
Livre VI
La vie humaine et le monde des esprits
La vie sur terre et le monde spirituel
Chapitre II
À quoi ressemble le monde spirituel ?
6.2. Le jugement rendu par les Vrais Parents
se fonde sur le règne de la loi d’amour
Que peut bien être le sauveur ? Quel est
le but de sa venue ? Il ne vient pas pour faire de la politique. Pourquoi
un sauveur viendrait-il ? Les chrétiens de nos jours disent qu’avec la
venue du Seigneur, ils seront élevés dans les airs tandis que ceux qui restent
sur terre seront tous jugés. Cela n’arrivera pas ; les choses ne se
passent pas ainsi. Ils disent qu’il amène le jugement, mais le sauveur ne vient
pas rendre de jugement. Il vient comme le fils de Dieu et aussi comme le parent
de l’humanité.
Est-ce que la personne qui vient comme le
parent de l’humanité, avec un cœur parental pour arracher à la mort imminente
ses fils et filles qui gémissent de douleur, va leur lancer : « Eh
vous, allez en enfer ! » ? Même les parents dans le monde déchu
s’étoufferaient de chagrin en voyant leurs enfants mourir dans un état aussi
pitoyable. Leur cœur pousserait les parents à tenter n’importe quoi, même s’ils
devaient perdre la vie, pour sauver leurs enfants. Si tel est le cœur des
parents dans le monde déchu, que dire du sauveur qui vient avec le cœur du
parent originel ? Le jugement serait impensable. Qu’en dites-vous ?
(222-150, 3.11.1991)
Les gens récitent la Bible en disant :
« Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son Fils, l’Unique-Engendré,
afin que quiconque croit en lui ne se perde pas, mais ait la vie éternelle. »
Dieu a tant aimé le monde, dit-on. Jésus est venu sauver le monde entier, pas
seulement sauver les chrétiens. Est-ce qu’il vient donc amener le jugement dans
les derniers jours ? Alors, la formule qui dit « Dieu a tant aimé le
monde » serait une erreur. Est-ce qu’Il aime seulement les
chrétiens ? Ils ne savent pas que Dieu ne cesse d’aimer. Nous devons le
leur enseigner et les amener au repentir et à changer de mentalité. À bas les chapelles !
(210-110, 1.12.1990)
Les Églises chrétiennes disent aujourd’hui
que Dieu fait passer les êtres humains en jugement et autre chose encore. Or,
si Dieu était libre de faire ce qu’Il voulait, Il n’aurait pas eu à suspendre
Son jugement jusqu’ici. Il aurait déjà exécuté le jugement aussitôt après la
chute. Instaurer Son idéal d’amour sur la base d’une victoire acquise après
avoir rendu Son jugement, aucun principe ne permet cela à Dieu. (210-61,
1.12.1990)
Quelle est l’erreur de la philosophie des
Églises chrétiennes actuelles ? C’est de parler d’un Dieu de jugement. Au
bout de cinq ans à jouer les juges, vous commenceriez à courber l’échine.
Pourquoi ? Parce que vous ne pourriez plus étirer votre dos. Les chrétiens
n’en ont rien su. Ils ont simplement adoré Dieu comme un Dieu de pouvoir et un
Dieu omnipotent. Ils se croyaient tout permis en s’unissant à ce genre de Dieu.
De là est venue leur théorie qui justifie la mise à mort des gens. La culture
occidentale, basée sur le christianisme, ayant cultivé la philosophie de la
force, la civilisation occidentale est liée à des conflits sanglants. (208-248,
20.11.1990)
Dieu ne juge pas les gens directement. En
rendant la justice et en disposant des méchants sur terre, Dieu n’agit pas de
Lui-même. Il y a Satan pour cela. (204-60, 1.7.1990)
Dieu est sur le point de passer ce monde en
jugement, et quelqu’un dit soudain : « Attends un moment, je T’en
prie. Vois un peu ceci. C’est quelque chose de très intéressant. » Dieu
répond : « De quoi s’agit-il ? » La personne dit
alors : « C’est la paume de ma main. Vois comme elles sont belles,
les lignes de ma main. Je fais ce que je fais parce que mes lignes sont bien
plus jolies que les Tiennes. » Que ferait Dieu ? Est-ce que Sa colère
ne va pas passer alors qu’Il compare les lignes de Sa main avec celles de cette
personne ?
Si cette personne Lui dit : « Dieu,
veux-Tu me couper la main ? Vas-Tu me juger ? », Dieu répondra
en riant : « Eh toi, coquin, sacré coquin ! » Cette
personne aurait beau être laide, Dieu Se sentirait stimulé. Comprenez-vous ce
que je dis ? Il doit y avoir le positif et le négatif. Pour pouvoir
devenir un chef-d’œuvre, votre caractère doit se développer dans plusieurs
dimensions. C’est ainsi que tout fonctionne. Ce n’est qu’en amenant les aspects
plus et les aspects moins ensemble que l’on peut arrondir son caractère.
Dieu est peut-être très en colère. Mais
inutile de Lui dire : « Dieu, ne fais pas cela » ; il vaut
mieux Lui dire : « Dieu, regarde un peu cela, par ici. » Dieu
dira alors : « Pourquoi ? » Vous lui direz alors :
« Cet aigle est en train de se payer un poulet. » Dieu dira
probablement : « Qu’il le prenne, son poulet ! » Et vous
direz alors : « Ah bon ! Tu es comme l’aigle alors ! »
Voilà qui va laisser Dieu pantois. « Espèce de coquin, que viens-tu de
dire ? Je… » Mais Dieu n’aura rien d’autre à dire, si ce n’est
marmonner : « Hum, euh…. » (202-219, 24.5.1990)
Si vous demandez à Dieu, Il n’ira pas vous
dire qu’Il veut devenir le seigneur du jugement. Dieu ne rend pas de jugement.
On parle ainsi quand on ne connaît pas le monde spirituel. Lisez les sermons
des chrétiens : de vraies âneries. Ils ne connaissent vraiment pas le
monde spirituel.
Iront-ils au Ciel en pensant comme
cela ? Allez voir par vous-même ce qui se passe. Les corbeaux et les
vautours n’en feront qu’une bouchée. Ils sont plus mauvais que les gens du
monde. Je ne fréquente pas ces gens-là. Si un chien aboie et que vous aboyez
avec lui, cela fait de vous un salaud, alors quoi ? Je ne les fréquente
pas. Mais je suis désolé pour eux, et plus tard, quand ils seront affamés, je
pense leur apporter quelque chose à manger. (201-286, 29.4.1990)
C’est toute l’humanité qui doit se réveiller.
Ce qu’enseigne le fondateur de l’Église de l’Unification est la vérité qui
sauvera le monde. C’est la parole d’amour vrai et de vie dont l’humanité
entière a besoin pour l’éternité. Venu sauver le monde, le Seigneur du second
avènement ne jugera pas l’humanité avec un sceptre de fer. En frappant les
gens, il n’amènerait même pas une seule personne à se soumettre complètement.
La main de la mère est ratatinée et tordue
comme le dos d’un crapaud à cause des épreuves traversées pour son enfant.
L’amour sacrificiel de la mère a le pouvoir de retourner son enfant
désobéissant et de l’amener au repentir. On n’y arrive pas à coups de bâton.
Sans amour vrai, l’unification du ciel et de la terre serait impossible, même
pour Dieu, qui est le grand roi du jugement et qui peut librement guider le
ciel et la terre à Sa guise. L’amour vrai n’a pas peur des difficultés. L’amour
vrai a la force d’aller de l’avant, même quand vous mettez votre vie dans la
balance. (201-339, 30.4.1990)
L’amour peut faire fondre l’ennemi. L’amour a
même le pouvoir de transformer l’enfant le plus rebelle en enfant de piété.
Seul l’amour a le pouvoir d’amener ceux qu’on qualifiait de traîtres à se rendre
pour devenir de loyaux serviteurs. C’est possible. C’est pourquoi, depuis la
nuit des temps, les gens ont voulu être liés par l’amour, quelle que soit
l’apparence d’une personne. « Amen » (195-70, 5.11.1989)
Les presbytériens enseignent que Dieu devient
le juge de la justice, prédestine le destin des êtres humains et les sauve.
C’est quoi, ces absurdités ? Bande d’escrocs, va ! J’ai découvert que
Dieu n’est pas ainsi. Un Dieu qui prédestine les gens au Ciel et à l’enfer à
leur naissance, je vous demande où est Sa bonté ? Cela défie la logique.
Ce qui n’est pas logique est contraire au bon sens. Il n’y a pas de vérité qui
aille contre le bon sens.
Voyez ce qui arrive au juge principal qui
rend sa sentence et condamne cinq meurtriers à la peine de mort. Il devra
passer des examens médicaux à chaque fois. Les lois de la République de Corée
sont différentes des lois en Corée du Nord. Ceux qui sont condamnés à mort ici
peuvent devenir des patriotes au nord. En pensant aux principes du Ciel et de
la terre et à la loi de justice, pensez-vous qu’un juge se sentirait
bien ? (200-192, 25.2.1990)
Unir le ciel et la terre au moyen de la
force, même Dieu n’y arriverait pas, Lui qui est le grand roi du jugement et
qui peut librement guider le ciel et la terre à Sa guise. Ce ne serait guère
possible avec de l’argent, le savoir, ou l’autorité. On ne peut y parvenir que
par l’amour. (200-173, 25.2.1990)
Dieu ne peut infliger de sentence au diable.
Dans le livre de Job, pourquoi Dieu a-t-il traité avec Satan alors que celui-ci
était sur Ses talons et prenait les choses sous son contrôle ? Dieu fut
contraint de composer avec lui. Satan dirait : « Si Tu ne me digères
pas dans Ton amour, si Tu n’établis pas le modèle originel après m’avoir digéré
dans l’amour, Tu ne peux me contrôler. C’est la voie que Tu as tracée,
non ? Tu es censé me dominer après avoir surmonté la voie de l’amour
absolu, au-delà de toutes les formes accomplies d’amour basées sur le Principe.
Puisque Tu n’as pas atteint ce niveau-là, Tu ne peux me dominer. Si Tu veux me
dominer, si Tu veux m’amener à reddition, Tu dois le faire en restant dans le
cadre de la vraie voie. Je me rendrai à l’individu au niveau individuel, à la
famille au niveau familial, à la tribu au niveau tribal, et au peuple au niveau
national. Mais ceci n’arrivera que si Tu établis le modèle, pas
vrai ? » Dieu serait immobilisé et comme cloué. Vous devez le savoir.
(188-228, 26.2.1990)
Dans ce monde, si l’on vous demandait :
« Que voulez-vous faire ? » vous répondriez : « Je
veux devenir juge à la Cour suprême. » Ce n’est pas votre cas ? Tout
le monde aime les juges, n’est-ce pas ? Les chrétiens disent
aujourd’hui : « Dieu est le grand maître du ciel et de la terre. Il
est aussi le juge qui tranche entre le bien et le mal et envoie les bons au
Ciel et les méchants en enfer, et qui régit le ciel et la terre en s’appuyant
sur la loi de justice. » Vous aimeriez ce juge ? S’il avait envoyé
des milliards de gens en enfer au cours de l’histoire jusqu’à nos jours, Dieu
aurait-Il l’esprit en paix ? Jamais de la vie.
En ce sens, Dieu n’a pas l’ambition de siéger
sur Son trône et d’y exercer Son autorité de juge. Dieu hait ce genre de
choses. (201-21, 28.2.1990)
Vous vous connaissez mieux que Dieu. C’est
pour cela que nous n’avons pas besoin du seigneur du jugement. En fait, nous
n’avons pas besoin d’un Dieu qui juge. Votre conscience est la mieux placée. À
la lueur de cette règle fondamentale, votre degré d’implication dans l’objectif
d’amener la libération en vous appuyant sur le modèle libéré sera évalué
proportionnellement. Vous devez savoir si vous êtes authentique ou fabulateur.
Voulez-vous savoir ou pas ? Si vous ne voulez pas savoir, il n’y a pas
d’espoir. Il ne vous reste plus que le cimetière municipal, ou bien vous
finirez par atterrir dans la poubelle, ou par dériver dans le Pacifique sur un
radeau. Voilà quelque chose de difficile à assumer.
Vous savez ce qui est bien et mal. Même en
disant un seul mot, vous saurez ce qui est faux. D’un regard, vous saurez ce
qui cloche ; aux sons que vous entendrez, au toucher, vous saurez tout.
Quand vous irez dans le monde spirituel, tout
ceci sera révélé. Un signe de la tête, et tout ce qui vous concerne apparaît.
Le miroir de votre esprit, la lumière de votre esprit seront là aussitôt. Nul
besoin d’explication. C’est comme cela parce que vous ne connaissez pas le
monde spirituel. Mais puisque je sais ces choses-là, je suis calme même quand
on me maudit dans ce monde. J’ai continué jusqu’à ce jour à faire des choses
que les gens prennent pour des folies. (201-270, 29.4.1990)
Les gens qui vivent dans ce monde sont de
plusieurs types : serviteurs de serviteurs, serviteurs, fils adoptifs et
enfants nés hors mariage. Le monde est ainsi dans la fange. Il faut mettre de
l’ordre. Avec quoi trouver de l’ordre ? Ce n’est possible que par l’amour.
Les religions qui ont hérité et maintenu la voie traditionnelle de l’amour
auraient dû former des religions globales. Les religions qui vont contre la
voie de l’amour et celles qui ne suivent pas cet amour, seront jugées par
histoire comme représentantes de l’âge.
En quoi consistera le jugement du
monde ? Ce sera cet amour ; cette tradition d’aimer le ciel et la
terre ; cette tradition d’aimer le monde ; cette tradition d’aimer la
nation ; cette tradition d’aimer le peuple ; cette tradition d’aimer
sa famille ; cette tradition d’aimer ses parents, sa femme et ses
frères ; cette tradition de s’aimer soi-même, voilà. (192-75, 2.7.1989)
Dieu est le juge, Jésus est tel un avocat.
Or, il n’y a jamais eu de procureur public du côté du Ciel. Jusqu’ici, le
diable fut le procureur. Du côté céleste, un procureur, un juge et un avocat
doivent apparaître. Sous cet angle, l’Église de l’Unification a toute la
panoplie et devrait donc bannir de la terre pour toujours Satan, l’humanisme,
l’obscénité et le nihilisme destructeur. C’est le système de croyance de
l’Église de l’Unification. (192-49, 2.7.1989)
Dieu désire l’amour par-dessus tout, point
final. Qui serait Son plus grand ennemi dans les derniers jours ? Quelle
est la condition numéro un pour un jugement ? Dans les derniers jours,
l’amour de soi égoïste devient la condition numéro un du jugement. Pour les
chercheurs, la conscience universitaire – leur désir même d’étudier deviendra
la condition de leur jugement. Les choses que vous aimez le plus serviront à
vous juger.
Pour celui qui raffole d’argent avant tout –
qui sacrifie tout pour en amasser – cela deviendra la base de son jugement.
Pour ceux qui sont friands d’honneurs et de pouvoir, ce sont ces choses qui
seront les conditions de leur jugement. Pour une femme, il y aura quelque chose
qui lui plaira en fonction de ses attributs et de sa propre nature. Ce sera la
condition de son jugement. (170-92, 8.11.1987)
On m’a critiqué. Bah ! Je n’y pense pas.
On m’a fouetté, c’est oublié. On m’en a fait voir de toutes les couleurs dans
ma vie, je ne cherche pas à rendre de jugement pour autant. J’avance sur ce
chemin avec amour, pour digérer des choses plus grandes encore. Je pense donc
que Dieu m’aime. Moi aussi, je brûle d’être avec une telle personne. Je n’aime
pas ces gens qui font quelque chose puis cherchent une compensation. Quelqu’un
voudrait-il m’adresser une requête de compensation ? Levez la tête et dites-le
moi. (148-56, 4.10.1986)
Si vous n’arrivez pas à vous repentir, vous
serez passible du jugement. Personne ne peut tenir devant la loi de l’amour. À
ce moment-là, je me ferai votre avocat, ma famille et mon clan se feront vos
avocats, tous les guides de l’Église de l’Unification deviendront vos avocats –
même Dieu sera votre avocat. Les avocats devront être en surnombre par rapport
au camp de l’accusation, pour que vous puissiez être enregistrés comme citoyens
du Royaume céleste de bonté. Si le nombre n’est pas atteint, vous ne pourrez
pas vous inscrire. (147-331, 1.10.1986)
Moi aussi, je suis le chemin de la loi
céleste. Il vous faut donc suivre ce chemin sans un mot. Le jour où vous
suivrez ce chemin sans un mot, il vous sera accordé le bienfait de vous être
joint à moi sur ce chemin. Toutefois, si vous bâtissez votre demeure et faites
votre petit territoire en cours de route, vous serez accusé et jugé ; tout
comme ceux qui sont en prison y ont été envoyés pour avoir violé un certain
article de la loi. Ils n’ont pas transgressé toutes les lois de la nation. Ils
ont seulement violé un certain nombre de dispositions de la loi. Pareillement,
si vous enfreignez aussi certaines lois, vous ne pourrez pas continuer.
(147-317, 1.10.1986)
Même si nous devons périr ensemble, ne prenez
pas le chemin d’un traître. Même si cela nous tombe dessus, nous jouirons d’une
bonne position dans le monde spirituel. Si vous n’avez pas été un traître, vous
pourrez prospérer autant que vous pourrez dans le groupe où il n’y a pas de
traîtres. Toutefois, les traîtres ne pourront prospérer. Il y aura toujours
quelque chose pour leur barrer le chemin. Ils n’auraient pas la force de
digérer et d’aller au-delà. Voilà pour les traîtres à la nation. Si vous
trahissez votre nation malgré votre serment de vous dévouer à l’intérêt
supérieur, vous serez toujours jugé et malmené pour votre responsabilité par
cet intérêt supérieur. Il n’y a pas moyen de l’éviter. (144-254, 25.4.1986)
Quand le monde se dirigera vers un seul
royaume, établira une nation et y fera son entrée, vous devrez rédiger dans les
détails le cheminement de votre vie et passer les instances du jugement. Sans
passer par ce réexamen, vous ne pourrez pas avancer à la position des
bénédictions de niveau national. Reste encore le chemin vers les bénédictions
de niveau mondial.
La Bénédiction donnée dans l’Église de
l’Unification est une bénédiction d’Église. Le jugement vient du mouvement de
l’Unification, des enfants bénis, des parents bénis. Ce faisant, je pense aller
au-delà de la sphère mondiale du jugement en proportion de cette dispense spéciale.
Vous devez le savoir clairement. Vous, les bons à rien qui avez reçu la
Bénédiction, feriez bien de mettre de l’ordre dans vos actes.
Si vous mettez de côté le Principe et vivez
comme il vous plaît, pensez-vous que le monde basé sur le Principe, le monde de
la volonté de Dieu, voudra être en rapport avec vous ? Pas moyen. Si
c’était possible, je ne passerais pas par de telles épreuves. (137-259,
3.1.1986)
Vous serez jugé à la masse de fer avec
l’amour de Dieu, la vie de Dieu et le lignage de Dieu. Ce temps va venir. Le
Messie vient à ce moment-là. Savez-vous quel genre de personne est le Messie et
le sauveur ? Il vient à la recherche de l’ordre de l’amour originel et à
la recherche du palais de la vie, de l’amour, du lignage éternel du Dieu originel.
Sachez qu’il est celui qui vient établir la base du bonheur et s’assurer la
suprématie par un amour unique, en présence de sa famille et de sa tribu qui
lui sont liés et, au-delà, du peuple, de la nation et du monde. (209-40,
25.11.1990)
Qu’est-ce que la famille de Dieu ?
L’amour vrai, qui est dans la position de Dieu, s’y adaptera partout, quand il
est amené en bas, et saura s’adapter, même s’il est déplacé et mis ailleurs.
Même si un petit-fils grimpe sur l’épaule de son grand-père, il ne sera pas jugé
par la loi familiale. Même si le petit-fils dérobe les couvertures du
grand-père, et laisse le grand-père dormir en boule dans le coin, il ne sera
pas jugé pour impiété. Ça pourra passer avec l’amour vrai. (209-102,
27.11.1990)
Vous pouvez bien invoquer le nom des Vrais
Parents, mais les avez-vous jamais secondés ? Vous ne pouvez être en
mesure de les seconder que si vous restez veiller la nuit plus tard que moi.
Vous ne pouvez-vous tenir dans cette position que si vous souffrez plus que
moi. À me suivre, vous êtes tous devenus tels des parasites. Un parasite est
tel un vers parasite. Parasite, le nom vous va bien. Espèce d’imposteurs et de
voyous ! C’est qu’il y en a beaucoup comme vous dans l’Église de
l’Unification. Il s’agit maintenant de purger tout cela.
Alors que ce monde me rend amer, je pense à
répandre mon courroux enflammé sur tous ceux qui traînent dans l’Église de
l’Unification et lui nuisent. Avant de passer le monde en jugement, ces gens-là
doivent être jugés les premiers. S’ils ne se conforment pas à la voie de mes
enseignements, qu’ils soient écartés. (260-80, 11.4.1994)
Ce monde satanique ne peut rien offrir pour
bâtir le royaume céleste. Tout est bon à brûler. C’est pourquoi j’ai créé le
sel béni pour sanctifier ces choses afin qu’elles puissent servir à nouveau.
L’être humain déchu aussi est bon à brûler. Il doit être jugé par le feu. Les
gens doivent être recréés de ma main. Je mettrai mon cœur à les sauver afin de
pouvoir les amener au Ciel.
Jusqu’ici, je n’ai jamais versé le sang d’une
autre vie de ma main. Si le jour devait se présenter où je dois lever la main,
ce serait terrible. Vous devriez garder cela à l’esprit pour que telles
conséquences n’aient pas lieu d’être. Comprenez-vous ? Le problème sera
grand le jour où je verrai le sang. Voilà la règle fondamentale. C’est pourquoi
j’essaie de sauver même Kim Il-sung. (210-73, 1.12.1990)
J’ai pensé, combien resteraient si je
commençais à boire de l’alcool, et à pisser ici en demandant pourquoi ces gens
sont là et en les chassant. Pourquoi riez-vous ? Un jugement de ce genre
peut soudain tomber sur n’importe qui au ciel et sur terre.
Pour trouver une femme véritable qui peut
prendre part à l’amour vrai, si j’ôtais mes vêtements, et commençais à uriner…
Je me demande combien resteraient si je devenais à moitié fou et urinais à côté
de vous. Pourquoi ? Vous ne savez pas par quelles horreurs je suis passé.
Vous ne le savez pas. Même ma mère ne le sait pas. Même notre Mère ici ne le
sait pas. Aussi beaucoup de femmes spiritualistes pleurent en me prenant en
pitié. Si je ne parlais pas ainsi, qui le saurait ? Vous ne savez pas
quels problèmes ardus me sont tombés dessus jusqu’ici et combien j’ai dû lutter
dans ma chair et mon âme. (210-81, 1.12.1990)
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