lundi 8 mars 2021

L’industrie des produits de la mer

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

2. La providence de l’océan menée par les Vrais Parents

2.1. La providence basée sur l’océan en Amérique du Nord

2.1.1. L’industrie des produits de la mer aux États-Unis

Si les États-Unis veulent prospérer, ils doivent lancer une mode pour pousser leurs jeunes vers la mer. Cela offrira des perspectives nouvelles pour le futur de la nation. À ce moment-là, vous deviendrez des responsables qui pourront acquérir toutes les usines qui sont sur la terre. Et là, toutes ces usines de production sur terre seront fermées à clé. Les usines qui poursuivaient des profits individuels péricliteront. Nous dirigerons des usines qui poursuivent l’intérêt national, nous collaborerons avec la nation pour le salut du monde. Avec le soutien de la nation, on peut se développer autant qu’on veut. (128-230, 27.6.1983)

Les villes de bords de mer sont toutes sur le déclin. Quand les jeunes vont en mer et ne reviennent pas pendant plusieurs mois, leurs femmes tombent amoureuses après être allées danser, prennent leurs affaires et s’enfuient avec tous leurs biens. Alors nul n’a envie d’aller travailler sur des bateaux. Pour les villes côtières, c’est la déchéance complète. Si nous avons un peu d’argent, il faut acheter tous les quais du nord-est au sud et pareil à l’ouest. Ce serait bien, non ? (123-13, 1.12.1982)

Tous les domaines actuels de l’industrie des États-Unis sont au beau fixe, et sont bien placés. La seule chose qui reste est le domaine de la mer, de la pêche dont les ressources sont plus vastes que toutes celles sur la terre. Mais cette industrie est actuellement en faillite. Réfléchissez à quel point les ressources en sont vastes. Ceux qui travaillent dans l’industrie de la mer sont les héritiers : à eux les ressources de l’océan ! Un tiers du globe est de la terre ferme, et deux tiers sont de la mer, deux tiers des ressources naturelles sont donc enfouies dans l’océan. Quel est le mouvement qui projette de gérer ceci dans le futur pour s’en emparer ? Pour le faire, je ne vois que deux possibilités : Soit un groupe religieux ayant une structure mondiale et qui se lance dans l’industrie de la mer, soit un mouvement idéologique mondial. (119-230, 13.9.1982)

Si les villes maritimes s’appauvrissent, l’économie du pays s’appauvrit aussi. Les États-Unis ont les ressources et le fondement pour lier les villes portuaires au monde. Or, ils n’ont rien fait, et le gouvernement des États-Unis est entré dans une phase où il doit prendre des mesures d’urgence. Les responsables des villes portuaires veulent attirer les jeunes. Ils n’en trouvent pas, alors à nous d’en assumer la responsabilité. De plus, il faut avoir des jeunes couples où les femmes ne s’enfuiront pas. À part les moonistes, il n’y a personne. Ainsi, le jour où nous serons installés dans ces villes, elles reprendront leur essor. Dans trois à cinq ans, 50 personnes pourront construire des bateaux avec des subventions du gouvernement. S’il y a 30 endroits avec 50 personnes à chaque endroit, c’est 1 500 bateaux. C’est bien ça, n’est-ce pas ? On pourra construire de l’ordre de 1 500 bateaux.

Il doit y avoir en tout plus de 3 000 ports aux États-Unis. 50 personnes dans plus de 3 000 ports, ça fait 150 000, n’est-ce pas ? On sera alors complètement les maîtres de la mer aux États-Unis. À deux millions de dollars le bateau, ça fait combien ? Ça fait 300 milliards de dollars. (119-235, 13.9.1982)

Je crée une structure où l’on a des bateaux de pêche avec des gens excellents qui s’intéressent à la mer. Par conséquent, en rassemblant 50 jeunes hommes et jeunes femmes dans un centre, je crée un mouvement de base, d’éducation pour aller à la mer. Voilà comment on va les recruter. La tendance actuelle des villes portuaires des États-Unis est à l’appauvrissement, donc les gens les désertent. Les dirigeants locaux veulent éviter la ruine et veulent que la mer prospère. Dès que possible, je mettrai au point un groupe de soutien autour des dirigeants locaux.

Il n’y a donc pas de problème. Je distribue 600 000 dollars au groupe de soutien et j’établis une garantie selon les instructions de la communauté. Si nos responsables enseignent une méthode pour attraper du poisson à 400 dollars l’unité, ça peut continuer éternellement. (108-219, 5.10.1980)

Le nom New Hope (Nouvel espoir) de notre bateau est connu dans l’est des États-Unis pour attraper le thon ; la nouvelle a gagné l’Amérique du Sud. La raison d’être de cette activité est aussi de former des travailleurs pour développer l’industrie de la pêche. Alors que je travaillais sur un bateau pendant 24 heures, j’ai dit à nos jeunes de monter en bateau, ils se sont enfuis, sans même m’écouter. Mais comme j’avais du temps pour leur parler, au bout de quatre, cinq ans et même sept ans, les femmes ont dit : « Je veux être capitaine. » J’ai créé l’atmosphère pour qu’il en soit ainsi. En même temps, j’ai créé des chantiers navals et des usines de transformation et les ai entraînés à la vente. J’ai créé des magasins et les ai aussi formés à la vente ambulante.

Pendant un an, je leur ai fait fabriquer des filets et des bateaux, prendre du poisson et même le vendre. J’ai même créé des restaurants de fruits de mer et sur cette base, j’ai créé un fondement en sept ans. Maintenant, nous entrons dans une phase où nous pouvons faire sensation dans le milieu de l’industrie de la pêche. Une fois que ce sera mis en route, on pourra mobiliser des capitaux importants. (110-202, 17.11.1980)

Ceux parmi vous qui aimez la navigation, levez la main. Si vous n’étiez pas là, les États-Unis n’auraient aucune chance sur mer désormais. La mer ne souriait plus aux Américains. Les États-Unis seraient perdants sur et sous la mer. Ils auraient beau crier, leur retraite aurait sonné. C’est inévitable. Vous devez aller sur la mer, même si c’est difficile. Il faut aller de l’avant et pénétrer dans la mer. Alors seulement, vous amènerez l’espoir sur la mer. (132-304, 26.6.1984)

Quand on prend la mer, c’est pour plus de deux mois, jusqu’à six mois. Mais de nos jours, les femmes iront toutes en boîte danser le twist, avoir des aventures et plier bagage quand le marin sera de retour. 80 % mettraient les enfants dans des orphelinats avant d’aller ailleurs. Alors qui voudrait prendre la mer ? De plus, même si on ramène du poisson, il n’y a pas de débouchés. Les Américains ne mangent pas le poisson de la mer. Alors entrer dans l’industrie marine, c’est laisser beaucoup de forces et d’énergie. Mais on ne peut pas faire autrement. Si on ne met pas la main sur l’industrie de la pêche pour y réussir, on n’arrivera pas à soutenir économiquement les stratégies futures pour le monde. (110-200, 17.11.1980)

Le transport maritime et l’industrie de la pêche sont prometteurs aux États-Unis. J’ai conclu qu’il n’y a pas d’entreprise plus prometteuse que celle du transport de produits de la mer et la pêche. J’ai donc acheté un bateau il y a trois ans. Je savais qu’il faudrait travailler pendant trois ans avant de commencer à faire des affaires. En trois ans, on a terminé en gros l’enquête sur la côte est, en particulier à New York, et on a repéré là où le poisson est abondant. Dans le futur, je m’arrangerai avec le gouvernement pour créer des établissements piscicoles. On peut créer toutes sortes de fermes aquacoles, en eau de mer comme en eau douce. On peut tout faire. Même sur les terrains asséchés de New York, on peut faire de la pisciculture de n’importe quelle espèce en partant du crabe. Il faudra étudier cela. Ce sera une vaste entreprise, soyez-en conscients. (88-179, 10.8.1976)

Les femmes n’aiment pas les marins, n’est-ce pas ? Je me lance dans cette industrie de la pêche, car pour l’instant, cette industrie de pêche est virtuellement détruite aux États-Unis. Pourquoi ? Quand le marin prend la mer, il est absent, non pas une ou deux semaines, mais un ou deux mois ; les femmes trompent leurs maris, divorcent et s’en vont avec un autre. De plus, après quelques sorties par gros temps, les jeunes Américains sont écœurés par la mer.

Et les gens qui ont de l’argent n’investissent pas du tout dans ce domaine. Pour sauver les États-Unis il n’y a donc pas le choix, l’Église de l’Unification doit s’y intéresser et sa jeunesse doit se charger de ce travail. Est-ce que les jeunes gens de l’Église de l’Unification peuvent divorcer ? C’est hors de question. Il ne faut ni penser au divorce ni penser à partir, mais s’entraîner à prendre le bateau ensemble. Il suffit que je donne l’ordre pour que de n’importe où des marins se rassemblent et se mettent en rangs. Ils seront formés et partiront. (88-250, 20.9.1976)

Si je ne mets pas la main à la pâte, l’industrie de la pêche des États-Unis est fichue. Elle ne peut absolument pas se redresser. Par conséquent, je sais que je vais faire une contribution importante à l’Amérique. Je suis donc en train de négocier pour l’achat d’un bateau de pêche de près de 4 000 tonnes. Il n’y a qu’un seul navire de ce type au monde. (88-326, 3.10.1976)

Hier ou avant-hier, on est allé à Barrytown et on a attrapé des milliers de carpes. Lorsqu’on a pompé l’eau de l’étang, six tortues sont apparues. Nous avons remis ces grandes tortues dans l’Hudson et y avons mis la première carpe que nous avions prise.

Mais avec ce principe, j’ai réfléchi au problème suivant : « Tu es née par l’amour et le fait de mourir pour l’amour est un devoir, alors est-ce bien de vivre pour ceux qu’on aime ou de mourir pour ceux qu’on aime ? » Je me suis adressé au poisson en disant : « De ce point de vue-là, tu es sacrifié, mais tu développeras l’industrie de la pêche du futur pour les États-Unis. Les membres de l’Église de l’Unification seront plus dévoués devant Dieu grâce à toi et tu deviendras une force, une énergie, de la chair permettant d’aimer l’humanité davantage. Tu es né poisson, mais je t’aime comme si tu étais ma chair et mon esprit, et je peux aussi aimer les citoyens américains comme s’ils étaient mes propres enfants et même plus que tout autre Américain. Vu comme cela, ne le voudrais-tu pas ? »

J’ai dit : « Vous, les carpes, devenez chair et sang d’enfants bien-aimés, un sacrifice pour les enfants et la chair de citoyens américains qui aiment. » (93-189, 29.5.1977)

D’aucuns vont dire : « Ce révérend Moon, quel responsable religieux ferait de la pêche, de l’industrie des produits de la mer ? C’est bon pour les roturiers tout cela. » Je le sais. Mais nous n’agissons pas avec un petit but. Si au terme de votre formation, chacun de vous se charge d’un port important en Afrique et qu’il y va, un fondement mondial y sera préparé aussitôt. Un fondement sera préparé dans 50 nations. (94-107, 29.7.1977)

Convaincu que la mer regorge de ressources, je créerai des entreprises océaniques dans le monde entier. Il faut s’y préparer en Allemagne, en France, dans des dizaines de pays qui en recevront l’ordre. On pourra alors fabriquer des navires, des sous-marins, des bateaux de plaisance. Dans cet âge global, il faut bien cela pour conquérir le monde et du coup s’assurer la suprématie mondiale dans ce domaine. Vous imaginez-vous que ce soit possible ? C’est pour cela que je dis à tous les fidèles de l’Église de l’Unification de se familiariser dans ce domaine. (95-225, 4.12.1977)

Jusqu’à maintenant les pêcheurs ont travaillé pendant huit heures, mais maintenant ils diront qu’ils ne travailleront pas plus de huit heures. Ça se renverse complètement. L’industrie de la pêche américaine va-t-elle trouver un moyen de survivre ou non ? C’est comme une porte dorée qui s’ouvre. Sachez que cela revient à ouvrir la porte d’un entrepôt d’or avec une clé dorée. Ce serait donc bien que les jeunes filles qui sortent de notre séminaire de théologie aient à l’esprit de se marier avec des capitaines de navire. (96-313, 13.2.1978)

L’industrie de la pêche aux États-Unis en est à un point où sans nous, elle court à sa perte. Puisque les ressources vastes et infinies nous appellent, nous les utiliserons comme fondement économique avec lequel nous pourrons gérer le monde. (105-328, 28.10.1979)

Quand un Africain va au restaurant, il cherche du poisson qu’il connaît, du poisson dont le goût lui dit quelque chose. Mais si le restaurant ne sert pas ce poisson, les clients s’en vont. Créons un mouvement qui peut approvisionner les restaurants avec des poissons attrapés dans tous les cinq océans. Les Américains travaillant huit heures par jour, les boutiques sont closes à dix-sept heures, mais chez nous, ce sera ouvert 24 heures sur 24. De plus, si quelque chose est épuisé dans un restaurant de notre chaîne, on approvisionnera avec un autre de nos établissements. On ne risque pas d’être dépassé. Alors soyez certains que dans l’industrie de la pêche, les gens savent qui est le « révérend Moon ». (146-253, 1.7.1986)

Nos membres n’aiment pas l’Ocean Church (l’Église de l’océan). Si je leur dis de travailler dans l’industrie de la pêche, la débandade est générale.

Mon plan est donc de créer rapidement 1 000 restaurants japonais dans tous les États-Unis. C’est mon plan maintenant. Et créer l’Ocean Church dans 535 endroits, c’est mon prochain plan. Voilà les deux choses à préparer maintenant. (147-25, 20.8.1986)

Si dans le futur, notre industrie de la pêche perce dans chaque État, je compte bien créer un condominium à chaque endroit. Après avoir fait cela, il faudra bien que des Japonais, des Coréens, des Américains et des Européens, à commencer par des Allemands, vivent ensemble sous un même toit. Même s’ils vont sur des lieux de travail différents, une fois revenus, ils devraient manger ensemble, faire également toutes les autres activités ensemble et s’entraîner à vivre comme les membres d’une famille. Les personnes qui n’arrivent pas à faire cela ne pourront pas entrer dans la sphère idéale du Royaume de Dieu sur la terre. Ils ne sont pas qualifiés pour entrer dans le Royaume de Dieu. Je fais donc cela à présent afin de préparer le fondement pour cette vie. (147-27, 20.8.1986)

Pourquoi s’impliquer dans l’industrie de la pêche ? Dorénavant, il n’y a pas d’autre moyen pour résoudre les problèmes d’alimentation dans le monde que l’aquaculture. Plus tard, on pourra bâtir des dizaines, des centaines d’étages comme pour un immeuble sur la plage, et il suffira d’appuyer sur un bouton pour élever son poisson. Il suffit d’avoir 100 pyeong (= 35 m²) pour qu’un ménage puisse vivre même en payant des études universitaires à leurs enfants. Puisque la science s’est fortement développée maintenant, on peut même tirer de l’eau de mer à des dizaines, des centaines, des milliers de kilomètres. On pourra construire des bâtiments d’aquaculture dans les montagnes autant qu’on voudra. Sans cela, on ne pourra pas résoudre le problème d’alimentation de l’humanité. Voilà pourquoi cette affaire me tient à cœur. (191-81, 24.6.1989)

Les jeunes soldats de l’Église de l’Unification doivent faire l’expérience de naviguer sur un navire de grande pêche. Je pense que l’expérience de la pêche est un entraînement fascinant. Puisque c’est moi qui vous le fais faire, il faut que vous le fassiez. Peu importe que vous soyez originaires de Tokyo. (192-159, 3.7.1989)

J’ai derrière moi 20 années de réalisations dans des activités pour sauver les personnes qui meurent de malnutrition. L’industrie de la mer est une matière première inépuisable. Maintenant, même aux États-Unis on fait confiance au révérend Moon. Personne ne peut nier que nous sommes arrivés dans le monde de la pêche au stade où nous faisons tout, du filet au bateau. (266-120, 22.12.1994)

Ceux qui sont déjà allés dans notre ranch au Texas, levez la main. Les Américains ont tous dû y aller. Devrais-je vous inviter une fois ? Je songe maintenant à y chasser la caille et le faisan, ou bien encore le cerf. Les dindonneaux sauvages y vivent aussi en abondance. Il y a aussi des sangliers, des loups, et des sortes de tigres.

Si vous êtes intéressés par cela et que vous voulez y chasser et faire de la pêche, il faut créer par vous-mêmes une ferme et l’exploiter à partir de maintenant afin de pouvoir l’administrer. (253-114, 9.1.1994)

Dans le futur, on aura une base pour que l’industrie tertiaire fasse un bond en avant prodigieux. C’est pour cela que nous formons des gens dans 30 endroits différents avec dix de nos bateaux à chaque fois. J’ai l’intention d’étendre ceci à 300 endroits. J’ai l’intention de faire en sorte qu’on puisse faire de la pêche quelque soit le village où l’on aille. J’ai l’intention de prendre racine dans le monde dans le futur. Depuis la France, en Europe, j’en ferai tout un parcours touristique. Il faut former des spécialistes de la pêche qui peuvent faire cela. En manœuvrant un bateau, ils doivent pouvoir prendre jusqu’au rôle du guide touristique. C’est une grande affaire. De cette façon, sur la base de ces clients précieux, nous pourrons créer dans le futur une grande entreprise mondiale. Après avoir créé une entreprise internationale mondiale, le fondement pour ramasser des vastes ressources naturelles se fera tout seul. (122-82, 31.10.1982)


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