons tous parcouru un chemin de croix, moi le premier. Tels des réfugiés, nous n’avions nulle part où demeurer. Nous étions en pleine traversée du désert. Mais désormais, nous devons nous établir, et pour cela, il faut gagner la victoire. À moins de l’emporter comme le firent les Israélites en mettant dehors les sept tribus de Canaan, nous ne pouvons poser nos bagages. Nous avons à gagner la victoire dans ce combat en portant notre attention sur cette nation. (77-251, 13.4.1975)

Quand vous éduquez vos enfants, vous devez le faire en leur disant de devenir comme leurs parents.

Il n’y a pas de honte à n’avoir pas assez mangé et avoir porté des vêtements affreux tout en témoignant de votre foi. Cela deviendra un matériau pour l’éducation de vos descendants ; cela ne peut s’échanger même contre des millions. (Tongil Segye, décembre 1976)

C’est une merveille de souffrir ; établissez donc la tradition qui fera la fierté de tous vos descendants sur beaucoup de générations. (14-92, 12.6.1964)

Le grand problème, c’est comment les trois générations d’enfants de nos familles bénies peuvent vivre avec moi. Si trois générations ensemble accumulent des mérites, ils seront les sujets méritants du monde spirituel. Y avez-vous jamais songé ? Vous devez donc embrasser vos enfants et, dorénavant, vous dévouer sincèrement à les éduquer avec cette pensée. (51-269, 28.11.1971)

Il est essentiel que vous laissiez derrière vous une tradition, qui soit suivie par des descendants bons et respectables. Vous devez laisser derrière vous une descendance forte, audacieuse, digne. Faites-le, et votre nation ne périra pas, même si son destin décrète qu’elle doit périr. De nouveaux bienfaiteurs surgiront en temps de crise et un nouveau drapeau victorieux se déploiera, si cette tradition est maintenue. Elle doit demeurer et faire la joie non seulement des Coréens, mais de toute l’humanité. Si nous ne pouvons le faire, il n’y aura pas d’offrande à présenter au Ciel. (99-329, 1.10.1978)

Même s’ils meurent, les parents ont à transmettre la tradition céleste. Pour quoi une famille existe-t-elle ? Même si elle existe pour les enfants, elle est là avant tout pour servir Dieu et la nation. Au final, c’est le chemin qui profitera à vos enfants. Alors seulement, ils pourront gagner la fortune de Dieu, la fortune du monde et celle de la nation. Par conséquent, même si vos précieux enfants nés après la Bénédiction traversent la souffrance, vous ne devez pas vous centrer sur eux, mais plutôt sur la fortune de Dieu, du monde et de la nation. (21-87, 3.11.1968)

Vous avez à être une famille qui vit pour le monde et l’éternité, pas juste pour le bénéfice de votre propre génération. Votre famille doit élargir la base de l’amour, réunir les cœurs de toute l’humanité, allumer une chandelle et brûler de l’encens pour invoquer l’aide de Dieu, puis devenir une famille capable de vivre en partenariat avec le ciel, la terre et l’humanité. Si vous devenez une telle famille, Dieu vous protègera des ennuis et des tracas. Dieu gardera votre famille comme la graine principale. (100-306, 22.10.1978)

5. Bienséances à observer dans les couples

5.1. Les époux : compagnons à vie

Une fois mariés, vous ne pouvez pas faire tout ce qui vous plaît. Vous avez à suivre la destinée de vous marier et d’avoir une famille au risque de votre vie. (120-225, 17.10.1982)

Dès le tout premier moment d’amour, vous êtes déjà un et non plus deux. Une fois en couple, vous ne pouvez pas vous comporter individuellement, mais vous devez prendre collectivement responsabilité pour tout. (La volonté de Dieu et le monde, p. 184)

La destruction individuelle est acceptable, mais la famille ne doit pas être détruite. La femme est la personne la plus nécessaire au monde pour son mari et le mari est la personne la plus nécessaire au monde pour sa femme. Soyez l’un pour l’autre un compagnon et un bâton, vous prodiguant des conseils mutuels. (27-87, 26.11.1969)

Une femme ne doit pas croire que sa responsabilité se borne à préparer un repas quand son mari rentre du travail. Le plus important est de s’asseoir à la table du dîner pour partager un peu d’intimité, en se faisant des confidences amoureuses. Si elle réconforte son mari avec amour pour son dur travail de la journée – murmurant affectueusement comme lors de leur première rencontre, la fatigue de celui-ci ne sera plus qu’un souvenir, leur amour deviendra plus profond. (Tongil Segye, février 1982)

Originellement, une voix de femme doit être plus douce que la voix moyenne d’un homme. Sa voix doit être comme les murmures de l’amour. (Sabo, 39-5)

Je vais sur mes soixante-dix ans. Quand je vais sur l’océan, notre Mère prépare la totalité de mon équipement avec tout son cœur. Elle prépare même les victuailles nécessaires pour le cas où je passerais la nuit dehors, et prie pour l’accomplissement de mon but en allant sur les flots. Quelle épouse belle et merveilleuse ! (Tongil Segye, novembre 1986)

Quand un mari va se coucher après le travail, ronflant bruyamment sans prendre son dîner et sans rien dire, par-delà le bruit du ronflement, sa femme doit pouvoir ressentir un torrent de larmes jaillissant de son cœur rempli de compassion. Mon souhait est de voir des familles de ce genre. Si je ne peux trouver une telle famille, ma souffrance aura été en vain. Les six mille ans de sacrifice de Dieu en viendront à être vains. Soyez-en conscients. (35-192, 13.10.1970)

Quand le mari sort pour s’occuper du secteur qui lui a été assigné, la femme ne doit pas avoir envie de dire : « Bon, à plus tard, je suis épuisée. Il faut que j’aille dormir maintenant. » Jusqu’à ce que son mari soit revenu de sa tournée, il est important que son cœur fasse le même effort que le sien. Les enfants aussi doivent attendre avec un cœur consciencieux le retour de leurs parents. (30-82, 17.3.1970)

Il faut que la femme fasse réussir son mari. Elle doit être son plus grand soutien. (21-79, 20.10.1968)

Dans un couple, même si un mari dit à sa femme de ne pas se mêler de ses affaires, doit-elle vraiment ne pas du tout intervenir ? Une femme est en position d’égalité avec son mari. Si son mari est absent, il faut que la femme sache le remplacer. (31-210, 31.5.1970)

Vous pensiez que tout serait fantastique une fois mariés. Mais il y a aussi de mauvais moments. Il ne faut pas vous attendre uniquement à de bonnes choses. Est-ce qu’on peut rester en plein soleil vingt-quatre heures sur vingt-quatre ? La nuit, ça compte aussi. Le haut est suivi du bas, n’est-ce pas la règle ? (30-143, 21.3.1970)

Une femme ne doit pas être abattue parce que son logis est pauvre ou qu’elle n’a pas de beaux vêtements à se mettre. Ce n’est pas que votre mari ignore votre cœur. Un amour profond et des trésors sans prix, de plus grande valeur que des diamants, se cachent en son cœur, et il se désole pour vous. (1.1.1984)

J’aimerais conseiller aux épouses d’arracher leur mari au sommeil en les grondant : « Pourquoi est-ce que tu dors toujours ? » (12-89, 11.11.1962)

Une petite dose de réconfort et le courroux d’une femme est déjà envolé. (Bénédiction et famille idéale, p. 671)

Les couples ne doivent pas se livrer à de mesquines querelles où ils s’accusent mutuellement de ne pas s’aimer ou de ne pas se reconnaître l’un l’autre. Quitte à vous quereller, faites-le pour la volonté de Dieu. Lorsque votre femme a son anniversaire, invitez donc ces dames du voisinage et avec un cœur aimant pour votre épouse, chantez et dansez pour elle devant ces dames. (127-97, 5.5.1983)

On doit pouvoir dire, à la façon dont marche notre femme ou une personne qui vit dans la maison, si elle est de bonne ou de mauvaise humeur. Alors, quand notre femme entre en marchant, on peut lui demander : « Pourquoi es-tu aussi contrariée ? »

Elle restera alors interdite et sans voix, car son mari sait déjà tout sans même l’avoir vue. Ce doit être comme cela dans votre vie. Quand vous priez pour quelqu’un avec sollicitude, vous savez. (42-174, 4.3.1971)

Même si un mari aimant en venait à pousser des jurons chez lui, cela pourrait stimuler l’amour. Mais un seul mot d’un mari sans cœur peut causer de gros dégâts, là où ce mot vous frappe. Quand il y a de l’amour, même le fouet peut être tolérable, mais sans amour tout devient détestable. (83-177, 8.2.1976)


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