
Livre
XII
La
providence du Pacifique
Chapitre
premier
Le XXIe
siècle sera l’âge de l’océan
2. La
providence de l’océan menée par les Vrais Parents
3. Il y
a beaucoup de choses à apprendre de l’océan
3.3. La
mer possède la grande puissance de la nature
J’aime
ce qui est excitant. Je fais des percées là où il y a beaucoup de changements.
La mer est meilleure pour cela que la terre. Tantôt, l’océan est calme, tantôt
le vent l’agite, et cette alternance de vent et de calme produit des
changements. Voyager sur la mer est donc plus excitant que sur la terre.
Quand
vous marchez sur la terre, vous le faites selon ce que vous avez pensé le matin
sans qu’il y ait de fluctuation. Sur la terre, on peut se promener longtemps,
on avance dignement sans se servir des mains ; ce n’est pas le cas sur la mer.
Vous dites que vous voulez aller par ci et par là, mais vous êtes ballottés en
tous sens. Ça change sans cesse. Certains changements sont vraiment excitants.
Quand la mer est calme, sa sérénité est à faire rougir la terre. Elle est d’un
calme extraordinaire. Parfois, on dirait que la surface de la mer est du verre.
L’océan peut être si beau que vous auriez envie de le toucher ou de le boire. J’avance
donc en me disant que la mer n’a pas son pareil pour changer mais « j’y vais ».
Sans cette stimulation, on ne peut rien faire de grand. (79-270, 1.9.1975)
Observez
le fond de l’eau, vous y verrez des poissons qui ressemblent à des baleines,
des flétans, ou des poissons chats qui vivent en raclant le fond de la mer. Le
poisson chat a une tête et une bouche plus grosses que son corps. Qu’est-ce
qu’il fait ? Si des grands poissons, des poissons qu’il va dévorer entrent
là-dedans, ils seront déchiquetés. Il en avale en grandes quantités pour les
déchiqueter. Si ce n’est pas assez, reste les bestioles. Ce poisson est donc un
poisson de purification et de nettoyage.
3 600
espèces de poissons vivent au Pantanal. Je dis bien 3 600 espèces. Tous mangent
des choses différentes. Ils se mélangent tous pour effectuer le travail de
nettoyage de la mer sans relâche. Sachez qu’ils nettoient en mangeant. Ils ne
vivent pas pour eux-mêmes, mais en rangeant l’environnement, en nettoyant les
environs et en s’entraidant. Ceci est le système d’entraide de la nature. Ils
purifient l’eau de la mer. Comment fait-on avec les excréments des poissons ?
Il y a encore des créatures qui les mangent. (293-283, 7.6.1990)
Les
poissons ne sont pas les seuls à nettoyer la mer. Les oiseaux d’eau y
participent aussi. Les oies sauvages ou bien les mouettes font sans cesse des
prélèvements. S’il y a quelque chose non pas à la surface de l’eau mais qui
s’enfonce, elles entrent profondément dans l’eau pour aller la chercher et
vivent de ces proies. Et le vent dit : « Eh toi le nuage, il y a maintenant un
endroit si chaud là-bas ; on y meurt de sécheresse, alors allons y. » Et l’air
froid de la mer y va. Ce vent pousse les nuages qui peuvent alors déverser leur
eau.
Voyez
comment cet univers est créé pour fonctionner sur la base de l’entraide. Que
ferait-on s’il n’y avait pas de vent ? Il y aurait de gros problèmes, n’est-ce
pas ? C’est pareil pour tout ce que vous mangez, que ce soit du riz ou du pain.
La vapeur d’eau monte de la mer dans le ciel et voyage avec le vent, si elle
vient en voyageant avec la lumière chaude d’un soleil d’été, et jette de la
pluie, cela se fait en absorbant l’humidité de cette eau. L’humidité de la
terre et l’humidité de l’air se mélangent et deviennent du riz ou du pain respectivement.
Si vous pensez à cela, vous voyez combien de travail est mis en jeu. Comme
c’est précieux ! Ceci fait bouger l’univers. L’univers est en mouvement et
coopère à la fabrication du pain. Un morceau de pain ne se forme pas si
facilement. (293-285, 7.6.1998)
Quel
est l’endroit de la mer le plus salé ? Est-ce que ce sont les endroits profonds
ou les endroits peu profonds ? Ce sont les endroits profonds. Pourquoi ? Parce
que l’eau salée est lourde. Par conséquent, plus l’endroit est profond, plus l’eau
est salée. Où peut bien se trouver le palais du pays céleste le plus élevé ? Si
on le compare à de l’eau salée, il devrait se trouver tout au fond. Il y a là
un palais royal. Il faut aller au fond.
Vous
devez comprendre le concept dont je parle. J’essaie de vous dire que l’endroit
le plus élevé du Royaume de Dieu se trouve au plus profond de l’eau la plus
salée ; la personne la plus propre se trouve au contraire au sommet. Dieu se
trouve là où l’on est le plus consciencieux, où on vit pour le monde, pour
l’ensemble, où on a l’esprit plus élevé. (244-178, 7.2.1993)
Quand
l’eau pure qui s’écoule dans le courant principal aperçoit de l’eau polluée par
des détritus, elle ne peut pas l’éviter en disant : « Eh surtout pas de
mélange, hein ? » La nature est ainsi faite.
Dans la
nature tout fonctionne avec une harmonie singulière entre toutes les choses.
Une impureté dans l’eau ? L’eau va l’embrasser, quitte à altérer son essence. À
force d’absorber et d’assimiler tout sur son passage, l’eau va s’uniformiser.
Avec l’écoulement, la saleté gagne le fond et les choses propres vont flotter.
L’eau se purifie à l’approche de la mer. C’est pareil pour le cours de
l’histoire. (218-292, 22.8.1991)
Les
poissons dorment dans l’océan quelle que soit la force des courants. Quand il y
a du courant, les nageoires des poissons se déploient à contre-courant pour
maintenir sa position, mais le corps de l’animal reste endormi. C’est
intéressant, non ? C’est pareil pour vous quand vous êtes en train de dormir :
votre sang continue à circuler. Vu comme cela, qui devient le seigneur, qui se
tient en hauteur ? Celui qui donne le plus, celui qui vit le plus pour les
autres devient le seigneur. (220-282, 20.10.1991)
Les
vagues de l’océan ont beau être impétueuses, elles doivent suivre sans faute le
courant principal. En ajustant notre direction à celle du courant principal,
nous pouvons survivre même en ayant le monde entier et la persécution contre
nous. Et si Dieu se centre sur le courant principal et se trouve dans la
position du courant principal en tant que sujet parfait, comme Il nous protège
sur la base du lien entre sujet et objet, on n’est pas persécuté. (249-164,
10.10.1993)
Lorsque
vous nagez, est-ce que vous dites : « Ah, j’ai soif, apportez-moi un soda » ?
Quand on est dans l’eau, on peut tenir sans boire toute la journée. Quand on
est dans l’eau, les cellules boivent de l’eau. L’autre jour j’ai parlé pendant
16 heures et demie. Vous allez me dire : « Comment peut-il contenir son envie
d’aller aux toilettes aussi longtemps ? », mais ce qui serait sorti par l’urine
est sorti par la sueur. Puisque j’ai chaud, ça sort comme de la vapeur d’eau,
et donc tout sort par la sueur.
Par
conséquent, même si on est toute une journée dans l’eau, on n’a pas besoin
d’emporter d’eau. Si vous avez soif, essayez de nager pendant une heure ou
plusieurs heures telle une baleine. Aurez-vous soif alors ? Si vous êtes
allongés sur la plage, dans le sable, ça donne chaud, alors forcément, vous
buvez de l’eau. L’air aussi est important. Là où il y a de l’eau, il y a aussi
de l’air. Sur la mer aussi, il y a de l’air, oui ou non ? (217-206, 1.6.1991)
Les
mers du monde sont sans cesse en mouvement. Le vent bouge pour que tout
s’épanouisse et soit vivant. Si on y réfléchit, le typhon souffle et les vagues
montent à des dizaines de mètres, mais sans cela, il n’y aurait pas d’air dans
la mer. Comment vivraient les poissons ? Lorsqu’on pense à cela, on se dit : «
Eh, puisqu’il y a un typhon, les poissons au fond de la mer doivent apprécier.
Ça barde pour moi, mais si le poisson est content, tant mieux. » (262-289,
1.8.1994)
L’eau
est l’ancêtre de la vie. Allez-vous alors aimer l’eau à la place de Dieu ?
Pensez-y en aimant la mer. Des beaux paysages ne peuvent exister sans eau ni
forêt. L’eau est facteur d’harmonie. Quand on voit les choses sous cet angle,
je dis : « Aimons l’eau ». Aimer l’eau, c’est aimer toute la création. Telle
est la pensée originelle. Lorsque vous aimez l’eau, aimez-vous l’eau des lacs
ou bien aussi l’eau de mer ? Faut-il aller tous les jours en mer ensemble ou
pas ? Si l’on navigue alors que le vent souffle et qu’il y a des vagues, ça
vous remue le sang et on ne se sclérose pas. Tout est nettoyé. C’est la vérité.
Ceux qui naviguent tout le temps sur des bateaux se portent bien. (262-289,
1.8.1994)
Je ne
reçois pas de salaire. Je gagne ma vie par mes efforts et mes propres moyens.
Même maintenant, où que j’aille dans ce monde, je peux survivre, même si on
m’emmène en hélicoptère au fin fond de l’Afrique. Si on m’y dépose là, même
s’il n’y pas d’êtres humains ni d’animaux, ça ira. J’ai appris à me nourrir et
à survivre dans la montagne, ou bien sur la mer, j’ai tout appris. Par
conséquent, même si je vais dans un taudis pour me livrer à des activités, je
peux réaliser le Royaume de Dieu. Je me suis entraîné pour pouvoir accomplir la
volonté de Dieu même si vous ne me suivez pas. Je trouverais toujours des
mendiants. Si je vous dis maintenant d’aller dans un taudis, irez-vous ou non ?
Il faut de l’entraînement, si on a l’intention de faire cela. (109-152,
1.11.1980)
Vous
pensez pouvoir vous accrocher à vos affaires, manger et vivre tranquillement,
mais moi jusqu’ici, j’ai été un pionnier. J’ai été un pionnier qui ouvre la
marche. Cette fois encore, quand nous aurons construit des bateaux dans notre
entreprise, si on se trouve sans capitaine, c’est moi qui sortirai en mer en
emportant tous les bateaux. « Vent, mets toi à souffler. Vagues, soulevez-vous.
Allez vous barrer le chemin que prend cet homme ? Je vais résoudre ici le
problème de l’alimentation qui permet de transmettre la vie aux générations
futures pour Dieu et pour l’humanité. » J’ai une telle pensée. C’est un homme
fascinant, non ? J’aime ce genre d’homme. On produira des films qui passeront à
la postérité, et les tourbillons de l’histoire prendront fin.
On peut
se demander s’il ne s’agit pas là d’un mystère indépassable. C’est un chemin où
alternent le tragique et le comique ; tout être humain épris de grandeur y
aspirerait. On peut donc sauter et on a une base sur laquelle on peut traverser
le monde d’ici. En faisant cela, beaucoup de jeunes prendront la mer, le cœur
gonflé d’espoir. Ici jaillira une source qui alimentera le rêve du monde de la
mer de demain. C’est fascinant, non ? (109-152, 1.11.1980)
Je vais
en mer avec ardeur, mais si je perdais cet esprit, j’aurai de gros problèmes.
Je dois garder cette vaillance. Il faut garder ce zèle pendant des dizaines de
milliers d’années. En étant tranquillement assis, on n’établit pas de
conditions d’indemnité, alors je vais en mer et je travaille de tout mon cœur.
Aujourd’hui doit être meilleur qu’hier et demain doit être meilleur
qu’aujourd’hui. L’eau de toutes les rivières se déverse dans l’océan
Atlantique, et de là va vers le Pacifique. Je considère que si, dorénavant, je
donne tout ce que j’ai jusqu’à ce que les gens qui meurent de faim soient
sauvés, cette volonté sera réalisée sur cette terre même si je meurs. (279-308,
22.9.1996)
On dira
que cet homme au visage sombre qui pêche sur le fleuve Hudson, aura disparu
dans 1 000 ans, mais il n’en est rien. On ne dirait pas non plus que les gens
qui sont ici ne font pas un grand travail, n’est-ce pas ? Pourquoi faire un tel
travail ? C’est pour sauver les 20 millions de personnes qui meurent de faim
chaque année. N’oubliez pas la sueur versée sur le fleuve Hudson.
Une
onde invisible, on dirait qu’une sorte d’onde électromagnétique respire et
réfléchit à travers les cinq océans et les six continents ; elle peut conduire
à la voie de la libération de l’humanité à l’avenir grâce au monde des poissons
qui y vit. Tant qu’il y aura de la terre et de la mer, on ne mourra pas de
faim. Par mon enseignement je peux sauver ceux qui meurent de faim. (247-21,
21.1.1993)
Quand
Dieu regarde les objets qu’Il a créés avec un amour absolu, Il s’amuse. Il a
tout créé de sorte qu’il y a suffisamment de choses pour équiper de façon tout
à fait satisfaisante les familles axées sur le Royaume de Dieu, la terre
promise du futur, et Il doit beaucoup S’en réjouir. Même l’eau qui s’écoule
contribue au fonctionnement du ciel et de la terre. La mer donne de la vapeur
qui, en circulant, ranime les créatures. Tout existe dans une sphère de
coopération. Tout est fait pour soutenir l’idéal de l’être humain dans le sens
de la coopération, au lieu du conflit.
Sur la
scène de la vie de Dieu, il s’agit bien d’élever des fils et filles de Dieu sur
cette terre et de les conduire vers le Royaume de Dieu. (284-47,
15.4.1997)
Le
monde a basculé, de la même façon que le matin arrive lorsque la nuit passe.
L’ère du printemps est maintenant venue dans l’Église de l’Unification. Quant
au monde satanique, qui va tout droit vers le soir, vers la nuit, il est sans
aucun espoir.
C’est
un monde sombre et lugubre, sans espoir ; le sachant voué à sa perte, l’Église
de l’Unification, elle, passe à l’ère de l’aube (yeomyeong) ; avec la venue
d’un nouveau matin, arrive l’époque de Sun Myung (鮮明). Le monde devient
le royaume de la vérité de Sun Myung Moon. Je porte bien mon nom. Qu’est-ce
qu’il signifie ? Le caractère 鮮 (Sun) est composé des caractères 魚 (eo, poisson) et
(yang, agneau). Il comporte donc l’unité de la terre et la mer.
Le
caractère 明 (myung, lumière) indique le soleil et la lune dans le
ciel. Si on écrit le caractère 文 (moon, parole) rapidement, il devient : 父 (bu, père). S’il
existe un mot qui veut dire un « père, vrai père qui peut expliquer la vérité
», je suis au plus près. Je n’en savais rien moi-même. L’explication m’est
venue en vous parlant. (261-64, 22.5.1994)
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