lundi 8 mars 2021

Le futur est l’époque de l’eau

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

1. La mer, ce magasin précieux pour l’avenir de l’humanité

1.3. Le futur est l’époque de l’eau, l’exploration du monde marin

Je prépare le monde du futur. Je ne fais pas cela parce que la mer me plaît. C’est difficile d’être sur la mer. Tout au début, lorsque j’y étais allé pendant une semaine, j’avais une douleur aiguë insupportable aux jarrets. Malgré cela, je me disais à moi-même : « Il y a tant à faire, Je ne dois pas prendre mon âge comme excuse et je dois y aller. Il faut que je devienne comme un poulain qui traverse l’Himalaya. » Vous parlez de repos, mais je ne vais pas me reposer.

Savez-vous pourquoi je m’intéresse à la mer ? C’est que là se trouve la clé qui ouvrira le chemin de la paix à l’humanité dans le futur. La qualité de vie, voilà ce qui est en jeu. Et que faut-il faire pour bien vivre ? Bien vivre, est-ce bien manger, avoir trois repas par jour ? Qu’est-ce que bien vivre ? Bien vivre, c’est manger de la nourriture saine, mener une vie saine et avoir une vie pleine de santé. C’est vivre ses désirs avec le monde comme champ d’action. N’ai-je pas préparé tout un fondement pour cela ? (189-295, 17.6.1989)

Il s’agit de savoir qui va s’emparer du monde océanique à l’avenir. On est maintenant à l’époque de l’espace, du monde de l’air. C’est pareil pour la mer. Les gens aventureux qui prendront possession de cette mer entreront dans l’ère de l’espace et une grande migration aura lieu. Nous sommes en plein dans cette époque. Nous entrons dans un âge où on peut vivre un mois avec de l’oxygène en portant le vêtement adéquat.

Quand cela va arriver, allez-vous cuire vos aliments ? Pour se faciliter la vie, on doit se préparer du bon poisson, et l’emporter dans ses bagages ; vous en avez pour six mois. Qu’emporterez-vous là-dedans, de la pâte de poivre rouge ou allez-vous emportez un pot de gimchi ? Voilà ce qui se prépare. (189-291, 17.6.1989)

Tout se fera avec des machines. Les gens n’auront plus rien à faire. On poussera un bouton et il n’y aura aucun problème pour naviguer seul sur l’océan. Ce sera comme en avion. Il suffira de programmer un ordinateur pour suivre tel quel un trajet déjà effectué On peut donc même faire une sieste, dormir la nuit, embrasser sa femme. Le bateau filera vers la destination avec plus de précision que si un homme le barrait : plus besoin de personne à la manœuvre ! L’électronique fera tout cela pour vous à merveille. Vous regarderez les beaux fonds marins et direz : « Oh la la, tous ces poissons ! Oh un requin ! Un requin vient de passer. » Vous naviguerez en observant toutes les petites et grandes choses bien mieux que sur des photos. (192-150, 3.7.1989)

Que souhaitez-vous ? Vous voulez aller au fond des mers comme au sommet des hautes montagnes, et vous voulez circuler librement dans l’univers, n’est-ce pas ? Il n’y a pas de frontières. Dites-moi, parmi les fidèles de l’Église de l’Unification, personne ne doute de l’existence du monde spirituel, n’est-ce pas ? Vous le croyez ou vous le savez ? Vous le savez et vous en faites l’expérience. Alors, vous ne pouvez pas le nier. (225-138, 12.1.1992)

Dans le futur, on pourra même vivre dans l’océan. Je vais donc faire des recherches avec un sous-marin prévu pour cinq personnes. C’est pratique, non ? Lorsqu’il n’y pas de vent, les vagues vous poussent calmement, tel un millionnaire maître de l’océan. Vous ne savez pas à quel point c’est mystérieux et agréable.

Songez comment ce serait, un couple qui rêve du grand océan, assis là quand tous les vents sont tombés, sur la surface limpide de l’océan, rêvant à leur nid d’amour et à des rêves du passé ou du futur. Cela ne poserait pas de problème. Si un typhon souffle, il suffit de descendre à 30 mètres de profondeur. Il vient un temps où vous pourrez vivre comme bon vous semble dans l’eau. Alors, pas la peine de s’en faire si la terre de la République de Corée est trop étroite. (233-52, 20.7.1992)

Les êtres humains seront libres d’aller où ils voudront. Aller à la mer, ou bien à la montagne ? Il n’y aura pas de problème, les frontières nationales n’existeront plus. On pourra aussi vivre sous l’eau. Il viendra un moment où on pourra fabriquer un sous-marin et s’enfoncer dans l’eau à la profondeur que l’on souhaite. L’humanité n’aura pas de place pour vivre autrement. Si on laisse l’eau submerger le réservoir, elle devient un poids qui fait que le sous-marin s’enfonce. Un bouton permet de régler l’arrivée d’eau ou sa sortie, et donc la submersion ou la flottaison du sous-marin. On peut donc vivre dans l’eau. Au ciel et sur la terre il n’y a pas de meilleur endroit qu’à dix mètres de profondeur. Si on descend à 30 mètres, qu’en est-il du vent ? On plonge dans un monde de sérénité. C’est le royaume du fond de la mer.

Si on s’élève dans les airs, il y a beaucoup de remue-ménage avec le vent. Si le courant atmosphérique change, si l’air change, s’il pleut, il y a des problèmes. Alors pour moi, la vie sur l’océan, c’est la vie idéale. (262-272, 1.8.1994)

Comme tout le monde veut vivre dans un bel endroit, je fais procéder à des recherches sur les sous-marins actuellement. Où est le plus bel endroit ? Un appartement est un bel endroit, non ? Comment vit-on au milieu de la mer, dans un lieu calme et retiré ? Ce dont on a besoin à ce moment-là, c’est d’un sous-marin. Il suffit d’appuyer sur un bouton pour descendre dans un endroit frais : pas besoin d’air conditionné. Avec tous les mouvements et danses variés et colorées des poissons, vous aurez sous les yeux un beau spectacle aux milliards de couleurs. Sans encombre, vous pourrez aller n’importe où, jour et nuit. Ce serait si commode de vivre ainsi. Ne voulez-vous pas vivre dans un tel endroit une fois avant d’aller dans le monde spirituel ? Ça a du charme, n’est-ce pas ? Je fais cela pour vous tous, je ne le fais pas pour ma seule personne. C’est pourquoi nous faisons nos propres recherches. Même sur la mer, je fais en sorte de n’être redevable envers personne. (217-212, 1.6.1991)

Pour ce qui est des joies de la mer, il y a tant de choses nettement plus intéressantes que lorsqu’on est à terre. C’est pour ça que j’essaie de fabriquer un sous-marin. Voilà ce que l’avenir nous réserve. Tous auront des yachts et vogueront sur l’eau. De plus, on fera des balades sous-marines. Ce sera tellement bien ! Nous allons tout droit vers une époque où l’on vivra avec les bancs de poissons, les hordes de requins, et les troupeaux de baleines. Je pense qu’en s’y préparant, on peut s’arroger la puissance économique mondiale. (95-225, 4.12.1977)

Où irons-nous ? Nous irons dans les montagnes à la recherche de la nature. Mais la montagne, on s’en lasse. C’est pour cela que nous irons à la mer. Dans le futur, nous irons vers la mer pour y vivre. J’ai mis un groupe des savants sur l’étude des sous-marins. Ils y sont presque. Ils ont étudié qu’il suffit de descendre à 30 mètres pour que tout soit calme même en cas de typhon. Même s’il y a du vent et qu’une tempête se lève, il suffit de descendre de 30 mètres pour qu’il n’y ait pas de tempête. À 30 mètres de fond, il n’y a pas de tempête. Il suffit donc d’appuyer sur le bouton pour descendre à moins 30 mètres ou moins 100 mètres. On ira automatiquement sous l’eau, et on pourra s’émerveiller des beautés de l’océan avec un réflecteur. (236-309, 9.11.1992)

Vers quel âge allons-nous ? Pourquoi passer des heures et des heures dans les avions ? Je projette de construire un hôtel en plein milieu du Pacifique en enfonçant des colonnes de fer. Combien sont variées les fonctions d’un hélicoptère ! Il suffit d’appuyer sur un bouton pour voler à sa guise. Mais au bout de trois heures, on trouve quand même le temps long. On fera donc des trajets d’une heure ou deux avant d’aller à l’hôtel sur la mer. Ce sera formidable ! Nous bâtirons un hôtel sur le Pacifique. Ainsi on voyagera pendant deux ou trois heures ; à l’arrivée, pause déjeuner, et ensuite voyage en bateau pour pêcher en famille. Le rêve ! (203-57, 14.6.1990)

Je considère qu’il y a de vastes ressources sur la mer. Il faut donc se préparer à agir mondialement, en France, en Allemagne, et dans des dizaines de pays sous un commandement unique. Il faudra aussi songer à des bateaux de plaisance pour la plongée sous-marine qui seront nécessaires en cet âge de globalisation, pour conquérir le monde d’un coup et s’assurer la puissance économique de ce domaine. On doit se préparer dans des dizaines de pays, pour s’assurer la puissance mondiale dans ce domaine. Pouvez-vous l’imaginer ? Pensez-vous que ce soit possible ? (95-225, 4.12.1977)

J’ai également conçu un bateau qui soit le plus rapide au monde. Je créerai aussi un sous-marin où cinq personnes pourront prendre place et aller partout dans l’eau. Dans le futur, il faut entrer dans l’eau et y vivre. C’est pour ça que je développe ces projets. Il faut que je fasse cela pour que les membres de l’Église de l’Unification arrivent à bien vivre. (210-39, 30.11.1990)

Où y a-t-il de l’eau propre ? L’eau de mer est archi polluée. Au pôle Nord, 800 mètres de neige sont empilés. Cette eau-là est pure, de l’eau pure accumulée depuis 1 000 ans. Elle n’est pas polluée et sera encore propre dans 10 000 ans. C’est pareil pour le pôle Sud. Si l’on bâtit sous la glace une ville civilisée, une ville comme New York artificiellement avec des plaques de glace, y aura-t-il beaucoup de gens pour y faire du tourisme ou pas ? Ce n’est pas difficile de construire cela. Rien que d’y penser, ça fait du bien, non ? Si on fait un tunnel à cet endroit, il durera 10 000 ans sans être détruit. En l’aspergeant d’eau froide une fois l’an, cette eau gèlera aussitôt et le tunnel deviendra plus solide à chaque fois. Il se renforcera peu à peu. (302-99, 1.6.1999)

Nous arriverons à une époque où nous pourrons faire de l’agriculture sous la glace. Vous comprenez ce que je dis ? Les fleurs pousseront. Si on va en Alaska, il y a des neiges éternelles sur des montagnes élevées, et au milieu, l’herbe pousse. Encore pus bas il y a des fleurs, et tout en bas on pêche. Vous ne savez pas à quel point cet endroit retiré du monde est beau. C’est beau, l’eau est pure, l’air est bon, c’est un environnement qui possède de façon équilibrée toutes les conditions nécessaires pour y vivre. Une fois qu’on en a fait son loisir et qu’on y a pris goût, on veut y vivre, on ne veut pas partir. Si je donne toutes ces choses et si je fais de tels efforts, c’est aussi parce que ces choses-là sont possibles. (220-13, 13.10.1991)

Lorsqu’on développera l’énergie basée sur l’hydrogène dans le futur, il n’y aura plus de problèmes avec l’électricité ; en plus dans des endroits aussi froids que la Sibérie, on fera aussi des villes souterraines et un temps viendra où on pourra vivre tout à fait à l’aise dans ce genre de villes. (194-95, 17.10.1989)

Pour développer dans le futur la toundra de Sibérie ou la prairie du grand nord des États-Unis, il faudra aussi développer l’Alaska. Le premier à s’emparer du monde de glaces du pôle Nord, pourra régner sur le monde. Celui qui dominera la mer dominera le monde. J’ai donc commencé l’industrie des produits de la mer et je m’intéresse au pôle Nord. (219-196, 29.8.1991)

Les montagnes de l’Himalaya sont reliées au Pacifique. Quantités de chaînes de montagnes basses ou élevées sont reliées, si bien qu’on ne sait pas combien il y en a. Il y a un grand nombre de requins terrifiants qu’on appelle shark en anglais ou same en japonais. S’il faut traverser de tels endroits à la nage, le danger n’est pas mince. C’est un chemin que personne dans l’histoire humaine n’a pu prendre. Il faut traverser un tel cours en tâtonnant. En traversant ainsi, on va jusqu’au monde de l’au-delà. Tel est le cours de la vie humaine. (205-86, 7.7.1990)

Ce qui est profond est le centre et ce qui est haut est le centre. Les profondeurs sont invisibles. Est-ce qu’on peut voir le fond de la mer ? L’endroit le plus profond, c’est le fond de la mer, n’est-ce pas ? Même si la création n’aime pas le mont Everest, elle doit le voir chaque matin et chaque soir. On le regarde en se demandant s’il pleuvra ou non, si la météo sera bonne ou pas. S’il y a des nuages ou de l’obscurité sur les hauteurs, on évalue si l’année verra ou non de bonnes récoltes. Les profondeurs sont invisibles. On ne peut rien voir en profondeur. Ces profondeurs sont donc recouvertes d’eau de mer. Il n’y a rien de mal à être profond. Ces endroits sont nimbés de mystère. Les femmes ont aussi du mystère en elles, c’est ce qui attire l’intérêt des hommes. Les hommes cherchent le mystère dans la femme. (205-136, 12.8.1990)


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