lundi 8 février 2021

Le jugement rendu par les Vrais Parents

Livre VI

La vie humaine et le monde des esprits

La vie sur terre et le monde spirituel

Chapitre II

À quoi ressemble le monde spirituel ?

6.2. Le jugement rendu par les Vrais Parents se fonde sur le règne de la loi d’amour

Que peut bien être le sauveur ? Quel est le but de sa venue ? Il ne vient pas pour faire de la politique. Pourquoi un sauveur viendrait-il ? Les chrétiens de nos jours disent qu’avec la venue du Seigneur, ils seront élevés dans les airs tandis que ceux qui restent sur terre seront tous jugés. Cela n’arrivera pas ; les choses ne se passent pas ainsi. Ils disent qu’il amène le jugement, mais le sauveur ne vient pas rendre de jugement. Il vient comme le fils de Dieu et aussi comme le parent de l’humanité.

Est-ce que la personne qui vient comme le parent de l’humanité, avec un cœur parental pour arracher à la mort imminente ses fils et filles qui gémissent de douleur, va leur lancer : « Eh vous, allez en enfer ! » ? Même les parents dans le monde déchu s’étoufferaient de chagrin en voyant leurs enfants mourir dans un état aussi pitoyable. Leur cœur pousserait les parents à tenter n’importe quoi, même s’ils devaient perdre la vie, pour sauver leurs enfants. Si tel est le cœur des parents dans le monde déchu, que dire du sauveur qui vient avec le cœur du parent originel ? Le jugement serait impensable. Qu’en dites-vous ? (222-150, 3.11.1991)

Les gens récitent la Bible en disant : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils, l’Unique-Engendré, afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. » Dieu a tant aimé le monde, dit-on. Jésus est venu sauver le monde entier, pas seulement sauver les chrétiens. Est-ce qu’il vient donc amener le jugement dans les derniers jours ? Alors, la formule qui dit « Dieu a tant aimé le monde » serait une erreur. Est-ce qu’Il aime seulement les chrétiens ? Ils ne savent pas que Dieu ne cesse d’aimer. Nous devons le leur enseigner et les amener au repentir et à changer de mentalité. À bas les chapelles ! (210-110, 1.12.1990)

Les Églises chrétiennes disent aujourd’hui que Dieu fait passer les êtres humains en jugement et autre chose encore. Or, si Dieu était libre de faire ce qu’Il voulait, Il n’aurait pas eu à suspendre Son jugement jusqu’ici. Il aurait déjà exécuté le jugement aussitôt après la chute. Instaurer Son idéal d’amour sur la base d’une victoire acquise après avoir rendu Son jugement, aucun principe ne permet cela à Dieu. (210-61, 1.12.1990)

Quelle est l’erreur de la philosophie des Églises chrétiennes actuelles ? C’est de parler d’un Dieu de jugement. Au bout de cinq ans à jouer les juges, vous commenceriez à courber l’échine. Pourquoi ? Parce que vous ne pourriez plus étirer votre dos. Les chrétiens n’en ont rien su. Ils ont simplement adoré Dieu comme un Dieu de pouvoir et un Dieu omnipotent. Ils se croyaient tout permis en s’unissant à ce genre de Dieu. De là est venue leur théorie qui justifie la mise à mort des gens. La culture occidentale, basée sur le christianisme, ayant cultivé la philosophie de la force, la civilisation occidentale est liée à des conflits sanglants. (208-248, 20.11.1990)

Dieu ne juge pas les gens directement. En rendant la justice et en disposant des méchants sur terre, Dieu n’agit pas de Lui-même. Il y a Satan pour cela. (204-60, 1.7.1990)

Dieu est sur le point de passer ce monde en jugement, et quelqu’un dit soudain : « Attends un moment, je T’en prie. Vois un peu ceci. C’est quelque chose de très intéressant. » Dieu répond : « De quoi s’agit-il ? » La personne dit alors : « C’est la paume de ma main. Vois comme elles sont belles, les lignes de ma main. Je fais ce que je fais parce que mes lignes sont bien plus jolies que les Tiennes. » Que ferait Dieu ? Est-ce que Sa colère ne va pas passer alors qu’Il compare les lignes de Sa main avec celles de cette personne ?

Si cette personne Lui dit : « Dieu, veux-Tu me couper la main ? Vas-Tu me juger ? », Dieu répondra en riant : « Eh toi, coquin, sacré coquin ! » Cette personne aurait beau être laide, Dieu Se sentirait stimulé. Comprenez-vous ce que je dis ? Il doit y avoir le positif et le négatif. Pour pouvoir devenir un chef-d’œuvre, votre caractère doit se développer dans plusieurs dimensions. C’est ainsi que tout fonctionne. Ce n’est qu’en amenant les aspects plus et les aspects moins ensemble que l’on peut arrondir son caractère.

Dieu est peut-être très en colère. Mais inutile de Lui dire : « Dieu, ne fais pas cela » ; il vaut mieux Lui dire : « Dieu, regarde un peu cela, par ici. » Dieu dira alors : « Pourquoi ? » Vous lui direz alors : « Cet aigle est en train de se payer un poulet. » Dieu dira probablement : « Qu’il le prenne, son poulet ! » Et vous direz alors : « Ah bon ! Tu es comme l’aigle alors ! » Voilà qui va laisser Dieu pantois. « Espèce de coquin, que viens-tu de dire ? Je… » Mais Dieu n’aura rien d’autre à dire, si ce n’est marmonner : « Hum, euh…. » (202-219, 24.5.1990)

Si vous demandez à Dieu, Il n’ira pas vous dire qu’Il veut devenir le seigneur du jugement. Dieu ne rend pas de jugement. On parle ainsi quand on ne connaît pas le monde spirituel. Lisez les sermons des chrétiens : de vraies âneries. Ils ne connaissent vraiment pas le monde spirituel.

Iront-ils au Ciel en pensant comme cela ? Allez voir par vous-même ce qui se passe. Les corbeaux et les vautours n’en feront qu’une bouchée. Ils sont plus mauvais que les gens du monde. Je ne fréquente pas ces gens-là. Si un chien aboie et que vous aboyez avec lui, cela fait de vous un salaud, alors quoi ? Je ne les fréquente pas. Mais je suis désolé pour eux, et plus tard, quand ils seront affamés, je pense leur apporter quelque chose à manger. (201-286, 29.4.1990)

C’est toute l’humanité qui doit se réveiller. Ce qu’enseigne le fondateur de l’Église de l’Unification est la vérité qui sauvera le monde. C’est la parole d’amour vrai et de vie dont l’humanité entière a besoin pour l’éternité. Venu sauver le monde, le Seigneur du second avènement ne jugera pas l’humanité avec un sceptre de fer. En frappant les gens, il n’amènerait même pas une seule personne à se soumettre complètement.

La main de la mère est ratatinée et tordue comme le dos d’un crapaud à cause des épreuves traversées pour son enfant. L’amour sacrificiel de la mère a le pouvoir de retourner son enfant désobéissant et de l’amener au repentir. On n’y arrive pas à coups de bâton. Sans amour vrai, l’unification du ciel et de la terre serait impossible, même pour Dieu, qui est le grand roi du jugement et qui peut librement guider le ciel et la terre à Sa guise. L’amour vrai n’a pas peur des difficultés. L’amour vrai a la force d’aller de l’avant, même quand vous mettez votre vie dans la balance. (201-339, 30.4.1990)

L’amour peut faire fondre l’ennemi. L’amour a même le pouvoir de transformer l’enfant le plus rebelle en enfant de piété. Seul l’amour a le pouvoir d’amener ceux qu’on qualifiait de traîtres à se rendre pour devenir de loyaux serviteurs. C’est possible. C’est pourquoi, depuis la nuit des temps, les gens ont voulu être liés par l’amour, quelle que soit l’apparence d’une personne. « Amen » (195-70, 5.11.1989)

Les presbytériens enseignent que Dieu devient le juge de la justice, prédestine le destin des êtres humains et les sauve. C’est quoi, ces absurdités ? Bande d’escrocs, va ! J’ai découvert que Dieu n’est pas ainsi. Un Dieu qui prédestine les gens au Ciel et à l’enfer à leur naissance, je vous demande où est Sa bonté ? Cela défie la logique. Ce qui n’est pas logique est contraire au bon sens. Il n’y a pas de vérité qui aille contre le bon sens.

Voyez ce qui arrive au juge principal qui rend sa sentence et condamne cinq meurtriers à la peine de mort. Il devra passer des examens médicaux à chaque fois. Les lois de la République de Corée sont différentes des lois en Corée du Nord. Ceux qui sont condamnés à mort ici peuvent devenir des patriotes au nord. En pensant aux principes du Ciel et de la terre et à la loi de justice, pensez-vous qu’un juge se sentirait bien ? (200-192, 25.2.1990)

Unir le ciel et la terre au moyen de la force, même Dieu n’y arriverait pas, Lui qui est le grand roi du jugement et qui peut librement guider le ciel et la terre à Sa guise. Ce ne serait guère possible avec de l’argent, le savoir, ou l’autorité. On ne peut y parvenir que par l’amour. (200-173, 25.2.1990)

Dieu ne peut infliger de sentence au diable. Dans le livre de Job, pourquoi Dieu a-t-il traité avec Satan alors que celui-ci était sur Ses talons et prenait les choses sous son contrôle ? Dieu fut contraint de composer avec lui. Satan dirait : « Si Tu ne me digères pas dans Ton amour, si Tu n’établis pas le modèle originel après m’avoir digéré dans l’amour, Tu ne peux me contrôler. C’est la voie que Tu as tracée, non ? Tu es censé me dominer après avoir surmonté la voie de l’amour absolu, au-delà de toutes les formes accomplies d’amour basées sur le Principe. Puisque Tu n’as pas atteint ce niveau-là, Tu ne peux me dominer. Si Tu veux me dominer, si Tu veux m’amener à reddition, Tu dois le faire en restant dans le cadre de la vraie voie. Je me rendrai à l’individu au niveau individuel, à la famille au niveau familial, à la tribu au niveau tribal, et au peuple au niveau national. Mais ceci n’arrivera que si Tu établis le modèle, pas vrai ? » Dieu serait immobilisé et comme cloué. Vous devez le savoir. (188-228, 26.2.1990)

Dans ce monde, si l’on vous demandait : « Que voulez-vous faire ? » vous répondriez : « Je veux devenir juge à la Cour suprême. » Ce n’est pas votre cas ? Tout le monde aime les juges, n’est-ce pas ? Les chrétiens disent aujourd’hui : « Dieu est le grand maître du ciel et de la terre. Il est aussi le juge qui tranche entre le bien et le mal et envoie les bons au Ciel et les méchants en enfer, et qui régit le ciel et la terre en s’appuyant sur la loi de justice. » Vous aimeriez ce juge ? S’il avait envoyé des milliards de gens en enfer au cours de l’histoire jusqu’à nos jours, Dieu aurait-Il l’esprit en paix ? Jamais de la vie.

En ce sens, Dieu n’a pas l’ambition de siéger sur Son trône et d’y exercer Son autorité de juge. Dieu hait ce genre de choses. (201-21, 28.2.1990)

Vous vous connaissez mieux que Dieu. C’est pour cela que nous n’avons pas besoin du seigneur du jugement. En fait, nous n’avons pas besoin d’un Dieu qui juge. Votre conscience est la mieux placée. À la lueur de cette règle fondamentale, votre degré d’implication dans l’objectif d’amener la libération en vous appuyant sur le modèle libéré sera évalué proportionnellement. Vous devez savoir si vous êtes authentique ou fabulateur. Voulez-vous savoir ou pas ? Si vous ne voulez pas savoir, il n’y a pas d’espoir. Il ne vous reste plus que le cimetière municipal, ou bien vous finirez par atterrir dans la poubelle, ou par dériver dans le Pacifique sur un radeau. Voilà quelque chose de difficile à assumer.

Vous savez ce qui est bien et mal. Même en disant un seul mot, vous saurez ce qui est faux. D’un regard, vous saurez ce qui cloche ; aux sons que vous entendrez, au toucher, vous saurez tout.

Quand vous irez dans le monde spirituel, tout ceci sera révélé. Un signe de la tête, et tout ce qui vous concerne apparaît. Le miroir de votre esprit, la lumière de votre esprit seront là aussitôt. Nul besoin d’explication. C’est comme cela parce que vous ne connaissez pas le monde spirituel. Mais puisque je sais ces choses-là, je suis calme même quand on me maudit dans ce monde. J’ai continué jusqu’à ce jour à faire des choses que les gens prennent pour des folies. (201-270, 29.4.1990)

Les gens qui vivent dans ce monde sont de plusieurs types : serviteurs de serviteurs, serviteurs, fils adoptifs et enfants nés hors mariage. Le monde est ainsi dans la fange. Il faut mettre de l’ordre. Avec quoi trouver de l’ordre ? Ce n’est possible que par l’amour. Les religions qui ont hérité et maintenu la voie traditionnelle de l’amour auraient dû former des religions globales. Les religions qui vont contre la voie de l’amour et celles qui ne suivent pas cet amour, seront jugées par histoire comme représentantes de l’âge.

En quoi consistera le jugement du monde ? Ce sera cet amour ; cette tradition d’aimer le ciel et la terre ; cette tradition d’aimer le monde ; cette tradition d’aimer la nation ; cette tradition d’aimer le peuple ; cette tradition d’aimer sa famille ; cette tradition d’aimer ses parents, sa femme et ses frères ; cette tradition de s’aimer soi-même, voilà. (192-75, 2.7.1989)

Dieu est le juge, Jésus est tel un avocat. Or, il n’y a jamais eu de procureur public du côté du Ciel. Jusqu’ici, le diable fut le procureur. Du côté céleste, un procureur, un juge et un avocat doivent apparaître. Sous cet angle, l’Église de l’Unification a toute la panoplie et devrait donc bannir de la terre pour toujours Satan, l’humanisme, l’obscénité et le nihilisme destructeur. C’est le système de croyance de l’Église de l’Unification. (192-49, 2.7.1989)

Dieu désire l’amour par-dessus tout, point final. Qui serait Son plus grand ennemi dans les derniers jours ? Quelle est la condition numéro un pour un jugement ? Dans les derniers jours, l’amour de soi égoïste devient la condition numéro un du jugement. Pour les chercheurs, la conscience universitaire – leur désir même d’étudier deviendra la condition de leur jugement. Les choses que vous aimez le plus serviront à vous juger.

Pour celui qui raffole d’argent avant tout – qui sacrifie tout pour en amasser – cela deviendra la base de son jugement. Pour ceux qui sont friands d’honneurs et de pouvoir, ce sont ces choses qui seront les conditions de leur jugement. Pour une femme, il y aura quelque chose qui lui plaira en fonction de ses attributs et de sa propre nature. Ce sera la condition de son jugement. (170-92, 8.11.1987)

On m’a critiqué. Bah ! Je n’y pense pas. On m’a fouetté, c’est oublié. On m’en a fait voir de toutes les couleurs dans ma vie, je ne cherche pas à rendre de jugement pour autant. J’avance sur ce chemin avec amour, pour digérer des choses plus grandes encore. Je pense donc que Dieu m’aime. Moi aussi, je brûle d’être avec une telle personne. Je n’aime pas ces gens qui font quelque chose puis cherchent une compensation. Quelqu’un voudrait-il m’adresser une requête de compensation ? Levez la tête et dites-le moi. (148-56, 4.10.1986)

Si vous n’arrivez pas à vous repentir, vous serez passible du jugement. Personne ne peut tenir devant la loi de l’amour. À ce moment-là, je me ferai votre avocat, ma famille et mon clan se feront vos avocats, tous les guides de l’Église de l’Unification deviendront vos avocats – même Dieu sera votre avocat. Les avocats devront être en surnombre par rapport au camp de l’accusation, pour que vous puissiez être enregistrés comme citoyens du Royaume céleste de bonté. Si le nombre n’est pas atteint, vous ne pourrez pas vous inscrire. (147-331, 1.10.1986)

Moi aussi, je suis le chemin de la loi céleste. Il vous faut donc suivre ce chemin sans un mot. Le jour où vous suivrez ce chemin sans un mot, il vous sera accordé le bienfait de vous être joint à moi sur ce chemin. Toutefois, si vous bâtissez votre demeure et faites votre petit territoire en cours de route, vous serez accusé et jugé ; tout comme ceux qui sont en prison y ont été envoyés pour avoir violé un certain article de la loi. Ils n’ont pas transgressé toutes les lois de la nation. Ils ont seulement violé un certain nombre de dispositions de la loi. Pareillement, si vous enfreignez aussi certaines lois, vous ne pourrez pas continuer. (147-317, 1.10.1986)

Même si nous devons périr ensemble, ne prenez pas le chemin d’un traître. Même si cela nous tombe dessus, nous jouirons d’une bonne position dans le monde spirituel. Si vous n’avez pas été un traître, vous pourrez prospérer autant que vous pourrez dans le groupe où il n’y a pas de traîtres. Toutefois, les traîtres ne pourront prospérer. Il y aura toujours quelque chose pour leur barrer le chemin. Ils n’auraient pas la force de digérer et d’aller au-delà. Voilà pour les traîtres à la nation. Si vous trahissez votre nation malgré votre serment de vous dévouer à l’intérêt supérieur, vous serez toujours jugé et malmené pour votre responsabilité par cet intérêt supérieur. Il n’y a pas moyen de l’éviter. (144-254, 25.4.1986)

Quand le monde se dirigera vers un seul royaume, établira une nation et y fera son entrée, vous devrez rédiger dans les détails le cheminement de votre vie et passer les instances du jugement. Sans passer par ce réexamen, vous ne pourrez pas avancer à la position des bénédictions de niveau national. Reste encore le chemin vers les bénédictions de niveau mondial.

La Bénédiction donnée dans l’Église de l’Unification est une bénédiction d’Église. Le jugement vient du mouvement de l’Unification, des enfants bénis, des parents bénis. Ce faisant, je pense aller au-delà de la sphère mondiale du jugement en proportion de cette dispense spéciale. Vous devez le savoir clairement. Vous, les bons à rien qui avez reçu la Bénédiction, feriez bien de mettre de l’ordre dans vos actes.

Si vous mettez de côté le Principe et vivez comme il vous plaît, pensez-vous que le monde basé sur le Principe, le monde de la volonté de Dieu, voudra être en rapport avec vous ? Pas moyen. Si c’était possible, je ne passerais pas par de telles épreuves. (137-259, 3.1.1986)

Vous serez jugé à la masse de fer avec l’amour de Dieu, la vie de Dieu et le lignage de Dieu. Ce temps va venir. Le Messie vient à ce moment-là. Savez-vous quel genre de personne est le Messie et le sauveur ? Il vient à la recherche de l’ordre de l’amour originel et à la recherche du palais de la vie, de l’amour, du lignage éternel du Dieu originel. Sachez qu’il est celui qui vient établir la base du bonheur et s’assurer la suprématie par un amour unique, en présence de sa famille et de sa tribu qui lui sont liés et, au-delà, du peuple, de la nation et du monde. (209-40, 25.11.1990)

Qu’est-ce que la famille de Dieu ? L’amour vrai, qui est dans la position de Dieu, s’y adaptera partout, quand il est amené en bas, et saura s’adapter, même s’il est déplacé et mis ailleurs. Même si un petit-fils grimpe sur l’épaule de son grand-père, il ne sera pas jugé par la loi familiale. Même si le petit-fils dérobe les couvertures du grand-père, et laisse le grand-père dormir en boule dans le coin, il ne sera pas jugé pour impiété. Ça pourra passer avec l’amour vrai. (209-102, 27.11.1990)

Vous pouvez bien invoquer le nom des Vrais Parents, mais les avez-vous jamais secondés ? Vous ne pouvez être en mesure de les seconder que si vous restez veiller la nuit plus tard que moi. Vous ne pouvez-vous tenir dans cette position que si vous souffrez plus que moi. À me suivre, vous êtes tous devenus tels des parasites. Un parasite est tel un vers parasite. Parasite, le nom vous va bien. Espèce d’imposteurs et de voyous ! C’est qu’il y en a beaucoup comme vous dans l’Église de l’Unification. Il s’agit maintenant de purger tout cela.

Alors que ce monde me rend amer, je pense à répandre mon courroux enflammé sur tous ceux qui traînent dans l’Église de l’Unification et lui nuisent. Avant de passer le monde en jugement, ces gens-là doivent être jugés les premiers. S’ils ne se conforment pas à la voie de mes enseignements, qu’ils soient écartés. (260-80, 11.4.1994)

Ce monde satanique ne peut rien offrir pour bâtir le royaume céleste. Tout est bon à brûler. C’est pourquoi j’ai créé le sel béni pour sanctifier ces choses afin qu’elles puissent servir à nouveau. L’être humain déchu aussi est bon à brûler. Il doit être jugé par le feu. Les gens doivent être recréés de ma main. Je mettrai mon cœur à les sauver afin de pouvoir les amener au Ciel.

Jusqu’ici, je n’ai jamais versé le sang d’une autre vie de ma main. Si le jour devait se présenter où je dois lever la main, ce serait terrible. Vous devriez garder cela à l’esprit pour que telles conséquences n’aient pas lieu d’être. Comprenez-vous ? Le problème sera grand le jour où je verrai le sang. Voilà la règle fondamentale. C’est pourquoi j’essaie de sauver même Kim Il-sung. (210-73, 1.12.1990)

J’ai pensé, combien resteraient si je commençais à boire de l’alcool, et à pisser ici en demandant pourquoi ces gens sont là et en les chassant. Pourquoi riez-vous ? Un jugement de ce genre peut soudain tomber sur n’importe qui au ciel et sur terre.

Pour trouver une femme véritable qui peut prendre part à l’amour vrai, si j’ôtais mes vêtements, et commençais à uriner… Je me demande combien resteraient si je devenais à moitié fou et urinais à côté de vous. Pourquoi ? Vous ne savez pas par quelles horreurs je suis passé. Vous ne le savez pas. Même ma mère ne le sait pas. Même notre Mère ici ne le sait pas. Aussi beaucoup de femmes spiritualistes pleurent en me prenant en pitié. Si je ne parlais pas ainsi, qui le saurait ? Vous ne savez pas quels problèmes ardus me sont tombés dessus jusqu’ici et combien j’ai dû lutter dans ma chair et mon âme. (210-81, 1.12.1990)


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