lundi 8 février 2021

Si vous péchez, vous serez jugé au tribunal familial par votre clan

Livre VI

La vie humaine et le monde des esprits

La vie sur terre et le monde spirituel

Chapitre II

À quoi ressemble le monde spirituel ?

6.3. Si vous péchez, vous serez jugé au tribunal familial par votre clan

Vos parents sont des juges siégeant au tribunal. Sachez-le. Dans vos familles, la mère se fera sûrement l’avocate de la défense. Quand vos frères et sœurs font du tort, tous sont des procureurs. Si l’un d’eux dit : « Vraiment ! C’est la sœur qui a commencé, pas moi ! » La mère écoutera calmement et dira : « Bien. Tu as bien fait. » ou « Toi non. Elle a raison. » C’est ce qui fait de la mère une avocate. Qui est le procureur quand les frères et sœurs se disputent ? La sœur aînée et le frère aîné se font procureurs. Vous devez le savoir. Sachez qu’il y a des juges et des procureurs sous votre toit. Vous, les jeunes, vous avez déjà pensé à cela ? (147-303, 25.5.1986)

Ne devenez pas un mari qui est la honte de sa femme. Votre femme est l’envoyée spéciale de Dieu. Vos enfants sont les envoyés spéciaux de Dieu. Ils sont les envoyés spéciaux comme vos aides les plus proches pour vous surveiller et vous éduquer pour filer le droit chemin. Ne soyez pas un père qui a honte devant ses enfants. Ne nourrissez pas ces envoyés spéciaux du Ciel avec des denrées volées. Pouvez-vous servir le Ciel après avoir fraudé ? Pouvez-vous servir vos ancêtres ?

Alors, quand vous irez dans l’autre monde, vos ancêtres vous jugeront immédiatement. Dieu ne rend pas de jugement. Vos ancêtres vous feront passer en jugement et, finalement, vous traîneront devant le tribunal au niveau mondial. Sans vous présenter devant les tribunaux, vos ancêtres ne peuvent pas devenir bons. C’est ainsi. Dans le contexte de cette loi, le cours de notre vie dans lequel nous devons poser les bases de l’espoir pour le futur, et dans lequel nous devons accueillir de tels jours, a quelque chose de sérieux. (163-33, 18.4.1987)

Dans l’époque idéale du futur, les tribunaux seront inutiles. Le cours de notre vie dans ce monde est le fondement pour la vie éternelle. C’est un cours qui nous prépare à vivre dans l’autre monde. C’est pourquoi, si quelqu’un de votre parenté fait du tort, il aura affaire au clan entier. Qui est le premier juge ? Si la femme fait du tort, le mari devient le juge. Si l’enfant fait du tort, le père devient le juge. Ils reçoivent des directives selon la loi publique et c’est leur clan qui s’occupe d’eux. (197-359, 20.1.1990)

Quand vous irez dans l’autre monde à l’avenir, qui vous jugera ? Vos ancêtres s’en chargeront. À l’avenir, il n’y aura plus de tribunaux dans la nation. La parenté rendra un jugement. En position de juge principal seront vos propres parents. La personne la plus proche assumera cette position. Dans le jardin d’Éden, qui a prononcé la sentence sur Adam et Ève, quand ils ont fait du tort ? N’était-ce pas Dieu ? N’était-ce pas le père ? Cela se passe ainsi parce que c’est une honte pour votre clan. Qui est le procureur ? La personne qui vous aime le plus ; si le mari sort du droit chemin, la femme l’accusera. (198-367, 11.2.1990)

Qui prononce le jugement ? La personne qui vous aime le plus vous jugera. Qui a jugé Adam et Ève ? Adam était le frère aîné d’Ève. Ils devinrent ennemis. Qui les a punis en tant qu’ennemis ? Adam a puni Ève et Ève a puni Adam. Ce temps-là est en train de venir. (199-119, 16.2.1990)

Sachez-le : la tâche de définir la loi qui secouera le ciel et la terre et notre destinée nous attend sur le chemin que nous prenons. Quand cette loi sera en place, il n’y aura pas de pardon pour ceux qui ont vécu à leur guise. Leur propre tribu sera le centre et s’occupera d’eux. Ils n’iront pas devant des tribunaux. Par exemple, si quelqu’un du clan Moon a causé du tort, la tête des familles du clan Moon, clan de toutes les huit provinces de Corée, prononcera le jugement de cette personne selon les lois du clan Moon. Il n’y aura pas de pardon. (206-140, 3.10.1990)

Qui jugera les péchés des gens désormais ? Le jugement, naturellement, sera donné dans le monde spirituel, mais les personnes autour de vous rendront le jugement. Si vous faites du tort ici-bas, n’est-ce pas vos voisins qui vous jugeront ? Pour un village qui fait une faute, les gens du canton rendront le jugement. Si un canton fait du tort, les résidents de la province jugeront ce canton ; pour une province ce sera la nation ; pour la nation, le jugement viendra du monde. Ce système est celui qui se conforme à un modèle d’ordre. (208-12, 13.11.1990)

À l’avenir, quand un crime sera commis, on ne vous déférera pas devant les tribunaux pour vous condamner. Les choses se feront au sein de votre clan. Un tel âge est en train de venir. Vous ne pouvez donc maudire personne. Votre mère et votre père eux-mêmes vous jugeront. Si la femme fait du tort, son mari rendra la justice. En ce cas, qui punira les deuxièmes générations des familles bénies dans le Mouvement de l’Unification quand ils font du tort à l’avenir ? Leur mère et père les puniront. (208-86, 17.11.1990)

Dieu est bien le père d’Adam et Ève, n’est-ce pas ? Mais quand Adam et Ève ont péché, qui les a jugés ? Qui les a jugés après cela ? Ensuite, c’est votre partenaire qui vous jugera. Le mari rendra justice sur sa femme. La femme rendra justice sur son mari. Et ensuite ? Ce sera leurs enfants. Ainsi vont les choses à partir de la source de l’amour. Si vous péchez, l’être le plus proche de vous vous haïra le plus. Vos enfants vous haïront, votre mari vous haïra, votre femme vous haïra et vos parents vous haïront.

Si malgré tout, vous allez jusqu’à tromper vos parents, tromper votre partenaire et tromper vos enfants, vous ne pouvez pas les appeler père, mère, frères et parents en présence du ciel et de la terre. S’il y a des hommes et des femmes comme cela ici, à l’avenir, vous vous passerez les uns sur les autres au bulldozer. (215-278, 21.2.1991)

Pour les familles de l’Église de l’Unification, l’heure du jugement viendra. Tout le monde aura franchi le Jourdain, mais vous serez mis de côté et ne pourrez pas franchir la rivière ; tout comme Moïse, qui ne put entrer sur la terre d’Israël et dut la contempler depuis le mont Nebo. Idem pour vos familles. Alors gare à vous. (228-20, 1.3.1992)

Pas besoin de police à l’avenir. Vous n’aurez pas besoin de prisons. Ceux qui sont responsables pour le clan se réuniront et prononceront la sentence sur cette famille, à la place de la police et du juge. S’il arrive quelque chose qui viole les lois de ce village, des problèmes surgiront. (242-148, 1.1.1993)

Dieu aura-t-Il, oui ou non, un modèle officiel dictant ce que doivent être l’enfant parfait, le frère ou la sœur parfaits, le couple parfait et le parent parfait ? Seulement quand cela existe, il peut y avoir un critère de jugement éternel. Avec ceci, le système où les gens peuvent être désignés comme « première, deuxième et troisième personne qualifiée » pour le Royaume de Dieu pourra être fixé et leur position sera déterminée. Est-ce que cela se produira, oui ou non ? Bien sûr que cela doit exister. L’idéal de la création se concrétise et s’accomplit grâce à un tel partenaire d’amour idéal sur la terre. Dieu a créé Ses enfants pour cela. (245-209, 7.3.1993)

À l’avenir, s’il y a un criminel dans une certaine tribu, il sera traité par le responsable de cette tribu-là. Le messie tribal deviendra le juge principal au nom de Dieu. S’il y a un incident dans votre tribu, la foudre tombera. Le fait d’avoir produit ce genre de mauvaise graine sera la disgrâce du nom de votre tribu. Le village lui-même ne doit pas devenir comme cette nation qui court à la ruine et pourrit. La tribu entière voudra s’unir et se protéger. Si des vauriens devaient apparaître dans la jeune génération, les gens vont les attraper en disant : « Espèces de vauriens ! » et leur donneront une bonne raclée. À la fin, le grand-père devient le juge principal, le père devient le procureur et le frère aîné devrait devenir l’avocat.

Pour pouvoir révéler le grand principe du ciel et de la terre, le père doit devenir le procureur et le frère aîné doit devenir l’avocat. Ils doivent rendre un jugement public sans pitié au contrevenant, en disant : « Pour pouvoir révéler le grand principe du ciel et de la terre, tu ne peux pas être des nôtres, même si tu portes la chair et le sang de notre famille. » Ainsi, il n’y aura plus de police. Il n’y aura plus d’armées. (252-296, 1.1.1994)

À l’avenir, il n’y aura plus de police. Si vous êtes en infraction, la famille se saisira de l’autorité absolue et tranchera le problème. La mère et le père prendront responsabilité. Si le mari fait du tort, la femme le jugera. La personne la plus proche devrait juger cette personne-là. Pourquoi ? Comme c’est aux partenaires d’amour vrai de traiter ce qui reste d’amour faux, l’être le plus proche de vous vous jugera. (264-223, 3.11.1994)

Qu’est-ce que le péché ? Le péché naît dans les lieux privés. Les périls aussi en sortent. Pour le mal, c’est pareil. Quand les affaires privées sont poursuivies au-delà d’une certaine limite, on bascule dans le mal. Il y a des limites à la sphère privée. Aller au-delà de la limite, c’est devenir mauvais, courir à sa perte et c’est ce qui fait commettre aux gens des péchés.

Alors, quelle est la position qui peut être éternellement bonne et éternellement prospère, qui peut recevoir la bénédiction éternellement ? Où est la position qui peut éviter les périls, éviter les péchés, et éviter de devenir mauvais ? C’est la position publique. À table, vous devez manger dans une position publique. Au travail, vous devez vous organiser de façon publique. Quand vous parlez, vous devez digérer la situation avec des mots publics. On doit donc s’efforcer de vivre en reliant chaque aspect de sa vie à ce qui est public. La personne qui vit de cette façon ne peut aller en enfer, quand bien même elle chercherait à le faire. (31-164, 24.5.1970)

Pour ceux qui suivent les normes du Ciel, il y a un esprit qui les défend et les protège de la destruction. Comme il existe un tel esprit à l’origine en Dieu, l’être humain a aussi, à l’origine, un tel esprit. Ce n’est pas une loi de fabrication humaine.

Peut-on dire : « Conscience ! Je suis comme je suis. » ? Est-ce que la conscience passe à l’acte simplement parce qu’on lui dit : « Oh toi, conscience ! Tu fais comme cela, parce que c’est comme çà que je pense. » ? D’où vient le commandement de la conscience, nous ne la savons pas, mais il vient d’au-delà de nous-mêmes. En observant comment un tel sentiment nous contrôle, nous voyons qu’il agit en s’appuyant sur les notions de public et de privé. (31-241, 4.6.1970)

Quant à ceux qui font beaucoup de péchés, nous les enverrons bientôt au pôle Nord. Ce temps viendra. Pourquoi faudrait-il nourrir ces gens-là ? Ils vivront de bébés ours. Ils seront confinés là pour quelques années. Ils survivront en mangeant ce qu’ils peuvent. S’ils ne sont pas morts au bout de deux ans, ils pourront alors revenir. Ce temps de quarantaine viendra. S’ils meurent dans ce monde, ou s’ils survivent, ainsi soit-il.

Ils veulent manger des tigres ? Soit. S’ils veulent se faire une maison de glace et en faire leur logis, ou s’ils choisissent de ne pas y vivre, c’est à eux de voir. Le temps de l’isolement viendra. Les patients contagieux, on les met bien en quarantaine ? Nous nous séparerons complètement d’eux. Aussi répétons-nous qu’il ne faut pas commettre de péché, c’est la médecine préventive. (202-280, 25.5.1990)


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