samedi 19 octobre 2019

Seul l’amour passe librement les frontières

Le Vrai Dieu
Chapitre I - Section 6
6. L’omniprésence de Dieu basée sur l’amour
6.1. Seul l’amour passe librement les frontières.
Le coeur de Dieu ne se trouve pas seu­lement dans Sa parole mais également dans tout ce qu’Il a créé. Au ciel et sur terre, le coeur de Dieu est partout. Aussi disons-nous qu’il n’est pas d’endroit où Dieu ne réside – c’est cela l’omniprésen­ce de Dieu.
Si vous voulez être dans le coeur de Dieu, et que Lui demeure dans les cho­ses que vous voyez, vous devez avoir le coeur d’embrasser ces choses et tout ce qui existe au ciel et sur terre comme si elles étaient vôtres. Tel est le coeur de Dieu. Celui dont le coeur chante éter­nellement à la simple vue d’un oiseau qui vole ou d’une fleur qui embaume ne réside pas parmi toutes les choses de la création, mais au sein du coeur de Dieu. (8-180, 13.12.1959)
Comment alors ressentir partout la présence de Dieu ? Humez l’air comme le souffle de Dieu et, dans l’orage, sen­tez tout ce que Dieu versa de sueur alors qu’Il Se battait sur Son chemin de croix pour le monde. En contemplant le soleil, sachez qu’il symbolise les éléments de vie de l’univers entier et apprenez du soleil l’amour de Dieu.
La nature est ce manuel que Dieu nous a fourni pour aider Ses fils et filles bien-aimés à faire l’expérience de Son coeur et leur donner de la joie. Si quel­qu’un, à la vue d’une feuille, peut y pen­ser comme à Son enfant et se le murmu­rer à lui-même, il est presque un saint. (59-101, 9.7.1972)
Puisque Dieu est omniprésent, nous voulons Lui ressembler dans Son omni­présence ; puisque Dieu est omniscient et omnipotent, nous aussi voulons être omniscients et omnipotents ; et puisque Dieu est unique, nous aussi désirons être uniques. La ressemblance, c’est cela. C’est parce que nous ressemblons à Dieu que nous voulons nous faire à Son ima­ge. Nous voulons régner sur la totalité du ciel et de la terre. Par tous ces aspects, nous tenons bel et bien de Dieu. (26-167, 25.10.1969)
Notre vie doit se traduire par une profonde expérience, grâce à l’amour. Quand Dieu est triste, je me sens triste, et quand Dieu est heureux, je me trouve moi-même heureux. Prenez un enfant qui a de la piété : ses parents ont beau être à des milliers de kilomètres de là, leur amour est toujours avec lui. Alors, en parlant de l’omniprésence de Dieu, où est Dieu ? Il ne se trouve pas dans le savoir. Mais l’amour, c’est autre cho­se. C’est le coeur des parents envers leurs enfants qui rend l’omniprésence raison­nable et possible, un coeur qui se joue des extrêmes inaccessibles. Sur la route de l’amour, l’amour des parents est omni­présent ; il n’est nul endroit où il ne se trouve. Ce n’est possible qu’avec l’amour. L’amour seul peut complètement gou­verner le fils. C’est là où l’autorité omni­potente vient se situer. Les choses sont ainsi faites. (59-101, 9.7.1972)
L’amour possède de merveilleux attributs. Tenez-vous dans une posi­tion d’unité avec l’amour vrai de Dieu absolu et immuable, et alors vous rece­vrez l’autorité d’être là où Il Se trouve et de vivre avec Lui à tout moment. Vous pourrez alors voir Dieu même sans fer­mer les yeux. Quiconque a profondé­ment ressenti le coeur douloureux de Dieu s’arrêtera sur ses pas pour pleu­rer amèrement ; il existe un tel registre d’expériences profondes. Même dans le monde déchu, l’amour d’une mère est tel que, si son enfant a un accident loin de là, elle peut le sentir. Cela n’arrive-t-il pas souvent ? Elle se réveillera en criant son nom. (201-356, 30.4.1990)
Alors, laquelle est plus grande, l’ar­tère ou la veine ? Elles sont égales. Et qui est le plus grand, Dieu ou l’être humain ? Ils sont aussi égaux. En termes d’amour, si Dieu est l’artère, l’être humain repré­sente la veine, il a donc la valeur et le pri­vilège d’être l’égal de Dieu.
Sur quoi nous fondons-nous pour dire que rien n’existe sans relation avec moi ? Nous nous fondons sur l’amour. Cela se comprend. (109-148, 1.11.1980)
Qui est Dieu ? C’est le roi des gour­mands. Ah l’omniprésent ! Il est par­tout. Qu’est-ce qu’Il est gourmand, pas moyen de trouver une place sans Sa pré­sence ! On ne devrait pas Le traiter de gourmand, mais n’empêche que la gour­mandise est là. (121-70, 24.10.1982)
Dieu est absolument obéissant à Sa façon, qu’en dites-vous ? Dieu a la per­sonnalité d’un maître absolu, d’un dicta­teur. S’Il n’arrivait pas à être absolument obéissant, Il pourrait peut-être gouver­ner les choses au plus haut niveau, mais au niveau inférieur, ça ne marcherait pas. Parler d’omniprésence deviendrait alors contradictoire. C’est que Dieu nous ressemble. Les mères et les pères res­semblent à leurs fils et filles, non ? Nous disons que Dieu est notre Père. Dieu aus­si veut vivre dans une obéissance abso­lue. S’il n’y avait pas moyen d’y arriver, Dieu serait si seul ! (192-29, 2.7.1989)
Si quelqu’un était envoûté par l’oeu­vre d’un peintre jour et nuit, jusqu’à ver­ser des larmes de stupeur, le peintre en serait-il offusqué ? Une telle personne ? Mais il voudrait l’amener dans son salon et lui demander pourquoi elle pleure, et que l’autre lui raconte son histoire ! Le peintre le prendrait-il pour un fou s’il disait : « Oh, cette toile est tellement bonne. Je ne me lasse pas de la voir. Oh, je veux rester avec elle » ? Vous ne com­prenez peut-être pas très bien Dieu, mais au vu de Son omniprésence, qui remplit l’univers, Il existe comme amour plutôt que comme le maître du savoir. Aussi est-il essentiel pour vous d’essayer de reconnaître et redécouvrir Dieu sous un nouveau jour à partir de la question : « Comment puis-je ressentir profondé­ment la résonance de l’amour dans cha­que domaine ? » (59-103, 9.7.1972)
6.2. Cet amour qui baigne l’univers
Dieu est le Dieu absolu, mais pour­quoi est-Il absolu ? C’est qu’Il obéit abso­lument à l’amour. Êtes-vous heureux ou pas ? Dieu est par ailleurs omniprésent. Il n’est aucun lieu qui ne baigne dans l’amour de Dieu. (223-246, 10.11.1991)
L’amour de Dieu suffit plus qu’am­plement à embrasser l’univers. Il en pos­sède le fondement central. L’être central de l’amour qui embrasse le plus large fondement est Dieu. Quand Dieu bou­ge, toutes les petites choses doivent bou­ger ensemble. Tout est contenu dans un grand cercle, non ? Aussi sommes-nous fondés à dire que Dieu couvre le monde entier et l’univers entier. (205-33, 7.7.1990)
Si Dieu n’existait pas, l’univers serait complètement vide. Il aurait l’air vide. Mais si Dieu existe, l’univers est complè­tement rempli. Pourquoi ? Parce qu’il y a l’amour. Ainsi, même quand nous som­mes seuls, l’univers est rempli, si nous savons que Dieu est là. Dieu est partout. Nous en venons à Le ressentir partout. Par conséquent, dans l’amour nous pou­vons connaître la profonde inspiration qui vient de l’omniprésence de Dieu. Mais quand on ne connaît pas Dieu, tout est vide ; on dirait qu’il n’y a rien. (91-323, 1.3.1977)
Quand le sujet de l’amour est absent, on dirait que rien n’existe, mais que le sujet de l’amour se présente, et tout se remplit. Nous en concluons que c’est seulement quand nous sommes tout amour que tout se remplit, et que nous pouvons alors donner infiniment et véri­tablement. L’action de donner et rece­voir est la réalisation de notre idéal, la multiplication de notre idéal. Le mon­de de l’amour transcende les distances. La vitesse de l’amour est telle que même la lumière ne peut rivaliser. Ce qu’il y a de plus rapide est l’amour, et c’est aussi ce qui brille le plus. Là où il y a l’amour, il y a la plus grande plénitude, et ce qui nous remplit le plus complètement est l’amour. (95-39, 11.9.1977)
Qu’est-ce que l’amour ? C’est ce qui fournit le lubrifiant et en même temps la glissière sur laquelle les choses peuvent tourner. Sans amour, il n’y a pas de lubri­fication. Les voitures ont besoin d’huile de graissage pour avancer. Qui dit mouve­ment dit lubrifiant. Tout ce qui se déplace a besoin de lubrification. Et seul l’amour fournit le lubrifiant pour la joie la plus éle­vée. Puisque sa racine est le Dieu omnipré­sent, il ne disparaît pas. (180-161, 22.8.1988)
L’amour est comme un nerf. Tirez un seul cheveu, et tout le corps vient avec. Alors, tirer sur l’amour, c’est tirer sur l’univers entier et, seulement si l’amour bouge, l’univers entier tournera en har­monie. (89-90, 1976)
S’il y a dans cet univers un partenaire sujet qui peut remplir le coeur de chaque personne, quel genre de partenaire sujet est-ce donc ? Ce doit être le centre abso­lu. Nous avons besoin d’un Être absolu qui remplisse totalement n’importe quel coeur d’amour. Il doit donc s’agir d’un être infini et absolu. Combien d’amour Dieu peut-Il bien posséder, selon vous, sachant qu’il y a des milliards de coeurs à remplir aujourd’hui ? Il doit s’agir d’une quantité absolue. C’est là que nous avons besoin de termes comme omniscience, omnipotence et omniprésence. Dieu a besoin de mots comme ceux-là. (116-240, 1.1.1982)

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