lundi 8 mars 2021

Les chantiers navals

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

2. La providence de l’océan menée par les Vrais Parents

2.2. La providence de l’océan en Amérique du Sud

2.3.3. Les chantiers navals

Les gens de Mokpo font pitié. Je suis désolé pour les gens de la province de Jeolla. Les personnes de Jeolla qui sont ici doivent se sentir bien. Le pays n’aide même pas les gens de la province de Jeolla et les laisse tomber. J’ai eu pitié des habitants de la province de Jeolla et j’ai eu l’intention de faire construire un chantier naval à Mokpo, mais puisque ça prend longtemps, j’en ai acheté un. Puisqu’on m’a dit que ce chantier naval était le chantier naval le plus grand de Mokpo, j’y suis allé pour voir à quel point il était grand. J’ai visité beaucoup de chantiers navals aux États-Unis. Lorsque j’ai acheté le chantier naval, après avoir parlé de 1,8 milliards, ils sont descendus de 1,3 milliards à 800 millions. Quand il s’agit d’acheter quelque chose, je m’y entends. Je sais y faire pour faire baisser le prix. Je suis le plus fort pour faire descendre un prix. (173-139, 14.2.1988)

J’ai créé un chantier naval à Mokpo, n’est-ce pas ? Ce n’est pas pour l’argent que je l’ai construit. Je l’ai créé pour enseigner comment construire des bons bateaux. C’est parce que c’est le début que vous y êtes opposés, n’est-ce pas ? Vous vous opposez, mais il faut construire des bons bateaux et monopoliser [le marché des] bateaux de la mer de l’Est (mer du Japon) ou de ceux de Busan.

À partir de là les gens afflueront continuellement. Puis je vais les ôter un par un et les donner. C’est comme ça maintenant, mais c’est ainsi que nous devons vivre. Je propose que nous fassions cela. Dans ce cas, nous ne périrons absolument pas. Si on fait des sacrifices au point de périr, on ne périt pas. La fortune céleste nous protégera sûrement. (180-333, 5.10.1988)

Tout le monde espère recevoir des bénédictions, encore faut-il y être prêt. Ceux qui ne sont pas préparés devront passer leur tour. J’avais espéré que les provinces agiraient selon leurs plans. Si les gens de Seongsanpo avaient procédé rapidement, j’aurais construit une usine de réfrigération je leur aurais également fait un bateau de 8 000 tonnes, voire 10 000 tonnes. Mais les autorités provinciales n’ont pas soutenu l’achat de terres. Ils ont fait toutes sortes de choses entre eux pour ne pas les vendre et se sont entendus pour les vendre très cher. (188-009, 16.2.1984)

Quand on commence à pêcher du poisson, il faut avoir un bateau pour le transporter. Il y a donc un lien naturel avec l’industrie du transport. Et il faut aussi construire des pétroliers au long cours jusqu’à des dizaines de milliers de tonnes pour pouvoir acheminer le pétrole du Moyen-Orient. Si l’on veut se diriger vers un chantier naval de dimension mondiale, il faut s’équiper à l’avance d’un fondement solide. On dispose maintenant de la technologie qui permettra de tout fabriquer à partir d’un plan. Puis si l’on veut attraper du poisson, nous devons fabriquer des filets. Nous avons également ce qu’il faut pour pouvoir tout fabriquer en partant des filets. (262-243, 1.8.1994)

Les personnes qui ont de bons résultats, enseigneront la technologie de notre chantier naval qui est à Mokpo. Notre chantier naval de Mokpo est un vrai chantier naval. Nous enseignerons la technologie pour construire des pétroliers et des chimiquiers, n’importe quel genre de bateau. Avec cette technologie, il faut bâtir de telles usines dans des pays représentatifs, mettons en Afrique, sur les six continents. (276-030, 2.1.1996)

Je suis une personne redoutable. Quand je me lance dans l’industrie de la construction navale, je dévoile tout ce qu’ils ont caché en une seule fois. Quand Paul Werner est devenu le responsable de notre chantier naval, du chantier naval Master Marine, il a vanté ses prouesses, mais je suis passé à la contre-attaque en dévoilant l’envers du décor. Je suis le maître qui fait peur. J’ai donné des instructions sur la conception des bateaux. Pour les maquettes des journaux, c’est également moi qui ai donné des instructions et nous avons donc remporté le premier prix de la compétition des journaux aux États-Unis. Je suis rapide, croyez-moi. Vous devez me voir avec un nouveau regard. Comme il y a quelque chose de spécial, j’ai préparé tout le fondement qu’un gouvernement n’a pas dans le monde satanique. (276-103, 4.2.1996)

Quand je vais sur un chantier naval, je cherche tout de suite comment le bateau a été fait, et s’il y a une erreur, je ne tarde pas à la repérer et à donner des ordres. Je dis : « Pourquoi avez-vous fait ceci comme ça ? » Mes visites sur notre chantier naval de l’Alabama sont très redoutées. Je dévoile tout ce qu’ils ont caché. Aussi dit-on que le maître est comme un fantôme. Je suis comme cela. (287-232, 4.10.1997)

Si quelqu’un qui dirige une entreprise se tient en position de sujet, il doit créer son objet. Il faut le développer, et si c’est par exemple un chantier naval, le directeur du chantier naval et les employés doivent s’unir comme sujet et objet. Si on s’unit avec les employés, c’est dans le but de ressusciter le pays, voire de ressusciter l’Amérique du Sud et le monde. (287-291, 16.10.1997)

Pendant 25 ans, j’ai navigué tous les jours en bateau. J’ai fait cela, car je dois élever l’industrie de la pêche avec mes mains. Aujourd’hui encore j’ai donc visité le chantier naval d’Okpo. Je l’ai donc visité en me demandant si je devais l’acheter ou aller en Corée du Nord et construire un chantier naval dans la région triangulaire de la Mandchourie et de l’Union soviétique. Je suis le seul à penser à ces choses-là. C’est à cette condition-là que les Coréens du Nord seront sauvés. (290-210, 24.2.1998)

Nous devons nous hâter de construire nos bateaux. Nous les ferons dans les chantiers navals de Mokpo et nous irons pêcher avec une ligne à plusieurs hameçons. Pour pêcher la tile, il faut un bateau assez rapide. Il doit être deux fois plus rapide que maintenant. Si l’on fait un trajet en trois heures, il doit le faire en une heure et demie. Le One Hope que nous avons construit récemment ne coule pas, et six personnes peuvent naviguer dessus et aller n’importe où.

Même s’il y a un typhon, tant que la chaîne de l’ancre ne casse pas, on survit. Le typhon ne doit pas poser de problème. De gros bateaux coulent, mais notre bateau ne coule pas. Depuis que je l’ai développé, nous nous sommes imposés dans le monde de la pêche au thon. Nous devons nous servir de notre bateau pour pouvoir aller n’importe où. (291-279, 17.3.1998)

Originellement je voulais traiter avec le Japon et la Chine à partir d’ici. Les bateaux chinois ne viennent-ils pas par ici ? J’ai aussi construit un chantier de réparations pour les bateaux chinois dans le chantier naval. J’ai demandé qu’on les répare. J’ai demandé de réparer les bateaux au prix de revient s’ils sont cassés. J’ai demandé de guider les Japonais dans la construction d’un lieu de pêche sur l’île de Jigwi. Si l’on fait cela, les gens qui ont des postes importants se précipiteront tous. J’ai donc créé un aérodrome à Moseulpo, pour que les avions chinois et japonais fassent des allers et retours librement. Il est hors de portée des autres pays c’est un aérodrome privé pour des appareils chinois, russes et japonais. (291-303, 18.3.1998)


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