L’homosexualité

Livre XI

L’essence fondamentale de l’univers

Chapitre III

La chute de l’être humain et la restauration

2. Après la chute

2.1. L’être humain déchu et l’état du monde

2.1.3. L’homosexualité

Nos membres de l’Église de l’Unification viendront à bout de toutes les nuisances de ce monde dont Satan raffole. Le « mouvement gay » (homosexuel) aux États-Unis et tous les problèmes liés à l’homosexualité, nous en viendrons à bout. De même pour le libertinage, les problèmes d’immoralité sexuelle, les « gangs », les bandes de malfaiteurs, les terroristes, la mafia. Je prends responsabilité pour les problèmes les plus ardus de ce monde. Le parti communiste aussi aura affaire à moi. (109-34, 26.10.1980)

Le mouvement gay est très répandu aux États-Unis. Il y a beaucoup d’homosexuels, n’est-ce pas ? C’est que tous ces enfants de voyous ignorent le Principe de la création. Mais les membres de l’Église de l’Unification qui connaissent le Principe de la création ont reçu une éducation qu’ils doivent absolument se marier, donc pas question de mouvement gay.

Vos pères et mères sont sortis pour aller danser, ont succombé au libertinage et se sont complètement dégradés, et se sont séparés jusqu’à la rupture du foyer ; mais vous, même si vous allez danser et faites des choses de ce genre, puisque vous connaissez la théorie sur la chute, pouvez-vous tomber dans le libertinage ? (118-109, 9.5.1982)

Ils vont instituer une loi qui permet l’homosexualité ? Une loi, ils établissent une loi ? La honte soit sur eux, ils ne verront plus le soleil, les arbres, les plantes, ni même un cabot sans honte. Comment peut-on s’habiller, manger et vivre comme un être humain dans ce cas ? Les adeptes de l’homosexualité vont tous me prendre pour cible et me traiter d’hérétique. (118-295, 20.6.1982)

Que se passe-t-il maintenant aux États-Unis ? Que ce soit les homos ou les lesbiennes, la culture qui nie le partenaire est en pleine expansion aux États-Unis. Les anges ont-ils des partenaires ? Jadis, l’homme a suivi Ève dans la trahison de Dieu ; il doit désormais suivre Ève qui soutient Dieu. Je marie donc beaucoup de personnes avec des femmes japonaises. Les Américains obéissent aux femmes. Pour les Américains, la femme est une reine. (119-246, 13.9.1982)

Une femme qui vit seule, est-elle heureuse ? Si des lesbiennes et des homosexuels étaient avec nous, seraient-ils d’humeur à continuer ou se diraient-ils qu’ils doivent arrêter après m’avoir écouté ? Je demande s’ils peuvent s’opposer à moi en disant que j’ai tort. Cet enseignement existe et les jeunes du monde entier l’ignoraient. Si on cherche Dieu, il faut posséder un amour ayant les attributs d’être éternel, unique et immuable. Sachez bien qu’autrement on ne peut pas rencontrer le sujet de l’amour vrai, ou s’engager sur le chemin de l’amour vrai. (124-86, 30.1.1983)

Les homosexuels, les lesbiennes : entre quelles mains ? Entre les mains du révérend Moon, pardi ! Qui va libérer tous ces jeunes qui sont des cadavres vivants, se mourant de toxicomanie ? Libérons-les grâce à moi ! Ils revendiquent le libertinage et aiment les maisons de jeu, qui les en délivrera ? Quelqu’un parmi les chrétiens aux États-Unis peut-il y arriver ? Les pasteurs des Églises américaines peuvent-ils le faire ? Et le Parti communiste, qui va l’arrêter ? Le révérend Moon va s’en charger. (124-329, 1.3.1983)

Bien, et ces homosexuels, lesbiennes, et j’en passe, aux États-Unis ? Leur amour est bien présomptueux. Plus on s’y enfonce, plus on se détruit. C’est la destruction assurée, la ruine de l’être humain, de la famille, des enfants, de la nation, du monde et de l’univers. Détruire tout cela, c’est faire disparaître le genre humain. Que l’humanité suive cette voie, et elle périra. (125-68, 6.3.1983)

De nos jours, les homosexuels sont partout aux États-Unis. C’est un péché, il faut le punir. Les maux qui les frappent sont absents de la vie des gens comme tout le monde. Les maladies qu’ils se transmettent n’existent pas dans les couples ordinaires. Les maladies vénériennes sont la sanction d’avoir violé le principe de l’amour. Un « amour central » est donc nécessaire.

Vous êtes nés d’un « amour central ». Qu’est-ce que l’amour central ? C’est l’amour parental. C’est une réalité indéniable : absolument et à tout jamais. Les gens peuvent s’escrimer à nier, je dis, vous ne pouvez pas nier cela. (128-15, 29.5.1983)

De nos jours, les homosexuels et les lesbiennes se font entendre. Ils n’iront pas loin sur cette voie là. Pas même un siècle. Ils ne tiendront pas longtemps. Si nous vivions tous ainsi, l’espèce s’éteindrait. Les États-Unis s’appuient sur une culture infestée par l’amour de Satan, qui les mène à la destruction et à la perdition. Il faut jeter tout cela dehors. La culture des États-Unis est à l’intérieur du domaine culturel de l’amour de Satan. Et la culture de l’Église de l’Unification, alors ? Notre sphère culturelle est celle de l’amour de Dieu. C’est simple. La culture de l’Église de l’Unification s’oppose catégoriquement à la drogue, au libertinage et à l’homosexualité. Nous rejetons toutes ces choses là. (134-14, 1.1.1985)

Les femmes américaines disent qu’elles n’ont que faire de parents vieillissants. Qui sont ces parents dans le troisième âge ? Il s’agit bien de leurs propres parents et grands-parents, n’est-ce pas ? Satan est derrière cette situation des derniers jours. Pourquoi ? C’est qu’il connaît le but de Dieu. Dieu veut mettre cette formule au point, mais Satan veut détruire ce fondement. Qui attaque ? C’est Satan. Vous devez le savoir. Ensuite, ils disent qu’ils n’ont pas besoin d’épouses ou de maris ! C’est un drôle de système, non ? Qui a fait en sorte que ce soit ainsi ? C’est Satan. Il a un objectif. Les homosexuels et les lesbiennes font partie de ce plan. Ils disent ensuite : « Des bébés, pour quoi faire ? » (135-115, 4.10.1985)

Ceux qui ont pris des drogues, ont été homosexuels et lesbiennes, c’est si dur de s’en sortir ! C’est l’enfer humain. Ces jeunes qui se font prendre dans les filets de Satan et sont ses proies, on ne peut pas les perdre. Si les moonistes ne les sauvent pas, qui le fera ? Si on ne le fait pas, c’est la fin des États-Unis. (149-377, 28.12.1986)

L’homme et la femme, c’est horizontal, ils sont sur un même plan. L’union d’un homme et d’une femme doit être greffée à l’amour vertical, l’amour de toute une vie, l’amour éternel. Les hommes qui représentent l’est et les femmes qui représentent l’ouest ayant perdu la ligne du milieu, ils chercheront à greffer cela, et donc absolument à se marier. Beaucoup sont contre le mariage aux États-Unis, non ? L’homosexualité se répand. Ils ne veulent pas avoir d’enfants. Ceux qui n’ont pas d’enfants sont des ratés dans l’au-delà. C’est la formule de l’univers. (163-88, 19.4.1987)

Attendez un peu : le libertinage et ses caprices n’en ont pas pour longtemps. Pareil pour l’homosexualité. Des lesbiennes, ce sont des femmes qui se marient entre elles. Comment peut-on en arriver là ! Même les animaux, même les insectes, ne font pas cela. Est-ce digne de l’être humain ? Et tous ces propos pernicieux pour dire que Dieu n’existe pas : assez de tout cela. La vision matérialiste de l’histoire disparaîtra complètement. (188-157, 19.2.1989)

L’homme se lasse de la femme, la femme se lasse de l’homme. Ils errent chaque jour, assoiffés d’amour, toujours solitaires, guettés par l’homosexualité, avec en bout de course, la déchéance et la mort. Ils prennent de l’opium et se retrouvent dans les parages de l’autodestruction. Qui va prendre responsabilité pour cela ? Le Département d’État ou le Pentagone vont-ils s’en charger ? Le président en prendra-t-il la responsabilité ? À nous tous de prendre responsabilité. (207-111, 1.11.1990)

Les États-Unis étant devenus la nation de type archange dans les derniers jours, les femmes n’arriveront pas à être de vraies femmes. D’où l’apparition de ces homosexuels et lesbiennes qui disent : « Marions nous entre femmes. Marions nous entre hommes ! » L’archange ne reconnaît pas la relation entre partenaires. Il ne reconnaît pas le droit de propriété. Il ne reconnaît pas les rapports normaux entre hommes et femmes. Et voilà où nous en sommes. La réalité aux États-Unis c’est que tout en disant non, ils doivent indiquer franchement leur chemin devant Dieu. Ils doivent nettoyer proprement tout ce qui est homosexualité et destruction de la famille. (240-155, 11.12.1992)

Le taux de divorce s’envole au point que, d’après les données du bureau de statistiques des États-Unis, il a triplé entre 1970 et 1990. Un ménage sur six divorce. 30 % des enfants dans le pays sont élevés par des parents célibataires. De plus un phénomène bizarre gagne du terrain en cette fin de siècle : le couple homosexuel. (288-197, 28.11.1997)

L’immoralité, le culte de la décadence et de l’hédonisme, les déviances sexuelles, sapent les structures familiales. Pour une partie de l’opinion publique, les homosexuels peuvent aussi fonder des familles d’un autre type à côté de la famille traditionnelle ; on va jusqu’à penser qu’ils peuvent avoir des enfants par fécondation artificielle ou en les adoptant. (288-171, 27.11.1997)

Le monde est face à de graves problèmes. Allez voir un peu aux États-Unis, les couples d’homosexuels ou de lesbiennes veulent le mariage. Franchement, peut-on faire de telles lois ? Physiologiquement les choses ne sont pas faites pour cela. C’est l’anéantissement en une génération. Tout disparaît. La fortune céleste les expulse. Ils ne sont même pas heureux de cela. Ils souffrent d’autant et ont des problèmes encore plus compliqués. Par conséquent, il y a forcement un sujet et un objet dans l’environnement. Vous devez vivre dans la société en sachant cela. (243-74, 3.1.1993)

Le vagabondage sexuel, voilà des mœurs perverses qu’il faut complètement éradiquer du globe. Autour de ce vagabondage, vous trouvez l’homosexualité, la drogue, la violence, et le Sida, autant de facteurs menant l’humanité à la ruine. (288-283, 30.11.1997)

De nos jours, les homosexuels se déclarent et renient leurs parents ; les maris font toutes sortes de choses, les femmes ne se gênent pas non plus ; leur infraction à la loi céleste relève du droit pénal de l’univers, qui les jugera une fois dans l’au-delà. (106-112, 16.12.1979)