dimanche 7 mars 2021

L’univers manuel d’amour pour l’humanité

Livre XI

L’essence fondamentale de l’univers

Chapitre premier

L’ordre fondamental de l’univers

3.3.2. L’univers créé est le manuel d’amour pour l’humanité

Dans une optique basée sur la norme de l’amour vrai, Adam et Ève devaient croître en observant le jardin naturel de l’amour fait de paires, et apprendre. Ils devaient prendre conscience de ce qu’ils auraient à faire après avoir grandi en observant comment toutes les choses furent créées.

La création est le musée même de Dieu, le musée d’amour pour l’éducation d’Adam et Ève. Ils étaient censés grandir en observant comment chaque être naissait par paires de mâle et femelle, même les oiseaux et les papillons, et comment ils s’éprenaient mutuellement et avaient leurs petits.

En grandissant jusqu’à la pleine maturité, ils étaient censés réaliser par eux-mêmes que l’homme est le prince de l’amour représentant « le plus » de Dieu et la femme la princesse d’amour représentant « le moins » de Dieu. Alors la femme aurait pensé : « Voilà l’homme qu’il me faut ! » et elle aurait appris à croire en lui. Lui-même se serait dit à propos de la femme : « C’est vraiment la femme de ma vie ! » (201-161, 30.3.1990)

Dans une optique basée sur l’amour vrai, Adam et Ève en croissant devaient observer le jardin naturel de l’amour fait de paires, et apprendre. Ils étaient censés croître en regardant comment chaque être est né par paires de mâle et femelle, même les oiseaux et les papillons, comment ils s’éprennent mutuellement et ont leurs petits. (201-356, 30.4.1990)

On est enfant puis adolescent. En arrivant à l’adolescence, on se met à apprendre. C’est vrai pour tout le monde. Dans la petite enfance, on ne sait rien, mais en grandissant on demande : « Maman, c’est quoi ? » ou « Papa, qu’est-ce que c’est ? » Voilà comment on arrive à apprendre les choses nouvelles.

Après avoir tout appris de cette façon, l’homme voit alors que tout dans le monde marche par paires. Et il se dit : « Ah, le règne animal est par paires, comme le monde des insectes et tout le reste du monde, même le règne minéral et le règne végétal ! » Quelque chose le frappe : « Oui, ils sont sujet et objet, ils fonctionnent de telle et telle façon, et ça donne telle et telle chose ! Il semble que je doive suivre ce chemin. Oh là ! Je m’égare ! » (219-31, 25.8.1991)

En grandissant, Adam et Ève apprennent à connaître le monde. Alors que tous deux, le fils et la fille, mûrissent, ils regardent le monde et y voient un musée, un musée d’amour, fait selon le système de paires. Et les deux apprennent. « Oh ! Ils s’aiment l’un l’autre. Même la mouche existe comme mâle et femelle, et le papillon aussi ; en fait, tout existe par paires, et ils font l’amour et se reproduisent ! » C’est bien ce qu’ils auraient appris, oui ou non ? (200-246, 25.2.1990)

Pour quoi Dieu a-t-Il créé le ciel et la terre par paires ? C’est le musée de l’amour, et Il nous dit par-là de vivre plus joyeusement que les oiseaux, que les insectes, bref, plus joyeusement que tout autre chose dans le monde. (200-57, 23.2.1990)

Chaque forme de création en ce monde existe par paires, et cet environnement structuré par paires est le musée idéal de l’amour pour l’humanité. Aussi les actions dans le règne minéral n’ont-elles lieu qu’avec les partenaires indispensables. De même, les arbres et les plantes entrent en action et se reproduisent avec leurs partenaires. C’est aussi le cas des oiseaux, et des sauterelles dans la famille des insectes. Les sauterelles ne chantent-elles pas elles aussi ? (199-309, 21.2.1990)

Comme Dieu a créé le monde par paires, tous les éléments assemblés sont englobés dans le couple humain. Qu’est ce que la nature ? C’est un musée qui enseigne l’amour, afin que l’homme et la femme puissent aimer.

Alors, si un homme devait chanter un chant langoureux pour son épouse bien-aimée, quoi qu’il chante ne serait pas un péché. Ce serait un péché s’il devait chuter.

Quand la famille se brise sur des problèmes d’amour, et que tous les principes célestes sont rompus, là il y a péché ; ce qui ne serait pas un péché, c’est quand un couple s’aime l’un l’autre avec l’appui des principes et des lois de la nature, et se promettent : « Je veux vraiment t’aimer, pour toujours. Tu es mon conjoint pour l’éternité. » Comprenez le bien. (199-280, 20.02.1990)

Avec son système de paires, l’univers est tel un musée, un musée vivant, œuvre du Dieu d’amour. Mais alors qu’un musée national n’est peuplé que d’antiquités esseulées et mortes, là les souvenirs sont vivants. (195-136, 7.11.1989)

Tout ce que le Vrai Dieu a créé existe dans la relation de sujet et objet, afin de répondre au critère de l’amour idéal. Voilà pourquoi chaque forme de création dans cet univers est structurée par paires. « Mari et femme », ça commence dès les minéraux. C’est pour cela qu’ils s’attirent mutuellement, non ? Vous entendez cela pour la première fois, n’est-ce pas ? Le chercheur de laboratoire aurait beau se muer en tyran et forcer à s’unir deux éléments chimiques qui ne s’entendent pas, la fusion n’aurait pas lieu. Dieu pourrait toujours dire : « Mais fuse, bon sang ! », ça n’avancerait à rien. Par contre, si les éléments s’accordent, il va y avoir une fusion, même si on leur dit : « Défense de s’unir et de fuser ! » On voit bien que tout existe par paires à cause de l’amour de Dieu. (177-271, 20.5.1988)

Il faut bien voir que même les formes de vie minuscules comme les insectes, sont par paires, avec l’amour au centre. C’est la même chose dans le règne minéral. Pourquoi ? Pour l’amour. Être d’une classe inférieure n’empêche pas de se reproduire à sa façon, par amour. Cet univers est conçu pour œuvrer, avec son système d’engrenage parfait, à accomplir l’idéal de la création de Dieu par les êtres humains. (293-308, 7.6.1998)

Parce que tout dans le jardin d’Éden faisait partie d’un système de paires, Adam devait les regarder et se dire le moment venu : « Ah ! Je suis un homme, un mâle, car je ressemble à un mâle ; bon, mais alors où alors est la femelle ? » En regardant alentour, il aurait dû découvrir : « C’est Ève ! » Et les deux auraient dû se marier devant Dieu. Alors ils auraient remarqué : « Quand un mâle et une femelle agissent de telle manière, ils ont des petits ! » Bien des femmes ne désirent pas se marier ; malgré tout elles adorent les bébés. (288-304, 1.1.1998)

Comme tout dans le jardin d’Éden était fait selon le système de paires, Adam et Ève pouvaient voir de leurs propres yeux les animaux s’accoupler et se reproduire. Ils comprirent : « Les mâles et les femelles s’unissent dans le cadre de l’amour. », et ils auraient appris d’eux. Ainsi Adam et Ève auraient pensé : « On doit se mettre ensemble. » Quand Adam et Ève étaient encore en pleine croissance, cela aurait-il été compliqué ? L’homme a une nature sauvage, alors qu’il escaladait les montagnes et courait dans tous les sens, la femme, elle, observait là où elle était assise, et restait près de chez elle chaque jour. Même avec des caractères différents, ils devaient apprendre du milieu qui les entourait, et être attirés l’un vers l’autre naturellement. (278-280, 26.5.1996)

En s’apercevant que le monde entier se composait de paires, Adam et Ève virent bien qu’ils ne pouvaient vivre seuls. N’importe qui s’aperçoit que même les cerfs et les vaches existent comme mâle et femelle, s’accouplent et procréent.

En voyant comment les choses étaient semblables pour le règne animal, les insectes, les oiseaux, les abeilles et les fleurs, Adam et Ève n’avaient pas besoin d’être instruits sur ce qu’ils savaient déjà. (246-58, 23.3.1993)

Chacun de vous dans son couple est comme un frère et une sœur nés de deux embryons, tels Adam et Ève dans le jardin d’Éden. Là seulement se trouve la jeune sœur, et nulle part ailleurs. Elle est fille unique et n’a pas d’amis dans ce monde. Vu que dans le jardin d’Éden, il n’y a qu’une femme et un homme, Adam doit se faire l’ami d’Ève. Ils sont frère et sœur.

En grandissant, Adam et Ève devaient apprendre comment chaque chose dans le système de paires croît et se reproduit. Parvenus à comprendre comment la création existe et se développe, ils auraient pris conscience qu’ils devaient s’aimer l’un l’autre, devenir mari et femme et laisser derrière eux cette tradition dans l’histoire C’est pour l’histoire future, pour le genre humain, qu’ils devaient devenir mari et épouse. (243-177, 3.1.1993)

À leur naissance, Adam et Ève étaient censés être les partenaires objets de Dieu et Ses enfants. Or, ils ne pouvaient s’appuyer sur un modèle de relation entre frères et sœurs, n’est-ce pas ? La femme était censée s’éduquer toute seule ; l’homme aussi devait atteindre la perfection par lui-même. Ce n’était pas le matériel pédagogique qui leur manquait au ciel et sur terre. Tout étant régi par le système de paires, l’homme allait apprendre en observant : « C’est ainsi que nous devons grandir ! » La femme aussi en les regardant en viendrait à s’instruire naturellement : « Voilà comment nous devons grandir ! » La nature, telle un musée, expose clairement tout le matériel pédagogique sur l’amour, car tout dans la nature est par paires. (228-268, 5.7.1992)

La norme verticale doit aussi inclure la réciprocité. Il y a un objet dans cette norme. Mais cet objet, fils ou bien fille, doit d’abord grandir et arriver à maturité. Tout dans le monde se structure par paires. C’est vrai d’un bout à l’autre des règnes minéral, végétal, et animal. Le monde humain, aussi, est structuré par paires avec l’homme et la femme.

Le monde naturel est un musée d’amour, où la création est faite de paires, fussent-elles d’une classe inférieure au genre humain. Alors pourquoi ce musée d’amour fut-il créé ? Et pour qui ? C’est la question. Il fut fait pour l’être humain, et pour Dieu. Aussi Dieu peut-Il éprouver la sensation de l’amour dans toutes les choses des règnes minéral, végétal et animal. (238-29, 19.11.1992)

L’homme et la femme doivent suivre ce chemin vers la maturité, quoique sans conjoint au début. L’homme ne réalise qu’il doit prendre femme qu’en voyant toutes les choses exister par paires, vivre ensemble et donner naissance à leurs petits. À la venue du printemps, il voit les vaches, les cochons, les chiens, les chats, les souris, et même les sauterelles : « Oh, c’est comme cela ! Quand on est seul, ça ne marche pas ! » Il est éveillé, ou comme on dit, initié à ce fait. Jusque-là, l’homme et la femme n’avaient dirigé leur attention l’un vers l’autre qu’à à 45 degrés, mais là, c’est clair : « Ah, c’est Adam qu’il me faut ! » et « C’est Ève qu’il me faut ! » (229-321, 13.4.1992)

L’environnement est constitué d’un système de paires de sujets et d’objets sans exception. L’univers est un musée dont l’amour est le noyau, un musée de paires. En voyant un couple d’oiseaux amoureux, vous devez donc apprendre d’eux : ils font leur nid, pondent leurs œufs, donnent la becquée à leurs petits. Vous devez pouvoir dire : « Je ferai des centaines de fois plus pour mes enfants que les oiseaux. » Même chez les insectes, le mâle et la femelle s’accouplent et se reproduisent. Ils élèvent leurs petits au risque de leur vie. C’est ça, l’éducation. (229-287, 13.4.1992)

En grandissant vers la maturité, Adam et Ève commenceraient à voir la création autour d’eux qui leur apprendrait qu’Adam est l’époux et Ève est son épouse. Adam, par nature, est du genre extraverti, qui aime sortir. Il veut chasser, et c’est lui le chef où qu’il aille. Et Ève, alors ? Son caractère est foncièrement à l’opposé. En grandissant, ils vont apprendre ce qu’ils doivent savoir en tant que femme, et en tant qu’homme. Tout dans le monde est ainsi fait.

Le règne minéral, le règne végétal, et le règne animal ne sont-ils pas tous créés par paires ? Adam et Ève étaient censés le découvrir.

Alors qu’ils mûrissaient, dans chaque être où se portaient leurs regards, il y avait la relation du sujet et de l’objet. Ces vérités s’apprennent naturellement. (225-201, 20.1.1992)

Qui enseigne l’amour ? C’est la nature qui s’en charge. Le jardin grouille d’animaux et de papillons mâles et femelles ; bref, tout existe par paires. Quand les fleurs éclosent, le beau jardin retentit de gazouillis et de pépiements d’oiseaux. Qu’est-ce qui leur prend ? Les oiseaux mâle et femelle chantent, mais pourquoi ? Qui essaient-ils donc d’appeler ?

Les oiseaux ont trois raisons de chanter : la faim, l’amour, et pour appeler leurs petits. Ce sont les trois raisons. Ils font cela par amour. 208-251, 20.11.1990)

Pour établir une relation réciproque avec l’Adam et l’Ève parfaits, toutes les créatures de cet univers doivent aussi être agencées comme eux, d’où cette dualité qui les caractérise tous. Tous existent par paires. Adam est le grand « plus », et les formes de création sont les petits plus répartis entre l’Est, l’Ouest, le Nord et le Sud.

C’est là que l’humanité et la création sont identiques dans le fait d’avoir été créés pour les relations. Et quand l’être humain et toutes les choses parviennent à l’équilibre en se centrant sur le sujet absolu, Dieu peut descendre sur eux verticalement. (230-252, 8.5.1992)

Ne serait-ce pas formidable d’être réveillé par le gazouillis d’un oiseau plutôt que par soi-même ? Comme c’est poétique ! Que préférez-vous, chanter vous-même, ou entendre quelqu’un d’autre chanter ? Est-ce que ce n’est pas poétique aussi ? Entendre les oiseaux gazouiller plutôt que gazouiller vous-même, et que votre bien-aimé vous éveille plutôt que de vous réveiller par vous-même : ne serait-ce pas idéal de se réveiller sur des airs et des harmonies variés ? Alors les oiseaux sont aussi mes amis. Qu’est-ce qui en fait mes amis ?

Dans l’optique du système de paires, ils font partie de mes amis. L’homme et la femme sont aussi une paire. Comme c’est poétique de les considérer comme des amis ! (177-271, 20.5.1988)

Voyant que tout en ce monde existe par paires et se reproduit comme tel, Adam et Ève saisissent ce qu’ils feront en arrivant à la pleine maturité. Avant cela, ils n’en ont pas conscience.

Adam et Ève vivaient ensemble, tout seuls, et pour ce qui est de leur caractère, Adam est masculin et extraverti. Sitôt réveillé le matin, il aime sortir dans les montagnes et attraper des lapins, des faisans, des chevreuils, et des serpents pour leur percer l’estomac. Pour pouvoir devenir le futur maître et tout diriger, il doit savoir tout ce qu’il y a à savoir. Alors, il désire trouver tout ce qu’il y a dans les montagnes, quels animaux peuvent s’y nicher, et quels types de poissons vivent dans les eaux. Étant un homme, il doit enquêter sur tout et devenir le maître. (262-74, 23.7.1994)

Dieu Lui-même prit plaisir à créer l’univers. Il a dû s’amuser énormément ! Cela devait être si intéressant pour lui de tout créer par paires, et de voir que même les cellules se réunissaient par paires pour s’aimer ? Un photographe n’en finit pas d’apprécier un cliché qui est bien pris ; alors, ça devait être tellement plus excitant encore de voir les choses parler et danser pour de vrai ! (283-102, 8.4.1997)

Dieu avait créé l’homme et la femme en Les étreignant contre Son sein. Il confia leur éducation à l’archange, le serviteur, pour les protéger et les élever. Quand ils auraient atteint la pleine maturité, Il les aurait mariés, mais pas avant.

Pour en arriver là, ils sont nés chacun de leur côté. L’homme a grandi comme un homme, la femme comme une femme. Une fois leur croissance achevée, un examen minutieux leur aurait appris que les règnes minéral, végétal et animal, avaient tous été créés par paires selon des relations réciproques idéales. Ils étaient censés regarder et apprendre : « Ah ! Les animaux s’accouplent, ont leurs petits et vivent dans le bonheur. La mère risque ainsi sa vie pour protéger et nourrir ses petits. On va faire la même chose ! » C’est ce qui fait de la nature le musée d’exposition pour le développement idéal d’Adam et Ève. (262-74, 23.7.1994)

Quand on va au plus profond de la sphère de l’amour vrai, on peut communiquer avec tout le reste de la création, y compris avec les rochers. Dans le monde de l’amour vrai, tout être arriverait à communiquer avec les autres. Pourquoi ? C’est parce que toutes les choses créées dans le système de paires interagissent pour ne faire qu’un avec l’amour qui appartient à Dieu.

L’amour vrai est fait pour résonner. Quand on est sous le règne de l’amour vrai, on ressent les mondes intérieur et extérieur de Dieu.

Vous n’aurez alors pas besoin d’être enseignés, mais vous saurez naturellement ce qu’il y a à savoir, sur le monde spirituel et sur Dieu, comment servir ses parents et sa nation sur terre, et ainsi de suite. On ne suit pas le chemin de l’amour impunément et sans réfléchir. Il y a une formule, car il y a un seul chemin pour l’amour, pas deux. Le chemin de l’amour vrai que suit l’être humain et le chemin d’amour vrai mené par Dieu et le monde céleste est le même. Alors que nous montons, Lui descend sur la même voie.

Alors où se fera la rencontre entre Lui et nous ? Nous devons Le rencontrer à l’endroit où nous sommes arrivés à la pleine maturité. Il y a un seul point de rencontre. Où faut-il Le rencontrer pour s’unir à Lui ? Juste à cet endroit précis, et nulle part ailleurs. C’est là qu’il faut Le rencontrer. (238-31, 19.11.1992)

Après avoir exposé à grands traits la théorie de l’amour, il s’avère que rien n’échappe à sa force explicative C’est la sagesse reine. En cherchant à comprendre la théorie de l’amour, nous avons appris que le monde entier se compose de paires. Les minéraux ne sont-ils pas faits d’anions et de cations ? Ils sont par paires. Pourquoi cette polarité ? Ils furent créés ainsi pour l’amour qui correspond à leur rang ; alors seulement, la reproduction peut se faire.

Pareillement, il y a des mâles et femelles dans le règne animal, et le genre humain est fait d’hommes et de femmes. Pourquoi furent-ils ainsi créés ? L’amour n’est pas venu là pour madame ou pour monsieur. L’homme et la femme furent créés pour l’amour ! C’est comme cela. Les minables qui le nient sont les laquais de l’enfer et de la destruction. (221-257, 1991.10.25)


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