samedi 6 février 2021

L’air du monde spirituel est l’amour

Livre III

L’amour vrai

Chapitre V

L’amour et le monde spirituel

1. L’air du monde spirituel est l’amour ; l’amour est l’élément de vie

Nous naissons dans l’amour qui représente Dieu, nous vivons dans l’amour et atteignons la destination de l’amour en ayant des enfants, puis nous revenons à Dieu pour vivre éternellement avec Lui. Autrement dit, notre vie commence avec l’amour, mûrit avec l’amour, puis est moissonnée comme un fruit de l’amour. La mort de quelqu’un signifie qu’un fruit de l’amour a été cueilli. (298-311, 17.1.1999)

Après la fin de notre vie physique, la mort est synonyme de deuxième naissance. Le théâtre de notre deuxième naissance est le monde spirituel. Nous le rejoignons après la mort. À notre entrée, Dieu, notre troisième parent, nous comble d’amour vrai, qui représente l’univers entier. Le monde spirituel est un monde où nous respirons l’amour et où nous vivons dans l’amour. Dès lors, si vous n’avez pas acquis un caractère d’amour vrai, vos allées et venues seront restreintes, et vous ne pourrez pas passer par les quatre directions. Même si vous pouvez passer par une porte, ce ne sera qu’une seule porte. Si vous voulez avoir la qualification de vivre au rythme des quatre saisons et faire fi de l’espace et du temps, il faut parfaire votre caractère d’amour durant la vie terrestre. (298-311, 17.1.1999)

Mourir, c’est être né dans l’amour de Dieu. Mais dans le monde humain, on en fait tout un drame en disant : « Ah ! La mort ! » Voyant cela, Dieu va partir d’un rire joyeux. De voir les gens pleurer ainsi et se lamenter, Dieu serait-Il triste ou joyeux ? Quittant le monde de l’amour limité, nous faisons irruption dans la sphère de l’amour infini. La mort, le moment de notre deuxième naissance, n’est-elle pas l’occasion d’accueillir cette allégresse ? Ce chemin est donc le chemin de l’ascension (Seung Hwa). (116-172, 1.1.1982)

Il faut dépasser la mort. Le processus de changement qui permet la deuxième vie est la mort. Celle-ci n’a donc rien de triste. C’est un saut vers un nouveau monde et une ascension (Seung Hwa) (139-214, 28.1.1986)

Dans le monde, la mort est synonyme de vie anéantie, mais la mort signifie en fait une nouvelle naissance dans l’autre monde. La mort n’a donc pas lieu de vous déprimer ou de vous rendre tristes et frustrés. Il faut plutôt se réjouir que la personne renaisse dans le triomphe spirituel après une vie consacrée à la mission reçue. Laisser la douleur ou le chagrin vous submerger reviendrait à tirer la personne vers la terre alors qu’elle est en pleine ascension vers le ciel. Tout comme un bébé sort du ventre de sa mère, la cérémonie Seung Hwa, dans laquelle vous naissez dans l’autre monde par le sein de la mère universelle, peut se comparer à des noces. Ce n’est vraiment pas le moment de s’attrister. C’est comme un insecte qui sort du cocon en abandonnant sa carapace dure pour se métamorphoser en un nouvel être et une nouvelle essence. (49-285, 17.10.1971)

La raison pour laquelle on doit mourir est qu’avec le corps, on ne peut aimer que dans certaines limites. Ce n’est pas avec notre corps limité que nous pourrons revêtir la réelle autorité de partenaire objet de l’amour vrai du Dieu infini. C’est pourquoi, nous devons devenir un esprit incorporel. De plus, c’est pour partager l’idéal de l’amour vrai avec tout le ciel et la terre. Pour cette raison, le moment de la mort n’est pas un chemin de croix. C’est le moment d’ouvrir la porte du bonheur pour pouvoir posséder l’amour vrai universel. (289-311, 2.2.1998)

Avoir reçu l’amour de nos parents, partagé l’amour conjugal et aimé nos enfants, c’est comme recueillir tout l’amour de Dieu tissé tout au long de notre vie et gagner l’autre monde avec ce bagage. Quand nous nous unissons totalement dans l’amour, nous en venons à ressembler à Dieu. Quand un mari et une femme s’uniront et accompliront les trois étapes de l’amour, puis gagneront le monde spirituel, ils deviendront éternellement des dieux objets devant le Dieu sujet éternel. C’est ce qui se passe quand un mari et une femme meurent dans l’amour vrai. Ils commencent avec Dieu et finissent avec Dieu. (289-311, 2.2.1998)

La vie terrestre et la vie dans le monde spirituel ne sont pas séparées. La vie terrestre est importante, et la vie dans le monde spirituel aussi. Autrement dit, la vie dans le monde spirituel découle de la vie terrestre. Les deux sont importantes, mais les gens qui vivent sur cette terre aujourd’hui ignorent la notion de vie éternelle. Ils pensent que seule la vie sur cette terre est importante. C’est le problème. Même parmi nos membres de l’Église de l’Unification, beaucoup ne savent pas que leur vie présente est la base qui garantit leur vie éternelle. (La vie terrestre et le monde spirituel, vol. 2, p. 100)

Il est dans la nature humaine de demeurer dans le sein de la mère, de naître, de vivre sur terre pendant un certain temps, puis la mort survient. La plupart des gens en viennent donc à redouter la mort en vieillissant. C’est leur absence de foi en le monde après la mort qui leur inspire la crainte et l’angoisse de la mort en vieillissant. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 1062)

Le monde spirituel est un lieu baignant dans des éléments d’amour. L’atmosphère entoure la terre, mais le monde spirituel est enveloppé d’amour. L’être humain inspire de l’air et expire du gaz carbonique sur terre, mais dans le monde spirituel on est censé vivre en respirant de l’amour. L’amour qui s’échange dans le monde spirituel est de l’amour vrai. (145-267, 15.5.1986)

Nous, les humains, avons une période prénatale de neuf mois, une durée de vie dans la chair de cent ans, puis vient l’âge de l’esprit : mille ans, dix mille ans, l’éternité. Sitôt né, le bébé pleure tout en respirant par ses narines et se lie au deuxième monde ou monde de l’air. Pour sortir et être au contact du monde de l’atmosphère, il faut détruire le cordon ombilical et la poche d’eau, où nous vivions avant de naître. Notre naissance sur la terre mère est donc simultanément un moment de mort (destruction) de ces éléments. Une fois nés, nous mangeons par la bouche et respirons par le nez. Mais la nourriture que nous mangeons sur terre est juste une nutrition pour la vie du corps et non un élément essentiel de vie. L’élément de vie n’est autre que l’amour. Aussi devons-nous inspirer dans ce monde cet air qui s’appelle l’amour. Nous devons respirer l’air de l’amour par nos parents. (139-212, 31.1.1986)

Dans le monde spirituel, le palais de l’amour commence avec les Vrais Parents. Même s’il y a un palais dans le monde spirituel, les Vrais Parents doivent déclarer : « Ceci sera le palais. » Là-dessus, le monde spirituel tout entier prendra position autour de lui. Comme cette responsabilité reste à accomplir, le monde spirituel a absolument besoin des Vrais Parents. (205-255, 9.9.1990)

Quand Adam et Ève atteindront la perfection et iront dans le monde spirituel, Adam et Ève seront le corps de Dieu et Dieu sera leur esprit. Ainsi, Dieu est invisible même quand vous allez dans le monde spirituel. Le but de Dieu dans la création d’Adam et Ève fut d’établir un être humain parfait comme le corps et l’esprit du monde substantiel.

J’ai pu vérifier en explorant jusqu’aux recoins du monde spirituel que le principe du ciel et de la terre était quelque chose de simple. Autrement dit, la vérité est simple. Là où les deux s’unissent par la force absolue et forment un vide, Dieu vient s’y loger telle la moelle épinière. Ici les deux moitiés, l’amour de l’homme et l’amour de la femme, s’attachent fermement. L’univers a là son noyau. Réunies, les incarnations idéales de l’amour, forment l’axe de l’amour. (170-171, 15.11.1987)

Le monde terrestre et le monde spirituel bougent en se faisant face. Que le monde terrestre monte, le monde spirituel fait de même, et que le monde terrestre s’abaisse, le monde spirituel emboîte le pas. Quand un côté tourne, l’autre côté tourne aussi. Ainsi dans cette vie, il faut vivre en ressentant cela pour de bon et l’intégrer à notre vie éternelle. La vie éternelle et la vie présente ne sont pas divisées. (217-85, 16.4.1991)

Où devons-nous finalement aller ? Le monde spirituel, ça veut dire quoi ? On parle en général d’un monde d’outre-tombe, mais ce n’est pas le monde post mortem. Pourquoi est-ce que cela ne peut pas être le monde après la mort ? Parce que c’est un monde qui a trait à l’amour. Puisque c’est quelque chose qui a commencé avec l’amour vrai, si je me tiens dans une position de l’amour vrai, il n’y a pas de différence entre le monde spirituel et ici-bas. C’est pourquoi l’amour est grand. (144-198, 24.4.1986)

Dieu a créé l’être humain de telle sorte qu’il puisse vivre des centaines de millions d’années enivré d’amour. Vieillir ne va donc pas vous faire de mal. On commence avec l’amour, on vit dans l’amour, et on est cueilli comme fruit de l’amour. La mort est le moment de cueillir les fruits de l’amour. Nous avons reçu l’amour de nos parents, l’amour de nos enfants, partagé l’amour conjugal, et vécu en aimant nos enfants. Nous portons les fruits de ces amours, de l’amour de Dieu et de tout autre amour intérieur pendant notre vie sur terre, nous les cueillons et nous les emportons dans l’autre monde. (83-198, 8.2.1976)

Dites-moi, avez-vous une idée de la taille du monde spirituel ? Avez-vous jamais songé combien le monde spirituel peut être peuplé ? Selon des mediums spirituels, les esprits nous suivent au rythme de plus de 3 320 esprits par personne. À l’idée d’avoir tout ce nombre de personnes à nos côtés, pensez-vous que nous gagnerons ou perdrons le monde ? (86-193, 28.3.1976)

Quand vous allez dans le monde spirituel, vous rencontrez d’innombrables saints et sages et d’innombrables ancêtres pour discuter. Ils questionnent et réfléchissent : « D’où viens-tu ? Où sur terre ? Quel pays ? » Quand des amis se rencontrent, ils évoquent leur passé, non ? Quand vous irez dans le monde spirituel, vous rencontrerez votre premier grand-père et des dizaines de milliers d’ancêtres. S’ils vous jettent de dures paroles en disant : « Eh toi, le môme, comment as-tu vécu ? » vous vous sentirez bien ? Pensez y. (148-321, 26.10.1986)

Avez-vous un cadeau à amener avec vous en allant dans le Royaume de Dieu ? Quand vous irez dans le monde spirituel, les sujets méritants de Dieu martyrisés occuperont une rangée devant vous : pensez-vous pouvoir ouvrir le sac que vous aurez amené face à eux ? Quelles souffrances a connues l’Église de l’Unification, et quel genre d’épreuves avez-vous subi ? Si vous n’avez pas souffert autant que cela, comment pouvez-vous dire que vous vivez pour la nation et le monde ? Il devrait être naturel que vous disiez : « J’ai souffert, c’est vrai, mais je n’appelle pas cela souffrir. » Nous avons encore du chemin devant nous. Nous devons pouvoir aller dans le monde spirituel, ouvrir notre sac et dire : « C’est le cadeau de toute ma vie. Veuillez l’accepter. » Une femme qui se marie prépare tout un tas de choses ; peut-on se contenter d’aller tout nu dans le Royaume de Dieu ? (32-71, 21.6.1970)

Votre enveloppe charnelle a beau vieillir sur terre, plus vous vivez longtemps comme mari et femme en vous aimant toujours plus, plus votre esprit rajeunit. Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie que plus on vit longtemps, plus l’esprit, qui est la personne intérieure, devient un bel homme ou une belle femme au plus haut degré. À quoi ressemble la vie dans le monde spirituel ? On n’a pas de soucis à se faire pour manger, vivre ou se vêtir. Pourquoi ? Parce que tout ce que vous désirez est possible en fonction de votre état d’esprit. On mange aussi dans l’autre monde. Et dans l’autre monde, quand vous vous touchez, vous pourrez sentir votre pouls dans vos veines. C’est la même chose. Même si c’est un corps spirituel, c’est la même chose. (194-42, 15.10.1989)

Dans le monde spirituel, aucune envie ne va vous tenailler, car rien ne manque. Mais il y a bien quelque chose que vous chérissez avec ardeur : c’est une vraie personne.

Dès lors, le sujet méritant qui a fait des efforts pour s’élever et devenir une vraie personne peut naturellement être un fils ou fille de gloire dans le monde céleste. Il n’y a donc rien d’autre dont vous pourriez vous vanter. (30-147, 21.3.1970)

Pouvez-vous voir l’esprit ? Le monde spirituel est un monde de vie où les choses comme l’esprit prennent substance ; il transcende le temps et l’espace. Vous pouvez y prendre des repas à volonté. Vous n’avez pas de souci à vous faire pour boire et manger, ou encore pour vous vêtir. Ce monde est au-dessus des contingences liées à l’habillement, la nourriture et le logement. Y avez-vous besoin de voitures ? Pensez-vous qu’on y trouve des usines d’automobiles ? Pensez-vous qu’il y a des usines agro-alimentaires ou textiles ? Il n’y en a pas. C’est un endroit où vous pouvez parcourir des centaines de millions de kilomètres en un instant. Avec quelle force ? Avec la force de l’amour. Si vous dites que vous voulez voir une personne que vous aimez, elle sera là devant vous. (210-225, 23.12.1990)

Quand vous allez dans le monde spirituel, il n’est nulle part où vous ne pouvez aller, car rien ne peut entraver vos mouvements dans le monde spirituel. Un être ayant les caractéristiques originelles du Ciel n’est pas censé être bloqué. Vous pouvez aller partout. Parce qu’il transcende le temps et l’espace, ceux qui ont vécu voilà des centaines de millions d’années y sont encore. Ils apparaissent aussi avec l’âge qu’ils veulent. Vous pouvez donc rencontrer ces gens-là, autant que vous voudrez. (194-133, 17.10.1989)

Vous le verrez en y allant : le monde spirituel tout entier est comme une seule personne. Ainsi, Dieu, qui est le sujet, et le monde spirituel, qui ressemble à une grande personne, s’unissent. Le monde spirituel tout entier et le monde physique se fondent alors comme de la gelée. Que Dieu saute, et la terre fait de même ; que Dieu rit, et la terre en fait autant ; c’est ainsi que les choses se passent. Quand vous allez dans le monde spirituel, c’est organisé comme un seul être. (91-280, 27.2.1977)

Le monde spirituel se passe d’explications ou d’excuses. Une seule réplique, et tout est clair. Vous voyez d’un seul coup si quelqu’un vous est inférieur, de même niveau ou bien plus haut que vous. Autrement dit, vous connaissez la hiérarchie de l’amour, laquelle est absolue. Celui qui est dans une haute position le doit naturellement à cette hiérarchie. C’est différent du monde terrestre. Pour ceux qui ont réussi à force de conspirations et de calomnies, leur position sera inversée par rapport à celle qu’ils occupaient sur la terre. Ce sera exactement l’inverse. C’est pourquoi je vous dis d’envisager la voie correcte. (194-134, 17.10.1989)

Que vais-je faire dans ma vie ? Laissons derrière nous un mausolée d’amour. Si vous avez vécu dans un mausolée d’amour, vous n’aurez pas d’amertume. Cette vie-là est assurée d’une réussite éternelle. Si vous mourez après avoir vécu ainsi, Dieu vous bénira. Dans le monde spirituel, Dieu viendra avec ses fils et filles pour vous accueillir. (97-167, 12.3.1978)

Dans le monde spirituel, vous ne pouvez pas manger si vous n’avez pas l’amour de Dieu. Vous ne jouissez pas du droit de manger. L’enfer est un endroit où vous ne pouvez pas manger tout en voyant la nourriture, et vous ne pouvez pas agir alors que vous savez ce qu’il faut faire. Alors, comprenez-le bien : c’est seulement ceux qui ont mené sur terre une vie du Royaume de Dieu où leur esprit et leur corps sont unis dans l’amour de Dieu, qui peuvent posséder le monde idéal éternel ; le Royaume de Dieu est à eux. Ce que vous devez faire dans l’autre monde est d’aimer Dieu plus que le monde, votre nation, votre femme ou votre fils. Ceux qui se sont forgés le plus grand caractère dans la sphère de l’amour sont aptes à exercer un pouvoir comme celui de Dieu dans ce monde. (Vie terrestre et le monde spirituel, vol. 1, p. 183)

L’autre monde est constitué par l’air de l’amour. Tout doit être né de l’amour, vous devez vivre dans l’amour et être pénétré de cet amour qui vit pour les autres ; alors seulement, vous aurez la qualification d’avoir parfaitement incarné l’espoir que Dieu a maintenu dans l’histoire jusqu’ici, et vous serez accueillis où que vous alliez dans le Royaume de Dieu. Votre famille est un lieu d’apprentissage qui vous prépare à aller vers le Royaume de Dieu. (Vie terrestre et le monde spirituel, vol. 1, p. 259)

Ceux qui, formés par leur famille, couvrent les quatre directions et vivent leur vie en aimant les autres, iront tout droit au Royaume de Dieu. (143-72, 15.3.1986)

Ce qu’on appelle le monde spirituel est un monde aux dimensions infinies : vous pouvez donc y parcourir en un instant jusqu’à des millions de kilomètres grâce à l’amour. L’amour a la vitesse la plus grande. (216-192, 31.3.1991)

Dans le monde spirituel, ce qu’on appelle le ciel et la terre est comme un grain de poussière. Vous ne savez pas combien le monde spirituel est vaste. C’est un monde infini qui transcende le temps et l’espace. Aussi, quand vous demandez : « Que telle personne qui naquit, vécut et mourut sur terre à telle et telle époque avec tel et tel cœur, s’avance en personne ! » elle sera là sur le champ. C’est un monde où votre intuition se fait réalité. (224-105, 23.11.1991)

Le monde spirituel est un monde beau : où que se porte votre regard, vous ne vous en lassez pas, même quand vous êtes là à le regarder pendant mille ans. Vous ne pouvez pas même l’imaginer. Même ces choses que l’on porte aux nues sur terre ne sont rien ; elles n’ont rien de comparable avec un petit coin du monde spirituel. Je ne cherche donc pas à posséder la terre. Si vous me demandez d’en parler, j’aime autant y retourner car cette terre ne remplit pas mes attentes. (15-154, 7.10.1965)

Quand Dieu vous voit dans le monde spirituel, si la cloche de l’amour résonne dans votre cœur, la lumière devient de plus en plus grande. Cette lumière a l’air plus belle que l’éclat de diamants dans les yeux de Dieu. En outre, cette lumière est savoureuse, et plus on la regarde, plus on l’aime. C’est pourquoi Dieu emploie le mot « amour ». (103-28, 28.1.1979)

 

L’air du monde spirituel est l’amour. L’amour est l’élément de vie. Dans ce monde, vous ne respirez pas seulement par vos narines mais aussi par le dessus votre crâne et toutes vos cellules respirent. Si donc vous voulez vivre une vie saine dans le monde spirituel, il faut développer un caractère d’amour accompli durant votre vie sur terre. (112-221, 12.4.1981)

Vous le découvrirez en allant dans le monde spirituel : l’expérience profonde dans la vie de famille de l’amour pour les parents, de l’amour conjugal, de l’amour entre frères et sœurs et de l’amour pour vos enfants vous donne une grande liberté d’allées et venues dans toutes les directions sans aucune restriction. À l’inverse, ceux qui n’ont pas connu l’amour sont étroits d’esprit ; dans le monde spirituel, ils sont isolés et n’ont guère de liberté. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 1062)

Dans le monde spirituel, l’amour de Dieu est la loi. (98-35, 8.4.1978)

Le monde spirituel est un endroit éternel qui recherche des éléments éternels. Un esprit dont l’expérience de l’amour a été profonde, est sûr d’aller automatiquement dans ce monde comme attiré par un aimant. Quel genre d’endroit est le monde spirituel ? C’est un monde d’harmonie où tout est rempli et gonflé d’amour. Aujourd’hui, tout un chacun aspire à créer une relation d’amour. C’est pour être en phase avec le monde spirituel. Il n’y a pas d’être qui ne bouge par le pouvoir de l’amour, et il n’y a pas d’être qui ne devienne un partenaire objet à ce pouvoir de l’amour ; il n’y a donc rien qui ne réponde quand la demande se fait au nom de l’amour. À l’appel de l’amour, tout est possible, et l’amour peut faire réapparaître les choses. La liberté dans le monde spirituel est donc sans restriction : tout y est possible avec un cœur d’amour intuitif. (122-16, 15.3.1981)

Il faut maintenir la solidarité dans le monde spirituel ; ceux qui ne peuvent pas contrôler le monde spirituel ne peuvent unifier le monde. La racine de la fortune céleste est le ciel ; comment ceux qui sont incapables de contrôler le ciel peuvent-ils unifier le monde ? Avant d’unifier la terre, nous devons donc unifier le monde spirituel. (191-205, 24.6.1989)

Vous êtes des êtres ressuscités de l’histoire, venus en portant les visages de vos ancêtres en leur nom. Combien de temps a duré l’histoire ? Des centaines de milliers d’années, dit-on. Après tout, le dur labeur de ce long cours d’histoire n’avait d’autre but que de créer cette personne appelée moi. Si je suis un Kim, les innombrables ancêtres Kim sont passés par là pour me donner naissance. Nous sommes donc les fruits de l’histoire. (46-155, 13.8.1971)

Après le décès de votre grand-père ou de votre grand-mère, vous devez aller les visiter sur leur tombe. Vous devez vous recueillir sur la tombe en vous disant que c’est Dieu qui y repose. (220-350, 20.10.1991)

Jusqu’ici, les esprits dans le monde spirituel ont tous été divisés. Dans le monde spirituel, les choses ne fonctionnent pas horizontalement. Mais elles fonctionnent verticalement. (218-125, 14.7.1991)

Dans l’autre monde, puisqu’il y a toutes sortes de gens au même endroit, dont des meurtriers et des victimes de meurtre, ils se battent au couteau et prennent leur revanche. Aussi y a-t-il tant de murs qui bloquent la voie. Il peut donc arriver que de mauvais esprits vont vers les enfants de leurs ennemis, leur causent un accident et les prennent avec eux dans le monde spirituel. Tous ces problèmes doivent être résolus. Pour les résoudre, il faut d’abord trouver une solution dans le monde terrestre. Pour les résoudre, vous devez donner quelque chose de meilleur. Il n’y aura pas de solution sans donner quelque chose qui est meilleur que le chagrin causé par la mort, et quelque chose qui est meilleur que ce qui a créé l’hostilité. (191-205, 24.6.1989)

Où vont les gens ? Ils vont vers le monde spirituel. Celui-ci est tel l’océan : il faut bien y aller de toute façon. Il y a différents courants dans la mer : de même le monde spirituel est traversé de changements à l’infini. Les courants principaux de l’océan abritent beaucoup d’êtres vivants en harmonie, introuvables dans l’eau douce. Tout comme la mer recèle mille et une familles de poissons, il y a beaucoup de nouvelles familles du ciel et de la terre dans l’autre monde. Ce sera la même chose dans l’autre monde. (141-306, 2.3.1986)


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