
Livre III
L’amour
vrai
Chapitre III
L’amour et le mariage
2. L’amour des époux,
dont les deux parties ont besoin
Dans le déroulement
de votre vie la période la plus belle et la plus charmante est votre jeunesse.
Vos airs de jeunesse sont comme les boutons de fleurs les plus précieux. Si
quelqu’un peut aimer cela dans sa plénitude, il peut être invité au salon de
Dieu. Un homme et une femme capables d’un tel amour peuvent recevoir la
Bénédiction de Dieu et être invités au salon de Dieu. (26-153, 4.6.1968)
Qu’est-ce que le
bonheur humain ? Peut-on se dire heureux quand on a beaucoup d’argent et
des diamants accrochés sur son corps ? Vous pouvez trouver le vrai bonheur
quand vous riez, chantez et chuchotez ensemble avec votre partenaire en étant
grisés par l’amour. Pouvoir y arriver, c’est être heureux. Je dirais que ceux
qui peuvent entendre les murmures de l’être aimé sont les gens heureux. Vous murmurez
des mots d’amour dans le creux de votre oreille, rien de tel pour vous donner
un bonheur comme dans un rêve. Je dirais qu’en termes d’âge, le temps du
bonheur est quand la jeunesse s’épanouit avec le plus grand éclat. Le temps où
vous pouvez être tout gonflé d’amour et ne faire qu’un est le temps de la
jeunesse. (Tongil Segye, 1986, 2-19)
Une personne idéale
est celle qui cherche un partenaire tel qu’elle peut aimer le monde en premier,
aimer Dieu et aimer l’humanité, puis l’aimer avec ce qui reste d’amour, au lieu
de se laisser entièrement absorber dans l’amour entre homme et femme. (Les
familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 607)
Le vrai bonheur pour
une femme est de rencontrer un partenaire sujet d’amour. (Tongil Segye, 1983,
7-29)
Un homme assis dans
son coin a beau chercher l’amour tant qu’il peut, il ne réussira qu’à passer
pour un fou. (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 340)
Un homme ou une femme
peuvent être remplis de talents, à quoi bon si l’amour n’est pas là. Tout
oppose les hommes et les femmes au plan physiologique. Les femmes se
concentrent dans une seule direction, les hommes peuvent en avoir trois ou
quatre. De plus, les femmes restent chez elles, mais les hommes courent le
monde par monts et par vaux. Ces caractéristiques sont aux antipodes. Par quoi
vont donc s’unir l’homme en tant que partenaire sujet et la femme en tant que
partenaire objet ? L’amour va les unir. C’est aussi l’amour qui unit les
êtres humains et Dieu. (38-256, 8.1.1971)
Dieu créa l’être
humain pour parfaire l’idéal d’amour. La relation entre Dieu et l’être humain
est donc une relation de partenaire sujet et partenaire objet dont le noyau est
l’amour dans ce qu’il a de plus haut. Alors, quand l’être humain peut-il
atteindre la perfection ? Seulement quand un homme et une femme arrivent
au point où ils ont un lien d’amour et comprennent la valeur de l’amour. Un
homme peut être beau et éclatant de santé, ça ne signifie rien sans une femme.
Un homme dont les préoccupations se limitent à la santé et l’apparence a une
existence bien vaine. Nombreux sont les hommes qui vivent ainsi dans
l’infatuation. C’est aussi ce qui fait que l’histoire a progressé dans la
tragédie. Sachez-le : toute la providence de Dieu a été d’améliorer et de
transformer le monde qui vire à l’autoglorification. Qu’est-ce qu’il y a de
mieux au monde ? Ne serait-ce pas une femme pour un homme et un homme pour
une femme ? L’amour qui charme les hommes n’est pas aux mains des hommes,
et l’amour qui enchante les femmes n’est pas aux mains des femmes. Oui ou
non ? Un désir d’amour peut-il jamais surgir quand vous êtes seul ?
(Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 340)
En aimant une femme
avec l’amour de Dieu, un homme doit se mettre en position de dire :
« Je l’ai aimée complètement. Je l’ai aimée d’un amour qui ne changera pas
du début à la fin. » Une femme devra surveiller son corps de très près
pour être dans cette position. Elle restera bien close telle la fleur de
pivoine, où des multiples couches de pétales se superposent. Puis ils doivent
accueillir le printemps, faisant partie de l’harmonie du ciel et de la terre,
et entamer une vie nouvelle en s’harmonisant. Ceci doit être bien fait.
(26-152, 25.10.1969)
Parmi les fleurs,
quelle est selon vous la plus belle ? Je ne sais quel genre de fleurs vous
aimez, mais j’aime les fleurs en forme de trompette. C’est que ces fleurs-là
envoient leurs parfums très loin. Les fleurs en forme de trompette symbolisent
l’amour profond. Les fleurs doivent ressembler à une trompette pour disséminer
leurs parfums au loin. Voilà pourquoi, plus une fleur a une forme de trompette,
plus elle émet de parfum. Si les femmes sont des fleurs, elles doivent avoir un
cœur d’amour profond. Les fleurs au parfum agréable font l’unanimité. Le lys
allie simplicité et élégance. Je vois dans les lys nets et élégants des fleurs
toutes remplies de sentiments et d’émotions : leurs tiges et leurs
feuilles ont la même couleur et il est donc difficile de les distinguer. De
même, les jeunes filles doivent être comme des belles-de-jour et des lys. Elles
doivent être des fleurs nettes et élégantes. (Les familles bénies et le Royaume
de Dieu, p. 614)
Si jolie que puisse
être une jeune fille, elle n’a qu’une seule puberté. À ce moment là, elle est
la meilleure de toutes les fleurs, et c’est le temps le plus précieux de sa
vie. Mais y a-t-il des femmes pour dire : « Je vivrai
seule » ? Ce ne sont pas des femmes. En outre, parmi les hommes, y en
aura-t-il certains, de belle allure, pour dire qu’ils vivront par eux-mêmes à
ce zénith de leur jeunesse ? Dans de tels moments, ils chercheront
sûrement leur partenaire. À qui ressemblent-ils pour faire cela ? Ils
ressemblent à Dieu. C’est pareil pour les hommes et les femmes – au cœur de
leur jeunesse, qui est la période la plus précieuse de leur vie, ils partent à
la recherche de leur partenaire. (32-248, 19.7.1970)
Pourquoi les hommes
en sont-ils venus à exister ? On dit que les hommes ne s’intéressent pas à
cela car ils peuvent en général vivre seuls, mais les hommes sont nés pour les
femmes. Sans femmes, les hommes ne servent à rien. Personne n’est né pour
soi-même.
Regardons nos cinq
sens, mes yeux sont-ils là simplement pour se contempler ? Mais aussi le
nez, les oreilles, la bouche, les mains : tout existe pour mon partenaire.
C’est l’amour vrai qui va mobiliser les cinq sens à fond et amener leur
concentration. Les yeux, le nez, les oreilles, la bouche et les mains sont des
outils de l’amour vrai, nés pour l’amour vrai. Qu’y a-t-il de plus précieux
pour une femme ? C’est un homme. Quel type d’homme lui faut-il ?
Terne ou talentueux, peu importe, ou bien infirme ; la question est de
savoir avec quel homme elle trouvera un amour qui a de la valeur. (299-119,
7.2.1999)
Si la femme que Dieu
aime vit dans le cœur d’un homme, et si l’homme que Dieu aime vit dans le cœur
d’une femme, et s’ils se chérissent l’un l’autre, cela fera la joie de Dieu, et
aussi toutes les choses se réjouiront entre elles. Leur étreinte et leur joie
seront d’une valeur qui fera la joie du ciel et de la terre. L’étreinte d’un
homme et d’une femme en adoration mutuelle est ce qui permet à l’univers de
trouver son unité. Voilà quel est l’aspect de l’image originelle qui se forme
au sein de l’idéal de Dieu. (La volonté de Dieu et le monde, p. 28)
Pour quel dessein un
homme vient-il originellement au monde ? On ne peut pas nier qu’il est né
pour une femme. De même, une femme n’est pas née pour une femme. Il faut savoir
que des problèmes surgiront si elle n’est pas convaincue d’être née pour un
homme. Dieu, le grand maître de la création du ciel et de la terre, ayant érigé
ceci en règle fondamentale de la création, on ne peut entrer dans le monde bon,
vrai, heureux et paisible, ou le monde de l’amour et de l’idéal sans suivre
cette règle. (Tongil Segye, 1975, 2-16)
Ce ne sont pas les
hommes qui manquent dans ce monde, mais ne laissez pas vos regards se disperser
à droite ou à gauche. La fidélité est plus précieuse que votre vie. Le chemin
qui peut demeurer dans l’histoire et qui peut être aimé par le mari, par les
fils et filles, par la nation et par le monde sera ouvert par les femmes. Pour
cette tâche solennelle de bâtir un fondement sur lequel cette beauté, cette
noblesse et cette tradition émotionnelle des femmes peuvent briller, vous devez
travailler de tout votre cœur avec sincérité et vérité. (39-218, 10.1.1971)
Quelle est donc la
plus belle période, le temps de la jeunesse où la fleur est en pleine
éclosion ? C’est la puberté. Il s’agit de la période de sept ans entre
l’âge de dix-huit ans et l’âge de vingt-quatre ans. Cette période de sept ans
ne se reproduira jamais dans votre vie, un temps où la belle fleur de l’amour
fleurira. Qu’il est précieux ce beau temps qui ne viendra qu’une seule fois
dans votre vie ? (Les familles bénies et le Royaume de Dieu, p. 366)
Vous connaissez les
pivoines, n’est-ce pas ? Enserrés sous des dizaines d’épaisseurs, leurs
boutons ne s’ouvrent donc pas facilement. C’est pareil pour les hommes et les
femmes. Quand donc votre amour va-t-il déployer au dehors toute son ardeur, le
bouton de votre amour rouge qui est telle une fleur jaune ? Le temps où la
beauté se révèle au mieux dans l’harmonie du ciel et de la terre est le temps
de la jeunesse. Pour l’être humain, c’est le temps de la floraison la plus
splendide. La jeunesse est le temps où vous brillez au firmament comme le
chef-d’œuvre de Dieu, et c’est à ce moment-là que vous devez complètement
éclore sous la bénédiction de Dieu. (La Famille Bénie et le Royaume de Dieu
idéal I, p. 366)
Il ne faut pas salir
votre cœur pur dans la puberté, qui est un temps précieux où vous pouvez
surmonter et indemniser le chagrin d’Adam et Ève, qui perdirent leur cœur pur
dans leur jeunesse. Armez-vous de détermination et d’un ferme principe qui
dit : « Même si je dois aller seul pour mille ou dix mille ans, il
est catégoriquement exclu que mon amour soit souillé. » (37-108,
22.12.1970)
En tant que jeune,
quand vous veillez à garder un cœur pur et saint qui n’est ni sali ni souillé
dans le monde déchu, où le placerez-vous ? Vous devez le placer sur
l’autel qui donnera à Dieu la plus grande joie, et la terre sainte où un homme
et une femme avec un cœur aussi pur peuvent se rencontrer et se lier l’un à
l’autre devrait être le point de rencontre des époux. (64-84, 24.10.1972)
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