dimanche 7 mars 2021

L’humanité, le centre de tous les êtres

Livre XI

L’essence fondamentale de l’univers

Chapitre premier

L’ordre fondamental de l’univers

3.2.3. L’humanité est le centre de tous les êtres créés

À qui ressemble Dieu ? Il est comme nous, à la fois homme et femme. Votre esprit ne se laisse pas voir, n’est-ce pas ? Vous aimeriez le voir, ou pas ? Pour Dieu, c’est la même chose sous un angle spirituel. Il n’a pas de corps physique… Il n’en a pas eu jusqu’ici, car Adam n’a pas réussi à atteindre la perfection. Aussi existe-t-Il comme univers-esprit, comme maître-esprit, comme enseignant-esprit ou comme Parent-esprit. (197-44, 7.1.1990)

Les fils et filles de Dieu furent créés sur le fondement du monde naturel, lequel entretient un rapport avec eux. Tout est inclus, depuis les animaux jusqu’aux minéraux.

Dans le règne minéral on trouve le plus et le moins, dans le règne végétal ce sont l’étamine et le pistil, et dans le règne animal, le mâle et la femelle. Or tous ces êtres aboutissent au chef-d’œuvre suprême, l’être humain, créé en combinant tous les autres pour les réunir, et lui donner sa nature intérieure et sa forme extérieure. Ces formes furent manifestées dans la nature intérieure et la forme extérieure de l’homme et de la femme, et révélées symboliquement, en image, et substantiellement, de façon à entrer en rapport avec toute la création. (144-236, 25.4.1986)

Si Dieu a besoin de l’humanité, le centre de toute la création, ce n’est pas pour l’argent, le savoir ou l’autorité ; c’est pour l’amour, seulement pour l’amour. Autrement, si Dieu cherchait seulement à Se faire aimer, rien ni personne n’aurait envie de L’aimer. La conclusion c’est que sans aucun doute Dieu a dû créer un partenaire objet en ce monde pour pouvoir L’aimer. En gardant cela à l’esprit, qui en ce monde serait assez fort et grand pour être Son objet d’amour ? De tous les êtres de ce monde créés par Dieu, le seul à répondre aux critères du parfait objet à même de se tenir devant Lui, est le couple : l’homme et la femme. Alors, tâchez d’avoir assez d’audace pour dire : « Je suis le seigneur de l’univers, la plus belle des créatures ». (148-308, 26.10.1986)

Dieu fit toutes les choses de la nature dans un élan d’allégresse, et pour que la joie demeure toujours stimulante. Il ne les a pas créées pour un bonheur éphémère mais plutôt pour une félicité qui fasse vibrer les profondeurs de Son cœur chaque fois qu’Il les aurait devant Lui. Il mit tout Son cœur le plus ardent à créer toutes les choses.

Après avoir créé toutes les choses en cinq jours, le sixième jour Dieu créa l’être humain avec un cœur joyeux. Nos premiers ancêtres, créés à l’image de Dieu, étaient les plus beaux, les plus précieux, les plus dignes de louanges, les plus gratifiants, les plus glorieux, les plus adorables. (9-194, 22.5.1960)

Dieu est omnipotent. Il n’a donc que faire d’argent, d’érudition, d’autorité, ou encore de savoir-faire. Alors de quoi a-t-Il besoin ? De Son objet à aimer. Cet objet est l’être humain et nul autre : le plus précieux et le plus grand de tous les êtres créés. J’ai dit que ceux que Dieu peut aimer le plus sont les êtres humains, mais pourquoi cela ? C’est que Dieu aussi a besoin d’amour. L’amour est quelque chose qu’on ne peut ressentir quand on est seul. (112-291, 25.4.1981)

L’image invisible de Dieu imprègne symboliquement les moindres parties de notre corps. À qui nos yeux ressemblent-ils ? À Dieu !

Ils sont donc situés dans la partie la plus enfoncée de notre visage, d’où ils observent tout. Puis le nez symbolise Adam et Ève, et se tient au milieu. Ensuite, la bouche symbolise toute la création, elle est horizontale. Aussi renferme-t-elle quatre fois huit, égale trente deux (4 × 8 = 32), 32 dents. Cela se base sur le chiffre quatre qui représente toute la création.

Les oreilles symbolisent les quatre directions. Les traits situés au-dessus du cou symbolisent le Royaume de Dieu. Autrement dit, c’est à cet endroit qu’est le centre d’information du Royaume de Dieu. (201-83, 4.3.1990)

Où se situe la racine de vos vies ? Auprès des parents non déchus. Alors comment se situent les parents de bonté non déchus ? Comme sujet avec les caractéristiques duales, Dieu a créé l’univers entier et l’être humain à Son image, manifestant en eux Ses caractéristiques duales.

Adam incarne les caractéristiques masculines, et Ève les caractéristiques féminines de Dieu. Sous cet angle, même si on a coutume de dire : «Père Céleste ! » car Il est un seul Être, ce concept contient en réalité la notion qu’Il est « Père et Mère céleste ». (140-123, 9.2.1986)

Où en serait-on si les ancêtres humains Adam et Ève n’avaient pas chuté ? Adam et Ève n’auraient fait qu’un seul corps avec Dieu. Étant dans la même position que Lui, ils auraient hérité de Sa grande œuvre de création, occupant la même scène de liesse que Lui après la création. Voilà quel lien se serait tissé entre Dieu et l’humanité. L’être humain originel non déchu serait devenu Son temple. (54-64, 11.3.1972)

Si Dieu est notre Père, et nous les êtres humains Ses enfants, on pourrait se dire que le père est au-dessus de nous, et que nous sommes dans un rapport de supérieur à subordonné. Dans cette situation, que dirions-nous ? Nous les êtres humains avons ce désir dans nos cœurs, qui crie vers Lui : « Père, laisse-moi prendre ta place juste une fois. Je veux être assis à ta place ! »

Si Dieu devait répondre à ce cri du cœur en disant : « Eh ! Voyou, tu ne crois pas pouvoir faire ça ! », on se sentirait écrasé. Il ne peut donc pas répondre ainsi.

Au contraire, Il sait que nous les êtres humains avons ce désir- là dans nos cœurs, et Il nous encourage en disant : « Bien sûr ! On va tout faire pour cela ». Il nous cède Sa place, pour que nous l’occupions. Tout en la laissant vacante, Il vient résider dans nos cœurs, comme dans Son temple. (54-89, 20.3.1972)

Quand on arrive à unir l’esprit et le corps, l’univers offre sa protection. Et quand la puissance de l’univers nous aura mis sous sa protection, les parents seront eux aussi protégés par l’univers, tout comme les frères et sœurs. En un mot, c’est tout l’entourage qui sera à l’abri. Votre peuple et votre nation doivent aussi former ce lien. Quelle conclusion fantastique ! Et si donc vous deviez aller dans un autre pays, et deviez maintenir l’unité de l’esprit et du corps, vous entreriez aussi en relation avec la population de ce pays. Cela marcherait où que vous soyez.

Dans une partie de football, que se passet-il quand le ballon s’arrête de rouler ? Il ne fait plus qu’un avec la surface du sol, à la perpendiculaire. Voilà pourquoi la sphère passe pour la forme la plus idéale.

Cette ligne perpendiculaire reste au repos en tout point de la surface, et c’est ainsi que le ballon peut rouler sur elle. Bien, une fois parvenus à l’unité de l’esprit et du corps, avec un angle droit, vous pourriez vous adapter partout. Que vous tombiez sur un Occidental, un Oriental, ou une personne du passé, du présent, ou du futur, vous vous feriez à tout. (205-53, 7.7.1990)

Suivez la voie que vous indique votre âme originelle, et l’univers s’ouvrira tout droit devant vous.

On a besoin d’expériences de ce genre. Quand on entre dans un tel état, on arrive à se relier à l’âme originelle. Vous pourrez converser avec votre esprit. À peine songerez-vous à faire quelque chose, que la réponse sera déjà là devant vous. Vous avancerez vers cet état. Cette personne ne saurait-elle pas quel chemin il faut prendre ? Le chemin qu’elle doit suivre serait carrément posé devant elle, et l’univers mettrait toute sa puissance à son service. Quand elle devra passer le test de la foi, une main la conduira, et lui viendra en aide. Alors seulement elle pourra faire de grandes choses. (120-313, 20.10.1982)

En observant la nature, vous pouvez vous dire : « Les quatre saisons, ça ne me convient pas. Le printemps, çà va ; mais l’été, l’automne ou l’hiver, quelle barbe ! » Mais si vous deviez en parler à Dieu, Il répondrait : « J’aime chacune des quatre saisons ».

Aussi devez-vous apprendre à aimer l’été, l’automne et l’hiver, même si vous les avez détestées auparavant. Avec l’arrivée de la neige en hiver, Dieu voit le monde couvert de poudre blanche, cela Lui plaît. Alors à vous de dire aussi : « Oh, moi aussi j’aime bien ça ! » Agissons donc ainsi. (133-28, 1.7.1984)

Tâchez donc de voir la nature avec le même esprit que Dieu. Telle devrait être votre humeur.

S’il y a une inondation ou des éclairs de tonnerre, ne commencez pas à dire : « Oh la barbe ! Je déteste ça ! » Dieu Se dit : « Eh ! Eh ! Voilà le ciel et la terre qui s’embrassent et font l’amour ! » Et Il dit à ceux qui n’aiment pas cela : « Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Les voyous ! Bande de bons à rien ! » (133-28, 1.7.1984)

Dieu est le Roi de la sagesse et le centre de l’ensemble ; pour placer l’origine de l’amour vrai, du vrai idéal, du vrai bonheur ou de la vraie paix, choisira-t-Il le sujet ou l’objet ? La question est sérieuse. D’un côté il y a le sujet, et son chemin est de vivre pour son objet. De l’autre, il y a l’objet, et sa voie est de vivre pour le sujet ; entre les deux chemins, où placer les conditions de l’idéal ? Cette question ne peut que placer Dieu, le créateur, devant un grand embarras.

Dieu devait considérer, par rapport au vrai idéal, à l’amour vrai et à la vraie paix, s’Il fallait mettre le sujet au centre (l’origine idéale étant alors que l’objet vive pour le sujet) ; ou bien mettre l’objet au centre – et en ce cas l’origine idéale serait que le sujet vive pour l’objet. Dieu a bien réfléchi. Et Il a décidé que s’il devait placer l’origine idéale comme dans le premier cas de figure, non seulement Dieu Lui-même, mais tous voudraient que l’objet vive pour eux-mêmes, autrement dit, tous deviendraient sujets et non objets. Si tel était le cas, le chemin vers l’unité serait bloqué. Vous devez le comprendre. (75-318, 16.1.1975)

Où est la voie qui mène à l’unité et à l’origine de la paix ? Dieu n’avait d’autre choix que d’ériger ce principe : non seulement Lui-même mais tous les êtres humains doivent vivre pour les autres. De ce fait, l’amour vrai, ainsi que le vrai idéal, la vraie paix et le vrai bonheur, peuvent se réaliser en vivant pour les autres ; ils ne peuvent se trouver dans aucun autre cas. L’être humain jusqu’ici, ne l’a pas su, mais c’est le principe de base de la création de l’univers. (75-318, 16.1.1975)

Pourquoi les hommes et les femmes naissent-ils ? L’homme ne naît pas pour l’homme mais pour la femme, et la femme ne naît pas pour la femme mais pour l’homme. Ils ne naissent pas pour eux-mêmes, ni l’un ni l’autre. Or, bien qu’ils ne soient pas nés pour eux-mêmes, ils se mettent en avant.

À bas cette philosophie du « moi, je » ! Mettons-la en pièces, et on aura l’unification du monde. (61-266, 1.9.1972)

Une personne qui se met à chercher sa valeur, dans l’optique du conjoint plutôt qu’à ses propres yeux, autrement dit, en jouant la carte de la réciprocité, ne sera pas malheureuse. En tout lieu, à tout moment, son cœur s’appuie sur une base de relation mutuelle ; alors où qu’elle puisse être, elle ne connaîtra pas la solitude, mais le bonheur. (59-200, 16.7.1972)

L’harmonie ne peut pas venir seule, pas plus que les réjouissances ou le bonheur.

Même l’Être absolu ne peut arriver seul ; Il doit avoir quelqu’un qui peut être Son image, remplissant les conditions de l’objet.

Devant l’Être absolu, il doit y avoir une contrepartie absolue, devant le sujet absolu un partenaire objet absolu, pour qu’il y ait du bonheur, de l’harmonie, de la joie, des danse, des chants, etc. (38-155, 3.1.1971)

Les fidèles des autres églises proclament de nos jours : « Le Dieu tout- puissant est en essence le sujet glorieux de toutes les gloires, le sujet heureux de tout le bonheur, et le sujet de l’amour et de la vie, il n’est donc rien qu’on ne puisse Lui attribuer ». Fort bien, mais même en étant l’Être absolu, sans un objet absolu, Il ne pourrait rien faire contre le sentiment d’être malheureux.

Tout finirait en catastrophe pour Dieu, s’Il ne pouvait trouver l’objet qui se tient en position d’objet absolu. Sans un objet absolu, même l’Être absolu serait forcément malheureux. Alors, pour ne pas sombrer, Dieu n’a d’autre choix que de créer l’Être qui sera Son vrai objet. (38-157, 3.1.1971)

3.3. L’univers créé est le musée d’amour pour l’humanité

3.3.1. Le dessein de la création de l’univers

Tout ce que Dieu a créé dans ce monde peut servir de manuel. Ses fils et filles bien-aimés y trouveront de l’aide pour arriver à l’idéal de l’amour. La structure duale se retrouve donc partout.

Le règne minéral repose sur la relation entre sujet et objet. Prenez les atomes : là aussi, les protons et les électrons ont une interaction de sujet et objet. Sans cette interaction, rien ne peut maintenir son existence. Tant l’action que le mouvement sont indispensables pour maintenir son existence. L’univers fut donc structuré pour assister l’homme dans sa quête de ce point central. (137-59, 18.12.1985)

Dieu créa toutes les choses de l’univers, puis les ancêtres humains dans le jardin d’Éden comme leur maître. La création de l’être humain n’était pas du tout là pour constituer un loisir ou une distraction pour Dieu. Nous devons comprendre toute la somme d’efforts et de zèle qu’Il dut mettre pour créer l’être humain dans un premier temps, puis en faire le centre représentant toute la création. Ces efforts furent proprement indicibles.

En créant l’être humain, Dieu ne S’est épargné aucune peine, Il a mis toutes Ses énergies et déversé Sa moelle, Son amour et Son affection. Il les a créés pour un lien dont aucune force ne viendrait à bout. Ayant ainsi créé les êtres humains, la paix peut demeurer en Dieu quand Il jette les yeux sur eux. Tout le bonheur, toute l’affection, c’est d’eux seuls qu’Il peut les tirer. (20-205, 9.6.1968)

Dieu est le père de l’être humain, nous sommes Ses fils et Ses filles. Pour nous créer, Dieu S’est entièrement consumé jusqu’au plus intime de Ses os, de Sa chair, de Sa moelle. Si nous attirons Dieu, Il ne peut qu’être attiré tout entier. Et si c’est Lui qui nous attire, ce sera aussi irrésistible.

Avec ce mobile, Dieu a créé les êtres humains pour qu’ils se maintiennent en phase avec le but de la création. Si Dieu devait composer un traité ou un poème à la louange de l’être humain ainsi créé, ce traité ou ce poème serait le plus grand chef-d’œuvre qu’aucun poète ou écrivain sur terre aurait jamais pu faire. Et ce joyau d’écriture ne serait consacré ni à Dieu ni à la création, mais à l’être humain qui représente toute la création. (20-207, 1968.6.9)

Qu’est-ce que l’univers ? Il symbolise le corps, le corps visible, de Dieu. Il en est la manifestation. C’est à partir de cette idée que nous pouvons L’aimer vraiment. Il y a un éveil, et nous prenons conscience que nous aimons l’univers. Assez souvent, vous vous caressez les cheveux, et quand une chose s’accroche à vos vêtements, vous la balayez Pourquoi faites-vous cela ? C’est parce ce qu’ils font partie de vous, et sont votre bien, et c’est comme cela que ces notions vous entrent dans la tête.

Ce que vous devez faire dorénavant c’est que Dieu demeure au centre de votre esprit, ne fasse qu’un avec votre esprit, votre corps, avec toutes les choses, et qu’on arrive à un monde unifié de cette façon. (86-173, 28.3.1976)

Quelle est la dimension de l’univers ? Il couvre plusieurs milliards d’années-lumière. Il faut une seconde à la lumière pour parcourir 300 000 kilomètres, soit sept fois et demi le tour de la terre. En astronomie, on appelle année- lumière la distance que parcourt la lumière en un an. L’univers est si vaste que la lumière, même à cette vitesse, n’aurait toujours pas atteint ses confins au bout de milliards d’années. L’Observatoire astronomique de Greenwich a jusqu’ici découvert des étoiles qui sont à dix milliards d’années-lumière. Or nous ne saurions tarder à en voir qui sont à quinze milliards d’années-lumière, voire plus.

La dimension de ce vaste univers avoisine les 21 milliards d’années-lumière. Notez que c’est un nombre basé sur le Principe. Voilà sa taille. Pour que vous compreniez mieux, nous dirons que la distance parcourue en un jour par la lumière qui part d’ici est le jour-lumière, en un mois le mois-lumière et en une seconde, la lumière partie d’ici aurait déjà franchi 300 millions de mètres. C’est sept fois et demi le tour de la terre, je dis bien la circonférence de la terre multipliée par 7,5. Un simple claquement de doigt et hop ! Sept fois et demi le tour de la terre.

À cette allure-là, la lumière se fatiguera, elle aura l’esprit groggy à la fin de la journée et dira : « Je ne sais plus où j’en suis. » Mais elle ne voyage pas seulement cent années-lumière, on parle en milliards d’années. Cent millions, c’est cent fois un million, mais même cent millions d’années après le début du voyage, la lumière voyage toujours. Cent millions d’années-lumière se seraient écoulées depuis le départ, et pendant ce temps, un million de personnes vivant jusqu’à l’âge de cent ans seraient mortes. Or la lumière n’aurait toujours pas fini de voyager.

Alors, à quoi correspondent 21 milliards d’années ? Durant cette période, 200 millions de personnes ayant vécu 100 ans seraient mortes, et la lumière voyagerait toujours. Elle ne parcourt pas cette distance en ligne droite, mais voyage en cercles. C’est cela, l’univers. (181-195, 3.10.1988)


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