
Livre XII
La providence du Pacifique
Chapitre II
Le monde de la plaisance et de l’industrie
des loisirs
1. Le développement de l’industrie de
plaisance
2. L’être humain et la vie de loisirs
2.1. Le monde du futur sera l’époque de la
vie de loisirs
Dans le monde du futur, un grand essor
économique sera possible par la naissance de nouveaux organismes et d’un nouvel
ordre économiques internationaux. L’humanité aura assez de revenus et de temps
libre pour s’adonner à des loisirs. L’humanité y puisera une compréhension plus
juste de la grandeur de la nature. Dans cette situation, nous pouvons exprimer
notre gratitude à Dieu, et tenter de vaincre les différences ethniques et
nationales. Après cela, je suis certain que le monde idéal va venir : nous
pouvons prendre soin les uns des autres et goûter la vraie vie. (115-177,
10.11.1981)
Dans le futur, les entreprises se mettront à
l’industrie des loisirs. Avec notre entrée dans l’âge des technologies, l’être
humain travaillera moins, automatisation oblige. On y arrive, et on y est même
déjà en un sens. Il suffit d’appuyer sur un bouton pour que des machines
fassent le travail. Un temps va venir où des usines qui employaient jadis des
milliers de personnes pourront fabriquer les produits jour et nuit avec
seulement trois ou quatre machines. Quelles industries seront alors
florissantes ? L’industrie du spectacle et l’industrie des loisirs sont
appelées à se développer. (191-73, 24.6.1989)
Dans le futur, une époque viendra où vous
pouvez créer un fondement économique. L’époque de l’industrie des loisirs,
l’époque du secteur tertiaire arrive. L’industrie des loisirs et l’industrie du
tourisme se développeront.
Ceux qui veulent aller au mont Geumgang
(montagnes de Diamants) feront d’abord un tour en Corée. Ils iront à Busan ou
sur l’île de Jeju, et feront ensuite le trajet jusqu’aux montagnes de Diamants.
Après avoir visité les montagnes de Diamants, vous ne pouvez pas aller
ailleurs. Vous pouvez le faire, mais vous serez déçu. Il faudrait essayer d’y
aller, mais en y allant tout le monde dit qu’ils sont déçus. Pour faire venir
les touristes vous leur faites d’abord visiter Busan, puis l’île de Jeju, et de
là, vous allez au mont Baekdu. (225-176, 20.1.1992)
On n’est plus au temps où le directeur de
l’entreprise se rendait à l’entreprise pour travailler et gagner sa vie au
bureau. On est à l’âge de l’informatique ; grâce aux satellites, tout peut se
faire de l’étranger exactement comme cela se passe au Japon. On est déjà là. Le
temps est venu où vous pouvez pêcher en bateau, manger du poisson cru tout en
donnant des ordres : « Le directeur fera telle chose, le directeur adjoint
telle chose, le chef de service fera telle chose… » Nous entrons dans un âge où
même si le responsable ne met pas les pieds à l’entreprise pendant douze mois,
il peut diriger l’entreprise dans une position libérée où il peut se
débarrasser de son stress en menant une vie de loisirs. (191-76, 24.6.1989)
Si l’on veut mener une vie de loisirs, on vit
en visitant le monde entier en voiture, en couple, ou en famille. On vit une
vie de loisirs, avec sa famille. N’est-ce pas cela qui contrarie les femmes
actuellement ? Lorsque leurs maris voyagent, elles ne peuvent pas les suivre.
(252-196, 1.1.1994)
Il faut préparer un système dans lequel les
agriculteurs qui sont proches de la nature, et les citadins qui en sont
éloignés, se soutiennent mutuellement. Il y aura un grand laboratoire de
recherche et un centre d’essais pour l’agriculture, l’industrie océanique, la
pêche et la chasse. En synthétisant tout ceci, on développe l’industrie des
loisirs dans laquelle on ressent la joie de création de Dieu. C’est ce qui me
pousse à travailler dans l’industrie des loisirs, et à m’initier à de
nombreuses activités de loisirs. (279-58, 9.6.1996)
La vie de loisirs, Dieu l’apprécie. Vos
loisirs ont trait à la création. Il y a tant de loisirs qui m’attendent. Je ne
m’en lasse pas. En accumulant de plus en plus de loisirs, on s’approche
automatiquement du monde de Dieu. C’est la vie la plus élevée à laquelle aspire
l’être humain. (279-60, 9.6.1996)
2.2. L’industrie du loisir : raccourci vers
un monde de paix
Chacun doit avoir ses passe-temps. Quand Dieu
a créé, Il ne l’a pas fait avec réticence. Il a créé pour y trouver la
félicité. Nous devons nous mettre à la place de Dieu quand Il a créé. Il n’a
pas créé sur les instructions de quelqu’un, mais c’était Son vœu à Lui. Même en
se privant de sommeil, il Lui fallait S’adonner à Sa passion. Y a-t-il une
affaire d’argent ou de circonstances là-dedans ? Par conséquent, la vie de
loisirs, l’industrie du loisir, la recherche sur les loisirs, doivent être
unies à Dieu. C’est à cette condition qu’ils deviennent propriété de Dieu, et
que les enfants bien-aimés de Dieu peuvent s’en servir. Autrement, ils sont la
propriété de Satan. Ce travail là ne me rapporte pas. Au contraire, c’est moi
qui y mets de l’argent. (281-263, 9.3.1997)
Après avoir dépassé vos 60 ans, vous devez
revenir à la ferme du village natal et préparer votre départ pour le monde
spirituel en cultivant la terre. Il y a beaucoup à faire pour se préparer à
entrer dans le monde spirituel. Il faut donc travailler de tout son cœur et
aller dans son village de campagne comme moi et se salir pour prendre la
responsabilité de diriger ce village ; à condition d’avoir accompli l’industrie
des loisirs, la vie de loisir avant de partir dans le monde spirituel, on peut
aller dans un monde spirituel élevé, devenir une personne sensible et chaleureuse
et profiter de votre temps dans le monde spirituel. (289-193, 2.1.1988)
À l’avenir, il faudra développer l’industrie
des passe-temps. Ce n’est pas pareil que l’industrie des loisirs. Je parle de
l’industrie du passe-temps. Qui dit « industrie des loisirs », dit intérêt et
réglementation. La pêche et la chasse font entrer en jeu le profit et les
droits. Avoir un passe-temps, c’est différent. Si on devait en faire une
industrie, on pourrait l’étendre jusqu’aux villages. Même dans les villages, on
peut en faire pendant les quatre saisons.
Chacun a des occupations différentes. Il y a
des gens qui vont à l’usine ou dans des entreprises, et ainsi de suite. Ils ont
toutes sortes de travaux, on peut créer de 100 à 360 clubs selon les types de
travail. Chaque jour un autre club fera telle ou telle activité. C’est
possible. Il suffit de s’associer comme cela et de faire cela pendant les
quatre saisons, et on ne perd pas d’argent alors. On récupère 50 % de l’argent.
Je considère donc qu’il n’y a pas de meilleure industrie dans le divertissement
que cela. (252-201, 30.12.1993)
L’industrie du passe-temps est différente de
l’industrie des loisirs. Les loisirs ont pour but un profit, mais les
passe-temps n’ont d’autres buts que de passer du bon temps. Vous allez me dire
: « Il n’y a que les riches qui peuvent se le permettre ; sans argent, comment
voulez-vous avoir des passe-temps ? », mais ce n’est pas vrai. Tout le monde
part en vacances de nos jours, n’est-ce pas ? Vous pouvez avoir des vacances
une fois par an, deux fois par an.
« Industrie du passe-temps », ça vous dit
quelque chose ? Je pense que le fait de créer une structure mondiale dans ce
domaine et d’en prendre le monopole est un raccourci pour aller vers la paix
mondiale dans tous les domaines en commençant par les marchés financiers et les
ressources humaines. Voilà donc 20 ans que j’ai ce plan pour l’océan et que je
me prépare. En avril 1994, cela fera 20 ans. Je pense donc qu’avec l’industrie
du passe-temps, il faut aussi faire de l’agriculture comme passe-temps. Si les
gens ont trop de temps libre, cela n’est pas bon non plus. J’encouragerai donc
les gens à créer un espace de l’ordre de 70 m2 pour un parc afin de pouvoir
vivre en faisant de l’agriculture un passe-temps. (252-210, 30.12.1993)
Dans l’ère du Testament Accompli, nous devons
mobiliser beaucoup de gens. On a besoin d’un grand nombre de gens. Quelle
industrie pourra relier au mieux les gens du monde entier en dépassant les
frontières nationales et les milieux culturels ? Les activités de l’Église sont
certes nécessaires, mais il n’y a que l’industrie du passe-temps qui permet de
relier toutes les personnes du monde en combinant les activités intérieures au
pays et celles à l’étranger. (252-211, 30.12.1993)
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