samedi 6 février 2021

Les enfants, concentrés de l’amour parental

Livre III

L’amour vrai

Chapitre II

L’amour en pratique

6. L’amour filial

6.1. Les enfants, concentrés de l’amour parental

Pour des parents affectueux, les enfants représentent le monde de façon suprême. (Familles Bénies et Royaume de Dieu idéal I, p. 934)

Pourquoi dit-on que les gens sans enfants sont seuls ? Avec mes enfants, je pourrai toucher du doigt en profondeur l’histoire des sentiments de Dieu, le partenaire sujet qui a créé l’univers entier par l’amour. Mes enfants sont nés à cause de moi, mais le fait d’avoir et d’aimer ces enfants me fait comprendre : « Ah, voilà comment Dieu a aimé l’être humain. » (136-202, 29.12.1985)

Si les parents se sacrifient pour leurs enfants c’est que, comme parents ils veulent revenir à Dieu par leurs enfants. Leur profonde expérience de l’amour parental en aimant leur enfant les amène à ressentir l’amour de Dieu et à Le comprendre. Ici, c’est l’originel qui s’exprime. Puisque les personnes sans enfants ne peuvent ni ressentir l’amour parental ni même comprendre l’amour pour Dieu, leur amour a toujours un goût d’inachevé. (10.7.1984)

Quel genre d’enfants peut demeurer dans le Royaume de Dieu ? Ils doivent payer la dette de l’amour parental tout seuls. Quand leurs parents deviennent vieux et séniles, ils doivent endurer les difficultés et servir leurs parents, avec le cœur des parents qui essuyaient leurs déjections quand ils étaient petits ; alors seulement, ils seront des enfants de piété filiale. (35-241, 19.10.1970)

Même frappé ou réprimandé par ses parents aimants, l’enfant reste heureux. (Tongil Segye, 1981, 4-8)

Les parents ont donné jusqu’à leur vie au service de leurs enfants. Les enfants doivent aussi donner jusqu’à leur vie pour servir leurs parents. La vie étant née de l’amour, sacrifier sa vie devant l’amour essentiel est une conclusion logique. Autrement dit, il n’y a pas de contradiction. (18.12.1985)

Les parents sentent que leurs efforts valaient la peine quand leurs enfants font des efforts pour ne pas être endettés envers les parents. (Tongil Segye, 1975, 10-12)

Quand le fouet est entre les mains de parents aimants, et que les parents pleurent bruyamment après avoir battu leur enfant, l’enfant peut-il se jeter sur eux et les maudire ? L’amour vrai a une valeur duale d’harmonie. (Tongil Segye, 1981, 6-22)

Toute la grandeur d’une mère est d’embrasser son enfant et de lui enseigner que pour devenir une personne de bonté qui peut bouger le monde, il lui faudra savoir endurer toutes les difficultés de parcours, car elle a pénétré le principe céleste que la bonté ne périt pas. Vous donnez naissance à un enfant et l’adorez tout en lui donnant le sein, mais pour qui l’adorez-vous ? Vous devez l’adorer au nom du ciel et de la terre. Vous devez l’adorer à cause de cette nation, ce monde et Dieu. La fortune de la morale céleste en accord avec l’amour de Dieu s’étend au-delà du monde pour pouvoir embrasser le ciel et la terre. La mère qui embrasse et allaite son enfant doit embrasser ses fils et filles avec un cœur qui s’empresse d’embrasser les fils et filles bien aimés de Dieu au nom du ciel et de la terre. (8-105, 22.11.1959)

De l’amour parental naît l’amour des enfants et leur bonheur. Les enfants reçoivent leur vie des parents qui se sont harmonisés dans l’amour vrai, et veulent être élevés dans un tel amour. Plus noble que la responsabilité d’élever extérieurement les enfants est celle de leur procurer l’élément vital de l’amour vrai. Leur spiritualité y trouvera sa voie vers la plénitude. Si fort que soit l’amour du père pour son enfant, son amour ne peut pas égaler l’amour de la mère. La mère a manifesté plus d’efforts que quiconque, et a souffert plus que tout autre ; nous ne pouvons donc pas le nier : elle aime plus que n’importe qui. En ce sens, les femmes ont une position élevée et précieuse dans le registre de l’émotion. Le père a beau aimer le bébé tant qu’il peut, il ne sait pas aimer le bébé autant que la mère.

De ce fait, pour ce qui est d’aller dans le Royaume de Dieu, les femmes iront dans le royaume céleste du cœur. De ce point de vue, il n’est pas mauvais d’être né comme une femme. Vous verrez bien que Dieu est juste. (85-166, 3.3.1976)

6.2. La voie des vrais enfants est la piété filiale

Quand vous en êtes venus à connaître vos parents, que devez-vous faire pour eux ? Vous devez observer les devoirs de la piété filiale et être un enfant obéissant. Aussi, par vos parents, vous devez être un patriote de votre nation. C’est parce que vos parents ont commandé la nation et le monde. Avant de devenir un patriote, vous devez être un enfant obéissant, et avant de l’être, vous devez être un membre de la famille qui peut aimer les vrais frères et sœurs. Membre de la famille est un nom qui présente le droit de chanter des louanges parmi les frères et sœurs. (30-220, 23.3.1970)

Ce qui rend l’enfant obéissant et précieux, c’est qu’il respecte ses parents avec un amour immuable, que ce soit dans son enfance, comme adulte, ou dans ses vieux jours. Voilà ce qu’on appelle un enfant obéissant. Que devez-vous faire pour être un enfant obéissant ? Il vous faut toujours être en phase avec la direction du cœur de vos parents. Celui qui emprunte la voie de l’enfant obéissant, ne fait pas les choses séparément de ses parents. Quand ses parents vont à l’est, il doit aussi aller à l’est, et quand ils vont à l’ouest, lui aussi doit aller à l’ouest. Cela ne doit pas se discuter. Même s’ils lui disent d’aller quelque part et de faire demi-tour dix fois, il doit encore faire demi-tour et les suivre. Dans votre famille, il vous est demandé de remplir votre devoir filial, et cela revient à vous demander de prendre part au chemin d’amour de vos parents en suivant ces derniers. Dans le sillage de l’amour vrai des parents se trouvent les principes célestes.

Ici, il n’y va pas seulement des parents, mais de la voie céleste verticale invisible. Vous exhorter à être un avec vos parents, c’est donc vous demander d’aller de l’avant en reliant le cœur de l’histoire verticale et l’histoire horizontale. C’est vous demander de remplir votre devoir filial envers vos parents. Dans la famille, remplir son devoir filial envers vos parents est la responsabilité des fils et filles. Pourquoi devez vous remplir votre devoir filial ? Le chemin de la piété filiale est lié au chemin du patriotisme. Ils sont liés comme les pousses de bambou. Que doivent faire les patriotes, les personnes qui sont loyaux envers leur pays ? Ils doivent suivre le chemin de la sainteté pour le monde. Ce dernier doit être une ligne droite. De ce point de vue, si vous n’avez pas réussi à vous acquitter de votre devoir filial mais êtes devenu un patriote pour votre pays, vos parents ne pourront pas dire : « Ah, tu n’as pas rempli tes obligations filiales envers moi. » Ils diront : « Tu as bien fait. » Même si vous avez bafoué votre devoir filial, en abandonnant vos parents et en quittant la maison, si vous êtes malgré tout devenu un patriote pour la nation, votre mère et père vous loueront en disant : « Tu as fait un grand travail » même s’ils ont du mourir et gagner le monde spirituel.

Qui est l’enfant obéissant ? C’est une personne qui donne de la joie à ses parents en cherchant des positions difficiles et en remplissant sa responsabilité, afin de pouvoir prendre responsabilité pour le tourment des parents. Si les parents ont effectué dix charges de travail et que l’enfant a fait des efforts pour quinze charges, les parents éprouveront une joie qui corresponde à cinq charges. Quiconque fait des efforts en pensant comment compléter par rapport à cet aspect et servir ses parents est l’enfant obéissant. Quel genre de parents sont les parents authentiques ? Ce sont les parents qui ne connaissent pas de fin, parce qu’ils aiment leur enfant éternellement. Alors, quel genre d’enfants sont les enfants authentiques ? Les enfants authentiques sont les enfants qui aiment leurs parents éternellement devant l’amour authentique des parents et ont aussi un cœur aimant qui déborde d’amour. Telle est la place du véritable enfant obéissant. D’après vous, qu’attend Dieu de Ses enfants ? Qu’ils veuillent faire beaucoup d’argent et être millionnaires ? Être président, avec le plus grand pouvoir politique dans le pays ?

Ce que Dieu voulait de Son fils et de Sa fille Adam et Ève était de grandir pour être des enfants obéissants, des patriotes, des saints et des fils et filles de Dieu. Alors, avez-vous jamais pensé à être un enfant obéissant dans la famille, à être un patriote dans la nation, à être un saint dans le monde et à être un fils et une fille devant le ciel et la terre en accord avec le désir de Dieu ? D’un point de vue historique, tous les saints ont enseigné aux gens à être des enfants obéissants, des patriotes, des saints et des fils et filles de Dieu. Pensez-vous que des enfants élevés dans la tradition de l’amour puissent être indifférents si leurs parents voulaient un divorce ? Absolument pas. Les enfants diraient avec insistance : « Je suis votre enfant. Je tiens de vous deux à la fois. Pour moi, vous devez être prêts à toutes les concessions qu’il faut, et être de grands parents pour moi. J’ai besoin de vous.” Il faut faire en sorte que les jeunes se rendent compte que lorsqu’ils seront des parents, ils n’auront pas le droit de divorce à cause de leurs enfants. (Le héros du futur)


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vos commentaires sont les bienvenus

Sélection du message

Cheon Seong Gyeong Introduction

천 성 경 Cheon Seong Gyeong Au commencement, Dieu a créé le monde par la Parole. Il a créé en infusant son cœur, son amour, sa vie et...

Articles les plus consultés