vendredi 5 juin 2020

L’âge de l’Ancien Testament était l’âge du serviteur

Le Vrai Dieu
Chapitre III
La vision de Dieu évolue avec l’histoire de la providence de la restauration
Section 1. Le Dieu de l’Ancien Testament était un ange.
1.1. L’âge de l’Ancien Testament était l’âge du serviteur
La chute précipita l’humanité dans le domaine hors-Principe. À quel point ? Les anges ont rang de serviteurs de Dieu. Eh bien, l’humanité a régressé à un niveau en dessous du leur. Les princes et princesses, destinés à être les maîtres, ont été avilis à un rang plus bas que celui des serviteurs. Il faut donc remonter. En prenant la voie du serviteur de serviteurs, on doit rejoindre la voie du serviteur, de l’enfant adoptif, de l’enfant naturel, de l’enfant en ligne directe ; il faut ensuite retourner, via la mère, à la position d’Adam, le père. C’est la restauration. La providence du salut, c’est comme ramener quelqu’un à l’état de santé dont il jouissait avant de tomber malade. Il faut revenir à un état exempt de toute infirmité. Par conséquent, la providence du salut, c’est la providence de la restauration. La providence de la restauration n’est pas menée arbitrairement. Ce serait trop facile de pouvoir simplement « croire et être sauvé ». (222-144, 3.11.1991)
L’être humain a chuté. Mais il doit se sortir du statut de serviteur de serviteurs, car il ne peut abandonner Dieu. « Serviteur de serviteurs », ça veut dire quoi, au juste ? Cela veut dire être sans maître. L’être humain déchu doit servir Dieu loyalement depuis sa position de serviteur de serviteurs. Satan était un archange et un serviteur de Dieu. Or l’être humain a été jeté aux pieds de ce serviteur. Pour pouvoir revenir vers Dieu, il doit se montrer en règle avec un critère de loyauté à Dieu depuis la position du serviteur de serviteurs. (17-73, 12.11.1966)
Dans l’âge de l’Ancien Testament, il s’agissait de présenter des offrandes sacrificielles ; Dieu put ainsi trouver un peuple dont Il allait faire Son serviteur. C’est l’histoire de l’Ancien Testament. Avec la perte de l’être humain, les choses furent mises sens dessus dessous – l’être humain tombant plus bas que toutes les choses de la création. L’être humain étant devenu plus vil que toutes les choses de la création, il fallut diviser toutes les choses, qui étaient plus proches de Dieu, en deux, et distinguer les biens de Dieu de ceux de Satan. Sachez que ces offrandes divisées ne furent pas faites à cause de Dieu ou de Satan, mais parce que les personnes n’avaient pas accompli leurs responsabilités. Ayant failli à leurs responsabilités, les gens en vinrent à recevoir le sang de Satan. (136-228, 29.12.1985)
Du point de vue de la providence, le temps qui précède l’âge de l’Ancien Testament, c’est-à-dire avant Jacob, fut l’âge du serviteur de serviteurs. De Jacob à Jésus, ce fut l’âge du serviteur. Après Jésus, on est entré dans l’âge du fils adoptif. Le temps du second avènement est l’âge du fils. Comme on entre dans l’âge du fils, celui-ci doit avoir des parents. Ainsi, avec l’âge des parents, l’humanité revient à Dieu. (74-121, 25.11.1974)
L’âge de l’Ancien Testament était l’âge du serviteur, un âge où les gens en position de serviteurs de serviteurs devaient se restaurer à la position de serviteurs. Ainsi, même Abraham était un serviteur et non un fils. Dieu établit la voie de la loyauté en mettant en place des serviteurs de serviteurs. C’est ainsi que Dieu fit avancer Sa providence en poussant toute l’humanité au cours de l’histoire à reprendre au mal la scène mondiale pour la ramener du côté de Dieu. Même le triomphe de Jacob fut celui d’un serviteur de Dieu plutôt que d’un fils. Dieu a œuvré comme cela, restaurant les gens depuis la position de serviteurs de serviteurs jusqu’à celle de serviteurs, et de là jusqu’à la position de fils adoptifs. (15-325, 7.12.1965)
En examinant le cours entier de l’histoire de la restauration, on voit Dieu mener la providence jusqu’à nos jours à travers les trois stades de formation, croissance et accomplissement. Le cours de la restauration passe par l’âge du serviteur, ou âge de l’Ancien Testament, puis l’âge du fils adoptif, ou âge du Nouveau Testament, et enfin l’âge des vrais enfants, ou âge du Testament Accompli. Puis on entre dans l’âge des vrais parents. La providence du salut dans l’âge de l’Ancien Testament offrait le salut à l’humanité entière en position de serviteur. Dans cet âge, par conséquent, sans établir une figure centrale qui pouvait amener la victoire en persévérant du début à la fin, le fondement pour la restauration à la position de serviteur ne pouvait être posé. D’où les nombreux sacrifices que Dieu exigea tout en guidant les quatre mille ans d’histoire par des figures centrales telles que Noé et Abraham. (15-49, 7.12.1965)
Que fait Dieu dans l’âge de l’Ancien Testament ? Le monde étant devenu satanique, Il entreprend de trouver Ses serviteurs en sacrifiant toutes les choses et en établissant les personnes du côté céleste. Dieu ne cherche alors même pas de fils adoptifs. Il est à la recherche de serviteurs de serviteurs. Les personnes du monde satanique étaient toutes devenues des fils et filles de Satan. Dieu ne peut les en arracher. Alors, Dieu rassemble ceux qui avaient perdu espoir dans le monde satanique. La triste réalité est que Dieu a dû ramasser des matériaux inutiles. Il a eu affaire à de la camelote. Ce processus ne s’arrête pas là. Le sacrifice est exigé, on doit suivre le processus qui consiste à être une offrande sacrificielle. (136-222, 29.12.1985)
Ceux qui n’étaient même pas bons à être serviteurs dans le monde satanique, Dieu a tenté de les amener dans le monde de Dieu et d’en faire des serviteurs de serviteurs. C’est l’histoire de l’Ancien Testament. Dieu fit se battre Jacob et Ésaü pour cette raison. Et Il appela Noé pour cette raison. Dieu prit un serviteur de serviteurs au monde satanique, le mit à l’écart dans un pays lointain, et l’épuisa pour pouvoir en faire un serviteur de Dieu. (154-334, 5.10.1964)
Satan traite les êtres humains en ennemis. Ils ne peuvent pas même devenir serviteurs de Satan. Dans l’âge de l’Ancien Testament, Dieu œuvra pour retourner ces gens et en faire des serviteurs de Dieu. De ces serviteurs Il voulut faire ensuite des enfants adoptifs, et de ceux-ci des enfants en ligne directe. Les enfants en ligne directe doivent devenir des frères et sœurs, et les frères et sœurs de vrais parents, en étant bénis comme époux et épouses. Comme la vraie famille axée sur Dieu a été perdue, la restauration est le travail pour la regagner. Le festin de noces de l’Agneau devait être l’occasion d’annoncer Jésus comme le vrai parent. (12-29, 15.7.1962)
Dieu investit Ses serviteurs d’un mandat et leur enseigna : « Je suis votre Père. » Il enseigna les gens par Ses serviteurs et par les anges. Tel fut l’âge de l’Ancien Testament. Ultérieurement, Il œuvra par le biais de Son fils. Ce fut l’âge du Nouveau Testament. Plus tard, Il œuvra par le Saint-Esprit. (10-197, 2.10.1960)
Jusqu’ici, le désir de Dieu a été de mettre les gens en relation avec toutes les choses de la création et avec Lui-même. D’où le travail de Dieu qui consiste à tirer les êtres humains déchus de la position de serviteurs vers celle de fils adoptifs, et de là à la position d’enfants, puis de parents. C’était pour pouvoir couper le lien douloureux avec la chute et permettre à toutes les choses, aux personnes et à Dieu, de former des liens unificateurs ; la joie de Dieu devient ainsi la joie de l’humanité et la joie de l’humanité devient la joie de toutes les choses. Dieu voulait tirer fierté de Ses fils et filles, les présenter au monde de la création et même au monde des anges, et les consacrer. (11-279, 3.1.1962)
Si nous y songeons, l’âge de l’Ancien Testament a duré quatre mille ans jusqu’à la venue de Jésus. Y avait-il un terme comme « la Bénédiction » ? Était-il possible de bénir une famille au nom de Dieu ? C’était l’âge du serviteur, les gens étaient donc sous le régime de l’archange, qui est un serviteur. L’archange ne peut se marier ; il doit vivre en célibataire. Dieu ne pouvant avoir de famille, et les fils et filles de Dieu ne pouvant se marier, un serviteur peut-il se marier ? Non. (90-97, 19.12.1976)

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