
Livre VI
La vie humaine et le monde des esprits
La vie sur terre et le monde spirituel
Chapitre II
À quoi ressemble le monde spirituel ?
6.3. Si vous péchez, vous serez jugé au
tribunal familial par votre clan
Vos parents sont des juges siégeant au
tribunal. Sachez-le. Dans vos familles, la mère se fera sûrement l’avocate de
la défense. Quand vos frères et sœurs font du tort, tous sont des procureurs.
Si l’un d’eux dit : « Vraiment ! C’est la sœur qui a commencé,
pas moi ! » La mère écoutera calmement et dira : « Bien. Tu
as bien fait. » ou « Toi non. Elle a raison. » C’est ce qui fait
de la mère une avocate. Qui est le procureur quand les frères et sœurs se
disputent ? La sœur aînée et le frère aîné se font procureurs. Vous devez
le savoir. Sachez qu’il y a des juges et des procureurs sous votre toit. Vous,
les jeunes, vous avez déjà pensé à cela ? (147-303, 25.5.1986)
Ne devenez pas un mari qui est la honte de sa
femme. Votre femme est l’envoyée spéciale de Dieu. Vos enfants sont les envoyés
spéciaux de Dieu. Ils sont les envoyés spéciaux comme vos aides les plus
proches pour vous surveiller et vous éduquer pour filer le droit chemin. Ne
soyez pas un père qui a honte devant ses enfants. Ne nourrissez pas ces envoyés
spéciaux du Ciel avec des denrées volées. Pouvez-vous servir le Ciel après
avoir fraudé ? Pouvez-vous servir vos ancêtres ?
Alors, quand vous irez dans l’autre monde,
vos ancêtres vous jugeront immédiatement. Dieu ne rend pas de jugement. Vos
ancêtres vous feront passer en jugement et, finalement, vous traîneront devant
le tribunal au niveau mondial. Sans vous présenter devant les tribunaux, vos
ancêtres ne peuvent pas devenir bons. C’est ainsi. Dans le contexte de cette
loi, le cours de notre vie dans lequel nous devons poser les bases de l’espoir
pour le futur, et dans lequel nous devons accueillir de tels jours, a quelque
chose de sérieux. (163-33, 18.4.1987)
Dans l’époque idéale du futur, les tribunaux
seront inutiles. Le cours de notre vie dans ce monde est le fondement pour la
vie éternelle. C’est un cours qui nous prépare à vivre dans l’autre monde.
C’est pourquoi, si quelqu’un de votre parenté fait du tort, il aura affaire au
clan entier. Qui est le premier juge ? Si la femme fait du tort, le mari
devient le juge. Si l’enfant fait du tort, le père devient le juge. Ils
reçoivent des directives selon la loi publique et c’est leur clan qui s’occupe
d’eux. (197-359, 20.1.1990)
Quand vous irez dans l’autre monde à
l’avenir, qui vous jugera ? Vos ancêtres s’en chargeront. À l’avenir, il
n’y aura plus de tribunaux dans la nation. La parenté rendra un jugement. En
position de juge principal seront vos propres parents. La personne la plus
proche assumera cette position. Dans le jardin d’Éden, qui a prononcé la
sentence sur Adam et Ève, quand ils ont fait du tort ? N’était-ce pas
Dieu ? N’était-ce pas le père ? Cela se passe ainsi parce que c’est
une honte pour votre clan. Qui est le procureur ? La personne qui vous aime
le plus ; si le mari sort du droit chemin, la femme l’accusera. (198-367,
11.2.1990)
Qui prononce le jugement ? La personne
qui vous aime le plus vous jugera. Qui a jugé Adam et Ève ? Adam était le
frère aîné d’Ève. Ils devinrent ennemis. Qui les a punis en tant
qu’ennemis ? Adam a puni Ève et Ève a puni Adam. Ce temps-là est en train
de venir. (199-119, 16.2.1990)
Sachez-le : la tâche de définir la loi
qui secouera le ciel et la terre et notre destinée nous attend sur le chemin
que nous prenons. Quand cette loi sera en place, il n’y aura pas de pardon pour
ceux qui ont vécu à leur guise. Leur propre tribu sera le centre et s’occupera
d’eux. Ils n’iront pas devant des tribunaux. Par exemple, si quelqu’un du clan
Moon a causé du tort, la tête des familles du clan Moon, clan de toutes les
huit provinces de Corée, prononcera le jugement de cette personne selon les
lois du clan Moon. Il n’y aura pas de pardon. (206-140, 3.10.1990)
Qui jugera les péchés des gens
désormais ? Le jugement, naturellement, sera donné dans le monde
spirituel, mais les personnes autour de vous rendront le jugement. Si vous
faites du tort ici-bas, n’est-ce pas vos voisins qui vous jugeront ? Pour
un village qui fait une faute, les gens du canton rendront le jugement. Si un
canton fait du tort, les résidents de la province jugeront ce canton ;
pour une province ce sera la nation ; pour la nation, le jugement viendra
du monde. Ce système est celui qui se conforme à un modèle d’ordre. (208-12,
13.11.1990)
À l’avenir, quand un crime sera commis, on ne
vous déférera pas devant les tribunaux pour vous condamner. Les choses se
feront au sein de votre clan. Un tel âge est en train de venir. Vous ne pouvez
donc maudire personne. Votre mère et votre père eux-mêmes vous jugeront. Si la
femme fait du tort, son mari rendra la justice. En ce cas, qui punira les
deuxièmes générations des familles bénies dans le Mouvement de l’Unification
quand ils font du tort à l’avenir ? Leur mère et père les puniront.
(208-86, 17.11.1990)
Dieu est bien le père d’Adam et Ève, n’est-ce
pas ? Mais quand Adam et Ève ont péché, qui les a jugés ? Qui les a
jugés après cela ? Ensuite, c’est votre partenaire qui vous jugera. Le
mari rendra justice sur sa femme. La femme rendra justice sur son mari. Et
ensuite ? Ce sera leurs enfants. Ainsi vont les choses à partir de la
source de l’amour. Si vous péchez, l’être le plus proche de vous vous haïra le
plus. Vos enfants vous haïront, votre mari vous haïra, votre femme vous haïra
et vos parents vous haïront.
Si malgré tout, vous allez jusqu’à tromper
vos parents, tromper votre partenaire et tromper vos enfants, vous ne pouvez
pas les appeler père, mère, frères et parents en présence du ciel et de la
terre. S’il y a des hommes et des femmes comme cela ici, à l’avenir, vous vous
passerez les uns sur les autres au bulldozer. (215-278, 21.2.1991)
Pour les familles de l’Église de
l’Unification, l’heure du jugement viendra. Tout le monde aura franchi le
Jourdain, mais vous serez mis de côté et ne pourrez pas franchir la rivière ;
tout comme Moïse, qui ne put entrer sur la terre d’Israël et dut la contempler
depuis le mont Nebo. Idem pour vos familles. Alors gare à vous. (228-20,
1.3.1992)
Pas besoin de police à l’avenir. Vous n’aurez
pas besoin de prisons. Ceux qui sont responsables pour le clan se réuniront et
prononceront la sentence sur cette famille, à la place de la police et du juge.
S’il arrive quelque chose qui viole les lois de ce village, des problèmes
surgiront. (242-148, 1.1.1993)
Dieu aura-t-Il, oui ou non, un modèle
officiel dictant ce que doivent être l’enfant parfait, le frère ou la sœur
parfaits, le couple parfait et le parent parfait ? Seulement quand cela
existe, il peut y avoir un critère de jugement éternel. Avec ceci, le système
où les gens peuvent être désignés comme « première, deuxième et troisième
personne qualifiée » pour le Royaume de Dieu pourra être fixé et leur
position sera déterminée. Est-ce que cela se produira, oui ou non ? Bien
sûr que cela doit exister. L’idéal de la création se concrétise et s’accomplit
grâce à un tel partenaire d’amour idéal sur la terre. Dieu a créé Ses enfants
pour cela. (245-209, 7.3.1993)
À l’avenir, s’il y a un criminel dans une
certaine tribu, il sera traité par le responsable de cette tribu-là. Le messie
tribal deviendra le juge principal au nom de Dieu. S’il y a un incident dans
votre tribu, la foudre tombera. Le fait d’avoir produit ce genre de mauvaise
graine sera la disgrâce du nom de votre tribu. Le village lui-même ne doit pas
devenir comme cette nation qui court à la ruine et pourrit. La tribu entière
voudra s’unir et se protéger. Si des vauriens devaient apparaître dans la jeune
génération, les gens vont les attraper en disant : « Espèces de
vauriens ! » et leur donneront une bonne raclée. À la fin, le grand-père
devient le juge principal, le père devient le procureur et le frère aîné
devrait devenir l’avocat.
Pour pouvoir révéler le grand principe du
ciel et de la terre, le père doit devenir le procureur et le frère aîné doit
devenir l’avocat. Ils doivent rendre un jugement public sans pitié au
contrevenant, en disant : « Pour pouvoir révéler le grand principe du
ciel et de la terre, tu ne peux pas être des nôtres, même si tu portes la chair
et le sang de notre famille. » Ainsi, il n’y aura plus de police. Il n’y
aura plus d’armées. (252-296, 1.1.1994)
À l’avenir, il n’y aura plus de police. Si
vous êtes en infraction, la famille se saisira de l’autorité absolue et
tranchera le problème. La mère et le père prendront responsabilité. Si le mari
fait du tort, la femme le jugera. La personne la plus proche devrait juger
cette personne-là. Pourquoi ? Comme c’est aux partenaires d’amour vrai de
traiter ce qui reste d’amour faux, l’être le plus proche de vous vous jugera.
(264-223, 3.11.1994)
Qu’est-ce que le péché ? Le péché naît
dans les lieux privés. Les périls aussi en sortent. Pour le mal, c’est pareil.
Quand les affaires privées sont poursuivies au-delà d’une certaine limite, on
bascule dans le mal. Il y a des limites à la sphère privée. Aller au-delà de la
limite, c’est devenir mauvais, courir à sa perte et c’est ce qui fait commettre
aux gens des péchés.
Alors, quelle est la position qui peut être
éternellement bonne et éternellement prospère, qui peut recevoir la bénédiction
éternellement ? Où est la position qui peut éviter les périls, éviter les
péchés, et éviter de devenir mauvais ? C’est la position publique. À
table, vous devez manger dans une position publique. Au travail, vous devez
vous organiser de façon publique. Quand vous parlez, vous devez digérer la
situation avec des mots publics. On doit donc s’efforcer de vivre en reliant
chaque aspect de sa vie à ce qui est public. La personne qui vit de cette façon
ne peut aller en enfer, quand bien même elle chercherait à le faire. (31-164,
24.5.1970)
Pour ceux qui suivent les normes du Ciel, il
y a un esprit qui les défend et les protège de la destruction. Comme il existe
un tel esprit à l’origine en Dieu, l’être humain a aussi, à l’origine, un tel
esprit. Ce n’est pas une loi de fabrication humaine.
Peut-on dire : « Conscience !
Je suis comme je suis. » ? Est-ce que la conscience passe à l’acte
simplement parce qu’on lui dit : « Oh toi, conscience ! Tu fais
comme cela, parce que c’est comme çà que je pense. » ? D’où vient le
commandement de la conscience, nous ne la savons pas, mais il vient d’au-delà
de nous-mêmes. En observant comment un tel sentiment nous contrôle, nous voyons
qu’il agit en s’appuyant sur les notions de public et de privé. (31-241,
4.6.1970)
Quant à ceux qui font beaucoup de péchés, nous
les enverrons bientôt au pôle Nord. Ce temps viendra. Pourquoi faudrait-il
nourrir ces gens-là ? Ils vivront de bébés ours. Ils seront confinés là
pour quelques années. Ils survivront en mangeant ce qu’ils peuvent. S’ils ne
sont pas morts au bout de deux ans, ils pourront alors revenir. Ce temps de
quarantaine viendra. S’ils meurent dans ce monde, ou s’ils survivent, ainsi
soit-il.
Ils veulent manger des tigres ? Soit.
S’ils veulent se faire une maison de glace et en faire leur logis, ou s’ils
choisissent de ne pas y vivre, c’est à eux de voir. Le temps de l’isolement
viendra. Les patients contagieux, on les met bien en quarantaine ? Nous
nous séparerons complètement d’eux. Aussi répétons-nous qu’il ne faut pas
commettre de péché, c’est la médecine préventive. (202-280, 25.5.1990)
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