
Livre
XII
La
providence du Pacifique
Chapitre
premier
Le XXIe
siècle sera l’âge de l’océan
2. La
providence de l’océan menée par les Vrais Parents
2.2. La
providence de l’océan en Amérique du Sud
2.3.3.
Les chantiers navals
Les
gens de Mokpo font pitié. Je suis désolé pour les gens de la province de
Jeolla. Les personnes de Jeolla qui sont ici doivent se sentir bien. Le pays
n’aide même pas les gens de la province de Jeolla et les laisse tomber. J’ai eu
pitié des habitants de la province de Jeolla et j’ai eu l’intention de faire
construire un chantier naval à Mokpo, mais puisque ça prend longtemps, j’en ai
acheté un. Puisqu’on m’a dit que ce chantier naval était le chantier naval le
plus grand de Mokpo, j’y suis allé pour voir à quel point il était grand. J’ai
visité beaucoup de chantiers navals aux États-Unis. Lorsque j’ai acheté le
chantier naval, après avoir parlé de 1,8 milliards, ils sont descendus de 1,3
milliards à 800 millions. Quand il s’agit d’acheter quelque chose, je m’y
entends. Je sais y faire pour faire baisser le prix. Je suis le plus fort pour
faire descendre un prix. (173-139, 14.2.1988)
J’ai
créé un chantier naval à Mokpo, n’est-ce pas ? Ce n’est pas pour l’argent que
je l’ai construit. Je l’ai créé pour enseigner comment construire des bons
bateaux. C’est parce que c’est le début que vous y êtes opposés, n’est-ce pas ?
Vous vous opposez, mais il faut construire des bons bateaux et monopoliser [le
marché des] bateaux de la mer de l’Est (mer du Japon) ou de ceux de Busan.
À
partir de là les gens afflueront continuellement. Puis je vais les ôter un par
un et les donner. C’est comme ça maintenant, mais c’est ainsi que nous devons
vivre. Je propose que nous fassions cela. Dans ce cas, nous ne périrons
absolument pas. Si on fait des sacrifices au point de périr, on ne périt pas.
La fortune céleste nous protégera sûrement. (180-333, 5.10.1988)
Tout le
monde espère recevoir des bénédictions, encore faut-il y être prêt. Ceux qui ne
sont pas préparés devront passer leur tour. J’avais espéré que les provinces
agiraient selon leurs plans. Si les gens de Seongsanpo avaient procédé
rapidement, j’aurais construit une usine de réfrigération je leur aurais
également fait un bateau de 8 000 tonnes, voire 10 000 tonnes. Mais les
autorités provinciales n’ont pas soutenu l’achat de terres. Ils ont fait toutes
sortes de choses entre eux pour ne pas les vendre et se sont entendus pour les
vendre très cher. (188-009, 16.2.1984)
Quand
on commence à pêcher du poisson, il faut avoir un bateau pour le transporter.
Il y a donc un lien naturel avec l’industrie du transport. Et il faut aussi
construire des pétroliers au long cours jusqu’à des dizaines de milliers de
tonnes pour pouvoir acheminer le pétrole du Moyen-Orient. Si l’on veut se
diriger vers un chantier naval de dimension mondiale, il faut s’équiper à
l’avance d’un fondement solide. On dispose maintenant de la technologie qui
permettra de tout fabriquer à partir d’un plan. Puis si l’on veut attraper du
poisson, nous devons fabriquer des filets. Nous avons également ce qu’il faut
pour pouvoir tout fabriquer en partant des filets. (262-243, 1.8.1994)
Les
personnes qui ont de bons résultats, enseigneront la technologie de notre
chantier naval qui est à Mokpo. Notre chantier naval de Mokpo est un vrai
chantier naval. Nous enseignerons la technologie pour construire des pétroliers
et des chimiquiers, n’importe quel genre de bateau. Avec cette technologie, il
faut bâtir de telles usines dans des pays représentatifs, mettons en Afrique,
sur les six continents. (276-030, 2.1.1996)
Je suis
une personne redoutable. Quand je me lance dans l’industrie de la construction
navale, je dévoile tout ce qu’ils ont caché en une seule fois. Quand Paul
Werner est devenu le responsable de notre chantier naval, du chantier naval
Master Marine, il a vanté ses prouesses, mais je suis passé à la contre-attaque
en dévoilant l’envers du décor. Je suis le maître qui fait peur. J’ai donné des
instructions sur la conception des bateaux. Pour les maquettes des journaux,
c’est également moi qui ai donné des instructions et nous avons donc remporté
le premier prix de la compétition des journaux aux États-Unis. Je suis rapide,
croyez-moi. Vous devez me voir avec un nouveau regard. Comme il y a quelque
chose de spécial, j’ai préparé tout le fondement qu’un gouvernement n’a pas
dans le monde satanique. (276-103, 4.2.1996)
Quand
je vais sur un chantier naval, je cherche tout de suite comment le bateau a été
fait, et s’il y a une erreur, je ne tarde pas à la repérer et à donner des
ordres. Je dis : « Pourquoi avez-vous fait ceci comme ça ? » Mes visites sur
notre chantier naval de l’Alabama sont très redoutées. Je dévoile tout ce
qu’ils ont caché. Aussi dit-on que le maître est comme un fantôme. Je suis
comme cela. (287-232, 4.10.1997)
Si
quelqu’un qui dirige une entreprise se tient en position de sujet, il doit
créer son objet. Il faut le développer, et si c’est par exemple un chantier
naval, le directeur du chantier naval et les employés doivent s’unir comme
sujet et objet. Si on s’unit avec les employés, c’est dans le but de
ressusciter le pays, voire de ressusciter l’Amérique du Sud et le monde.
(287-291, 16.10.1997)
Pendant
25 ans, j’ai navigué tous les jours en bateau. J’ai fait cela, car je dois
élever l’industrie de la pêche avec mes mains. Aujourd’hui encore j’ai donc
visité le chantier naval d’Okpo. Je l’ai donc visité en me demandant si je
devais l’acheter ou aller en Corée du Nord et construire un chantier naval dans
la région triangulaire de la Mandchourie et de l’Union soviétique. Je suis le
seul à penser à ces choses-là. C’est à cette condition-là que les Coréens du
Nord seront sauvés. (290-210, 24.2.1998)
Nous
devons nous hâter de construire nos bateaux. Nous les ferons dans les chantiers
navals de Mokpo et nous irons pêcher avec une ligne à plusieurs hameçons. Pour
pêcher la tile, il faut un bateau assez rapide. Il doit être deux fois plus
rapide que maintenant. Si l’on fait un trajet en trois heures, il doit le faire
en une heure et demie. Le One Hope que nous avons construit récemment ne coule
pas, et six personnes peuvent naviguer dessus et aller n’importe où.
Même
s’il y a un typhon, tant que la chaîne de l’ancre ne casse pas, on survit. Le
typhon ne doit pas poser de problème. De gros bateaux coulent, mais notre
bateau ne coule pas. Depuis que je l’ai développé, nous nous sommes imposés
dans le monde de la pêche au thon. Nous devons nous servir de notre bateau pour
pouvoir aller n’importe où. (291-279, 17.3.1998)
Originellement
je voulais traiter avec le Japon et la Chine à partir d’ici. Les bateaux
chinois ne viennent-ils pas par ici ? J’ai aussi construit un chantier de
réparations pour les bateaux chinois dans le chantier naval. J’ai demandé qu’on
les répare. J’ai demandé de réparer les bateaux au prix de revient s’ils sont
cassés. J’ai demandé de guider les Japonais dans la construction d’un lieu de
pêche sur l’île de Jigwi. Si l’on fait cela, les gens qui ont des postes
importants se précipiteront tous. J’ai donc créé un aérodrome à Moseulpo, pour
que les avions chinois et japonais fassent des allers et retours librement. Il
est hors de portée des autres pays c’est un aérodrome privé pour des appareils
chinois, russes et japonais. (291-303, 18.3.1998)
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