
Livre
XII
La
providence du Pacifique
Chapitre
premier
Le XXIe
siècle sera l’âge de l’océan
2. La
providence de l’océan menée par les Vrais Parents
2.2. La
providence de l’océan en Amérique du Sud
2.2.3.
Musée d’animaux
L’être
humain est responsable d’empêcher l’extermination des espèces que Dieu a
créées. Combien en a-t-il exterminé jusqu’à maintenant ?
Rien
que pour les poissons, on compte 3 600 variétés au Pantanal. En créant une
ferme aquacole, on pourra les multiplier n’importe quand et en tous lieux dans
le monde où la constitution du sol est identique. Je travaille pour ce genre de
chose. Je vais maintenant m’atteler à ce vaste projet. (300-88, 1.3.1999)
Quand
nous aurons créé une ferme aquacole de 3 600 espèces, rien qu’en étudiant cela,
il peut y avoir 3 600 titulaires d’un doctorat parmi vos enfants. Soyez donc
reconnaissants que je prépare ce qui permettra à vos descendants de faire une
belle carrière. Si tous devaient écrire une thèse de doctorat là-dessus, cela
ferait 3 600 docteurs. Faut-il donc continuer ce travail sans relâche, ou
l’arrêter ? Pourquoi ? Nous devons poursuivre ce travail, pour comprendre à
quel point Dieu a aimé en faisant la création. (279-39, 9.6.1996)
J’ai
l’intention de créer un musée et de faire une exposition de toutes les espèces.
On aura des échantillons qui seront exposés. Je créerai un élevage et on se
croira en pleine nature, rien qu’en regardant. Je déploie un mouvement pour
construire un musée dans chaque village afin de montrer comment on peut aimer
les animaux. Ainsi, le village qui aura le plus grand nombre d’espèces
deviendra un village touristique mondial. On exposera aussi les espèces
d’herbes et d’arbres. (288-72, 31.10.1997)
Des
milliers de variétés de poissons sont en train de jouer sous le bateau, et vous
ne vous y intéressez pas ? Rien qu’au Pantanal, il y a 3 600 espèces de
poissons. Si on construit un bâtiment pour l’élevage de 3 600 espèces, les gens
du monde entier viendront-ils visiter ce musée d’élevage ou non ? Il y aura une
multitude de personnes y compris des élèves de l’école élémentaire. Il y a 3
600 espèces de poissons dans la région de l’Amazone et dans l’arrière-pays
Pantanal. Il y a 3 600 espèces, mais toutes les espèces y sont conservées
telles que Dieu les créa à l’origine. C’est le cas dans la région de l’Amazone
et dans les zones des rivières du Paraguay. Sur la base de ces 3 600 espèces
nous créerons une ferme aquacole. Les personnes qui s’intéressent aux poissons
viendront ici même si on leur dit de ne pas venir. (295-38, 16.8.1998)
La
température varie en fonction de l’altitude. Et les variétés de poissons dans
la mer sont aussi fonction de la température. C’est pourquoi dans toutes les
rivières, ils cherchent des régions correspondant à la température des régions
dans lesquelles ils évoluent pour y vivre et pondre des œufs. Même si les
régions sont situées à des endroits différents, à l’est, au sud ou au nord,
s’il n’y a pas de différence de température, on retrouvera les mêmes espèces.
C’est pour cela qu’il y a une telle diversité de poissons. Dans le Paraguay,
qui constitue la principale artère fluviale s’écoulant verticalement dans
l’Amérique du Sud la profondeur dépasse 70 mètres et dans certains endroits
peut atteindre 100 mètres, ce qui fait que des gros bâtiments de transport, des
bateaux de fort tonnage peuvent le remonter. Tout autour, ses affluents
regorgent de poissons. Aux confluents, on construira des usines de
réfrigération et on y stockera tous les poissons pêchés. Il faudra y acheminer
l’électricité, or il y en a énormément, et actuellement on ne sait pas où la
vendre. (267-267, 20.1.1995)
À force
de pêcher souvent, les poissons disparaissent tous. Il faut donc en élever.
Dans le but d’élever des poissons, je projette de créer un zoo avec les animaux
du Pantanal ou de la zone fluviale de l’Amazone en Amérique de Sud.
Il nous
faut une ville où on élève des insectes. Et chaque fois qu’on sonnera la
cloche, les oiseaux friands d’insectes pourront venir en manger. Une ville qui
élève des insectes pour nourrir les oiseaux doit apparaître. Sans insectes, on
va vers la mort des oiseaux. Il faut bâtir des villages qui élèvent des
insectes, des villages qui élèvent des oiseaux, des villages qui élèvent des
animaux. (292-24, 27.3.1998)
Pour ce
qui est des poissons, on en dénombre 3 600 espèces au Pantanal. Et en Corée,
combien ? Il y en a 36 ? La Corée n’est rien par rapport au Pantanal. À
l’avenir, on aura donc besoin d’une ferme aquacole encore plus haute qu’un
gratte-ciel pour élever ces 3 600 espèces de poissons. En réglant la
température selon les espèces des poissons grâce à un ordinateur, imaginez
qu’on pourra élever les poissons de mer, les poissons d’eau douce, les poissons
des zones glaciales et tropicales, tout en réglant la température, élever les 3
600 espèces du monde entier dans un bâtiment. Un gratte-ciel, ce n’est pas cela
qui posera un problème. (296-188)
Ce
n’est pas les montagnes qui manquent en Amérique du Sud, avec l’Argentine, le
Brésil etc.…. L’eau y est pure, on peut y cultiver des plantes et des animaux.
Certaines montagnes sont liées à des plateaux à 1 300 mètres de hauteur, on
peut élever n’importe quelle bête. On élève aussi des poissons. Je porte mon
attention là-dessus. Après avoir pêché 3 600 espèces de poissons, on construira
un hall d’exposition et on vendra le ticket d’entrée à un prix élevé. On créera
un musée et on fera de cet endroit un site touristique. Les personnes qui
s’intéressent aux poissons ne peuvent faire autrement que de venir voir ici une
fois. Il y a 3 600 espèces de poissons. C’est un tel musée que j’imagine.
(276-201, 19.2.1996)
C’est
fantastique d’éduquer les gens qui viennent ici, et de les laisser vivre dans
la nature. Pour créer un village qui soit relié à la civilisation moderne, la
vie citadine, je créerai un musée des 3 000 espèces d’insectes qui vivent dans
cette vaste région. Tous les spécialistes des insectes doivent venir ici. De
plus, je créerai une ferme aquacole qui permette d’élever 3 600 espèces de
poisson, puis un parc à oiseaux, et un jardin botanique. Puis, je créerai un
zoo d’êtres humains. C’est un zoo d’humains. Un zoo est un parc animalier, mais
celui-ci, c’est un parc animalier de l’espèce humaine. (288-75, 31.10.1997)
2.3. La
providence de l’océan en Corée
2.3.1.
Cheonseungho, le bateau de la victoire du Ciel
Mon
intérêt pour la mer remonte aux années 1960. J’ai travaillé dans l’industrie de
la pêche pendant 22 années. En 1963, j’ai fait construire le Cheonseungho (Le
cri de la victoire du Ciel) pour naviguer sur les cinq océans et j’ai désigné
Eu Hyo-min et Eu Hyo-yeong pour qu’ils travaillent sur la mer, mais ils
détestaient la mer. (276-314, 10.3.1996)
J’ai
construit le Cheonsungho en 1963. Eu Hyo-yeong n’aimait pas les bateaux. Il
n’aimait ni l’eau ni les vagues. Il faut trouver son bonheur dans la traversée
de vagues hautes comme une maison quand le typhon arrive en soufflant. Il faut
devenir un homme qui trouve que cela en vaille la peine même s’il faut mourir
pour cela, mais lui avait peur de l’eau, et n’aimait pas ça. Si nous étions
allés en Alaska à l’époque, quelle aurait été notre expansion mondiale ?
(291-276, 17.3.1998)
J’agis
pour Dieu, pour l’humanité, pour le monde et pour la création avec un esprit de
dévouement. N’ai-je pas libéré jusqu’à la création ? C’est pour cela que je vis
pour la mer. Dans les années 1960, il n’y a pas de montagne en Corée que je
n’ai gravie. Et en 1963, j’ai construit un bateau. C’est le Cheonseungho. Où
dans le monde y a-t-il un bateau qui s’appelle Cheonseungho ? Tout ceci a une
signification. J’ai construit des bateaux jusqu’ici pour établir le fondement
victorieux pour le Ciel.
J’ai
commencé à construire des bateaux avant même de venir aux États-Unis. J’ai
commencé à faire des bateaux en 1963 et depuis, je navigue sur des bateaux. En
1973, 1983, 1993, j’ai navigué sur des bateaux. Du matin jusqu’à minuit,
parfois en Alaska jusqu’à trois heures du matin, la nuit et le jour j’ai voyagé
sur des bateaux avec un cœur sincère, de tout mon cœur. (294-54, 10.6.1998)
J’ai
construit un bateau en Corée qui s’appelle Cheonseungho. Quelle victoire ? La
victoire du Ciel, c’est le Ciel qui gagne, et cela signifie qu’on accomplit la
volonté de Dieu. On a commencé depuis ce moment. À cette époque, après avoir
construit le Cheonseungho, nous avons dit : « Conquérons les mers du monde »
J’ai construit ce bateau après que Eu Hyo-yeong ait crié : « Bateau, bateau !
», mais en fait, il n’aimait pas naviguer en bateau – peut-être à cause de son
âge.
Il a
dit : « Maître, avec des vagues comme cela, je ne peux pas sortir. » Un
pêcheur, peut-il parler ainsi ? Il faut sortir jusqu’à la mort. (294-175,
14.6.1998)
2.3.2.
Les produits marins Ilheung
Vous
êtes des responsables de l’Église, je crois ? À partir de maintenant, il ne
peut pas y avoir d’exception, même pour le personnel d’une entreprise. Les
familles de l’Église de l’Unification ont le même destin. Quand on dit : «
Église de l’Unification », c’est une Église où tout est uni. Alors, si c’est
une entreprise, c’est l’entreprise unificationniste.
Lorsqu’on
dit que c’est une « entreprise de l’Unification », c’est une entreprise
unificationniste. Je suis maintenant revenu de l’Île de Jeju. Il y a là une
entreprise qui s’appelle « Produits marins Ilheung », et j’ai donné des
instructions au chef d’entreprise avant de venir ici : « À partir de
maintenant, crée l’entreprise unificationniste de Produits Marins Ilheung. Fais
des préparatifs pour pouvoir inviter les plongeuses, les mères et les jeunes
filles qui sont sur l’Île de Jeju. (178-131, 1.6.1988)
J’ai
créé un chantier naval sur l’Île de Jeju, mais quand je me suis penché dessus,
il paraît qu’il ne marche pas. J’ai donc transféré le chantier naval à Mokpo,
mais ils ont dit : « Oh non, ça ne marchera pas. » Il faut également transférer
le siège social de Produits Marins Ilheung de l’Île de Jeju à Séoul. C’est
comme cela que ça se passe dans le monde. Lorsqu’on veut donner une
bénédiction, si on n’a pas une bonne attitude pour la recevoir, même le Ciel
s’en va. (178-155, 1.6.1988)
Jusqu’ici,
j’ai dépensé des milliards pour construire, développer et inspirer les Produits
Marins Ilheung. (184-156, 27.12.1988)
En
Corée il y a l’entreprise Produits Marins Ilheung. Récemment, j’ai éduqué 110
000 femmes japonaises et quelques milliers de femmes coréennes pour faire un
jumelage. Maintenant, même jusque dans les échelons du bas, il n’y a pas
d’endroit où les gens de notre organisation ne soient représentés. J’ai donc
créé cinq postes de vice-présidentes dans tout le pays, un pour représenter les
provinces de Gyeongsang Nord et Sud, un pour les provinces de Jeolla Nord et
Sud, un pour les provinces de Chungcheong Nord et Sud, un pour Séoul, et un
pour la province de Gyeonggi. Deux femmes sont déjà désignées, reste trois
postes à pourvoir. (262-247, 1.8.1994)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vos commentaires sont les bienvenus