
Livre
XI
L’essence
fondamentale de l’univers
Chapitre
III
La
chute de l’être humain et la restauration
2.
Après la chute
2.1.
L’être humain déchu et l’état du monde
2.1.1.
Problèmes de la jeunesse et libertinage
Adam et
Ève étaient de jeunes adolescents quand ils chutèrent sous les ombrages des
arbres ; de même ces jours-ci, le libertinage se banalise chez les jeunes du
monde entier : tels sont les fruits de l’histoire en cette époque des derniers
jours. Le libertinage, c’est quoi ? C’est Sodome et Gomorrhe, le piège de
Satan. La sensualité des jeunes est exacerbée et tout s’en va. Tous tombent au
fond d’un précipice. Le disco et le twist, c’est quel genre de danses ? Des
danses du serpent. Le serpent se tortille, n’est-ce pas ? Twist signifie
tordre. Ce que le diable a semé s’est répandu dans le monde entier et a séduit
l’humanité. (208-263, 20.11.1990)
Comme
la chute fut un acte d’adultère, celui-ci se banalisera dans les derniers
jours. La jeunesse tombera dans la promiscuité. Ce que les ancêtres ont semé,
les jeunes le moissonnent aujourd’hui de par le monde, menant l’humanité à la
ruine. Telle est la situation de nos jours, à l’évidence. D’où est sorti le
libertinage ? Qui l’a promu ? Adam et Ève. Ceux qui ont chuté, voilà bien les
ancêtres du libertinage. (257-60, 13.3.1994)
Dans le
jardin d’Éden, n’ont-ils pas chuté à cause du libertinage ? Adam et Ève étaient
pour le libertinage. Dans les derniers jours, on en est au même point. Sans
rattraper la situation, c’est la destruction assurée. Je passe ma vie à essayer
de rattraper. Je dois créer la passerelle pour vous aider à vous en sortir.
Sinon, tout le monde tombera. Les hommes et les femmes y sont tous tombés et
sont morts. Je dois donc bâtir ce pont pour franchir l’Océan vers la paix.
Personne d’autre ne peut construire ce pont. Une fois franchi, il ne sert plus
à rien. L’indemnité et ce genre de choses ne seront plus nécessaires. Nous
aborderons l’âge de l’amour absolu et du sexe absolu. (281-293, 9.3.1997)
Non à
la danse disco, aux boissons alcoolisées, à la cigarette. Et non au
libertinage. Les homosexuels, les lesbiennes, les changements de partenaires,
non. Le vent peut souffler, gardez votre sang-froid et votre position. Que le
vent souffle, qu’il y ait des typhons, que la terre se mette à trembler, l’Église
de l’Unification ne change pas, tout comme l’est, l’ouest, le sud et le nord ne
changent pas. Une fois l’unification du monde réalisée, tous sera accompli.
(206-62, 3.10.1990)
Ce
libertinage, cette vague d’adultère, qui vont dans tous les sens, qui va les
bloquer ? Qui va stopper cette vague d’hédonisme, cette quête des plaisirs
sensuels ? Même les drogues sont insuffisantes. Les stupéfiants et le
libertinage ne suffisant pas, les bas-fonds en sont réduits à chercher des
hallucinogènes. Le problème est-il dans le corps ou dans l’esprit ? (200-227,
25.2.1990)
Il y a
un paradoxe aux États-Unis : le libertinage qui sévit chez les jeunes, leur
fait quitter leur maison. Or en un sens, cela peut jouer en faveur du Ciel.
Ayant largué les amarres familiales, ils doivent quitter leur parenté et partir
à l’étranger. La jeunesse n’a plus de chez soi, plus de famille, plus de
nation, rien qui la relie au monde. Partis du libertinage, ils vont vers
l’homosexualité, les notions du masculin et du féminin passent à la trappe. Si
on continue comme ça, l’humanité disparaît en moins d’un siècle. Le cœur de
Dieu est au comble de l’affliction, voyant cette tragique situation de
l’humanité qui gémit, ensorcelée par le démon ! (208-265, 20.11.1990)
Il faut
savoir que derrière le mouvement hippie, les problèmes d’immoralité et de
drogue, il y a la stratégie globale des communistes. Disons le tout net : tout
ce qui est libération des mœurs et mouvements homo et lesbien participent d’un
travail de sape des droits de l’homme, et de la dignité humaine. De ce point de
vue, en s’attaquant à la base de la famille, de l’Église, de la société, ce
mouvement a déjà atteint son apogée ; au niveau actuel, aucun théologien, aucun
pouvoir d’État, n’y peuvent rien. (128-33, 1.6.1983)
Je
connais bien Les États-Unis. On y parle volontiers de liberté sexuelle ; la
nuit, on couche ensemble, le matin on se dit adieu. L’individualisme est roi,
le moi se met au centre, et a réponse à tout pour se justifier. On se salue
avec diplomatie, on se regarde dans les yeux, mais l’esprit est ailleurs.
L’opportunisme régit les usages et les sentiments. (127-328, 22.5.1983)
Quelles
sont les armes de Satan ? D’abord, il se sert d’une arme gazeuse : le tabac. Il
a aussi une arme liquide, c’est l’alcool. Son arme solide est la drogue. La
pourriture s’installe donc jusqu’à l’esprit. Tout passe en putréfaction : le
corps, l’esprit, les narines, les poumons, tout. Mais l’alcool et le tabac ne
font pas partie de notre vie. Ce sont des armes de Satan pour ruiner l’humanité.
Car l’ennemi, le voilà : ces trois armes sont autant de choses qui empêchent
l’esprit de communiquer avec Dieu. Ensuite, qu’est-ce qu’il y a ? L’amour. Le
libertinage qui détruit l’ordre de l’amour. Je dois mettre de l’ordre là dedans
sans hésitation. (126-70, 10.4.1983)
Le
libertinage, l’homosexualité, ces choses là ne doivent pas exister. Dans les
derniers jours, des choses qui n’avaient pas existé apparaissent partout en
plein jour. Ce qui semblait impensable dans l’univers est là sous nos yeux.
L’ordre de l’amour est à présent en ruine. Alors, sachez bien que Les
États-Unis se retrouvent au fin fond de l’enfer. Ils ont complètement détruit
l’ordre de l’amour et les drogues amènent le désordre physiologique chez
l’homme et la femme. Autant dire que la jeunesse est abîmée. Les principes
moraux ne résisteront pas. (125-168, 20.3.1983)
Je
m’efforce de corriger, guérir et stabiliser ce monde devenu répugnant ces
jours-ci, à force de s’adonner au libertinage et à la libération sexuelle. Je
suis le spécialiste agréé de ces maux, que nul autre ne peut guérir. Le remède
est d’enseigner l’amour vrai et de le pratiquer. Les gens ne tarderont pas à
croire en l’Église de l’Unification.
Je vous
avertis : si vous n’y croyez pas vous-mêmes, vous êtes responsables de guider
vos enfants, au besoin par le fouet, pour qu’ils suivent ce chemin. Les Églises
en place ont-elles le remède et les injections ? (209-222, 29.11.1990)
Ne
faites pas l’amour en offensant Dieu, l’humanité, ni le globe terrestre !
Jusqu’ici, ceux qu’on a appelés les hippies se font les apôtres du libertinage,
et ont essayé tout ce que vous pouvez imaginer. Vous appelez ça de l’amour ?
Sachez que ceci amène la destruction de l’humanité, salit le nom de Dieu, et
crache le sang de l’amour sur la planète terre ! C’est comme semer le sang
originel de l’être humain ! Et dire qu’ils sont là à danser et faire toutes
sortes de choses ! (93-29, 8.5.1977)
Sachant
que dans les derniers jours, nous essayons de revenir vers le Royaume de Dieu
au ciel en ayant réglé et formé le Royaume de Dieu sur la terre, Satan prône ce
que Dieu réprouve. Par exemple, le libertinage se traduit par une flétrissure
du premier amour qui est unique. Le premier amour est éternel. Il l’a rendu
pareil à des accouplements de chiens de rue. Le ciel et la terre sont devenus
un monde d’amour sans valeur. Telle est l’histoire d’une vie humaine de 70 ans.
Satan
le sait, et a livré ce monde à la débauche où l’homme épouse un homme et la
femme épouse une femme. C’est la course aux stupéfiants et une quête effrénée
de plaisirs. Ne rechercher que la gratification de la chair, c’est encourir un
jugement sommaire, qui vous emmène droit en enfer. Qui va liquider tout cela ?
C’est justement le révérend Moon ! Ce sont les Vrais Parents qui doivent le
liquider. (227-279, 14.2.1992)
Tous
les êtres créés se lient par paires grâce à l’amour ; ôtez l’amour, ils
s’éparpillent tels des grains de sable. Quel genre d’amour désirez-vous ? Le
monde de l’amour tourne le dos à l’individualisme et embrasse le concept de
paires. Même chez les insectes, il doit y avoir le plus et le moins, le sujet
et l’objet. C’est le mode d’existence de toutes les créatures. (287-60,
31.8.1997)
2.1.2.
La corruption de la moralité sexuelle
Aux
États-Unis, chantres de la libération sexuelle, vous verrez les gens huppés,
par exemple des avocats, se retrouver à l’hôtel après une réunion de
l’association du barreau, et là, ils procéderont à un échange d’épouses. En
l’espace d’une semaine, ils auront couché avec les femmes de tous leurs copains.
(191-220, 25.6.1989)
Une
femme non mariée doit-elle se maquiller ou pas ? Quelle différence avec des
prostituées ou des filles de rue ? On voit aujourd’hui des jeunes filles qui
sortent en se fardant de rouge à lèvres. Mais savez-vous combien c’est sale, ce
rouge à lèvres ? La couleur naturelle et originelle des jeunes gens est la plus
belle. Même au bout de mille ans, vous ne seriez pas lassés de contempler cette
beauté ! Quelle est belle cette couleur ! On ne peut créer teint plus beau ! Ce
n’est pas le fard qui le fera ! (275-136, 4.12.1995)
Une
famille ruinée, est ruinée dans son essence même. Les problèmes de la jeunesse
entraînent la destruction de la famille. Et dans ce cas, aucune famille ne
pourra arriver à la perfection. Dans les derniers jours, les femmes auront deux
hommes. D’où le terme de libération sexuelle. La responsabilité des Vrais
Parents est de recoudre le vêtement en lambeaux de Dieu et de Lui refaire un
costume de soie pour Le revêtir. (304-166, 10.10.1999)
Chicago
ou New-York, ou encore Los Angeles, toutes ces villes se valent ! Toutes les
grandes villes américaines sont détruites par Satan à cause du relâchement des
mœurs, de la libération sexuelle. Cela a fait voler en éclat des familles qui
étaient pourtant chrétiennes et Satan pense que tout le fondement posé
jusqu’ici dans le monde entier va entièrement tomber. Aussi pique-t-il chacun
avec le dard du libertinage car ainsi tous deviendront de parfaits satans.
(87-137, 23.5.1976)
Le
gouvernement américain saura-t-il régler le problème de la promiscuité des
jeunes à l’heure actuelle ? Non, la puissance militaire, la puissance
économique, la technologie et la science n’y pourront rien. Il se passe de
drôles de choses, de nos jours, avec la libération sexuelle, vous ne trouvez pas
? C’est ça l’amour ? L’amour vrai qui peut engendrer la vie éternelle ayant été
avili, quel espoir peut-on avoir ? C’est le désespoir. S’unir à un homme est
désespérant, rencontrer un fils est désolant, rencontrer ses parents est
sinistre ; où qu’on aille, toute rencontre se solde par le désespoir. (183-337,
9.11.1988)
Ce
monde ayant sombré dans le désordre et la confusion, la maladie du SIDÀ est
apparue. De la libération sexuelle est sorti le chaos. Impossible de trouver
l’amour vrai ! Aucune méthode pour le trouver alors que l’âme originelle de
l’être humain le sollicite ! Plus ce monde avance, plus il est couvert de
blessures ! L’amour de ce monde profane écrase tout ! (210-280, 25.12.1990)
Ce qui
a commencé avec un seul homme Adam, s’est à présent transmis à tous les hommes
alors que la libération sexuelle est sur toutes les lèvres. Et voilà que
l’inceste ronge les familles ! C’est un fléau qu’on ne peut même pas voir chez
les animaux. Ces drames des familles éclatées sont impardonnables devant le
Ciel. C’est devenu un monde que Dieu ne peut plus regarder ! (292-175,
12.4.1998)
Un
couple parfaitement uni, reçoit la protection céleste. Même s’ils voulaient se
détruire ça ne marcherait pas ! Les fortunes de la famille, de la société, du
ciel et de la terre, et de l’amour de Dieu se superposeraient sur plusieurs
couches pour les protéger. À l’inverse, on ne saurait rester les bras croisés
si on voit cette entité se casser ! Si c’était le cas, cette graine
disparaîtrait. Comment peu-on chercher un divorce qui ne ferait qu’anéantir
cette position protégée par la fortune céleste ! Comment peut-on se laisser
entraîner par les ravages d’une aventure !? De mes mains je dois réparer ce
monde qui n’a pour mot d’ordre que la libération sexuelle. Il faut une nette
réorganisation ! Je m’y suis employé jusqu’ici et il n’y a aucun savant en
Amérique qui peut le faire à l’exception du révérend Moon ! Il n’y a pas
d’autre médecin. (211-268, 30.12.1990)
On
entend parler de parricides et d’infanticides. Dans les cas extrêmes, qu’entendons-nous
? Qu’une mère couche avec son fils ! Là, c’est vraiment la fin de tout.
Avez-vous déjà entendu parler de cela ? Les cas comme cela sont légion mais
n’arrivent pas tous jusqu’ici. On vit justement dans cette époque, soi-disant
de libération sexuelle. Dans le monde communiste, l’être humain est traité
comme un animal, et ces choses ne posent pas de problème. Nous voici vraiment à
la fin. Quoi, on couche avec une cousine, une nièce, sa mère ! Est-ce qu’une
chienne s’accouple avec ses petits ? Elle aurait des chiots ou pas ? Si de
pareilles choses ont cours, on peut dire que c’est la fin des temps. (39-123,
10.1.1971)
Voici
qu’on parle de plus en plus de personnes seules, d’homosexuels, de lesbiennes.
Quelle en est la raison ? Qu’est ce qui a bien pu amener les homos et je ne
sais quoi à agir ainsi ? C’est l’inceste. Le grand-père viole sciemment sa
petite-fille. Le père viole sa fille. Pourquoi ? Comme on vit l’époque dite de
la libération sexuelle, du libertinage, alors, pourquoi pas l’inceste, les
rapports sexuels dans tous les sens ! Ces rapports ne s’établissent pas avec
des inconnus qui habitent loin mais entre gens qui sont les plus proches,
c’est-à-dire la parenté. (261-44, 22.5.1994)
Que se
passe-t-il à New-York maintenant ? Il ne reste plus que les milliardaires et
les plus démunis. Les gens des classes moyennes qui forment la colonne
vertébrale, ont plié bagage et se sont enfuis. L’an dernier, 600 000 personnes
seraient parties, paraît-il. Les couches inférieures de la société font la litière
de Satan, avec ses prostituées et ses voyous qui prêchent le sexe. Ainsi, les
habitants de cette ville de New-York en proie au chaos qui pensaient qu’ils
pourraient y éduquer leurs enfants, se sont trouvés dans l’obligation de la
quitter. Maintenant, chaque hôtel en ville est un marché à filles. (87-135,
23.5.1976)
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