samedi 2 mai 2020

Dieu est un Dieu de personnalité

Le Vrai Dieu
Chapitre I
Section 3. Dieu est un Dieu de personnalité.
3.1. Un Dieu de personnalité, pourvu de sentiment, d’intelligence et de volonté
Pour de nombreux chrétiens aujourd’hui, Dieu étant l’Être unique et absolu, le créateur, en position de Très Haut et Très Bon, Il ne peut avoir une rela­tion avec l’être humain, c’est-à-dire avec la créature. Autrement dit, Ses créatures sont profanes, alors que Lui est absolu et saint. Mais du point de vue de l’amour, si bon et si élevé que soit Dieu, et si bas­ses que soient Ses créatures, elles doivent avoir le même caractère que Dieu pour qu’il y ait entre eux un lien d’amour. Ils doivent avoir le même coeur. Ils doivent avoir les mêmes qualités sur le plan du caractère. (138-245, 24.1.1986)
Quel genre de déité est Dieu ? C’est un Dieu de personnalité, doté d’intelligen­ce, de sentiment et de volonté. Ce Dieu de personnalité veut l’amour par-dessus tout. Aussi a-t-Il créé l’être humain comme partenaire d’amour. C’est un fait étonnant. (143-149, 17.3.1986)
Dieu est la cause première. À votre avis, comment créa-t-Il l’être humain ? Il nous a faits comme Lui. Il nous a faits à Son image. Cela veut dire que le Père nous ressemble autant que nous ressem­blons au Père. Ceci nous donne la répon­se. Quand nous cherchons à connaître Dieu, quel genre de personne allons-nous découvrir ? Dites : « Il est quel­qu’un comme moi », et vous serez en plein dans le mille. (127-233, 15.5.1983)
À qui Dieu ressemble-t-Il, selon vous ? Si c’est d’amour dont Il a besoin, quand Dieu aime, va-t-Il aimer quelque chose qui Lui ressemble, ou bien les ani­maux, qui ne Lui ressemblent pas ? Dieu a besoin d’un partenaire qu’Il puis­se aimer et avec lequel Il puisse parta­ger l’amour. Si l’être humain est bel et bien le partenaire de Dieu, en regardant l’espèce humaine, nous en arrivons à la conclusion que Dieu doit être un Dieu de personnalité. Tous Ses attributs doi­vent être capables de s’harmoniser à cent pour cent avec ceux de l’être humain.
Dieu doit harmoniser toutes les proprié­tés innées du corps et de l’esprit. Aussi doit-Il avoir intelligence, sentiment et volonté. (162-271, 17.4.1987)
Si Dieu existe, quel genre de rela­tion a-t-Il avec l’être humain ? Pour qu’Il puisse avoir une relation avec l’être humain, Il doit être un Dieu de person­nalité. Pour être un Dieu de personnali­té, Il doit être comme l’être humain.
Tout comme les gens ont un esprit et un corps, et parce qu’ils ont ces pro­priétés, Dieu comme leur créateur doit leur ressembler, s’Il est l’Être originel qui peut partager un but commun avec eux. Le concept de caractéristiques duales tire là son origine. (167-243, 21.7.1987)
Pensez-vous que Dieu a un carac­tère comme les êtres humains ? S’Il est comme une personne, Le voyez-vous comme un homme ou comme une fem­me ? Alors, a-t-Il la chose qui se balance comme tous les hommes, ou pas, d’après vous ? Quel genre de nature intérieu­re ai-je dit qu’Il avait ? Comme le sujet des caractéristiques duales, pensez-vous qu’Il a les parties concave et convexe, ou non ? Y avez-vous songé ? (181-203, 09.10.1988)
Est-ce que Dieu rit ou pas, selon vous ? Avez-vous vu Dieu sourire ? Pensez-vous que Dieu a des yeux ? Pensez-vous qu’Il a un nez ? Et une bouche, des oreilles ? Aurait-Il un corps ?
À y regarder de près, vous pouvez voir que les chrétiens ont tout faux là-des­sus. Ils ne savent pas si Dieu a des yeux.
Demandez-leur s’ils ont vu Ses yeux, ils ne le savent pas. Si vous leur demandez à qui Dieu ressemble, ils répondront : « À qui, ça veut dire quoi ? Dieu ressem­ble à Lui-même. » Qu’est-ce que c’est que cette réponse-là ? À qui ressemble Dieu ? À Ses enfants. Aussi Dieu doit-Il être un Dieu de personnalité. Comme un Dieu de personnalité, Il attend de nous le plus haut niveau de caractère. Quel est le plus haut niveau de caractère ? Ce n’est ni l’argent ni le pouvoir, c’est l’amour. (182-59, 14.10.1988)
Si Dieu existe, Il doit être un Dieu de personnalité ; Il doit être comme une personne. Être un Dieu de personnali­té signifie qu’Il a intelligence, sentiment et volonté et, fondés sur ces attributs, tous Ses sentiments, Ses buts accordés à Sa volonté, et ainsi de suite, doivent être concrets. (174-162, 28.2.1988)
Il n’y a rien que Dieu ne sache. Il est le roi suprême du savoir et du pouvoir ; Il est omniscient et omnipotent. En outre, Il est omniprésent ; il n’y a nulle part où Il ne puisse être. De quoi a-t-Il besoin ? De diamants ? Il peut en faire à tout moment. D’or ou de bijoux ? Non. Ce dont Dieu a le plus besoin, c’est d’amour. Est-ce que Dieu Se dirait en Lui-même, en riant : « Oh, J’ai l’amour et il est grand » ? De quoi Dieu a-t-Il besoin ? Si Dieu est un Dieu de per­sonnalité, alors Il doit avoir une bouche, non ? Si nous disons qu’Il est un Dieu de personnalité, Il doit aussi avoir un nez, des yeux, des oreilles, des mains et des pieds, un esprit et un coeur. (142-30, 3.3.1986)
Quel genre de personne est Dieu ? Il est omniscient, omnipotent, omnipré­sent, et Il peut tuer ou sauver le mon­de d’une seule parole. Mais ce genre de Dieu, nous n’en avons pas besoin. Quel genre de Dieu notre esprit originel dési­re-t-il ? Nous désirons quelqu’un dont nous puissions dire : « Je ne peux que L’aimer plus que mon père et ma mère. Même si nous avons un roi ou un prési­dent juste dans notre pays, Il est encore plus haut qu’eux. » Les présidents chan­gent tous les quatre ans. C’est une cor­poration difficile à respecter. (147-271, 1.10.1986)
Si Dieu existe et vient à notre mon­de aujourd’hui, Il doit être un Dieu d’in­telligence, de sentiment et de volonté. Pourquoi ? Parce que c’est ainsi qu’est l’être humain.
Comme fondement de Son intellect, de Son émotion et de Sa volonté, ce ne sont pas les voies humaines mais c’est la voie céleste. (9-291, 12.6.1960)
Le Dieu absolu peut-Il être triste ou pas ? Le Dieu omniscient et omnipo­tent peut-Il oui ou non éviter la tristes­se ? A-t-Il le sens de la tristesse ou pas ? C’est un problème sérieux, ce n’est pas moi qui vais plaisanter là-dessus. Si nous disons que le Dieu absolu ne peut jamais éprouver de tristesse, ce Dieu-là ne peut être le Père de l’être humain, qui a un intellect, une émotion et une volonté, et qui éprouve des sentiments de joie, de colère, de tristesse et de plaisir. C’est une contradiction logique. C’est pour­quoi Dieu doit être un partenaire sujet capable d’éprouver joie, colère, tristesse et plaisir plus encore que nous. (203-288, 27.6.1990)
Aucune organisation religieu­se ne sait parler correctement de Dieu. Le bouddhisme et le confucianisme se valent. Parlez-leur de Dieu, ils vont ouvrir de grands yeux. Ils ne connaissent pas le Dieu de personnalité, avec l’in­tellect, l’émotion et la volonté. L’Église de l’Unification, elle, affirme l’unité de Dieu et de l’être humain. Quel magnifi­que concept ! (227-112, 11.2.1992)
Très bien connaître Dieu, voilà ce dont l’Église de l’Unification peut être fière. Dieu, nous Le connaissons bien : à la fois Dieu de personnalité avec l’in­tellect, l’émotion et la volonté, et par ailleurs partenaire sujet de l’amour. Ce fait nous est très familier. Ce Dieu d’amour est le centre du coeur céleste. Le centre du coeur céleste ne peut vaciller. (210-314, 27.12.1990)
3.2. Le besoin du Dieu personnel auquel nous pouvons nous unir
Puisque Dieu aussi a un intellect, une capacité d’émotion et une volonté, Il a Ses propres espoirs, Sa situation et Ses sentiments. Quels sont les espoirs de Dieu, quels sont Ses sentiments et quel­le est Sa situation ? C’est ce qu’il faut connaître avant de penser à la situation du genre humain. Rien qu’en connais­sant cela, vous saisirez de façon naturelle et intuitive les espoirs de l’être humain.
Pourquoi ? Parce que le but de l’être humain est Dieu et le but de Dieu est l’être humain. Ceux qui comprennent la situation, les espoirs et les sentiments de l’être humain peuvent aussi comprendre les espoirs de Dieu, Sa situation et Ses sentiments. (151-208, 15.12.1962)
On ne peut parler d’amour si Dieu n’est pas un Dieu de personnalité. Dieu doit avoir les mêmes qualités d’émotion et de caractère que l’être humain ; or seul le christianisme a su faire connaître Dieu sous cet aspect. Parler de Dieu comme « Père » est une découverte majeure. Les chrétiens ont parlé de Dieu, le Père. Bien sûr, ils n’ont pas atteint le niveau de mon explication, à travers laquelle nous voyons Dieu comme un Père intérieur et extérieur, qui cherche à créer une autori­té unifiée, grâce à l’amour incarné en un corps substantiel ; cela dit, leur décou­verte de Dieu comme Père est étonnante ; elle a proposé une explication par laquel­le cette question peut être élucidée.
Et le christianisme a promu le mono­théisme. Cette religion travaille à l’échel­le globale et le monde peut s’unir à tra­vers elle. Cette religion ouvre la voie à l’unification du monde ; voilà comment je vois les choses. (139-239, 31.1.1986)
Il y a certes de nombreuses voies reli­gieuses aujourd’hui ; mais la voie capa­ble d’aller jusqu’au coeur n’a pas été tra­cée dans le cours de l’histoire. Une telle voie doit forcément s’ouvrir ; sinon, Dieu ne peut exister. Il y a des chemins pour enseigner aux gens l’éthique sociale et la moralité ; d’autres enseignent sur le monde spirituel infini. Mais il faut se tourner vers une religion qui fasse une synthèse entre les préceptes éthiques et moraux d’une part et les vues sur le mon­de immatériel d’autre part, tout en les ramenant au fondement essentiel d’un seul coeur. J’ai cherché une telle religion, et c’est le christianisme. Le christianis­me est une religion du coeur.
Par la chute, l’être humain a perdu Dieu, oubliant qu’Il est notre Père. Nous avons perdu les vrais parents substan­tiels. Ces vrais parents là, il incombe à la religion chrétienne de nous les faire connaître. (9-140, 1.5.1960)
La destination finale de la philoso­phie est la découverte de Dieu. De quel­le sorte de Dieu s’agit-il ? C’est le Dieu absolu, le Dieu immuable et le Dieu uni­que. Le Dieu que nous découvrons doit être le Dieu de personnalité, dont nous, les êtres humains, avons besoin.
Pour avoir une relation avec nous, Dieu doit être un Dieu de personnali­té, possédant les aspects intérieurs et extérieurs de toutes nos pensées, notre volonté et nos idéaux. Il doit être quel­qu’un qui peut communiquer avec nous dans tous les aspects, que ce soit les émo­tions, la volonté ou l’intellect, et qui peut totalement s’identifier à nous ; sinon, Il n’a rien à faire avec nous. De ce point de vue, la philosophie n’a pas vénéré Dieu en tenant compte du fait qu’Il doit être un Dieu de personnalité. (138-142, 21.1.1986)
À qui ressemble Dieu ? À Ses fils et à Ses filles. Qui êtes-vous ? Vous êtes les fils et les filles de Dieu. Vous tenez de Dieu. Or Dieu est un Dieu de person­nalité. Dieu peut-Il être juste une enti­té sans forme ? Le christianisme a quel­que chose de prodigieux ; il a parlé d’un Dieu d’émotion et de personnalité, évo­quant Ses aspects comme l’amour, l’in­tellect, l’émotion et la volonté. Çà, c’est fort. Et aussi, de parler de monothéisme. (177-274, 20.5.1988)
Si Dieu est un Dieu de personnali­té, pensez-vous qu’Il ait besoin d’amour ou pas ? Quand nous, les êtres humains, qui sommes nés comme des fils et filles de Dieu, nous appelons Dieu « Père », nous avons besoin du Père autant qu’Il a besoin de nous, et pareillement, le Père a besoin de nous comme nous avons besoin de Lui. (184-199, 1.1.1989)
S’il y a un Dieu de personnalité, Comment établir le contact avec Lui ? Parler de « Dieu », c’est parler de quel­que chose d’élevé, n’est-ce pas ? Alors, est-ce votre corps qui entre en contact avec Lui ? Non. C’est votre coeur qui entre en relation. L’être humain vit en se fondant sur le Dieu de personnalité, la cause première, et sur le coeur verti­cal au centre. Tout comme la Terre ajuste son angle sur son axe et met un jour, puis deux, et finalement 365 jours, pour tour­ner autour du Soleil, nous faisons aussi notre révolution ; il faut voir les choses ainsi. (194-154, 22.10.1989)
Si Dieu existe, la conclusion naturel­le est que, sans passer par la providen­ce de Dieu, ce monde n’a aucun espoir pour le futur.
C’est là qu’apparaît l’Église de l’Uni­fication. Elle identifie l’existence de Dieu, un Dieu de personnalité parfaite du point de vue de l’intellect, de l’émo­tion et de la volonté, et elle cherche à réa­liser le monde idéal fondé sur le primat du coeur.
Pour la première fois, l’Église de l’Unification clarifie la relation entre Dieu et le genre humain. (213-302, 21.1.1991)

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  1. Si Dieu est un Dieu de personnali­té, pensez-vous qu’Il ait besoin d’amour ou pas ? Quand nous, les êtres humains, qui sommes nés comme des fils et filles de Dieu, nous appelons Dieu « Père », nous avons besoin du Père autant qu’Il a besoin de nous, et pareillement, le Père a besoin de nous comme nous avons besoin de Lui. (184-199, 1.1.1989)

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