
Livre
XII
La
providence du Pacifique
Chapitre
premier
Le XXIe
siècle sera l’âge de l’océan
2. La
providence de l’océan menée par les Vrais Parents
3. Il y
a beaucoup de choses à apprendre de l’océan
3.1.
Comme la mer, vivons en embrassant le monde
La mer
peut vraiment nous apprendre beaucoup de choses. Elle change plusieurs fois en
une seule journée. J’ai dit que le cœur humain change entre le matin et le soir
; la mer ne change pas entre le matin et le soir, elle change toutes les
heures. Elle change chaque heure. Si l’on regarde tranquillement, le jour a
beau être beau, lorsqu’on va dans un passage, les vagues sont bien, mais un peu
plus loin, il y a du vent. Ce n’est pas un vent très fort, mais c’est différent
partout. De la même façon que le visage des êtres humains est différent, de par
le fait qu’il y a de l’eau et des montagnes, le climat change selon la hauteur
des montagnes. Sa grande diversité fait tout le charme de la mer. (263-18,
16.8.1994)
J’adore
la nature. J’adore la mer. Vous ne savez pas combien la mer est mystérieuse.
Chaque goutte d’eau est un diamant. Toutes étincelantes, elles disent : « On
est au révérend Moon. Ce qui vaut plus qu’un diamant, c’est l’eau. » Et elles
sont fières. L’eau est fière de pouvoir dire : « Si je n’existais pas, il n’y
aurait pas de vie sur terre. Les choses basses et les choses élevées peuvent
s’égaliser grâce à moi. » Savez vous à quel point l’océan peut être démonté ?
Mais comme l’eau rend tout horizontal, c’est formidable, non ? On se sent bien
et l’océan est d’un bleu qu’on ne se lasse pas de voir même pendant des
dizaines de milliers d’années. Le bleu est la couleur du réconfort.
Pourquoi
Dieu a-t-Il créé le bleu ? On peut le regarder longtemps sans s’en lasser.
C’est la couleur du réconfort. C’est vrai pour toute la création. Le ciel est
bleu et la mer aussi est bleue. C’est idéal, non ? Lorsqu’on est submergé par
l’amour de Dieu, tout le monde, les êtres humains deviennent des amis, et toute
la nature aussi est amie. Lorsqu’on a saisi ce caractère, on ne change
absolument pas.
Mais le
caractère humain est d’une grande diversité. Aujourd’hui on est comme ça, et
demain on change. Le cœur humain change entre le matin et le soir, dit-on,
alors que la montagne est la même dans le passé ou maintenant. L’esprit de
l’être humain change du matin au soir. À quoi bon l’être humain ? Il ne vaut
pas même l’animal. (177-274, 20.5.1988)
La mer
vit en embrassant le monde entier. L’eau évaporée se regroupe en un endroit, devient
un nuage, puis se fait l’ami de la montagne et la recouvre ; elle jette la
pluie des hauteurs, qui se répand dans tous les sens. L’eau est surprenante.
Elle ne tient pas en place. À force de bouger depuis des dizaines de milliers
d’années, elle devrait être fatiguée. J’adore la mer. La nature ne ment pas. Si
c’est élevé, c’est élevé, si c’est bas, c’est bas. Le bas alimente le haut sans
protester. Même si je vais à l’étranger, si je vois des gens qui vivent moins
bien que moi, j’ouvre mon entrepôt. Quitte à épuiser ma quantité de riz, je
partage tout. C’est pour créer l’équité. L’eau m’a enseigné toutes ces choses
et je l’aime pour cela. (300-141, 2.3.1999)
Si le
ciel était bleu, la mer bleue, les plantes bleues, si tout était bleu, que
deviendrait-on ? On étoufferait. Imaginez que tout soit jaune, une couleur que
j’aime bien. Vous seriez rapidement écœurés. Et même si vous mettiez une autre
couleur, la lassitude viendrait au bout d’un moment.
Mais le
vert est une couleur de réconfort. C’est toujours le vert. Pourquoi les
personnes aiment-elles bien le vert ? Le monde des êtres vivants est en
harmonie avec le vert. C’est pour cela qu’il y a beaucoup de verdure dans le
sol. Le sol tend toujours vers la teinte verte. C’est pour cela que nous qui
sommes faits de terre, aimons bien le vert, c’est logique. On peut voir les
choses comme cela. Comme Dieu le savait aussi, le ciel est également bleu et la
mer est également bleue.
Dieu a
tout créé pour que ce soit en harmonie avec le vert en prenant les êtres humains
pour le centre. À quel point est-ce superbe ? (119-168, 18.7.1982)
Quand
il y a une mer d’huile, l’océan est comme une belle femme qui a le pouvoir
d’attirer tout le monde comme une reine au mystère captivant. La mer peut avoir
l’air argentée, mais peut aussi revêtir une couleur de jade. L’océan est d’une
grande diversité, selon le temps. Lorsque souffle une brise légère, comment
décrire la beauté des vagues ? Même si une danseuse est très douée, elle
n’arrive pas à sa hauteur.
Pour
voir évoluer des danseurs, il faut forcément une scène, mais celle-ci serait
toujours trop étroite. La scène de la mer est en revanche infinie. Quelle est
la largeur de la scène de la mer ? L’océan a beau avoir les mêmes
caractéristiques qu’une belle femme, qu’une danseuse, une fois qu’il se met en
colère, il est plus effrayant qu’un tigre ou un lion qui vous fonce dessus dans
la plaine. Pensez-y. Quand des vagues de quelques dizaines de mètres avancent
et reculent, le cri des goélands ne peut pas faire le poids. Elles vont dire :
« Vous avez beau bien chanter, être un excellent acteur de scène, vous ne
pouvez pas tenir tête à mon ardeur grandiose ! » La force de l’océan, c’est
quelque chose.
Sur une
mer calme, un bateau peut avancer à grande vitesse ; mais si vous avez de grandes
vagues contre vous, vous ne pouvez pas avancer. Il ne vous reste plus qu’à
remuer la queue et hocher la tête. On navigue sur les vagues, on est à leur
merci, sans prise sur elles. (128-249, 28.8.1983)
La
nature est puissante. Si on aime la mer, l’arrogance n’a pas sa place. Il y a
tant de grandeur sur l’océan. En ouvrant la porte de l’océan et en regardant,
on voit une multitude de poissons. Toutes sortes de poissons y vivent ;
certains ont la couleur d’or, d’autres celle du métal, le vert. Et puis certains
ont des couleurs inédites. Entre la terre et la mer, laquelle est la plus belle
? La terre est plus belle, n’est-ce pas ? Mais à part les fleurs et les
papillons, qu’est-ce qu’il y a sur terre ? De beaux oiseaux d’accord, mais
c’est monotone. Les fleurs ne bougent pas. Mais regardez moi ces créatures
marines aux couleurs chatoyantes qui dansent. Alors, qu’est-ce qui est le plus
beau, la terre ou la mer ? La mer est plus belle. Pourquoi Dieu a-t-Il bien
créé ce qu’on appelle l’eau ? Ce qui sert à divertir Dieu est l’eau, voilà ce
qu’on peut dire. Il l’a bien caché et ne l’a pas révélé au public. De ce point
de vue, Dieu s’intéresse plus à la mer qu’à la terre.
Quand
on pense au futur, on s’intéresse plus à la mer qu’à la terre. Dieu s’intéresse
aux familles idéales du futur, celles qui ne sont pas encore apparues. Par
conséquent, au lieu de s’intéresser à ce qui est apparu sur terre depuis le
début de l’histoire du globe, Il S’intéressera forcément au monde de la mer,
lequel est tourné vers un futur encore vierge. Ceci est logique. Sous cet
angle, on peut dire que les personnes qui pensent à la mer, les personnes qui
rêvent de l’image du futur deviennent de plus en plus nombreuses. (128-249,
28.8.1983)
Être
assis ici après avoir suspendu ma canne à pêche, cela n’a rien d’un loisir.
Peut-on faire une promenade ? On n’a qu’un espace très réduit pour bouger et se
faire à manger. Peut-on aller au cinéma ? Sortir avec des amis ? Écouter de la
musique, il n’en est pas question, tout doit se faire en silence. Je parle donc
avec la mer et le ciel en regardant la mer. On se sent bien, seul à l’endroit
où la mer et le ciel s’unissent. Pourquoi vais-je si souvent en mer ?
Spirituellement il y a toutes sortes d’avantages. Si je suis à la maison
pendant toute une journée, mon esprit est distrait. Je ne peux penser à
grand-chose à part à quelques points auxquels je dois réfléchir à propos des
missionnaires dans le monde, des problèmes dans l’Église, mais cela reste
fragmentaire. Mais lorsque je sors en mer, cela requiert toute ma pensée. Sous
cet angle, la mer me passionne. Et voilà comment est apparue cette expression :
« La voie de la pêche ». (79-270, 1.9.1975)
Imaginez
un couple qui a des rapports intimes en plein milieu de la mer tranquille. La
mer, va-t-elle dire : « Ah les voyous, mais ils sont tuants ! » ? En fait, les
bancs de poissons viendront et battront de la queue et observeront le spectacle
avec délices. Les créatures aspirent à ce genre d’amour. Tous les êtres de la
création disent : « S’il vous plaît, venez ! Faites-le ! », et espèrent que
nous venons à cet endroit pour faire l’amour. Vous devez avoir un esprit qui
peut tenir compte de cela et le ressentir. Si le maître devait aller sur un
sommet couvert de neige et faire l’amour, la nature s’en réjouirait et dirait :
« Notre noble seigneur fait si joliment l’amour. » Tel
est leur désir. (235-277, 11.10.1992)
3.2. La
vie de la mer est splendide et mystérieuse
Le
Kuroshio circule sur 4 000 milles dans le Pacifique. En un an, il fait 4 000
milles. La force provoquée par sa circulation déplace les cinq océans. Si le
Kuroshio n’existait pas, les océans ne bougeraient pas. Par ce Kuroshio,
l’océan Atlantique et le Pacifique communiquent avec les cinq océans. Grâce à
de telles conditions environnementales, les cinq océans ne meurent pas et sont
vivants. (227-129, 11.2.1992)
Un
fleuve a beau être grand, il entre dans la mer, et la mer a beau s’étendre sur
une large étendue, elle suit le Kuroshio. Connaissez-vous le Kuroshio ? Le
Kuroshio désigne le courant qui circule sur 4 000 milles en traçant une forme
circulaire dans la zone du Pacifique. Par ce courant qui circule avec beaucoup
de puissance, tous les courants des cinq océans sont vivants et mobiles.
Ce
n’est qu’en le chevauchant et en circulant avec lui que l’eau se qualifie comme
eau de mer. C’est pareil pour la vie humaine. (220-201, 19.10.1991)
Si
grands et nombreux que soient les fleuves, tous aboutissent au vaste océan.
Dans l’océan, toutes leurs eaux se mélangent. Lorsqu’on prend en considération
les cinq océans, il y a un courant qui s’appelle le Kuroshio dans le Pacifique,
il circule sur 4 000 milles. L’attraction de la lune joue certainement un rôle,
mais puisqu’ existe le Kuroshio qui circule ainsi, il peut bouger l’ensemble
des cinq océans. Il remplit le rôle d’une colonne de la mer. Quand des saletés,
quelles qu’elles soient entrent dans la mer, elles se mélangent dans les eaux
qui finissent par mélanger tout cela et donner un aspect uniforme.
Même si
un grand fleuve fait continuellement couler de l’eau douce pendant des dizaines
de milliers d’années, la mer peut absorber cela et a encore des réserves. La
grandeur de la mer, c’est de ne pas changer même si vous y mettez n’importe
quoi. (210-200, 23.12.1990)
Quand
les nuages du Japon traversent le Pacifique et s’unissent aux nuages des
États-Unis, disent-ils : « Moi, je n’aime pas les nuages des États-Unis ! » ?
L’eau du Japon entre dans le Pacifique par le Kuroshio, mais va-t-elle dire : «
Berk ! », quand l’eau des États-Unis arrive ? Le Kuroshio long de 4 000 milles
tourne dans le Pacifique. Va-t-il distinguer les pays développés de ceux en
voie de développement ? Y a-t-il des frontières entre les pays ? Qu’est-ce
c’est que ce monde des êtres humains alors ? Tout ce qui s’oppose aux forces
naturelles se brise. (268-26, 7.2.1995)
Dans le
monde de l’amour, tout est relié où que l’on aille. Lorsque l’eau du Pacifique
réfléchit, pense-t-elle : « Je suis l’eau du Pacifique. Puisque l’eau de l’Asie
est complètement polluée, je la déteste ! » ? Peut importe d’où l’eau provient,
elle fait de tout sa propriété. S’il y a quelque chose de mauvais, elle le
mélange et le dissout rapidement et fait des efforts pour prendre le même
chemin.
Par
conséquent, bien que l’eau du Pacifique soit très polluée, même s’il y a une
limite où l’humanité disparaîtrait, elle reste bleue sans défaut. De la même
façon que la couleur bleue de la mer ne peut pas être conquise, même si elle
subit des épreuves et traverse des cours de péripéties, l’autorité de l’amour,
le contenu de l’amour et la force de l’amour seront toujours bleues. (214-273,
3.2.1991)
L’Église
de l’Unification doit devenir le courant principal du monde à l’instar de ce
qu’est le Kuroshio du Pacifique. C’est par la circulation du Kuroshio sur 4 500
milles que l’eau des cinq océans est brassée. Pour générer l’énergie vitale du
monde à partir de l’univers, une source doit être créée qui peut tourner et
faire bouger les endroits les plus profonds. Et voilà comment nous devons
purifier le monde terni. (275-32, 30.10.1995)
Vous
n’avez pas idée de la puissance terrifiante des vagues et du vent quand sévit
le typhon ! Cela dit, le vent remplit aussi une mission. S’il ne soufflait pas,
il n’y aurait pas de vagues sur la mer, et les poissons ne pourraient pas
vivre. Le souffle du vent a pour effet d’approvisionner la mer en oxygène. Les
vagues fournissent l’oxygène. Par conséquent, même si les vagues sont en furie,
même si le vent souffle de toutes ses forces, il faut le goûter et dire : «
Tiens, tu n’as pas perdu ton goût, toi ! » L’eau de la mer est salée. Moi
aussi, je pense que je n’ai pas perdu le goût du révérend Moon. Si je pense
ainsi, les vagues n’ont rien pour me déplaire, je ne déteste pas les vagues qui
arrivent avec toute leur force.
Vous
ignorez toute la philosophie qu’il y a dans l’océan. Ceux qui n’ont vécu que
sur la terre ferme rencontreront beaucoup de difficultés en allant dans
l’au-delà faire des activités idéales. Dans le monde spirituel, on voyage à dos
de baleines et on nage avec les poissons ; mais si on n’aime pas la mer, on n’y
arrive pas. (119-252, 13.9.1982)
Lorsqu’on
sort en mer, ce qu’on appelle les typhons sont des choses terrifiantes. Les
vagues font vraiment peur. Mais si terrifiants qu’ils soient, dès que la force
de l’amour hisse la voile, elle peut les surmonter. (110-102, 9.11.1982)
La mer
ne peut pas rester tranquille. Lorsque l’eau bouge, elle ne meurt pas. Même de
l’eau mise dans un récipient ne périrait jamais pourvu qu’on la remue. Si elle
bouge, elle ne meurt pas.
Quand
un bateau pour la grande pêche quitte le port, il sort en emportant d’un seul
coup l’eau pour dix-huit mois, voire deux ans ; comme elle est secouée par
l’eau de la mer, cette eau ne pourrit pas même si on la boit après l’avoir
laissée ainsi pendant plusieurs siècles. Quand l’eau bouge, elle ne pourrit
pas. Si elle s’arrête, elle se putréfie. Par conséquent, l’eau est vraiment
particulière, n’est-ce pas ? L’eau est comme ça. (296-200, 9.11.1998)
Si on
part faire de la grande pêche en océan, on part en remplissant le navire d’eau
potable. Vous devrez boire cette eau pendant un an et demi, car on ne peut pas
boire de l’eau salée. Si l’eau remue, elle ne se corrompt pas même au bout de
plusieurs décennies. L’eau doit remuer. Il en va de même pour la parole de
Dieu. (291-88, 5.3.1998)
Pourquoi
l’eau s’écoule-t-elle ? Parce qu’elle n’est pas horizontale. Où va-t-elle en
s’écoulant ? Elle cherche l’horizontalité. Tout ce qui est de l’eau va vers
l’océan. Elle doit rechercher l’horizontalité. (263-91, 21.8.1994)
L’eau
doit toujours être horizontale. C’est sa particularité. La mer, si haut que les
vagues montent, dessine une ligne horizontale. Lorsqu’on voit une ligne
horizontale, on veut basculer au-delà. On dit : « Eh, essayons d’aller au-delà
! » Mais puisqu’on ne peut s’étirer jusque là avec son corps, on y va en
bateau. Avez-vous déjà eu une telle pensée ? Quoi qu’on fasse sur une ligne
horizontale, si on tombe en sortant, on ne heurte pas avec la tête ou le pied
en premier. On heurte à l’horizontale. Ce qui peut agir ainsi est une ligne
horizontale. L’être humain a besoin de lignes horizontales. (263-90, 21.8.1994)
L’air
ou l’eau sont comme l’amour. Si un vide se crée, tout l’air du monde se
rassemble et comble ce vide sur le champ. Pour ce qui est de l’eau de mer, si
une flaque d’eau se crée, ça s’aplanit d’un coup et atteint l’horizontalité.
L’air, l’eau ou l’amour maintiennent toujours l’horizontalité. (264-316,
20.11.1994)
Quand
on sort en mer, on voit de l’eau. L’eau circule. Le brouillard se forme le
matin-là où il y a de l’eau. L’eau devient de la vapeur, et comme elle est en
basse pression, elle ne monte pas.
Lorsque
l’eau s’évapore et se rassemble, ça devient du brouillard. Cette eau devient du
brouillard. Elle s’évapore, devient un nuage et fait le tour du monde. Que se
passerait-il, s’il n’y avait pas d’eau dans la mer ? Ce serait l’affolement
général. Les êtres vivants ne pourraient pas survivre. Réfléchissez à la
grandeur de l’eau. (263-78, 21.8.1994)
Comme
vous le savez, dès que j’avais du temps, je sortais en mer. À chaque sortie en
mer, j’étais épuisé. Épuisé oui, mais je pense que ceci me détendait l’esprit,
me préparant pour de plus grandes épreuves et de nouveaux combats. On ne dort
pas non plus et on est vraiment épuisé, mais on se ressaisit, on se fixe une
ligne de conduite et on s’efforce de ne pas aller ailleurs que vers cette ligne
d’horizon. (73-270, 29.9.1974)
L’air
bouge et l’eau bouge aussi depuis des dizaines de milliers d’années, n’est-ce
pas ? Ils bougent depuis des dizaines de milliers d’années selon le même
modèle. Regardez la mer. L’eau doit être si épuisée ! Mais elle ne pense pas un
seul instant qu’elle est fatiguée. C’est la formule de sa survie. (207-18,
21.10.1990)
Ignorer
le monde de la mer, c’est limiter d’autant le territoire de son bonheur. S’il y
a un créateur, Il aimerait logiquement que nous connaissions bien la terre et
la mer et que nous chantions des louanges en pensant au mystère de la mer et à
la beauté de la terre. Ne considérer qu’un seul côté Lui déplairait. (128-256,
28.8.1983)
En
considérant que la mer et la terre ont été créées pour la seule éducation de
l’être humain, la bienveillance du créateur saute aux yeux. Même en regardant
la mer, je ne regarde pas la mer simplement comme la mer. Je la vois comme un
cadeau de notre Père céleste. Par le processus de recréation, on ressent toutes
les choses à nouveau, une grande révolution se fait alors. Une grande position
de victoire est en train de bourgeonner ici. (112-306, 25.4.1981)
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