
Livre
XII
La
providence du Pacifique
Chapitre
premier
Le XXIe
siècle sera l’âge de l’océan
2. La
providence de l’océan menée par les Vrais Parents
2.1. La
providence basée sur l’océan en Amérique du Nord
2.1.1.
L’industrie des produits de la mer aux États-Unis
Si les
États-Unis veulent prospérer, ils doivent lancer une mode pour pousser leurs
jeunes vers la mer. Cela offrira des perspectives nouvelles pour le futur de la
nation. À ce moment-là, vous deviendrez des responsables qui pourront acquérir
toutes les usines qui sont sur la terre. Et là, toutes ces usines de production
sur terre seront fermées à clé. Les usines qui poursuivaient des profits
individuels péricliteront. Nous dirigerons des usines qui poursuivent l’intérêt
national, nous collaborerons avec la nation pour le salut du monde. Avec le
soutien de la nation, on peut se développer autant qu’on veut. (128-230,
27.6.1983)
Les
villes de bords de mer sont toutes sur le déclin. Quand les jeunes vont en mer
et ne reviennent pas pendant plusieurs mois, leurs femmes tombent amoureuses
après être allées danser, prennent leurs affaires et s’enfuient avec tous leurs
biens. Alors nul n’a envie d’aller travailler sur des bateaux. Pour les villes
côtières, c’est la déchéance complète. Si nous avons un peu d’argent, il faut
acheter tous les quais du nord-est au sud et pareil à l’ouest. Ce serait bien,
non ? (123-13, 1.12.1982)
Tous
les domaines actuels de l’industrie des États-Unis sont au beau fixe, et sont
bien placés. La seule chose qui reste est le domaine de la mer, de la pêche
dont les ressources sont plus vastes que toutes celles sur la terre. Mais cette
industrie est actuellement en faillite. Réfléchissez à quel point les ressources
en sont vastes. Ceux qui travaillent dans l’industrie de la mer sont les
héritiers : à eux les ressources de l’océan ! Un tiers du globe est de la terre
ferme, et deux tiers sont de la mer, deux tiers des ressources naturelles sont
donc enfouies dans l’océan. Quel est le mouvement qui projette de gérer ceci
dans le futur pour s’en emparer ? Pour le faire, je ne vois que deux
possibilités : Soit un groupe religieux ayant une structure mondiale et qui se
lance dans l’industrie de la mer, soit un mouvement idéologique mondial.
(119-230, 13.9.1982)
Si les
villes maritimes s’appauvrissent, l’économie du pays s’appauvrit aussi. Les
États-Unis ont les ressources et le fondement pour lier les villes portuaires
au monde. Or, ils n’ont rien fait, et le gouvernement des États-Unis est entré
dans une phase où il doit prendre des mesures d’urgence. Les responsables des
villes portuaires veulent attirer les jeunes. Ils n’en trouvent pas, alors à
nous d’en assumer la responsabilité. De plus, il faut avoir des jeunes couples
où les femmes ne s’enfuiront pas. À part les moonistes, il n’y a personne.
Ainsi, le jour où nous serons installés dans ces villes, elles reprendront leur
essor. Dans trois à cinq ans, 50 personnes pourront construire des bateaux avec
des subventions du gouvernement. S’il y a 30 endroits avec 50 personnes à
chaque endroit, c’est 1 500 bateaux. C’est bien ça, n’est-ce pas ? On pourra
construire de l’ordre de 1 500 bateaux.
Il doit
y avoir en tout plus de 3 000 ports aux États-Unis. 50 personnes dans plus de 3
000 ports, ça fait 150 000, n’est-ce pas ? On sera alors complètement les
maîtres de la mer aux États-Unis. À deux millions de dollars le bateau, ça fait
combien ? Ça fait 300 milliards de dollars. (119-235, 13.9.1982)
Je crée
une structure où l’on a des bateaux de pêche avec des gens excellents qui
s’intéressent à la mer. Par conséquent, en rassemblant 50 jeunes hommes et
jeunes femmes dans un centre, je crée un mouvement de base, d’éducation pour
aller à la mer. Voilà comment on va les recruter. La tendance actuelle des
villes portuaires des États-Unis est à l’appauvrissement, donc les gens les
désertent. Les dirigeants locaux veulent éviter la ruine et veulent que la mer
prospère. Dès que possible, je mettrai au point un groupe de soutien autour des
dirigeants locaux.
Il n’y
a donc pas de problème. Je distribue 600 000 dollars au groupe de soutien et
j’établis une garantie selon les instructions de la communauté. Si nos
responsables enseignent une méthode pour attraper du poisson à 400 dollars l’unité,
ça peut continuer éternellement. (108-219, 5.10.1980)
Le nom
New Hope (Nouvel espoir) de notre bateau est connu dans l’est des États-Unis
pour attraper le thon ; la nouvelle a gagné l’Amérique du Sud. La raison d’être
de cette activité est aussi de former des travailleurs pour développer
l’industrie de la pêche. Alors que je travaillais sur un bateau pendant 24
heures, j’ai dit à nos jeunes de monter en bateau, ils se sont enfuis, sans
même m’écouter. Mais comme j’avais du temps pour leur parler, au bout de
quatre, cinq ans et même sept ans, les femmes ont dit : « Je veux être
capitaine. » J’ai créé l’atmosphère pour qu’il en soit ainsi. En même temps,
j’ai créé des chantiers navals et des usines de transformation et les ai
entraînés à la vente. J’ai créé des magasins et les ai aussi formés à la vente
ambulante.
Pendant
un an, je leur ai fait fabriquer des filets et des bateaux, prendre du poisson
et même le vendre. J’ai même créé des restaurants de fruits de mer et sur cette
base, j’ai créé un fondement en sept ans. Maintenant, nous entrons dans une
phase où nous pouvons faire sensation dans le milieu de l’industrie de la
pêche. Une fois que ce sera mis en route, on pourra mobiliser des capitaux
importants. (110-202, 17.11.1980)
Ceux
parmi vous qui aimez la navigation, levez la main. Si vous n’étiez pas là, les
États-Unis n’auraient aucune chance sur mer désormais. La mer ne souriait plus
aux Américains. Les États-Unis seraient perdants sur et sous la mer. Ils
auraient beau crier, leur retraite aurait sonné. C’est inévitable. Vous devez
aller sur la mer, même si c’est difficile. Il faut aller de l’avant et pénétrer
dans la mer. Alors seulement, vous amènerez l’espoir sur la mer. (132-304,
26.6.1984)
Quand
on prend la mer, c’est pour plus de deux mois, jusqu’à six mois. Mais de nos
jours, les femmes iront toutes en boîte danser le twist, avoir des aventures et
plier bagage quand le marin sera de retour. 80 % mettraient les enfants dans
des orphelinats avant d’aller ailleurs. Alors qui voudrait prendre la mer ? De
plus, même si on ramène du poisson, il n’y a pas de débouchés. Les Américains
ne mangent pas le poisson de la mer. Alors entrer dans l’industrie marine,
c’est laisser beaucoup de forces et d’énergie. Mais on ne peut pas faire
autrement. Si on ne met pas la main sur l’industrie de la pêche pour y réussir,
on n’arrivera pas à soutenir économiquement les stratégies futures pour le
monde. (110-200, 17.11.1980)
Le
transport maritime et l’industrie de la pêche sont prometteurs aux États-Unis.
J’ai conclu qu’il n’y a pas d’entreprise plus prometteuse que celle du
transport de produits de la mer et la pêche. J’ai donc acheté un bateau il y a
trois ans. Je savais qu’il faudrait travailler pendant trois ans avant de
commencer à faire des affaires. En trois ans, on a terminé en gros l’enquête
sur la côte est, en particulier à New York, et on a repéré là où le poisson est
abondant. Dans le futur, je m’arrangerai avec le gouvernement pour créer des
établissements piscicoles. On peut créer toutes sortes de fermes aquacoles, en
eau de mer comme en eau douce. On peut tout faire. Même sur les terrains
asséchés de New York, on peut faire de la pisciculture de n’importe quelle
espèce en partant du crabe. Il faudra étudier cela. Ce sera une vaste
entreprise, soyez-en conscients. (88-179, 10.8.1976)
Les
femmes n’aiment pas les marins, n’est-ce pas ? Je me lance dans cette industrie
de la pêche, car pour l’instant, cette industrie de pêche est virtuellement
détruite aux États-Unis. Pourquoi ? Quand le marin prend la mer, il est absent,
non pas une ou deux semaines, mais un ou deux mois ; les femmes trompent leurs
maris, divorcent et s’en vont avec un autre. De plus, après quelques sorties
par gros temps, les jeunes Américains sont écœurés par la mer.
Et les
gens qui ont de l’argent n’investissent pas du tout dans ce domaine. Pour
sauver les États-Unis il n’y a donc pas le choix, l’Église de l’Unification
doit s’y intéresser et sa jeunesse doit se charger de ce travail. Est-ce que
les jeunes gens de l’Église de l’Unification peuvent divorcer ? C’est hors de
question. Il ne faut ni penser au divorce ni penser à partir, mais s’entraîner
à prendre le bateau ensemble. Il suffit que je donne l’ordre pour que de
n’importe où des marins se rassemblent et se mettent en rangs. Ils seront
formés et partiront. (88-250, 20.9.1976)
Si je
ne mets pas la main à la pâte, l’industrie de la pêche des États-Unis est
fichue. Elle ne peut absolument pas se redresser. Par conséquent, je sais que
je vais faire une contribution importante à l’Amérique. Je suis donc en train
de négocier pour l’achat d’un bateau de pêche de près de 4 000 tonnes. Il n’y a
qu’un seul navire de ce type au monde. (88-326, 3.10.1976)
Hier ou
avant-hier, on est allé à Barrytown et on a attrapé des milliers de carpes.
Lorsqu’on a pompé l’eau de l’étang, six tortues sont apparues. Nous avons remis
ces grandes tortues dans l’Hudson et y avons mis la première carpe que nous
avions prise.
Mais
avec ce principe, j’ai réfléchi au problème suivant : « Tu es née par l’amour
et le fait de mourir pour l’amour est un devoir, alors est-ce bien de vivre
pour ceux qu’on aime ou de mourir pour ceux qu’on aime ? » Je me suis adressé
au poisson en disant : « De ce point de vue-là, tu es sacrifié, mais tu
développeras l’industrie de la pêche du futur pour les États-Unis. Les membres
de l’Église de l’Unification seront plus dévoués devant Dieu grâce à toi et tu
deviendras une force, une énergie, de la chair permettant d’aimer l’humanité
davantage. Tu es né poisson, mais je t’aime comme si tu étais ma chair et mon
esprit, et je peux aussi aimer les citoyens américains comme s’ils étaient mes
propres enfants et même plus que tout autre Américain. Vu comme cela, ne le
voudrais-tu pas ? »
J’ai
dit : « Vous, les carpes, devenez chair et sang d’enfants bien-aimés, un
sacrifice pour les enfants et la chair de citoyens américains qui aiment. »
(93-189, 29.5.1977)
D’aucuns
vont dire : « Ce révérend Moon, quel responsable religieux ferait de la pêche,
de l’industrie des produits de la mer ? C’est bon pour les roturiers tout cela.
» Je le sais. Mais nous n’agissons pas avec un petit but. Si au terme de votre
formation, chacun de vous se charge d’un port important en Afrique et qu’il y
va, un fondement mondial y sera préparé aussitôt. Un fondement sera préparé dans
50 nations. (94-107, 29.7.1977)
Convaincu
que la mer regorge de ressources, je créerai des entreprises océaniques dans le
monde entier. Il faut s’y préparer en Allemagne, en France, dans des dizaines
de pays qui en recevront l’ordre. On pourra alors fabriquer des navires, des
sous-marins, des bateaux de plaisance. Dans cet âge global, il faut bien cela
pour conquérir le monde et du coup s’assurer la suprématie mondiale dans ce
domaine. Vous imaginez-vous que ce soit possible ? C’est pour cela que je dis à
tous les fidèles de l’Église de l’Unification de se familiariser dans ce
domaine. (95-225, 4.12.1977)
Jusqu’à
maintenant les pêcheurs ont travaillé pendant huit heures, mais maintenant ils
diront qu’ils ne travailleront pas plus de huit heures. Ça se renverse
complètement. L’industrie de la pêche américaine va-t-elle trouver un moyen de
survivre ou non ? C’est comme une porte dorée qui s’ouvre. Sachez que cela
revient à ouvrir la porte d’un entrepôt d’or avec une clé dorée. Ce serait donc
bien que les jeunes filles qui sortent de notre séminaire de théologie aient à
l’esprit de se marier avec des capitaines de navire. (96-313, 13.2.1978)
L’industrie
de la pêche aux États-Unis en est à un point où sans nous, elle court à sa
perte. Puisque les ressources vastes et infinies nous appellent, nous les
utiliserons comme fondement économique avec lequel nous pourrons gérer le
monde. (105-328, 28.10.1979)
Quand
un Africain va au restaurant, il cherche du poisson qu’il connaît, du poisson
dont le goût lui dit quelque chose. Mais si le restaurant ne sert pas ce
poisson, les clients s’en vont. Créons un mouvement qui peut approvisionner les
restaurants avec des poissons attrapés dans tous les cinq océans. Les
Américains travaillant huit heures par jour, les boutiques sont closes à
dix-sept heures, mais chez nous, ce sera ouvert 24 heures sur 24. De plus, si
quelque chose est épuisé dans un restaurant de notre chaîne, on approvisionnera
avec un autre de nos établissements. On ne risque pas d’être dépassé. Alors
soyez certains que dans l’industrie de la pêche, les gens savent qui est le «
révérend Moon ». (146-253, 1.7.1986)
Nos
membres n’aiment pas l’Ocean Church (l’Église de l’océan). Si je leur dis de
travailler dans l’industrie de la pêche, la débandade est générale.
Mon plan
est donc de créer rapidement 1 000 restaurants japonais dans tous les
États-Unis. C’est mon plan maintenant. Et créer l’Ocean Church dans 535
endroits, c’est mon prochain plan. Voilà les deux choses à préparer maintenant.
(147-25, 20.8.1986)
Si dans
le futur, notre industrie de la pêche perce dans chaque État, je compte bien
créer un condominium à chaque endroit. Après avoir fait cela, il faudra bien
que des Japonais, des Coréens, des Américains et des Européens, à commencer par
des Allemands, vivent ensemble sous un même toit. Même s’ils vont sur des lieux
de travail différents, une fois revenus, ils devraient manger ensemble, faire
également toutes les autres activités ensemble et s’entraîner à vivre comme les
membres d’une famille. Les personnes qui n’arrivent pas à faire cela ne
pourront pas entrer dans la sphère idéale du Royaume de Dieu sur la terre. Ils
ne sont pas qualifiés pour entrer dans le Royaume de Dieu. Je fais donc cela à
présent afin de préparer le fondement pour cette vie. (147-27, 20.8.1986)
Pourquoi
s’impliquer dans l’industrie de la pêche ? Dorénavant, il n’y a pas d’autre
moyen pour résoudre les problèmes d’alimentation dans le monde que
l’aquaculture. Plus tard, on pourra bâtir des dizaines, des centaines d’étages
comme pour un immeuble sur la plage, et il suffira d’appuyer sur un bouton pour
élever son poisson. Il suffit d’avoir 100 pyeong (= 35 m²) pour qu’un ménage
puisse vivre même en payant des études universitaires à leurs enfants. Puisque
la science s’est fortement développée maintenant, on peut même tirer de l’eau
de mer à des dizaines, des centaines, des milliers de kilomètres. On pourra
construire des bâtiments d’aquaculture dans les montagnes autant qu’on voudra.
Sans cela, on ne pourra pas résoudre le problème d’alimentation de l’humanité.
Voilà pourquoi cette affaire me tient à cœur. (191-81, 24.6.1989)
Les
jeunes soldats de l’Église de l’Unification doivent faire l’expérience de
naviguer sur un navire de grande pêche. Je pense que l’expérience de la pêche
est un entraînement fascinant. Puisque c’est moi qui vous le fais faire, il
faut que vous le fassiez. Peu importe que vous soyez originaires de Tokyo.
(192-159, 3.7.1989)
J’ai
derrière moi 20 années de réalisations dans des activités pour sauver les
personnes qui meurent de malnutrition. L’industrie de la mer est une matière
première inépuisable. Maintenant, même aux États-Unis on fait confiance au
révérend Moon. Personne ne peut nier que nous sommes arrivés dans le monde de
la pêche au stade où nous faisons tout, du filet au bateau. (266-120,
22.12.1994)
Ceux
qui sont déjà allés dans notre ranch au Texas, levez la main. Les Américains
ont tous dû y aller. Devrais-je vous inviter une fois ? Je songe maintenant à y
chasser la caille et le faisan, ou bien encore le cerf. Les dindonneaux
sauvages y vivent aussi en abondance. Il y a aussi des sangliers, des loups, et
des sortes de tigres.
Si vous
êtes intéressés par cela et que vous voulez y chasser et faire de la pêche, il
faut créer par vous-mêmes une ferme et l’exploiter à partir de maintenant afin
de pouvoir l’administrer. (253-114, 9.1.1994)
Dans le
futur, on aura une base pour que l’industrie tertiaire fasse un bond en avant
prodigieux. C’est pour cela que nous formons des gens dans 30 endroits
différents avec dix de nos bateaux à chaque fois. J’ai l’intention d’étendre
ceci à 300 endroits. J’ai l’intention de faire en sorte qu’on puisse faire de
la pêche quelque soit le village où l’on aille. J’ai l’intention de prendre
racine dans le monde dans le futur. Depuis la France, en Europe, j’en ferai
tout un parcours touristique. Il faut former des spécialistes de la pêche qui
peuvent faire cela. En manœuvrant un bateau, ils doivent pouvoir prendre
jusqu’au rôle du guide touristique. C’est une grande affaire. De cette façon,
sur la base de ces clients précieux, nous pourrons créer dans le futur une
grande entreprise mondiale. Après avoir créé une entreprise internationale
mondiale, le fondement pour ramasser des vastes ressources naturelles se fera
tout seul. (122-82, 31.10.1982)
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