mercredi 10 mars 2021

Résolus pour un nouveau départ

Livre XIII

Chapitre V

Notre attitude pour un nouveau départ

1. Résolus pour un nouveau départ

Périr, disparaître ? Pas question. Il faut survivre et continuer, pas vrai ? Il n’y a pas trente-six manières de survivre. Nous devons venir à bout de l’ennemi. Quand nous l’aurons laissé sur place, nous verrons le Royaume de Dieu. De retour dans nos villes natales, il s’agira de s’imposer à nos ennemis. Ce jour-là, le Royaume de Dieu entrera dans les faits. La sphère du peuple unifié fera aussi son apparition. Or voici qu’une bonne occasion se présente d’accompagner la Vraie Mère, et de revenir dans vos villes natales. Vous allez mettre le feu dans les coeurs de dix millions de gens. Sur la base d’un tel état d’esprit, il faut atteindre jusqu’aux couches les plus défavorisées et s’en occuper. Nos compatriotes du Nord et du Sud doivent partager tout ce qu’ils ont dans un esprit fraternel. Là, il y aura un nouveau départ. Le concept de nation n’aura plus sa place. Y avait-il une nation du temps de Caïn et Abel ? Y avait-il une nation ou pas ? On n’a pas à recevoir de soutien des gouvernements. Si l’on reçoit le soutien des gouvernements, les citoyens des deux nations vont périr. (219-339, 13.10.1991)

J’ai dit récemment qu’on allait basculer au-delà du seuil critique, non ? À l’occasion de mon soixante-dixième anniversaire, des spiritualistes extérieurs sont venus danser en disant : « Le révérend Moon a maintenant franchi le 38ème parallèle. » Ils disent aussi que j’ai passé le seuil. Le monde du bonheur est imminent. Voilà comment on va prendre à bras le corps les années 1990. Après s’être imposée, l’Église de l’Unification va avancer prestement et sans encombre. Avec ce 70e anniversaire, 7 000 ans et le chiffre sept sont indemnisés, et il faut alors passer à l’époque du chiffre huit. Lequel huit est synonyme de libération et de nouveau commencement, n’est-ce pas ? Les États-Unis l’ont bien dit : le communisme, c’est fini, enfin fini. C’est assez prodigieux. Cela s’est passé les sept et huit du mois, une fois l’événement terminé. (199-96, 15.2.1990)

Sachant ces turbulences imminentes, le Ciel devait guider nos préparatifs pour un nouveau départ axé sur la volonté de Dieu. Et qui trouve-t-on alors comme secte religieuse, dénomination ou Église ? L’Église de l’Unification, bien sûr. Dans le mot tongil (unification), il n’est pas question d’unification où l’on reçoit des directives. Le caractère tong () implique l’idée de commander. Il faut commander. Dans notre position de sujets, nous devons nous équiper d’un contenu éducatif pour nos partenaires.

Nous devons en faire des compagnons et former un bloc de ceux qui adoptent la théorie du sujet. L’Église de l’Unification est bien la dénomination de l’unification.

Mais ceci n’a pas commencé par l’idée du révérend Moon uniquement. Le monde d’aujourd’hui ne savait pas que ceci a commencé sur la base d’un contenu qui transcende l’histoire. (219-289, 13.10.1991)

En suivant la voie de la piété filiale, il faut se montrer confiant et à l’aise pour venir à bout des persécutions même les plus vicieuses, et de toutes les tribulations qui vous tombent dessus. Loin de laisser les épreuves et les embûches vous miner et vous faire battre en retraite vers la tristesse et l’amertume, tâchez d’être résolus. Jurez de revenir sans cesse sur la voie de la souffrance et d’aller jusqu’au bout, même pour des milliards d’années. Dépêchez-vous d’arriver et de faire un nouveau départ, plein d’espoir pour le futur. Vous devez laisser derrière vous un chemin qui se distingue du chemin de la mort. Dieu et l’histoire le veulent ainsi, sachez-le. (174-43, 23.2.1988)

L’organisation de la Fédération pour la paix mondiale se met en place depuis plusieurs années. Il fallait que tout se fasse avant la fin du mois d’août de cette année. Idem pour la Fédération des religions pour la paix mondiale. On ne pouvait pas repousser au mois de septembre. Il fallait le faire en août, le mois propice pour faire un renouveau mondial. C’est pour cela que nous avons offert la Cérémonie de déclaration de la Bénédiction éternelle de Dieu le 1er juillet. On doit tous passer par le cours de l’indemnité. En agissant ainsi, nous devons unir les sphères religieuses et faire cette déclaration. Cela s’est passé le 28 août. C’était la date butoir pour faire la cérémonie de déclaration ; il fallait ensuite prendre un nouveau départ le 1er septembre. Nous devons tous dépasser ce cap. Et maintenant que c’est fait, le monde va faire volte-face et me suivre. (220-45, 14.10.1991)

Si votre vie repose sur l’altruisme, elle sera la vie d’un géant qui peut surpasser le modèle des ancêtres sur plusieurs générations ; vous finirez par réussir dans ce monde comme fils ou fille de Dieu, les premiers dans l’histoire à saisir les opportunités en prenant le chemin du Ciel. On est dans cette époque, une époque étonnante où vous pouvez faire un nouveau départ dans votre vie. (201-169, 30.3.1990)

2. L’attitude pour hériter de la tradition des Vrais Parents

En fait, comme fils et filles déchus, vous ne pouvez pas arriver seuls au but. Dans la position déchue qui est la vôtre, tâchez d’abord d’apprendre des Vrais Parents. Agissez en suivant les instructions. Elles doivent faire partie intégrante de vous pour que l’amour vrai puisse naître. Ceci sera la tradition de la première famille d’Éden. Sans les Vrais Parents, comment pourriez-vous apprendre la tradition de l’amour vrai ? L’héritage ne peut pas avoir lieu sans les Parents. (131-238, 4.5.1984)

Le père et la mère veulent transmettre tout ce qu’ils ont à leurs enfants bien-aimés pour qu’ils deviennent vrais. Tout dans l’univers peut se transmettre sans encombre pourvu que les parties impliquées soient à un niveau égal dans l’amour. Les parents souhaitent donc avoir des enfants de piété filiale. Qui sont ces enfants de piété filiale ? Il s’agit de ceux qui, en prenant part à l’amour éternel de leurs parents, poursuivront la tradition de transmettre l’amour. (140-233, 12.2.1986)

Qui voulez-vous comme maître de votre famille ? Quel genre de personne voulez-vous faire asseoir à la place du maître ? Pour être l’héritier dans une famille, quel genre de personne fera l’unanimité auprès du père ou de la grand-mère ou de tous les membres de la famille ? Celui qui aime le plus. Si c’est le grand-père qui a le plus d’affection pour l’ensemble du foyer, les membres de la famille se tourneront vers lui pour lui parler en ignorant le père. C’est inévitable. Pour pouvoir devenir le maître d’un foyer, on doit donc vivre pour les autres en les aimant de tout son coeur. Celui qui vit plus pour les autres avec un esprit d’amour hérite la tradition d’amour de la famille. Vous devrez comprendre que la personne qui a le plus d’amour et vit le plus pour les autres, participe à l’héritage éternel. (141-292, 2.3.1986)

Vous dites dans votre famille : « Devenez des enfants de piété filiale ! », mais qu’est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire pratiquer l’amour vrai. Et « devenir un héritier », ou « devenir un patriote », ça veut dire quoi ? Cela veut dire que nous héritons du pays. On dit aussi qu’il faut devenir un saint, mais qu’est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que nous devons aimer le monde. Et nous serons alors les maîtres du monde. Nous en hériterons. On dit : « Devenez un enfant de Dieu. Devenez le fils de Dieu ! », mais qu’est-ce que cela veut dire ? Cela signifie participer à l’amour de Dieu et recevoir le droit d’héritage de l’univers. Sur la base des voies traditionnelles qui permettent d’hériter de toutes ces choses, Dieu a établi une base pour passer à cette étape logique dans le monde des êtres humains déchus. D’où une conclusion évidente : l’objectif de la religion et la voie de l’éveil sont possibles. Grâce à quoi ? Grâce à l’amour. (142-337, 14.3.1986)

Dieu a ouvert un chemin à la tradition de l’amour, lequel est un chemin de croix. C’est la voie à suivre parce que nous devons hériter la tradition que Dieu a préparée. Dieu n’aime pas vous voir souffrir. Tâchez de garder à l’esprit tous le zèle et les efforts que le Ciel a fournis inconditionnellement pour vous bénir. La gloire ne peut venir que lorsque vous héritez de votre ennemi. N’ai-je pas raison ? La gloire ne peut venir que là où vous héritez de votre ennemi.

C’est là que Dieu demeure. Ce qui a été semé par la croix, doit être récolté par la croix. Comprenez cela. On récolte dans les larmes ce qu’on a semé dans les larmes. (150-209, 15.2.1961)

Pour hériter la totalité de la providence de Dieu, nous devons être fidèles à la tradition. À quoi va nous mener cette fidélité à la tradition ? À prendre responsabilité pour Sa providence. Après avoir pris responsabilité, une réforme s’impose. Si la tradition n’est pas correcte devant le Père, et si nous devons transmettre cette tradition à tout le monde, nous devons nous battre pour éliminer les contradictions dans l’environnement social. Sinon il n’y aura pas de développement : raison supplémentaire de graver dans votre esprit ce devoir d’assimiler la tradition historique pure de la providence de la restauration. Il le faut pour pouvoir hériter de ce lien historique et assumer la charge d’un pionnier de notre temps qui prend responsabilité dans l’environnement quotidien actuel. Allez de l’avant et battez-vous pour construire le terrain du nouvel idéal dans le futur. (152-196, 10.5.1963)

Il faut avoir ensemble des liens fraternels en ayant les mêmes parents. Puis il faut hériter tels quels la vie, les coutumes et la tradition d’un seul couple de parents. Il faut ainsi former une famille dont le Ciel puisse se réjouir. C’est à cette condition-là que les membres de la famille trouveront leur place. (155-209, 30.10.1965)

Quelqu’un qui veut avoir un grand pays, mais n’en fait pas plus que les autres et dort et mange comme un fainéant, c’est bien le rejeton du diable, s’il est là à pérorer : « Vive notre grand pays ! C’est une telle merveille ! » Si on veut avoir une grande tribu, un peuple et une nation d’exception, c’est non seulement toute la famille qui doit s’y mettre, mais toute la parenté. Et si vous visez le monde, vous devez y mettre toute votre nation. C’est à cette condition qu’on se met dans la position de la tradition providentielle dans laquelle on peut hériter d’un monde excellent. (172-314, 31.1.1988)

Même si vos parents ont la vie, sans l’amour, ils ne peuvent pas former de relation. Et sans amour, ils ne peuvent pas hériter des relations de devant et derrière ou droite et gauche. Par conséquent, un homme et une femme qui sont en couple doivent absolument hériter de l’amour des parents. Il leur faudra parallèlement établir un axe de vie pour leurs enfants, autour de la tradition de transmettre cet amour. (173-84, 7.2.1988)

Le Royaume de Dieu, on y va quand on vit pour les autres. Ceux qui se sont mis en quatre pour communiquer avec le monde et l’embrasser et ont erré en quête de quelque chose de plus grand tout en servant Dieu sont les héritiers du Royaume de Dieu. Vous devez en être fier. Vous devez être fier de votre mère, de votre conjoint, de vos enfants. Appuyez-vous sur cette tradition, et tâchez de l’élargir et de l’appliquer au pays, puis d’appliquer la formule au monde et à l’univers. Ce sont ces gens-là qui pourront participer, être en position égale et hériter où qu’ils aillent. C’est comme cela que Dieu m’appartient. L’amour de Dieu devient mon bien. Où que Dieu aille, il y a un droit de position égale et de participation. Si quelqu’un veut aller voir ailleurs, même après avoir pris connaissance de ces prodiges, qu’il ne se gêne pas. La foudre va lui tomber dessus. Sachez en tout cas à quoi vous en tenir sur la voie de L’Église de l’Unification. (175-138, 10.4.1988)

Les enfants ne doivent pas vivre pour eux-mêmes. En vivant avec moi pour le ciel et la terre, ils doivent devenir des enfants encore plus forts et hériter d’une tradition plus élevée. C’est comme cela et nul ne pourra s’en plaindre. Succéder au fondateur de l’Église de l’Unification n’est donc pas à la portée du premier venu. Il faut être héritier du lignage et faire honneur à la tradition d’une vie altruiste. Il faut être des enfants d’un niveau plus élevé et meilleur que celui des parents. Ces enfants qui peuvent faire plus que leurs parents doivent absolument vivre en servant. Ne croyez pas qu’on puisse devenir ainsi en étant incohérent. L’aîné des enfants doit vivre pour les autres à un niveau plus élevé que des enfants de haut niveau : il sera alors l’héritier. (175-185, 16.4.1988)

Que doit-on faire en Corée du Sud ? Jusqu’à ce que les deux Corées soient réunifiées, la Corée du Sud se trouve dans la position d’Abel. Vous devez donc retourner à la sphère d’Abel, d’où je vous tirerai jusqu’au niveau global. Vous devez hériter ce modèle en me représentant, représenter le monde, puis la nation, la tribu et le peuple. Et comme tels, vous devez regagner votre région natale et planter. En y enfonçant avec fermeté le modèle traditionnel originel sur la base de Dieu et de l’amour d’un vrai couple, on vit en ayant complètement la racine du mon modèle du monde. (177-160, 17.5.1988)

De retour dans votre région natale, ne mettez pas l’Église de côté pour vivre à votre aise. La priorité à votre retour est d’organiser l’Église. Vos enfants ne devront pas être montrés du doigt, ni être réduits à l’état de mendiants vivant de la charité publique. Apportez-leur votre soutien pour leurs conditions de vie. Enseignez-leur la nouvelle tradition qui a été créée en versant du sang et des larmes pour pouvoir établir un fondement de vérité et de justice. De plus, vous devez vous donner corps et âme pour sauver votre clan. En retour, ils feront ce qu’il faut pour que vous puissiez vous établir. Sans héritiers qui soient prêts à se sacrifier, le fondement national sur laquelle cette terre de Corée du Sud demeurera comme base du Royaume de Dieu ne peut exister. (177-163, 17.5.1988)

L’héritage se fait au nom du Ciel, sur instruction du Ciel. L’héritage ne se fait pas selon le système de la démocratie. Cela nous amènerait à la ruine. Il ne faut pas seulement considérer les sièges à l’Assemblée nationale, le parti au pouvoir ou encore l’influence des partis politiques. La tradition du pays doit être établie. Puisque cela se fait selon des ordres, il faut savoir écouter des ordres. Voilà comment la société doit être. (178-38, 27.5.1988) En vous affectant à votre ville natale, je voulais vous mettre dans une fière position de maîtres restaurés, dont l’amour surpasse celui de Satan. Je tiens à ce que vous exerciez les responsabilités d’un maître avec l’autorité d’un descendant et d’un héritier du Ciel qui a hérité la fière tradition au nom de Dieu, au nom de Jésus et au nom des Vrais Parents. Je vous ai envoyés dans votre ville natale dans ce but. Jusqu’ici, ils étaient contre vous, mais maintenant ils vont se soumettre. Ils vont obéir à ma parole. (179-93, 22.7.1988)

Avec l’amour, vient aussi un droit d’héritage. C’est ce qui est merveilleux. Même dans le monde profane, lorsque les parents donnent un droit d’héritage, ils veulent le donner aux personnes qui aiment les parents, qui aiment le pays, qui aiment leurs frères et soeurs, n’est-ce pas ? Pourquoi doit-il absolument en être ainsi ? C’est parce qu’on peut devenir de la bonne graine à condition de s’adapter à la source historique, à la source de départ de cette tradition. Vous ignoriez cela. (179-235, 12.8.1988)

J’ai établi la tradition la plus élevée, qu’aucun autre parent dans l’histoire n’a jamais surpassée. C’est cette tradition que je veux vous transmettre. Que faites-vous ? La saison change maintenant. Le printemps arrive. Le Père n’est pas seulement le printemps. Il est les quatre saisons. Allons de l’avant avec cette attitude. (189-117, 19.3.1989)

Qu’est-ce qui est plus précieux que la vie ? Suis-je précieux ? Qu’est-ce qui est plus précieux que ma vie ? C’est l’amour, d’où l’importance de la loyauté envers ceux qui possèdent un amour élevé.

Par conséquent, lorsqu’on entre au foyer, il faut obéir aux parents. L’amour des parents se trouvant dans la position plus élevée, les enfants qui brûlent de cet amour leur obéiront pendant des millénaires et seront trop heureux de parcourir les monts et les vallées afin d’hériter de cet amour. Les injonctions des parents qui exhortent leurs enfants à la piété filiale vous placent dans une position où vous pouvez hériter de la tradition d’aimer et en être fier pour l’éternité. Il vous faut perpétuer la tradition d’aimer vos parents, même si vous êtes couverts de fumier. Cela doit devenir ainsi. (191-222, 1989)

Quand je réfléchis aux cadeaux que je peux laisser en quittant ce monde, le meilleur cadeau sera mes paroles. On ne peut les acheter ni les vendre contre l’univers entier. Ce cadeau, si je suis le Vrai Parent, et qu’il y a des vrais enfants, permet de nous unir par le sang. Quand on s’unit au niveau du lignage, la vie est évidemment remise en ordre, mais tout l’environnement aussi. Parce que nous sommes les représentants des Vrais Parents, de leur amour, nous devons hériter de leurs paroles, leur culture et leur mode de vie. Telle est la vie de la tradition. (190-227, 19.6.1989)


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