lundi 8 mars 2021

La mer possède la puissance de la nature

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

2. La providence de l’océan menée par les Vrais Parents

3. Il y a beaucoup de choses à apprendre de l’océan

3.3. La mer possède la grande puissance de la nature

J’aime ce qui est excitant. Je fais des percées là où il y a beaucoup de changements. La mer est meilleure pour cela que la terre. Tantôt, l’océan est calme, tantôt le vent l’agite, et cette alternance de vent et de calme produit des changements. Voyager sur la mer est donc plus excitant que sur la terre.

Quand vous marchez sur la terre, vous le faites selon ce que vous avez pensé le matin sans qu’il y ait de fluctuation. Sur la terre, on peut se promener longtemps, on avance dignement sans se servir des mains ; ce n’est pas le cas sur la mer. Vous dites que vous voulez aller par ci et par là, mais vous êtes ballottés en tous sens. Ça change sans cesse. Certains changements sont vraiment excitants. Quand la mer est calme, sa sérénité est à faire rougir la terre. Elle est d’un calme extraordinaire. Parfois, on dirait que la surface de la mer est du verre. L’océan peut être si beau que vous auriez envie de le toucher ou de le boire. J’avance donc en me disant que la mer n’a pas son pareil pour changer mais « j’y vais ». Sans cette stimulation, on ne peut rien faire de grand. (79-270, 1.9.1975)

Observez le fond de l’eau, vous y verrez des poissons qui ressemblent à des baleines, des flétans, ou des poissons chats qui vivent en raclant le fond de la mer. Le poisson chat a une tête et une bouche plus grosses que son corps. Qu’est-ce qu’il fait ? Si des grands poissons, des poissons qu’il va dévorer entrent là-dedans, ils seront déchiquetés. Il en avale en grandes quantités pour les déchiqueter. Si ce n’est pas assez, reste les bestioles. Ce poisson est donc un poisson de purification et de nettoyage.

3 600 espèces de poissons vivent au Pantanal. Je dis bien 3 600 espèces. Tous mangent des choses différentes. Ils se mélangent tous pour effectuer le travail de nettoyage de la mer sans relâche. Sachez qu’ils nettoient en mangeant. Ils ne vivent pas pour eux-mêmes, mais en rangeant l’environnement, en nettoyant les environs et en s’entraidant. Ceci est le système d’entraide de la nature. Ils purifient l’eau de la mer. Comment fait-on avec les excréments des poissons ? Il y a encore des créatures qui les mangent. (293-283, 7.6.1990)

Les poissons ne sont pas les seuls à nettoyer la mer. Les oiseaux d’eau y participent aussi. Les oies sauvages ou bien les mouettes font sans cesse des prélèvements. S’il y a quelque chose non pas à la surface de l’eau mais qui s’enfonce, elles entrent profondément dans l’eau pour aller la chercher et vivent de ces proies. Et le vent dit : « Eh toi le nuage, il y a maintenant un endroit si chaud là-bas ; on y meurt de sécheresse, alors allons y. » Et l’air froid de la mer y va. Ce vent pousse les nuages qui peuvent alors déverser leur eau.

Voyez comment cet univers est créé pour fonctionner sur la base de l’entraide. Que ferait-on s’il n’y avait pas de vent ? Il y aurait de gros problèmes, n’est-ce pas ? C’est pareil pour tout ce que vous mangez, que ce soit du riz ou du pain. La vapeur d’eau monte de la mer dans le ciel et voyage avec le vent, si elle vient en voyageant avec la lumière chaude d’un soleil d’été, et jette de la pluie, cela se fait en absorbant l’humidité de cette eau. L’humidité de la terre et l’humidité de l’air se mélangent et deviennent du riz ou du pain respectivement. Si vous pensez à cela, vous voyez combien de travail est mis en jeu. Comme c’est précieux ! Ceci fait bouger l’univers. L’univers est en mouvement et coopère à la fabrication du pain. Un morceau de pain ne se forme pas si facilement. (293-285, 7.6.1998)

Quel est l’endroit de la mer le plus salé ? Est-ce que ce sont les endroits profonds ou les endroits peu profonds ? Ce sont les endroits profonds. Pourquoi ? Parce que l’eau salée est lourde. Par conséquent, plus l’endroit est profond, plus l’eau est salée. Où peut bien se trouver le palais du pays céleste le plus élevé ? Si on le compare à de l’eau salée, il devrait se trouver tout au fond. Il y a là un palais royal. Il faut aller au fond.

Vous devez comprendre le concept dont je parle. J’essaie de vous dire que l’endroit le plus élevé du Royaume de Dieu se trouve au plus profond de l’eau la plus salée ; la personne la plus propre se trouve au contraire au sommet. Dieu se trouve là où l’on est le plus consciencieux, où on vit pour le monde, pour l’ensemble, où on a l’esprit plus élevé. (244-178, 7.2.1993)

Quand l’eau pure qui s’écoule dans le courant principal aperçoit de l’eau polluée par des détritus, elle ne peut pas l’éviter en disant : « Eh surtout pas de mélange, hein ? » La nature est ainsi faite.

Dans la nature tout fonctionne avec une harmonie singulière entre toutes les choses. Une impureté dans l’eau ? L’eau va l’embrasser, quitte à altérer son essence. À force d’absorber et d’assimiler tout sur son passage, l’eau va s’uniformiser. Avec l’écoulement, la saleté gagne le fond et les choses propres vont flotter. L’eau se purifie à l’approche de la mer. C’est pareil pour le cours de l’histoire. (218-292, 22.8.1991)

Les poissons dorment dans l’océan quelle que soit la force des courants. Quand il y a du courant, les nageoires des poissons se déploient à contre-courant pour maintenir sa position, mais le corps de l’animal reste endormi. C’est intéressant, non ? C’est pareil pour vous quand vous êtes en train de dormir : votre sang continue à circuler. Vu comme cela, qui devient le seigneur, qui se tient en hauteur ? Celui qui donne le plus, celui qui vit le plus pour les autres devient le seigneur. (220-282, 20.10.1991)

Les vagues de l’océan ont beau être impétueuses, elles doivent suivre sans faute le courant principal. En ajustant notre direction à celle du courant principal, nous pouvons survivre même en ayant le monde entier et la persécution contre nous. Et si Dieu se centre sur le courant principal et se trouve dans la position du courant principal en tant que sujet parfait, comme Il nous protège sur la base du lien entre sujet et objet, on n’est pas persécuté. (249-164, 10.10.1993)

Lorsque vous nagez, est-ce que vous dites : « Ah, j’ai soif, apportez-moi un soda » ? Quand on est dans l’eau, on peut tenir sans boire toute la journée. Quand on est dans l’eau, les cellules boivent de l’eau. L’autre jour j’ai parlé pendant 16 heures et demie. Vous allez me dire : « Comment peut-il contenir son envie d’aller aux toilettes aussi longtemps ? », mais ce qui serait sorti par l’urine est sorti par la sueur. Puisque j’ai chaud, ça sort comme de la vapeur d’eau, et donc tout sort par la sueur.

Par conséquent, même si on est toute une journée dans l’eau, on n’a pas besoin d’emporter d’eau. Si vous avez soif, essayez de nager pendant une heure ou plusieurs heures telle une baleine. Aurez-vous soif alors ? Si vous êtes allongés sur la plage, dans le sable, ça donne chaud, alors forcément, vous buvez de l’eau. L’air aussi est important. Là où il y a de l’eau, il y a aussi de l’air. Sur la mer aussi, il y a de l’air, oui ou non ? (217-206, 1.6.1991)

Les mers du monde sont sans cesse en mouvement. Le vent bouge pour que tout s’épanouisse et soit vivant. Si on y réfléchit, le typhon souffle et les vagues montent à des dizaines de mètres, mais sans cela, il n’y aurait pas d’air dans la mer. Comment vivraient les poissons ? Lorsqu’on pense à cela, on se dit : « Eh, puisqu’il y a un typhon, les poissons au fond de la mer doivent apprécier. Ça barde pour moi, mais si le poisson est content, tant mieux. » (262-289, 1.8.1994)

L’eau est l’ancêtre de la vie. Allez-vous alors aimer l’eau à la place de Dieu ? Pensez-y en aimant la mer. Des beaux paysages ne peuvent exister sans eau ni forêt. L’eau est facteur d’harmonie. Quand on voit les choses sous cet angle, je dis : « Aimons l’eau ». Aimer l’eau, c’est aimer toute la création. Telle est la pensée originelle. Lorsque vous aimez l’eau, aimez-vous l’eau des lacs ou bien aussi l’eau de mer ? Faut-il aller tous les jours en mer ensemble ou pas ? Si l’on navigue alors que le vent souffle et qu’il y a des vagues, ça vous remue le sang et on ne se sclérose pas. Tout est nettoyé. C’est la vérité. Ceux qui naviguent tout le temps sur des bateaux se portent bien. (262-289, 1.8.1994)

Je ne reçois pas de salaire. Je gagne ma vie par mes efforts et mes propres moyens. Même maintenant, où que j’aille dans ce monde, je peux survivre, même si on m’emmène en hélicoptère au fin fond de l’Afrique. Si on m’y dépose là, même s’il n’y pas d’êtres humains ni d’animaux, ça ira. J’ai appris à me nourrir et à survivre dans la montagne, ou bien sur la mer, j’ai tout appris. Par conséquent, même si je vais dans un taudis pour me livrer à des activités, je peux réaliser le Royaume de Dieu. Je me suis entraîné pour pouvoir accomplir la volonté de Dieu même si vous ne me suivez pas. Je trouverais toujours des mendiants. Si je vous dis maintenant d’aller dans un taudis, irez-vous ou non ? Il faut de l’entraînement, si on a l’intention de faire cela. (109-152, 1.11.1980)

Vous pensez pouvoir vous accrocher à vos affaires, manger et vivre tranquillement, mais moi jusqu’ici, j’ai été un pionnier. J’ai été un pionnier qui ouvre la marche. Cette fois encore, quand nous aurons construit des bateaux dans notre entreprise, si on se trouve sans capitaine, c’est moi qui sortirai en mer en emportant tous les bateaux. « Vent, mets toi à souffler. Vagues, soulevez-vous. Allez vous barrer le chemin que prend cet homme ? Je vais résoudre ici le problème de l’alimentation qui permet de transmettre la vie aux générations futures pour Dieu et pour l’humanité. » J’ai une telle pensée. C’est un homme fascinant, non ? J’aime ce genre d’homme. On produira des films qui passeront à la postérité, et les tourbillons de l’histoire prendront fin.

On peut se demander s’il ne s’agit pas là d’un mystère indépassable. C’est un chemin où alternent le tragique et le comique ; tout être humain épris de grandeur y aspirerait. On peut donc sauter et on a une base sur laquelle on peut traverser le monde d’ici. En faisant cela, beaucoup de jeunes prendront la mer, le cœur gonflé d’espoir. Ici jaillira une source qui alimentera le rêve du monde de la mer de demain. C’est fascinant, non ? (109-152, 1.11.1980)

Je vais en mer avec ardeur, mais si je perdais cet esprit, j’aurai de gros problèmes. Je dois garder cette vaillance. Il faut garder ce zèle pendant des dizaines de milliers d’années. En étant tranquillement assis, on n’établit pas de conditions d’indemnité, alors je vais en mer et je travaille de tout mon cœur. Aujourd’hui doit être meilleur qu’hier et demain doit être meilleur qu’aujourd’hui. L’eau de toutes les rivières se déverse dans l’océan Atlantique, et de là va vers le Pacifique. Je considère que si, dorénavant, je donne tout ce que j’ai jusqu’à ce que les gens qui meurent de faim soient sauvés, cette volonté sera réalisée sur cette terre même si je meurs. (279-308, 22.9.1996)

On dira que cet homme au visage sombre qui pêche sur le fleuve Hudson, aura disparu dans 1 000 ans, mais il n’en est rien. On ne dirait pas non plus que les gens qui sont ici ne font pas un grand travail, n’est-ce pas ? Pourquoi faire un tel travail ? C’est pour sauver les 20 millions de personnes qui meurent de faim chaque année. N’oubliez pas la sueur versée sur le fleuve Hudson.

Une onde invisible, on dirait qu’une sorte d’onde électromagnétique respire et réfléchit à travers les cinq océans et les six continents ; elle peut conduire à la voie de la libération de l’humanité à l’avenir grâce au monde des poissons qui y vit. Tant qu’il y aura de la terre et de la mer, on ne mourra pas de faim. Par mon enseignement je peux sauver ceux qui meurent de faim. (247-21, 21.1.1993)

Quand Dieu regarde les objets qu’Il a créés avec un amour absolu, Il s’amuse. Il a tout créé de sorte qu’il y a suffisamment de choses pour équiper de façon tout à fait satisfaisante les familles axées sur le Royaume de Dieu, la terre promise du futur, et Il doit beaucoup S’en réjouir. Même l’eau qui s’écoule contribue au fonctionnement du ciel et de la terre. La mer donne de la vapeur qui, en circulant, ranime les créatures. Tout existe dans une sphère de coopération. Tout est fait pour soutenir l’idéal de l’être humain dans le sens de la coopération, au lieu du conflit.

Sur la scène de la vie de Dieu, il s’agit bien d’élever des fils et filles de Dieu sur cette terre et de les conduire vers le Royaume de Dieu. (284-47, 15.4.1997)

Le monde a basculé, de la même façon que le matin arrive lorsque la nuit passe. L’ère du printemps est maintenant venue dans l’Église de l’Unification. Quant au monde satanique, qui va tout droit vers le soir, vers la nuit, il est sans aucun espoir.

C’est un monde sombre et lugubre, sans espoir ; le sachant voué à sa perte, l’Église de l’Unification, elle, passe à l’ère de l’aube (yeomyeong) ; avec la venue d’un nouveau matin, arrive l’époque de Sun Myung (鮮明). Le monde devient le royaume de la vérité de Sun Myung Moon. Je porte bien mon nom. Qu’est-ce qu’il signifie ? Le caractère (Sun) est composé des caractères (eo, poisson) et (yang, agneau). Il comporte donc l’unité de la terre et la mer.

Le caractère (myung, lumière) indique le soleil et la lune dans le ciel. Si on écrit le caractère (moon, parole) rapidement, il devient : (bu, père). S’il existe un mot qui veut dire un « père, vrai père qui peut expliquer la vérité », je suis au plus près. Je n’en savais rien moi-même. L’explication m’est venue en vous parlant. (261-64, 22.5.1994)


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