mardi 9 mars 2021

La pêche en mer manœuvre psychologique

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre II

Le monde de la plaisance et de l’industrie des loisirs

1. Le développement de l’industrie de plaisance

1.3. L’industrie de loisir du futur qui sera en vedette – la pêche à la ligne

1.3.4. La pêche en mer est une manœuvre psychologique

Où que j’aille, à la pêche ou bien ailleurs, je réfléchis beaucoup. Quelqu’un qui pêche longtemps, réfléchira dix fois en rembobinant dix fois, et 100 fois en rembobinant 100 fois. Mais si vous arrivez à réfléchir 100 fois en rembobinant dix fois, vous serez en avance sur votre temps. Si j’y vais d’un coup, je sais déjà s’il y a du sable sur le terrain de pêche en m’y promenant. Les spécialistes le savent. Si je suspends le poids en plomb et que je tire dessus, il rebondira sur le sable. Par contre, dans des fonds vaseux, il se laissera tirer en douceur. (221-84, 23.10.1991)

En général, les pêcheurs ne posent pas une seule canne à pêche, mais deux. Pourquoi deux ? Pour représenter l’homme accompli et la femme accomplie, c’est-à-dire la parfaite relation du sujet et de l’objet. (228-260, 5.7.1992)

La chasse est un exercice physique bon pour le corps et la pêche est bonne pour la santé mentale. Lorsqu’on est assis en train de faire de la pêche, on se remémore sa vie, on réfléchit vraiment beaucoup. C’est surprenant de pouvoir avoir de tels instants. On peut analyser son passé et faire des plans pour sa vie future. Ces instants deviennent les moments les plus importants pour nous. On peut faire un retour sur soi-même dans le calme et la dignité. Ceci est absolument nécessaire. Dans l’Orient, on appelle cette rétrospective la « voie de la pêche ».

Lorsque la mère est attrapée et qu’on la monte, les bébés poissons montent en la suivant. En voyant cela, et en considérant sa propre vie, on pense : « Je ne devrais pas la pêcher. » On pense à ses enfants et à son peuple. Il suffit d’avoir fait de la pêche pendant quelques années pour avoir envie de remettre le poisson, même si on l’a attrapé. On n’a plus du tout envie de manger ce poisson. Ceci est la vraie voie. L’envie de le manger disparaît. (252-208, 30.12.1993)

De préférence, les gens vont pêcher en bateau lorsqu’il fait beau et qu’on se sent bien. En général, c’est ce qu’on se dit. Pour devenir une personne spéciale, il faut aller pêcher quand il pleut et lorsqu’il y a de la foudre. Sans faire l’expérience de pêcher sous une pluie torrentielle, on reste ignare sur les changements environnementaux, comment change toute l’eau de l’environnement et quelle en est l’influence sur les poissons. (276-69, 4.2.1996)

L’histoire est en train de créer un nouveau monde. Vous ne pouvez donc pas me montrer du doigt et dire que j’ai eu tort. Je n’ai pas honte. Je le dis en regardant les visages des poissons. Assis toute la journée en train de pêcher, je dis aux poissons : « Dites donc, c’est la première fois que vous voyez un homme comme moi, pas vrai ? Mon but n’est pas de vous attraper. Je pêche pour libérer l’humanité de la famine grâce à une ferme aquacole à laquelle je vous emmène. N’est-ce pas votre but originel pour lequel vous avez été créés ? Dans ce cas, les personnes qui mangeront votre chair n’auront rien fait de mal. » (247-32, 21.4.1993)

Lorsque je fais de la pêche, si je dis : « Je suis le maître. Venez tous ! » Tous les poissons arrivent en foule. Je leur donne alors à manger. J’attrape donc toujours plus que les personnes autour de moi. Ils disent que c’est étrange. Ils n’arrivent pas à comprendre comment je fais. Si l’on est axé sur Dieu qui est vertical, cela se produit. Mon esprit émet une aura à l’éclat sans pareil. Quand d’autres émettent une lumière normale, moi j’émets une lumière particulière. Les poissons voient cette lumière. J’ai alors beau leur dire de ne pas venir, ils arrivent en foule. (248-35, 30.5.1993)

Quand je vais pêcher, je relâche toujours le premier poisson que j’attrape. Je le fais avec l’esprit de Dieu qui, après l’avoir créé, l’a laissé en liberté. Et jusqu’à présent, je ne mange pas les poissons que j’attrape. Je dis au poisson que vingt millions d’enfants de Dieu meurent de faim, et que je ne peux pas laisser les poissons mourir de mort naturelle. Dites-vous qu’en prenant les poissons, vous pourrez sauver 20 millions d’enfants de Dieu. Le Principe veut que les animaux ou les plantes soient nées pour cela ; le poisson doit en éprouver de la gratitude. En ce sens, lors des tournois de pêche, ça mord bien à mon hameçon et pas à celui des autres. C’est le zèle, le degré de dévouement. Les poissons viendront d’eux-mêmes si vous leur dites : « Eh, puisque Dieu ne peut pas plonger dans le musée sous-marin qu’Il a créé, sautez un peu hors de l’eau une fois, et donnez à Dieu une occasion d’éprouver la joie de retrouver la liberté grâce à moi ». (276-146, 18.2.1996)

Attraper du poisson dans un bateau sur une mer bleue est pareil à la providence de la restauration de Dieu, la providence du salut. On peut faire une analogie entre l’être humain déchu et les poissons. Il faut accrocher un bon appât, puis attacher une ligne solide, la canne à pêche doit aussi être bien, et il faut les pêcher avec toutes ces choses. Mais vous n’arriverez à rien avec une ligne faible, un appât gâté, une canne à pêche défectueuse et un talent insuffisant. Vivre dans le monde, c’est attraper du poisson.

Pour pouvoir réussir en ce monde, tâchez de vous mettre en position d’une canne à pêche, en créant l’hameçon, le bon fil et le bon appât. Alors, vous pourrez pêcher. Les poissons ne se laissent pas attraper comme cela. Toutes les conditions doivent être réunies pour pouvoir récolter. Si on n’a pas les conditions correspondantes, on ne peut pas rentrer la récolte. (277-16, 17.3.1996)

Quand vous sortez en mer avec moi, vous pensez que ça mord souvent sur mon hameçon, pas vrai ? Quand je pêche, c’est comme si tout devenait mon objet. Devant un sujet parfait, il y a un objet accompli. Quand on fait de la pêche, je dis : « Ici, il y aura forcément des poissons qui mordront. » Le Principe est comme ça. Dès que je mets l’hameçon dans l’eau, le poisson vient à moi avec la valeur d’un objet parfait. Vous ne verrez pas la même chose avec des gens ordinaires. (262-300, 1.8.1984)

On reste assis au même endroit toute la journée. On y fait même ses besoins. On prend une boite de conserve, et on dit : « Je vais faire mes petits besoins. Ne regardez pas derrière vous ! » Et on tourne le dos pour uriner. Toute la journée, vous êtes là tout seul à uriner et manger. J’ai fait cela pendant 25 ans. Quand on utilise une boite de conserves, c’est pratique. En mer, si on enlève tous ses vêtements pour nager et faire Dieu sait quoi, y aura-t-il quelque chose à redire ? Les animaux vont peut-être rire en vous voyant ; sinon, il n’y aura pas une foule d’humains pour vous voir. D’ailleurs, les oiseaux, les animaux, toutes les créatures sont logées à la même enseigne, pas vrai ? Uriner, rien de plus naturel, pas de quoi avoir honte. Ces dames aussi pourront aller faire pipi sans s’asseoir, mais debout comme des hommes. (303-118, 8.8.1999)

Quand on est allé pêcher en Alaska, les garde-côtes sont venus nous voir avec des louanges admiratives : « Mais comment faites-vous pour vivre ainsi ! » Après nous avoir vus partir à l’aube, ils ont dit aussi que nous faisions la pêche comme un entraînement rigoureux. Je suis donc le meilleur pêcheur quand nous sortons en mer, n’est-ce pas ? Il n’y a aucun poisson que je n’ai pas essayé d’attraper, en partant du vairon. Si on me dit d’attraper maintenant une baleine, j’en attraperai plusieurs en une journée. Où y a-t-il des poissons que je n’ai pas essayé d’attraper, en partant du thon ? En pêchant sur la côte Est, la côte Ouest des États-Unis, dans le Pacifique, l’océan Atlantique et la Méditerranée, aucun poisson n’a pu m’échapper. Je connais donc la nature des choses sur le bout des doigts. (211-62, 28.12.1990)

En regardant un grand pin, vous devez pouvoir lui demander : « Tu me connais, depuis le temps où j’ai été persécuté, et où j’ai été chassé. Qu’en penses-tu ? » Et en revoyant ces lieux du passé où vos amis furent maudits, vous devriez étreindre ces lieux avec amour comme s’ils s’agissaient de vos amis. Et puis on voyant le cours d’eau, même si votre intention initiale n’était pas d’oublier tout ce qui s’est passé, vous devriez avoir à cœur d’y nager et d’y attraper les poissons qui y vivent. » Vous serez alors vraiment le maître. Vous devez pêcher et chasser et manger en pensant que c’est pour indemniser Adam du jardin d’Éden, qui n’a pas pu être le premier à entrer dans la rivière et attraper des poissons comme le représentant de la royauté pour les manger ; et avec cet esprit, vous devez établir un record de prise de lapins et de faisans dans la montagne ou des faisans pour entretenir vos parents. Il vous faut avoir ces sentiments et servir vos parents fidèlement, en offrant ces animaux en sacrifice devant Dieu ; vous devez aussi en faire les ingrédients de votre vie. (221-13, 28.12.1990)

Jusqu’à maintenant, je suis venu à bout de tous les pièges de ce satané monde. Je l’ai passé au peigne fin, il n’a plus de secrets pour moi. Il n’y a rien non plus que je ne sache faire. Si je vais dans un village de campagne, je deviens le roi des agriculteurs. Je sais très bien ce qu’il faut planter sur tel ou tel type de terre. Et si je vais à la mer, je deviens le roi de la pêche. Mon style est renommé pour la pêche au thon. Je peux aussi être le photographe quand tous les gens crient « Victoire ! », et si j’entre dans la cuisine, je deviens le chef cuisinier. C’est bien la définition d’un maître, n’est-ce pas ? Il prend soin de tout. N’oubliez pas que ceux qui sont passés par ce chemin sont les « Vrais Parents ». (229-67, 9.4.1992)

On peut tout unir en possédant l’amour vrai. Les plantes et les animaux me protègent, même les serpents venimeux. Lorsque je pêche, je dis : « Eh, les poissons, je ne vous attrape pas pour moi. Je vous attrape en incarnant le cœur de Dieu qui verse des larmes car il veut nourrir les malheureux qui meurent de faim dans le monde. Je ne vous attrape pas pour moi, mais pour les descendants et tous les peuples, vous devez donc me pardonner ! » Je remets donc le premier poisson et je ne le mange pas. Je le donne en offrande.

Lorsqu’on a reçu de l’amour, on veut donner sa vie par gratitude. Alors, s’il y a douze personnes à bord, je vais faire un tiers des prises à moi tout seul. Les poissons me reconnaissent et disent : « Continuez à mordre à l’hameçon du maître ! » (278-105, 1.5.1996)

On dit dans ce monde qu’il y a un mystère du révérend Moon, n’est-ce pas ? Il y a aussi un mystère dans mes paroles ; et dans mes actes. Le fondateur de l’Église de l’Unification est aussi le roi des pêcheurs. Les gens diront peut-être dire : « Cet homme est le chef religieux de l’Église de l’Unification, qu’est-ce qu’il y connaît ? » Mais quand ils me voient faire sur le terrain, même ceux qui pêchent depuis 10 ou 20 ans sont saisis d’admiration. Si je vais à la ferme, je m’y connais aussi. Les savants se prennent tous pour des gens mystérieux, mais en me rencontrant, ils verront qu’ils sont tombés sur plus mystérieux qu’eux. À quoi tient le mystère du révérend Moon ? C’est l’amour vrai qui me donne ce mystère. (205-140, 12.8.1990)

Je suis un adepte convaincu de trois repas. Je ne prends pas de goûter. Même s’il y a du dessert sur la table, je n’en mange pas, car je pense à eux qui ne mangent pas. C’est pareil pour les habits. Je ne mets de cravate que très rarement. Ah ! Si je pouvais récolter tout l’argent qu’on dépense en cravates afin de sauver le monde !

Si je vais aux toilettes, je n’utilise pas plus de deux bouts de papier toilette. Si possible, j’en utilise un seul. Du point de vue du Principe, le gaspillage est un péché. Depuis notre naissance, nous sommes destinés à utiliser une quantité bien précise de produits de consommation. En utiliser plus, c’est un péché. Nous devons partir en laissant des choses derrière nous. Sinon, nos descendants reçoivent cela comme une dette. Est-ce que quelqu’un enseigne cela de nos jours ? Avant toute éducation, il y a le Principe qui nous enseigne. La nature nous enseigne, la mer nous enseigne. (193-104, 31.8.1989)

Je connais aussi les plantes sauvages comestibles des montagnes. Je sais ce qu’est chaque plante, ce que l’on peut préparer à manger, ce qui est nuisible ; je connais aussi amplement les champignons vénéneux. Je sais de plus comment survivre en montagne, comment faire de la pêche si je vais à la mer. Il suffit qu’il y ait des poissons dans l’eau et je peux sans faute y construire une maison et y vivre, même si je suis seul. Le poisson frais est bon à manger rien qu’en ajoutant du sel après l’avoir attrapé, il est délicieux. C’est la vérité. J’ai fait tous les préparatifs qui me permettent de vivre seul n’importe où. (233-260, 1.8.1992)

Vous n’en avez rien su, mais j’ai porté ma croix tout seul jusqu’ici aux États-Unis. Vous ne savez pas tout ce qu’il peut y avoir comme épreuves derrière moi. Les sorties en mer quotidiennes n’en sont qu’une petite partie. J’ai vraiment tout essayé, tout. Il n’y a pas de domaine auquel je n’aurai pas touché : la science, la culture, l’art, l’éducation, etc. J’ai aussi touché au monde de la philosophie. C’est sur ce fondement que vous recevez également une éducation ici et que vous êtes actifs.

Pourquoi ces allers-retours et toutes ces activités ? Même après m’avoir suivi depuis près de 40 ans les gens ne savent pas qui je suis. Je me renouvelle constamment. Ne portez pas de jugement arbitraire. Même quand on sait parfaitement dans quelle position on se trouve, on ne doit rien dire jusqu’à ce que le monde soit restauré. (193-104, 31.8.1989)

Moi non plus, je n’aime pas être seul. Si je travaille au bord de la mer, je veux être avec les pêcheurs, les pêcheurs les plus aguerris ; si je vais en montagne, j’aime y aller avec un grimpeur chevronné. Si je vais à un combat de lutte, je souhaite y aller avec le lutteur. Si je vais dans un débit de boisson, j’y serai pour de bon. Certes, je ne ferai que humer les aromes, car si vous êtes là, vous ne pouvez pas faire abstraction de l’odeur d’alcool. On ne doit pas être seul. Il faut des collègues et des amis. On a besoin de confrères. Je n’aime pas être seul, voilà tout ce que je veux dire. On dit bien que les oiseaux à plume aiment se regrouper, pas vrai ? Le révérend Moon a beau être extraordinaire, je ne peux pas vivre seul, car je m’ennuierais. (147-312, 1.10.1986)

Se marier, c’est chercher un maître. Quand deux êtres se prennent d’affection et se demandent d’où vient l’amour, il vient droit du Ciel. Quand les deux s’unissent, l’amour tombe pile sur eux. Le sang qui est monté dans la tête, descend-il ou pas ? Il fait tout le circuit jusqu’au bout des pieds. Qu’arrive-t-il si on dit : « Il faudrait jeter ce sang qui est allé au bout de mes orteils, et de mes doigts et qui empeste la ferme » ? On meurt. C’est la loi céleste. Ce qui a été en un endroit élevé doit aller vers un endroit bas, et ce qui a été à un endroit bas, doit aller vers un endroit élevé.

Le révérend Moon, après avoir tout réussi et accompli toute la volonté, doit aussi aller vivre en se salissant dans un endroit isolé, et devenir l’ami des fermiers et des pêcheurs en faisant de la pêche ou autre chose. Je suis en train de faire un tel entraînement. (221-342, 27.10.1997)

Si Dieu est tiré avec l’hameçon de l’amour, Il est quand même heureux. L’art de l’amour va sortir de là. Toute la culture de l’amour sera créée, avec ses comédies aussi bien que ses tragédies. Ne voulez-vous pas vous battre pour l’indépendance d’un tel monde ? (195-273, 10.12.1989)

Qu’est-ce qui est comme le meilleur appât pour la pêche ? C’est l’amour. Quel est l’appât pour attraper tous les peuples ? C’est l’amour. Quel est l’appât qui permet d’attraper l’histoire, et Dieu ? S’il y avait un appât pour attraper Dieu, vous aimeriez bien le préparer, n’est-ce pas ? C’est l’appât de l’amour. Que serait l’appât pour pêcher l’histoire, le ciel et la terre, s’il y en avait un ? Je dis que c’est l’amour. (145-227, 11.5.1986)


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