lundi 8 mars 2021

L’entraînement sur l’océan

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

2. La providence de l’océan menée par les Vrais Parents

2.1.5. Ocean Church et l’entraînement sur l’océan

L’Église de l’Unification du révérend Moon est un mouvement global. Je suis Coréen, mais les Occidentaux ne croient pas que je travaille seulement pour la Corée. Ils ont la ferme conviction que je travaille pour le monde. Je bâtis une organisation mondiale avec audace et courage, bien que recevant la persécution sur la terre ou sur la mer.

En ce sens, il est redoutable de venir avec cette appellation de l’Ocean Church, sur la base d’une organisation religieuse plutôt qu’en s’appuyant sur une pensée ordinaire. Que vais-je faire après avoir créé l’Ocean Church ? Il ne suffit pas de sortir en mer et de s’entraîner. Il s’agit de dominer la mer, et de l’aimer. En s’emparant de la mer, on ne fait pas n’importe quoi n’importe comment. Administrons la mer selon la volonté originelle du créateur, et en aimant la mer, prenons-là comme champ d’activité qui permet d’allier le monde grâce à la mer. (128-249, 28.8.1983)

Naviguer en bateau et sur les vagues, c’est un travail d’homme. C’est quelque chose que les femmes ne peuvent pas faire. C’est tellement superbe ! C’est pour cela que je voyage en bateau. Je voyage en bateau pour vous enseigner cela. J’ai pris la responsabilité d’explorer cette mer pour le futur ; puisque vous me suivez, et m’aimez, vous ne pouvez qu’aimer ce bateau. Combien de livres pèse un grand thon ? Le poids dépasse les 500 kilos. De nombreux thons pèsent 500 kilos.

Si l’on dit que le poids d’une personne ordinaire est de 60 kilos, c’est presque huit fois plus lourd. Imaginez. Ça fait quoi d’attraper un tel poisson ? Comme affaire, vous ne trouverez pas plus rentable. Si vous attrapez un gros thon comme cela, vous avez à manger pour un an. Si vous en mangez trois livres par jour, vous en avez pour un an. (119-63, 3.7.1982)

La terre étant maintenant surpeuplée, il faut construire des bateaux et sortir en mer. On ne va pas tarder à vivre dans un monde où il faudra résider sur la mer. Que devons nous faire sur la mer ? Les hommes de l’Église de l’Unification vivront sur les bases marines du monde entier. Il suffit de s’en emparer, pour nous ajuster à toutes les cultures du monde. Les moonistes hommes se rassembleront tous au bord de la mer, et nous nous emparerons des bords de mer du monde entier. (116-326, 2.1.1982)

L’espace maritime des États-Unis regorge de ressources naturelles maritimes illimitées, et le bureau des affaires maritimes consacre tous ses efforts pour les exploiter. Mais il n’y a pas assez de gens. D’où le plan national du gouvernement : si quelqu’un vit sur un bateau pendant deux ans et demi, cette personne peut acquérir ce bateau, en ne payant que dix pour cent de son prix. Un bateau de 120 tonnes fait dans les deux millions de dollars, mais ils ont dit qu’ils feront ces bateaux à deux millions de dollars. Un bateau de 120 tonnes, c’est superbe. Nous faisons donc de la pêche dans 300 ports. J’ai construit des bateaux d’une conception spéciale. En partant des petits bateaux de pêche, j’ai fait faire des bateaux spécialement conçus pour s’entraîner. C’est moi qui les ai conçus. Comme bateau, il a franchement belle allure.

Pour faire en sorte que les gens suivent un entraînement de pêche, on regroupe dix bateaux autour d’un grand bateau. Il en résulte le calcul qu’une personne sort en emmenant 11 bateaux. Je fais la publicité que si cinq personnes se mettent ensemble, je leur donne un bateau qui vaut 30 000 dollars. Ainsi, on peut même vendre des petits bateaux à 30 000 dollars. J’ai aussi mon plan pour développer les ports de pêche actuels. (110-202, 17.11.1980)

Je fais un plan pour réunir 60 personnes et les éduquer quelque part. L’autre jour, je les ai répartis dans 30 endroits différents. Si ce modèle essaime dans 30 endroits, je l’étendrai à 300 endroits et je donnerai aux diplômés de notre séminaire de théologie la responsabilité de créer l’Ocean Church. Voilà une Église qui n’a jamais existé dans toute l’histoire. Elle s’appelle l’Ocean Church et le culte du dimanche se fait en bateau ; je fais les préparatifs pour développer ce mouvement. Si on commence, que va-t-il se passer ? Nos gens devront travailler sur les bateaux durant deux ans. Notre flotte de bateaux étant importante, on travaillera dessus tour à tour.

Ainsi, il suffit que le maire ou le chef de la gendarmerie maritime fasse une signature pour que la nation nous donne autant de bateaux qu’on veuille. Même si je transfère l’argent que j’investis d’une banque, je peux fournir 10 % des fonds autant qu’il faut. Quand cela arrivera, on aura des milliers de bateaux. Pour qu’il en soit ainsi et qu’on puisse étendre un fondement pour l’absorber, je planifie une organisation mondiale du marché et je préparer donc également ce travail en Europe et au Japon. Voilà l’ampleur de la tâche à laquelle je suis attelé. (110-204, 17.11.1980)

Vous faites du home church, et que représentent ces 300 bateaux ? Ce sont les bateaux de home church. Cela s’appelle Ocean Church. Si vous rencontrez des difficultés en allant dans un port, demandez simplement : « Où sont les bateaux One Hope ? » Tout le monde le saura au port. Tous les gens aux États-Unis qui sont au bord de la mer le savent. Nous nous rencontrons, pour chanter et prier. Nous prions également pour le repas de midi. (108-217, 5.10.1980)

En Amérique du Sud, nous avons 30 crevettiers, et cinq thoniers. Je considère donc que dans le futur, les membres à temps plein devraient tous suivre une formation d’un an et demi sur les bateaux. Et les responsables de l’Église seront tous mobilisés deux dimanches par an pour des activités Ocean Church. Responsable d’Église, cela ne veut pas dire grand chose dès qu’il s’agit des activités de l’Ocean Church ? Je fais travailler tout le monde ensemble. Je donne donc des instructions. Je dirai : « Vas à tel endroit et fais de la pêche. » Vous ne savez pas quand vous partirez. (119-256, 13.9.1982)

Depuis le mois d’avril jusqu’à maintenant, je suis debout à cinq heures du matin, et je navigue sur la mer jusqu’à vingt-trois heures. Certains ont dit : « Eh bien, ce grand-père qui a dépassé les 70 ans navigue en bateau et fait de la pêche et les jeunes s’enfuient, se cachent et veulent dormir ? ». En voyant cela, je me dis : « Quel grand péché je commets. Pourquoi attraper des jeunes comme ça et les faire souffrir autant ? » Je fais cela, car s’ils ne s’en sortent pas maintenant, ils ne tiendront pas, et ne pourront pas monter au sommet du monde. (223-280, 12.11.1991)

Je vous entraîne. Combien parmi vous peuvent me suivre ? C’est un vrai travail de forçat. Comme travail de forçat, vous ne trouverez rien de plus pénible. On pêche en étant debout du matin au soir. Pendant dix jours, on ne peut pas s’asseoir. Sans vous en rendre compte, il est déjà minuit. En Alaska, même à minuit, il fait encore jour. Il fait encore jour même à une heure du matin. Si on se lève à cinq heures du matin et qu’on pêche jusqu’à minuit, ça fait combien d’heures ? 19 heures en tout. (231-308, 21.6.1992)

La côte, c’est la frontière entre terre et mer. La mer doit à présent se lier à la terre, et la terre se lier à la mer. Aucune autre frontière que la côte n’a ces deux buts. À l’avenir, quand la mer et la terre seront d’égale nécessité, la côte acquerra une importance décisive. Cela m’amène à dire qu’un temps viendra où la côte aura plus d’importance que n’importe quel bout de terre ferme. (128-249, 28.8.1983)

Pourquoi faut-il faire de la pêche ? Pourquoi devrions-nous construire des bateaux en Alabama ? Si les étudiants du séminaire de théologie ne veulent pas aller à l’Ocean Church, je ferai de leurs femmes des capitaines. Les femmes capitaines feront venir les hommes et leur donneront une bonne gifle en disant : « Fils de voyou ! Moi je fais ce travail, et où sont les hommes ? » Je leur dirai d’amener les hommes et, s’ils disent ne pas vouloir diriger l’Ocean Church, de les frapper sur les joues. Si les hommes disent qu’ils ne vont pas le faire, je nommerai des femmes capitaines pour faire ce travail. (116-326, 2.1.1982)


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