samedi 2 mai 2020

Mystérieux univers si vaste si structuré

Le Vrai Dieu
Chapitre II
Section 5. La volonté de Dieu en créant toutes les choses
5.2. Mystérieux univers, si vaste, si structuré
Dans le monde créé, tout est prêt, comme un manuel, pour que les fils et les filles bien-aimés de Dieu puis­sent trouver l’idéal de l’amour et croî­tre. Il y a donc une structure corrélati­ve. Le règne minéral fonctionne par la relation de partenaire sujet et de parte­naire objet. Prenez les atomes : là aussi, les protons et les électrons ont une inte­raction de partenaire sujet et partenai­re objet. Sans cette interaction, ils ne peuvent maintenir leur existence. Sans mouvement, il ne peut y avoir d’existen­ce éternelle. L’univers est donc structuré en fonction de l’être humain, constitué comme une sphère créée pour pouvoir atteindre ce centre. (137-59, 18.12.1985)
Qu’est-ce que l’univers ? C’est comme le corps de Dieu, Son corps visible. C’est une branche de l’être de Dieu. D’où l’idée que l’on est vraiment capable d’aimer ; autre­ment dit, aimer l’univers est une expérien­ce très réelle. Vous aussi vous vous cares­sez les cheveux comme cela, non ? Si une saleté se pose sur vos vêtements, vous la balayez, non ? Pourquoi faites-vous cela ? Parce qu’ils sont à vous. Ce sont vos vête­ments, et c’est donc cela qui vous vient à l’esprit. Dorénavant, vous devez mettre Dieu en plein dans votre coeur et bâtir un monde unifié où votre esprit est un, votre corps est un, et toutes les choses sont unes. (86-173, 28.3.1976)
Si vous voulez savoir, l’univers couvre plusieurs milliards d’années-lumière. Il faut une seconde à la lumière pour par­courir 300 000 kilomètres, soit sept fois et demi le tour de la terre. En astrono­mie, on appelle année-lumière la dis­tance que parcourt la lumière en un an. L’univers est si vaste que la lumière qui se déplace selon cette unité d’année-lumière ne peut atteindre ses confins même au bout de milliards d’années. (172-213, 8.5.1983)
L’observatoire de Greenwich a jus­qu’ici découvert des étoiles qui sont à dix milliards d’années-lumière. Or nous ne saurions tarder à en voir qui sont à quinze milliards d’années-lumière, voi­re plus. La taille de cet univers est un nombre basé sur le Principe – 21 mil­liards d’années-lumière de large. Voilà sa taille. Qu’est-ce à dire ? La lumière partie d’ici aurait franchi 300 millions de mètres en une seconde… La lumiè­re couvre 300 millions de mètres à la seconde. C’est sept fois et demi le tour de la terre, je dis bien la circonférence de la terre multipliée par sept fois et demie. Un simple instant, et hop ! Sept fois et demie le tour de la terre. À une allure pareille, au bout d’un seul jour, vous en auriez l’échine brisée, l’esprit hébété et cela vous ferait dire : « Je n’en peux plus. » Mais elle ne voyage pas seulement cent ans, nous parlons de milliards d’années. Cent millions, c’est cent fois un million, mais même cent millions d’années après le début du voyage, la lumière voya­ge toujours. En admettant qu’une per­sonne vive cent ans, un million de gens auraient vécu et seraient morts pendant ce laps de temps. Autrement dit, cent millions d’années-lumière, cela veut dire que la lumière voyage encore, même après que chaque personne ait vécu cent ans et ceci a continué pour un million de gens. Alors, combien de temps repré­sentent 21 milliards d’années ? Chaque personne doit vivre cent ans bout à bout, et cela doit continuer pour 210 millions de gens, et davantage. La lumière ne par­court pas cette longue distance en ligne droite, mais voyage en cercles. C’est cela, l’univers. (181-195, 3.10.1988)
Qu’est-ce donc que la perfection de l’univers ? Pour pouvoir parfaire l’uni­vers, je dois devenir parfait. Que m’im­porte la perfection de l’univers si je ne puis être parfait ? Nous le savons bien : le mon­de a beau être merveilleux, et tout le mon­de, là, peut danser dans la joie, mais si je suis moi-même dans une grande souffran­ce, toutes ces réjouissances au dehors n’ont rien à voir avec moi. (166-210, 7.6.1987)
La perfection de l’univers doit produi­re de la joie en moi, en moi-même, tout autant qu’au monde extérieur. Mon esprit et mon corps doivent tous deux se réjouir en un lieu de joie. Mes cellules, par exem­ple, doivent toutes se réjouir. Les cellules de mes yeux et celles de mes plantes de pieds sont différentes, non ? Elles sont différentes. Quoique différentes, ces cellules, les cellules de mes mains, et toutes mes cellules doivent se réjouir, et tout mon corps et mon esprit, sans exception aucune, doivent pouvoir se réjouir ; au lieu de rester séparés, ils doivent se joindre comme un corps en relation et res­sentir la résonance de la joie d’aimer. Créons d’abord un tel monde, la perfection de l’uni­vers suivra. (166-210, 7.6.1987)
5.3. La nature, ce manuel enseignant l’idéal d’amour
Ceux qui prient ont appelé la nature la « Bible numéro un ». Elle ne vient pas en deuxième. La Bible qui décrit l’his­toire d’Israël ne vous donne pas claire­ment de message. Savez-vous ce que j’ai pu me creuser les méninges en la lisant ? Elle s’adapte et vous dit ce que vous vou­lez entendre. Une vraie diseuse de bon­ne aventure, qui vous livre votre sort. Cela sert à fuir la réalité. Alors, pour ce qui est du dur labeur de juger les faits et démêler les détails, plutôt que la Bible, le monde naturel créé par Dieu est bien mieux. (20-270, 7.7.1968)
Les relations se font à partir de petits riens. Votre individualité est aussi une vie dans laquelle 400 trillions de cellules sont reliées. Parmi tous les êtres dans le mon­de idéal de la création fondé sur l’amour de Dieu, à savoir le grand univers, pas un seul être n’est apparu qui ne soit lié au coeur de Dieu. Un poète qui le ressent doit être un grand poète. Si le spectacle d’une feuille qui frémit inspire un poète et lui fait exprimer le coeur universel, c’est sûrement un poète de l’univers. Nous n’avons pas su que toutes les choses du ciel et de la terre, qui défilent autour de nous sans que nous en soyons conscients, existent ensemble avec l’amour de Dieu. En entrant dans un état spirituel, vous verrez le principe de l’univers renfer­mé dans un infime grain de sable et l’har­monie infinie et inépuisable de l’univers ramassée dans un atome. Nous ne pouvons nier que toute existence provient de quel­que force inconnue et complexe. Au-delà des molécules, il y a les atomes, et au-delà des atomes, les particules élémentaires. Ces entités, loin d’exister sans conscience, exis­tent avec une certaine conscience et un but. Comprenez donc bien que tous les êtres existants sont issus de la main aimante de Dieu, et sont immanquablement liés à Dieu par le coeur. (9-166, 8.5.1960)
Qu’est-ce qu’un maître spirituel ? Le plus grand maître spirituel est celui qui a à coeur de s’exclamer « Dieu ! » en tenant un simple brin d’herbe, et de lui conférer une valeur égale à la sienne. Savoir mettre cet­te valeur en chanson serait la marque d’un grand artiste. Si quelqu’un peut découvrir les nuances variées de l’amour de Dieu et Son coeur dans toutes les choses qui exis­tent avec leur diversité et si cette person­ne a le sentiment de devenir leur ami et de trouver la joie en elles, si c’est quelqu’un dont chaque cellule vibre avec un tel senti­ment, alors il doit être celui qui peut repré­senter l’univers entier. Une telle personne est le seigneur de la création. Quand on ne sait rien faire à part manger, peut-on deve­nir seigneur de la création ? (9-166, 8.5.1960)
Observez attentivement les enfants : ce qu’ils aiment par-dessus tout, ce sont les créatures vives, comme les chiots, les insectes, les oiseaux et les animaux sau­vages. Pourquoi donc ? Eh bien, nous sommes faits comme cela. Qu’est-ce que cela signifie ? Que leur intérêt est éveillé en voyant le monde naturel et la terre en mouvement. Même si les gens se plaisent à apprécier toutes ces cho­ses et y trouvent un intérêt, on recon­naît naturellement différents niveaux de relations. C’est ainsi que l’on apprend toutes les propriétés de l’amour en soi-même. En observant comment les bes­tioles, les insectes et les animaux vivent, nous voyons qu’ils existent tous par pai­res. À cet égard, la nature est un musée de modèles conçus pour éduquer l’être humain, partenaire objet de l’amour de Dieu, au sujet de l’idéal des relations réciproques. (137-211, 3.1.1986)
Dieu fit l’univers et tout dans la créa­tion comme un manuel pour aider Ses fils et filles bien-aimés à trouver l’idéal de l’amour. C’est pourquoi tout est dans une structure corrélative. Le règne miné­ral fonctionne par la relation de parte­naire sujet et partenaire objet. Dans les atomes, qui sont les unités structurelles de la matière, électrons et protons inte­ragissent dans un rapport de partenaire sujet à partenaire objet. Sans cette inte­raction ils ne peuvent exister. Sans mou­vement, il ne peut y avoir d’existence éternelle. Aussi doivent-ils interagir.
On observe la nature et on apprend d’elle en grandissant. On apprend et on se dit : « C’est ainsi qu’est le monde des insectes ! » Écoutez attentivement par une nuit d’automne, quand luit la lune et que scintillent les étoiles, les stridulations des insectes ; un véritable orchestre ! Pourquoi ces stridulations ? Ils chantent leur idéal en cherchant leur partenaire. Ils murmurent leur amour. Les oiseaux et tous les autres animaux suivent aus­si le dénominateur commun de l’amour en alternant les bruits joyeux et tristes. Ils sont au bas de l’échelle et bien loin de l’axe, et pourtant ils encerclent l’axe en lignes parallèles sur le même plan hori­zontal. Ainsi vont toutes les choses de l’existence. (137-59, 18.12.1985)
Les oiseaux ont trois sortes de chants : le premier signale la faim ; le deuxiè­me est le chant nuptial pour un compa­gnon ; et le troisième signale le danger. Ils sont tous différents. Nous autres béo­tiens n’en savons rien, mais eux connais­sent bien leur monde. Quand la faim les fait piailler, tout le monde le sait déjà. Mais leur vie quotidienne, autour de quoi tour­ne-t- elle ? La faim, il suffit de manger ; le danger n’est pas là tous les jours. Pour l’es­sentiel, c’est un va-et-vient de chants pour leur compagnon. (137-211, 3.1.1986
Les êtres humains furent créés com­me partenaires sujets et objets, en bref par paires. Le monde de toutes les cho­ses, qui existe en vue de l’humanité, forme également une harmonie sous le principe de l’amour et réalise sa vie et son idéal par l’amour humain. Pour l’humanité – et spécialement Adam et Ève dans leur croissance– le monde de toutes les choses est un manuel d’amour et un musée qui décline à l’infini l’essen­ce de l’amour. (135-10, 20.8.1985)
Les oiseaux, comme tous les animaux, existent par paires. Ils s’harmonisent entre eux dans l’amour. Fleurs et papil­lons sont comme deux pôles opposés, or ils s’harmonisent l’un avec l’autre. Telle est l’harmonie du ciel et de la ter­re. Les pôles opposés de l’univers créent une harmonie fondée sur l’amour. C’est pareil avec les oiseaux migrateurs. Les oiseaux du sud volent vers le nord, et ceux du nord volent vers le sud. Ce n’est que va-et-vient d’amour au-dessus des frontières, mettant l’amour perpétuel au centre de tout. On apprend l’amour dans les modèles du musée de Dieu. Quand les êtres humains et Dieu s’aiment dans la joie, toutes choses au ciel et sur ter­re suivent le rythme et s’harmonisent autour d’eux. Si Dieu aime et adore cela, le monde angélique aussi l’aime­ra. Tout le monde créé l’aimera aussi, dans les acclamations et les louanges. Les oiseaux chanteurs chanteront leurs oraisons, et les belles fleurs répandront leurs éloges sous forme de parfums. Ce monde créé existe pour diffuser l’atmos­phère embaumée dans laquelle les per­sonnages centraux de l’amour suprême peuvent se délecter. Même les crapauds à l’horrible tenue coassent : « wook, wook, wook », en faisant l’amour. C’est trop charmant ! Ils donnent des coups de pat­tes et les agitent de haut en bas tout en faisant l’amour. Quelle scène admira­ble ! Du très grand art. (142-273, 13.3.1986)
En mûrissant, Adam et Ève en vien­dront à comprendre, et à se dire : « Ah, c’est comme ça qu’on fait l’amour. » Le monde de toutes les choses est un manuel que Dieu a mis en page pour éduquer l’idéal de l’amour humain vers la maturité. Ainsi se fait l’apprentissage. En grandissant, ils en viennent à éprou­ver des sentiments différents l’un pour l’autre, et se disent : « Hmm… on était frère et soeur jusqu’ici, mais là on dirait que… » En apprenant, ils se diront : «Voilà, c’est comme cela.» Ils vont donc aller tout droit sur des lignes parallèles, puis s’unir et se dire : « Toi et moi devons ne faire qu’un, quitte à en mourir. Nous devons aller là et nulle part ailleurs. » (137-59, 18.12.1985)
Adam et Ève, nés comme les premiers enfants de Dieu, devaient croître vers la maturité en sortant de l’enfance sous la sphère protectrice de Dieu. Puisque leur intellect devait se développer pendant ce processus, ils en seraient venus à réaliser pourquoi Dieu a créé le monde, et Dieu les aurait éduqués par le monde créé. Le monde créé, avec tout ce qu’il comporte de mouvement, était un manuel d’art de vivre pour enseigner Adam et Ève. Sachez que puisque Adam et Ève n’ont pas atteint la perfection, il a été un modèle et un musée montrant comment mener une vie idéale. (137-126, 1.1.1986)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vos commentaires sont les bienvenus

Sélection du message

Cheon Seong Gyeong Introduction

천 성 경 Cheon Seong Gyeong Au commencement, Dieu a créé le monde par la Parole. Il a créé en infusant son cœur, son amour, sa vie et...

Articles les plus consultés