mardi 12 novembre 2019

L’idéal d’amour accompli dans la famille

Le Vrai Dieu
Chapitre II
Section 4. L’idéal d’amour accompli dans la famille
4.1. Le fondement des quatre positions, idéal de Dieu pour la création
Quel est le but de Dieu en créant ? Il n’a pas créé Adam et Ève histoire de les regarder. Il n’a pas créé les hommes et les femmes pour qu’ils vieillissent dans leur coin et puis qu’ils meurent. C’était pour arriver à maturité et, grâce aux liens de coeur tissés entre eux, bâtir un vérita­ble royaume sur terre avec Dieu au cen­tre ; c’était pour sculpter un nid d’amour avec Dieu au milieu. Ici, l’homme Adam représente le ciel et la femme Ève représente la terre ; voilà le ciel et la terre. Alors, à tous deux, ils unissent ciel et terre dans leur union horizon­tale. Avec l’unité qu’ils atteignent dans l’amour de Dieu, l’univers est automa­tiquement unifié. (21-43, 1.9.1968)
Les attentes de Dieu concernant le futur qu’allaient incarner Adam et Ève dépassaient celles qu’Il avait eues au moment de Les créer. Il visait à ce qu’il y a de plus noble et de plus élevé, à savoir accomplir le but de la création, et accom­plir le fondement des quatre positions basé sur l’amour. (La volonté de Dieu et le monde, p. 533)
Dieu créa Son fils Adam pour représenter la caractéristique positive parmi les deux caractéristiques et l’aima très tendrement, d’un amour qui com­portait d’ailleurs aussi la touche fémi­nine. Il mit de même une touche mas­culine à l’amour qu’Il porta à Sa fille Ève. Quand ces deux êtres distincts sont réu­nis, s’amorce la troisième génération, c’est-à-dire à l’enfant. Pour cette rai­son, nous disons que les enfants sont les partenaires objets d’amour qui stimu­lent un nouvel espoir. Adam et Ève sont nés comme des incarnations de l’amour de Dieu et de l’amour des parents. C’est pourquoi Dieu aime Ses enfants, et Adam et Ève aiment leurs enfants. Vous connaissez le but des trois objets. C’est comme cela que le but des trois objets s’accomplit. (32-238, 19.7.1970)
La volonté de Dieu pour l’être humain est d’accomplir le but et l’idéal de la cré­ation. L’idéal de la création ne s’arrête pas simplement à l’union d’un homme et d’une femme et à leur vie commune. Ils doivent ensuite avoir des enfants. C’est que le principe du ciel et de la terre comporte les relations de dessus et des­sous, d’avant et d’arrière. S’il y a hier, il y a aujourd’hui, et s’il y a aujourd’hui, il y a demain. Ils doivent être liés. Mais le mari et la femme seuls ont seulement aujourd’hui, pas de lendemain. Sans len­demain, tout s’arrête. Si nous disons que les couples sont « au-dessus », ils doi­vent avoir quelque chose « au-dessous » (enfant). Sans quelque chose en dessous, tout s’arrête là. D’où le principe du ciel et de la terre, qui veut que seulement quand le haut et le bas sont établis, la gauche et la droite peuvent se dessiner. Les parents ressentent qu’ils ont accom­pli leur responsabilité seulement après avoir trouvé des conjoints pour leurs enfants. Une relation de haut et de bas ne s’établit que lorsqu’il y a des parents en couple et que leurs enfants sont mariés. Seulement quand la relation de haut et bas se réalise, l’idéal peut être atteint. Mari et femme se joignent comme gauche et droite, et il doit encore y avoir les parents et enfants en relation de haut et bas pour lier le vertical et l’horizontal et réaliser la sphère idéale dans cet univers. En outre, une sphère finit par faire son appari­tion seulement lorsqu’il y a des frères et soeurs. Quand l’idéal se réalise de cette façon, un cercle enveloppant une croix qui lie le vertical et l’horizontal peut être tracé. Lorsqu’un homme et une femme expérimentent l’accomplissement de cet idéal au niveau vertical et horizontal, ils peuvent enfin dire qu’ils vivent dans un endroit idéal. Tel est le fondement des quatre positions dont parle l’Église de l’Unification. Voilà pourquoi on dit que l’accomplissement de l’idéal de la créa­tion est l’accomplissement du fondement des quatre positions. (85-178, 3.3.1976)
Une personne ne doit pas se recro­queviller sur elle-même ; elle doit plutôt traverser trois stades, en commençant par elle-même. Il y a cette personne, son partenaire et son enfant. La rela­tion centrée sur Dieu entre une per­sonne, son partenaire et leur enfant – c’est le fondement des quatre positions. Et l’accomplissement de ce fondement des quatre positions est le but de Dieu pour la création. (19-106, 31.12.1967)
Pour établir le fondement des qua­tre positions, vous devez d’abord pass­er par le coeur du mari et de la femme ; ensuite seulement vous pouvez avoir le coeur des enfants et le coeur des parents. (13-67, 17.10.1963)
4.2. L’idéal de la création accompli par la perfection de la famille
L’idéal de Dieu, qu’il incombait à nos premiers ancêtres d’accomplir, est qu’un homme et une femme puissent devenir un et créer une famille idéale. Le centre de la famille idéale n’est alors ni l’hom­me ni la femme. La famille est un fais­ceau créé par l’union des parents, des enfants, des époux, et le centre de ce fais­ceau est l’amour de Dieu lui-même. La conclusion étant que la volonté de Dieu est l’accomplissement d’une famille axée sur Son amour. (127-9, 1.5.1983)
La famille est l’origine et le fonde­ment de base, immuable à travers les âges. Elle ne peut être changée par un père, par un frère ou une soeur, ni même par une quelconque institution d’un pays. De surcroît, elle ne peut être chan­gée par le monde, par le ciel et la terre, ni même par Dieu. Le concept de révo­lution n’a donc jamais sa place dans la famille. (25-85, 30.9.1969)
L’être humain doit s’inscrire dans des liens de parent à enfant, de mari et femme, et de frère et soeur. Autrement dit, il est essentiel que ces trois relations se croisent en un point. Il y a un point central et un seul. Les centres du dessus et du dessous, de la gauche et de la droi­te, de l’avant et de l’arrière ne doivent pas être séparés. Si les points centraux diffè­rent, il y aura rupture d’équilibre entre les relations de dessus et dessous, gauche et droite, devant et derrière. C’est pour­quoi, le dessus et le dessous, la gauche et la droite, l’avant et l’arrière, forment en définitive, avec le point central, le chiffre sept. Former le chiffre sept signifie deve­nir un avec Dieu à travers un amour vrai parfait et fonder une famille où tout for­me une sphère parfaite et atteint l’har­monie et l’unification. (299-114, 7.2.1999)
S’il est un lieu où parents et enfants, mari et femme, frères et soeurs veulent tous se rejoindre dans l’amour vrai, c’est la famille idéale. Ici, comme l’égalisa­tion mondiale éternelle commence, le Royaume de Dieu sur terre commence et le Royaume de Dieu au ciel en vient à se réaliser automatiquement. (300-226, 14.3.1999)
Puisque Dieu est la source ultime d’amour vrai, quand tous sont liés à l’amour vrai, ils ne font plus qu’un seul être. Les parents sont des dieux dans la position de représenter Dieu, le mari et la femme sont des dieux en position de partenaires réciproques, et les enfants sont des petits dieux. La structure familiale dans laquelle les trois géné­rations sont ainsi formées à partir de l’amour vrai est le fondement pour le Royaume de Dieu. Sans un tel fonde­ment, il n’y aura pas de Royaume de Dieu. La famille est le centre de l’uni­vers. Puisque l’accomplissement de la famille est le fondement pour l’accom­plissement de l’univers, si vous aimez l’univers de la même façon que vous exprimez l’amour dans votre famille, vous avez carte blanche pour aller par­tout. En ce cas, Dieu se tient au cen­tre névralgique de l’amour comme le parent de l’univers entier. (298-306, 17.1.1999)
L’amour d’un homme, l’amour d’une femme, l’amour d’un fils, l’amour d’une fille, l’amour des parents et l’amour de Dieu sont tous contenus dans le fon­dement familial originel avec Dieu au centre. Dans un tel espace où ils sont assimilés, quiconque aime ses parents, son conjoint et ses enfants vit dans le Royaume de Dieu. (Les familles bénies et le royaume idéal, p. 942)
La famille est le fondement éthique pour la société, le meilleur modèle, l’or­ganisation fondamentale et première dans le monde humain. Dans une telle famille, l’amour est ce qu’il y a de mieux pour chaque personne. (Les familles bénies et le royaume idéal, p. 942)
Les moments les plus importants dans la vie de quelqu’un sont les moments de sa naissance, de son mariage et de sa mort. Alors, comment doit-on être au moment de sa naissance ? On doit être bien né. Puis vient le temps du mariage. On se marie pour pouvoir vivre, c’est-à-dire établir un fondement des qua­tre positions. C’est seulement quand ces grandes lignes directrices de l’univers s’appliqueront au monde que la volonté de Dieu et la volonté de l’humanité s’ac­compliront. La famille est le lieu où nous cherchons à incarner cette loi universel­le et à atteindre ce but. (24-230, 17.8.1969)
L’idéal de la création de Dieu était qu’Adam et Ève, nos premiers ancêtres, multiplient des enfants de bonté et bâtis­sent un monde idéal axé sur Dieu. (La volonté de Dieu et le monde, p. 137)
Nous avons un dicton : « L’harmonie de la famille est la clé de toutes les réussites. » Cela signifie que la paix dans une famille fait que tout va bien. Une famille parfaite est une famille de paix, et c’est la base du Royaume de Dieu. La force motrice de la famille, c’est l’amour vrai. L’amour vrai est le pur et bel amour qui fait que j’aime Dieu et mon partenaire de tout mon être, plus que ma propre personne. Dans cet univers, Dieu n’a pas créé de plus grand pouvoir que le pouvoir de l’amour vrai. L’amour vrai est l’amour de Dieu. (219-118, 28.8.1991)
Si la volonté de Dieu s’était réalisée sur cette terre, une sphère culturelle uni­que se serait constituée à partir d’Adam. Au lieu de toutes ces races, formant chacune sa propre variété de culture et de civilisation comme nous le voyons aujourd’hui, nous aurions un monde d’une seule culture, d’une seule philoso­phie et d’une seule civilisation axés sur Adam. Alors tout serait unifié : la cultu­re, l’histoire, les coutumes, la langue, les traditions. Dans l’amour de Dieu, nous aurions établi des familles, des tribus, des races et des nations idéales. Leur expansion aurait donné le monde idéal de l’idéal d’Adam. Tout comme dans un arbre la racine, le tronc et les feuilles sont reliés à une seule vie, la vision du mon­de selon la volonté de Dieu est que, en mettant l’amour au centre, nous nous élevions et servions Dieu comme Père, tout en nous abaissant pour faire du genre humain un seul corps vivant, un corps vivant d’amour, comme des frères et soeurs bâtissant ainsi un monde idéal éternel avec Dieu pour centre. Dans un tel monde, on n’a nul besoin du salut ou du Messie, car tous sont de bons fils et filles de Dieu. (110-213, 18.11.1980)

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