lundi 8 mars 2021

Développant le fond des océans

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

1. La mer, ce magasin précieux pour l’avenir de l’humanité

1.2. Des ressources illimitées en développant le fond des océans

Comprenez bien que l’océan est la chambre forte de ressources prodigieuses et illimitées. (128-254, 28.8.1983)

À nous d’aimer l’océan. Il faut l’explorer et le développer. On ne peut se permettre d’ignorer l’océan ; sur le globe, l’océan représente trois fois la superficie des terres émergées. Qui selon vous va développer les ressources marines que recèle le fond de l’océan ? On peut trouver du pétrole (l’or noir) sur la terre ; l’océan étant trois fois plus vaste, on peut s’attendre à en trouver trois fois plus en mer.

Le développement doit commencer sans tarder. Je dis donc aux membres de l’Église de l’Unification d’investir les côtes. Vendez la maison s’il le faut, débrouillez-vous. Les régions côtières ne sont pas onéreuses, en principe. Il y a plein d’îles dont vous pouvez devenir l’unique propriétaire. Si vous y aménagez une base pour l’industrie océanique, des centaines de bateaux y seront attirés. Si un poste d’inspection nationale peut y être construit, vous pouvez alors percevoir des taxes sur le poisson qui entre, et vous faire votre niche au soleil, pour vous et votre famille. (294-172, 28.8.1983)

La planète terre regorge de trésors. La plupart tapissent le fond de l’océan. Cet aspect du globe m’intéresse beaucoup. Je ne laisserai personne d’autre y toucher. Tous ces trésors au fond de l’eau, on peut les extraire. Leur quantité est faramineuse. La science a atteint de nos jours un tel développement que vous pouvez relier la terre ferme à une île distante de quelques dizaines de kilomètres en passant sous le plancher de l’océan ; vous faites ensuite à peu près tout ce que vous voulez. Alors, qui va être le maître de l’océan ? Je pose la question. (263-18, 16.8.1994)

« Nous devons créer des mines sous la mer. » Voilà la pensée qui m’est venue. Si vous ne pouvez pas le faire, alors je pense que je ne serai pas en reste pour le faire moi-même. Je vous y amènerai, on creusera ça ensemble. (119-256, 13.9.1982)

En bord de mer, l’océan, semble simple comme bonjour. La réalité est en fait d’une complexité extrême. Pour parler des ressources, la corne d’abondance de l’océan dépasse de loin la terre ferme. Il y a là un trésor illimité. Toutes les choses précieuses qu’aime l’être humain se trouvent là dans l’océan.

Alors selon vous, par quoi doit passer la maîtrise de l’océan ? Voyez comment les États-Unis se sont développés, comment tous les gens ont entrepris mille et une aventures pour pouvoir détecter et exploiter les précieux minerais de l’ouest américain. En ce temps-là, des casse-cou intrépides et courageux se virent octroyer des droits de propriété spéciaux. Eh bien c’est pareil : sans repartir sans cesse à l’assaut de hautes aventures, vous ne pouvez mettre la main sur le trésor ni vous l’approprier. Jusqu’ici dans l’histoire humaine, on s’est battu pour prendre possession des voies maritimes en surface des océans, mais on ne s’est pas battu pour s’emparer de ce qu’il y a au fond des océans. (128-246, 28.8.1983)

Qui maîtrisera l’océan à l’avenir ? Si un grand cataclysme se produit, il est possible que la terre s’élève en plein milieu de l’océan, alors que la terre ferme actuelle pourrait s’enfoncer dans la mer. Si une masse de terre plus grande que les États-Unis surgissait soudain en plein Pacifique, qui se l’approprierait ? Qui peut dire que ces choses-là n’arriveront jamais ? Nul ne sait quand cela peut se produire. C’est le fond de la mer, d’accord, mais cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de volcans. Si quelqu’un pouvait dire : « Au-delà des 200 milles nautiques de toutes les côtes, tout est à moi », ce serait parfait, mais il n’y a personne de ce genre. Cela dit, ce temps viendra, soyez sans crainte. Le jour viendra où on se battra pour l’océan. À ce moment-là, ceux qui seront les maîtres de l’océan devront avoir un esprit pionnier indomptable. Il n’y a pas d’autre moyen de devenir les maîtres de la mer. (128-246, 28.8.1983)

La terre ferme étant surpeuplée, on se mettra bientôt à faire plus de bateaux pour tenter l’aventure sur mer. Le monde ne tardera pas à devenir un endroit où l’on vit sur l’océan ; et sous l’océan. Et que devons-nous faire sur la mer ? Les hommes de l’Église de l’Unification – les « hommes moonistes » – vivront dans tous les ports et les bases navales du monde. Emparons-nous de ce domaine, et nous serons en mesure d’influencer et de diriger toutes les cultures du monde. Tous nos hommes doivent se réunir sur les régions côtières. Nous vivrons le long des côtes dans le monde. Nous les investirons. (116-327, 2.1.1982)

Ceux qui savent maintenir et préserver les océans dirigeront le monde de demain. On ne tardera pas à jeter toutes ses forces, son identité culturelle, ses traditions et ses ressources nationales pour développer les richesses qui tapissent le fond de la mer. Il est crucial ici de savoir qui saisira les zones océaniques pour poursuivre ce développement. Face à ce problème, comme fondateur de l’Église de l’Unification, et comme figure portant le titre de Vrai Parent responsable devant l’histoire, je me demande quel genre de base d’opérations je laisserai pour l’existence future de l’Église de l’Unification. Cette base ne sera pas les zones urbaines ou métropolitaines, mais les bords de mer. Je fais des choses sur les côtes que nul autre n’a songé à faire. Les États-Unis ont délaissé complètement les industries marines, mais je continue à les développer. Comme je sais exactement où va le monde, et quelle tournure prendront les choses, je mets de grosses sommes d’argent, même si c’est difficile, et même si une grande partie part en fumée. Même si je ne peux pas faire une immense autoroute qui longe le cours de l’histoire, depuis le point de départ jusqu’à la conclusion, je me suis dit qu’à tout le moins, je dois entamer une fraction du chemin que d’autres suivront. C’est pour cela que je suis tout seul sur l’océan. (220-11, 13.10.1991)

Même si vous apprenez une chose, puis apprenez une autre chose, et en apprenez encore une troisième, puis une quatrième, une cinquième, et une sixième, vous devez penser à apprendre plus et le vouloir. C’est la formule de base. Un champ d’activité s’organise autour d’un type particulier de formule, celui qui connaît beaucoup, beaucoup de formules sera le vainqueur quand il s’agit de se battre. Quand je sors pêcher sur l’océan, je le fais mieux que d’autres, et la raison en est que je sais où est le poisson. J’ai une sacrée expérience de ce domaine. On est toujours perdant devant ceux qui ont l’expérience, ceux qui ont fait quelque chose auparavant.

Pour ma part, peu importe où je vais ; je peux aller de moi-même n’importe où, sans souci. Si la pêche ne donne rien, je peux retourner la situation. Il faut beaucoup d’expérience pour avoir cette confiance. À l’avenir, quand l’intérêt pour l’océan commencera à émerger, ceux qui s’intéressent à l’océan et ceux qui ne s’y intéressent pas se diviseront ; ceux qui n’ont jamais eu cet intérêt seront à la traîne, immanquablement. Sur le plan compétitif, ils seront lâchés et complètement perdus. (146-251, 1.7.1986)


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