samedi 6 mars 2021

Le parentisme, la pensée de l’amour vrai

Livre X

La vie dans l’ère du Testament Accompli

Chapitre III

La vision de la nation et du monde

3.2. Le parentisme est la pensée de l’amour vrai.

Ce que Dieu aime le plus est la culture de l’amour. Aurait-Il besoin d’argent, de pouvoir, de savoir ou de choses de ce genre ? Pour concevoir et bâtir une belle maison, il faut des briques, des portes et d’autres matériaux variés, mais le plus important de tout serait la beauté de finition de l’ensemble, la touche finale apportée à cette maison.

Le plus grand espoir que Dieu nourrit pour l’humanité n’est pas de nous combler de richesses ou d’érudition. Comme le dit la Bible, vous devez aimer le Seigneur votre Dieu de tout votre cœur, de toute votre âme et de tout votre esprit. C’est le premier commandement. Le deuxième commandement est d’aimer le prochain comme soi-même. Ce sont de fortes paroles. (54-41, 10.3.1972)

Le chemin que nous devons suivre est celui que nous désirons vraiment emprunter du tréfonds de nos cœurs, et la nation que nous devons chercher et établir est celle où nous désirons vraiment vivre éternellement. La richesse qui nous reviendrait de droit devrait être certifiée propriété de l’univers autant que de nous, et ce pour l’ère présente ainsi que le passé et le futur. De plus, nous devons aussi être en possession de l’autorité et du savoir qui nous permettront de partager nos peines et nos joies avec le ciel et la terre. Tel est le plus grand désir et le plus grand espoir que les personnes déchues d’aujourd’hui devraient s’efforcer d’accomplir en ce monde. (13-31, 16.10.1963)

Pour réaliser le royaume idéal de Dieu, à savoir restaurer la patrie, par où commencer ? L’individu qui a pour philosophie d’aimer ses ennemis est le point de départ. C’est pourquoi tant que Dieu reste en place, le christianisme est assuré de devenir une religion mondiale : c’est la première religion à avoir lancé le mouvement pour abattre les frontières nationales et franchir tous les murs de la culture et du milieu, et embrasser jusqu’à ses ennemis, tout cela par amour. Quand vous semez des haricots, vous récoltez des haricots ; quand vous semez des haricots rouges, vous récoltez des haricots rouges ; et quand vous semez des graines de fleurs rouges, des fleurs rouges vont éclore. Pareillement, si Satan, qui cherche à se venger sur ses ennemis, sème des graines du diable, de ce lieu jailliront des arbres du mal qui veulent se venger de leurs ennemis. Si, en revanche, celui qui aime ses ennemis sème les graines de la bonté, il en jaillira des arbres de bonté qui aiment leurs ennemis. Telle est la loi de la nature. (107-18, 21.2.1980)

Sans l’ombre d’un doute, le Royaume de Dieu est régi par les enfants de Dieu en ligne directe avec cette souveraineté. Se centrant sur Lui, ils suivent les commandements qu’Il leur donne. La démocratie ou le communisme ne peuvent y avoir leur place. Une fois établi, le royaume maintiendrait son système éternellement. En réfléchissant à tout ceci, on ne peut que se lamenter de ne pas être un citoyen d’un tel Royaume de Dieu. Vous devez donc déplorer le fait de ne pas vivre dans cette nation. Vous devez vous lamenter de ne pas avoir une telle nation. En fait, nous devons tous déplorer le fait de ne pas avoir ce genre de souveraineté immuable. (72292, 1.9.1974)

Quelle sorte d’idéologie est le dieuisme, qui est capable d’absorber le communisme et la démocratie par la pensée de l’unification, autour du révérend Moon ? S’agit-il de faire étalage de sa puissance ? Non, le vrai amour est l’essence. La question est de savoir comment nous devrons guider ce monde par l’amour vrai dans le futur. (181-227, 3.10.1988)

Pour qui existe la démocratie de la République de Corée ? Elle n’est pas pour les partis politiques. Elle existe plutôt pour la République de Corée. Quel genre d’idéologie doit alors diriger la Corée ? Elle doit inciter la Corée à œuvrer pour le monde.

Le monde doit retourner au dieuisme. L’humanisme n’est pas fiable. Laissé tel quel, le monde périra en moins d’un siècle. Seul le dieuisme vivra à jamais. C’est par la logique de l’amour vrai que nous pouvons hériter le dieuisme, faire partie de ses traditions. Les individus ont donc besoin de l’amour vrai, les hommes et les femmes aussi, les maris et les épouses, les fils et filles, les tribus, les peuples, les nations et le monde. (177-70, 15.5.1988)

Qu’est-ce donc que le dieuisme ? C’est la pensée de l’amour vrai. Et de quoi s’agit-il ? C’est une manière de pensée où on ne veut pas que les autres vivent pour nous, mais où l’on veut vivre pour les autres. Comprenez bien ce point. (169-281, 1.11.1987)

Qu’est-ce que le dieuisme ? Ce n’est pas une idéologie tournée vers l’individu, la famille, la tribu, le peuple ou la nation. Il s’agit d’une idéologie prenant pour centre l’univers. Un être emmuré dans l’individualisme aurait beau essayer comme un fou d’entrer dans le monde spirituel, qui s’appuie sur l’idéologie ayant l’univers pour centre, ça ne prendrait pas. Une fois qu’une personne entre dans la domination basée sur sa seule famille, et se dit : « Hmm, le monde, je m’en fiche ; tout ce qui m’intéresse, ce sont mes fils et filles, mes enfants, ma mère et mon père », il n’y aura pas moyen pour lui et sa famille de jamais s’en sortir. Il y sera piégé pour toujours. Alors, qui devrait briser les murs de cette domination, l’endroit où chaque famille se met en avant et se bat avec les autres en s’appuyant sur sa propre famille ? (112-211, 12.4.1981)

Une personne saine peut digérer ce que les gens ordinaires ne peuvent pas accepter. C’est pourquoi tout le monde aime une personne en bonne santé. De même, une personne qui a un esprit bien fait, autrement dit un esprit en bonne santé, peut tout digérer mentalement, que ce soit la démocratie, le communisme, ou tout autre chose.

Alors, quelle pensée poursuit l’Église de l’Unification ? L’Unificationnisme. Cela a l’air facile ? En examinant le corps physique d’un être humain, on voit disposés sur son corps les yeux, les oreilles, le nez, les mains, les pieds etc. La vie qui anime ce corps doit coordonner entre elles ces différentes parties de l’organisme. Alors, pour que le corps fonctionne correctement, est-ce que les divers organes, au lieu de s’unir dans un même but, devraient se plaindre les uns des autres : « Oh ! Je n’aime pas les yeux, ou telle autre partie du corps » ? Bien sûr que non. Ils doivent dire : « J’aime toutes les parties, je les aime toutes. » Chaque partie du corps doit coopérer avec les autres. (111-96, 1.2.1981)

Ceux qui adorent Dieu doivent verser du sang. Ceux qui brûlent d’aimer Dieu doivent verser des larmes. En fait, leurs larmes ne devraient pas cesser de couler. Et ceux qui essaient de chercher Dieu doivent verser de la sueur. Et ils doivent alors, avec un cœur parental et un corps de serviteur, se sacrifier et servir dans la position d’Abel pour l’humanité, et donner tout ce qu’ils ont avec le plus grand dévouement. Et en donnant, ils ne doivent pas s’en vanter aux autres, mais se sentir au contraire honteux de ne pouvoir donner quelque chose de meilleur. Le dieuisme, c’est tout simplement cela. (38-328, 8.1.1971)

Comment gérer les biens publics ? Comment diriger les individus, les sociétés et les nations ? En outre, comment diriger le monde ? À partir de ces méthodes publiques de gestion, un nouvel amour et un nouveau mondialisme doivent s’établir. Cette idéologie n’est pas l’humanisme. Les idéologies humanistes seront détruites. Pourrez-vous vous unir avec le dieuisme ou pas ? Ce sera une question de vie ou de mort. (31-255, 4.6.1970)

À bas toutes ces chapelles culturelles dans ce monde, créées par les nombreux peuples et les cinq races ! Bâtissons une sphère culturelle unifiée. Autrement dit, il faut établir un monde idéal gouverné par un système familial, un système social, un système national, ainsi que d’autres institutions toutes basées sur le dieuisme. Ce processus peut aussi être appelé le parfait adamisme, qui n’est pas déchu. Je ne parle pas de communisme ou de démocratie, mais d’adamisme.

Cette idéologie est le cours qui nous mène au dieuisme. Une idéologie est comme un bâton de marche qui nous aide à poursuivre un certain but. L’idéologie n’est pas un but en soi ; une idéologie est un processus nécessaire que nous devons suivre pour atteindre notre but, et les idéologies sont donc susceptibles de changer.

Aujourd’hui, les États-Unis passent pour l’État phare avancé de la démocratie, mais le temps viendra où, corrompus par l’argent, ils apprendront à haïr la démocratie. La situation actuelle en Corée en est aussi un reflet. La démocratie en soi est une bonne chose, mais le peuple coréen se lance à présent dans toutes sortes d’intrigues. Les rumeurs et les calomnies vont bon train, avec l’argent en toile de fond ; c’est le combat de tous contre tous pour usurper le pouvoir. Est-ce que c’est cela, la démocratie ? Ce qui se produit actuellement sous nos yeux est un phénomène qu’on ne peut voir que sous le règne des nantis. (21-156, 17.11.1968)

Les jeunes d’aujourd’hui ne le savent pas : vivre pour les autres, fait automatiquement de vous des figures centrales, des guides, des protecteurs. L’amour vrai qui permet de donner sa vie, voire de la perdre, et d’y trouver malgré tout de la joie, est ce qui peut réunir l’homme et la femme, les parents et les enfants. L’amour de Dieu se trouverait dans une telle famille, de sorte que cette famille serait éternellement prospère. L’immortalité siège là, au cœur de notre doctrine. (222-138, 28.10.1991)

Un nouveau mondialisme doit venir balayer l’égoïsme. L’altruisme, qui ambitionne de vivre pour les autres plutôt que pour soi-même, ne peut venir que de l’idéal de Dieu. Il est en effet l’essence de l’amour ; or l’essence de l’amour est l’altruisme, qui enseigne à se sacrifier pour sauver les autres. Par conséquent, l’essence du dieuisme est l’amour, et cette doctrine est la doctrine centrale, similaire à la tête qui meut le reste du corps : d’où son nom de pensée headwing. (164-194, 15.5.1987)

Nous voulons assurer notre victoire ; une question vient alors à l’esprit : comment serons-nous victorieux ? Nous devons triompher par la pensée headwing du dieuisme, et seul le révérend Moon en sortira vainqueur. La pensée headwing existe pour surmonter les idéologies de la droite et de la gauche. Au moment de la crucifixion de Jésus, les voleurs qui furent crucifiés avec lui à sa droite et à sa gauche ont eu une querelle. Cette situation portera ses fruits à notre époque, quand tout doit s’accomplir au niveau mondial autour de Dieu et des Vrais Parents. Cela signifie que sur la base des doctrines des Vrais Parents et de Dieu, il ne devrait pas y avoir de conflit entre l’aile droite et l’aile gauche.

Alors, par quoi ces deux doctrines peuvent-elles s’unir ? Ce n’est certainement pas par le savoir, l’argent, ou le pouvoir. Elles doivent s’assembler et être motivées par l’amour. Seulement si c’est demandé avec des mots d’amour, elles iront de l’avant volontairement et avec beaucoup de joie. (169-210, 31.10.1987)

La seule idéologie qui doive rester avec nous est le dieuisme, lequel nous fournit l’idéal absolu de l’amour et la sphère du cœur pour nos frères et sœurs dans toutes les nations. Le dieuisme seul et nul autre doit gouverner ce monde ! Amen. (137-196, 1.1.1986)


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