Livre XVI
La vraie famille et La promesse des familles
Chapitre premier
La proclamation de la Promesse des familles
et les conditions préalables
2. La signification et la valeur de la
Promesse des familles
2.5. Attitude envers la Promesse des familles
Dans le premier paragraphe de la Promesse des
familles, il nous est demandé de regagner notre terre d’origine et d’y bâtir
l’idéal de la création de Dieu. Et le deuxième nous dit d’assumer et de
parfaire nos devoirs de piété filiale dans la famille, de patriotisme dans la
nation, de sainteté dans le monde et en tant que famille de fils et filles de
Dieu sur la terre et au ciel. Et cela afin de soulager Dieu du chagrin amer de
l’histoire.
Dites-vous bien que Jésus est venu pour devenir
le fils de Dieu, mais qu’il n’a pu accomplir sa mission. Nous devons penser que
nous sommes des familles qui doivent donner ce départ. C’est notre tradition.
(267-193, 8.1.1995)
Afin de réciter la Promesse des familles,
notre esprit et notre corps doivent être unis, notre couple doit absolument
être uni et nos fils et filles doivent l’être de même. C’est dans cette
position qu’on peut réciter la promesse, pas autrement. Nous devons la réciter
tous les jours, au lever et au coucher, en prenant les trois repas quotidiens ;
au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner, nous devons y penser. Ensuite,
quand nous allons nous coucher, nous devons penser et réfléchir si nous avons
mis tout notre zèle à unir l’esprit et le corps, à nous unir avec le partenaire
et à nous unir avec nos enfants. Cet examen de conscience doit se faire en
considérant la promesse comme norme du quotidien. Si un mari et son épouse se
disputent, ils ne peuvent la réciter. Vous devez arrivez à ressentir toute
l’horreur de ne pas pouvoir réciter la Promesse des familles. C’est un
bouclier. (266-143, 22.12.1994)
Au lever comme au coucher, elle doit être sur
nos lèvres. Chaque jour, vous devez vous attacher à un paragraphe précis pour
la journée et vous y tenir. Puis vous verrez si vous avez observé ce contenu ce
jour-là : on doit vivre en s’évaluant soi-même. Si nous n’avons pas pu le
faire, nous devons le faire de nouveau le lendemain. La promesse est comme un
élément vital de croissance, comme une nourriture et l’ingrédient de base pour
la vie dans le Royaume de Dieu. Il faut donc s’évaluer en récitant cette
promesse. Si les gens qui ont fondé une famille ne peuvent réciter la Promesse
des familles, ils sont dans l’erreur. C’est le modèle que votre famille doit
atteindre ; ceux qui n’y arrivent pas ont tout faux. En le sachant, vous devez
devenir un modèle, être des parents souverains qui peuvent la réciter et
l’enseigner en détails aux enfants. Vous pouvez la diviser en sections. Ils
doivent trouver aussi des personnes qui soient d’accord ! (287-130, 19.9.1997)
Regardez encore les Vrais Parents avec une
vraie conscience ! Vous devez aimer votre père et votre mère avec une vraie
conscience, de même que votre conjoint, votre pays et le monde. Nous sommes
entrés dans l’ère d’unité complète avec les Vrais Parents comme votre
partenaire sujet absolu.
La famille des Vrais Parents étant à présent
établie, votre unité avec leur fondement doit être complète. Fini, les sentiers
battus. L’esprit et le corps doivent être unis, le couple doit être uni, vous devez
unir vos enfants, sans quoi, vous ne pouvez pas réciter la Promesse des
familles, ni m’appeler Père. Vous avez prononcer les termes « Vrais Parents »,
dans l’esprit d’en tirer profit. Je n’aime pas qu’on se serve ainsi de mon nom.
Aussi devez-vous avoir pour critère de vivre exactement comme le dit la
Promesse des familles. (263-244, 4.10.1994)
Dans le monde où vivent les Vrais Parents et
leurs enfants qui ont hérité l’amour vrai, la religion n’est pas nécessaire. Le
monde doit reposer sur la conscience. La Promesse des familles est là pour ça.
Quand vous la récitez, en unité avec les
Vrais Parents, votre esprit et votre corps doivent s’unir, votre couple doit
s’unir et vous devez vous unir avec les enfants. Sinon, sachez que vous ne
pourrez pas réciter la Promesse des familles. (266-31, 4.12.1994)
Vous devez sans cesse penser que l’amour vrai
est de mener une vie où l’esprit et le corps sont unis et où le mari et la
femme sont unis entre eux et avec leurs enfants. Quand vous irez dans le monde
spirituel, vous serez appréhendé en une fois. La promesse est aussi effrayante.
Vous devez vivre sans cesse de cette façon. Si le père ne peut être un avec les
paroles de la Promesse des familles, la mère en est aussi responsable, le fils
en est responsable et chaque individu l’est aussi communément. (260-189,
8.5.1994)
Un enfant dont l’esprit et le corps sont
unis, cela commence dans des couples dont l’esprit et le corps sont unis et qui
s’unissent à Dieu. La conclusion va de soi. Sinon, l’amour vrai ne peut
demeurer dans la famille. Dieu ne peut régner là où l’amour vrai est absent.
C’est logique. (270-324, 23.7.1995)
Quand on parle de la Promesse des familles,
cela veut dire que tout est uni à Dieu, au cœur même de l’établissement. Les
États-Unis ne sont pas le centre, pas plus que le Japon, ni les pays hautement
développés. Ce monde rempli de tragédie, de tristesse, de souffrances, de
ressentiments, va peu à peu vers sa fin. Jusqu’ici, l’Église de l’Unification
passait dans un enfer des plus sombres, mais l’aube arrive, synonyme
d’ascension. La destinée de la nation céleste, l’idéal de la création, est bien
l’idéal de la famille. L’idéal de la famille est la perfection du fondement des
quatre positions. Pour fonder une telle famille, vous devez établir le
fondement des quatre positions sur trois générations : Dieu, les parents et les
enfants. Dieu, Adam et Ève, leurs enfants, telle est la formule originelle. La
famille d’Adam est la famille modèle. (260-183, 8.5.1994)
Les paroles consignent la victoire totale
provenant des combats livrés par les Vrais Parents. C’est un recueil de la
tradition victorieuse. Jusqu’à la délivrance de l’univers, nous devons
absolument adapter notre quotidien à cette réalité et évaluer chaque jour notre
vie. Situez-vous en position de partenaire objet. Réciter la Promesse des
familles, c’est se soumettre à une critique incessante. Dites vous bien que ces
paroles viennent de Dieu. Il faut vous critiquer et voir si quelque chose ne va
pas. Tout ce qui ne passe pas doit être éliminé. Donnez-vous des avertissements
: « Eh brigand, tu es là pour détruire l’Église de l’Unification ! » Y avez-vous
déjà réfléchi ? (301-80, 16.4.1999)
Tout comme Israël a suivi son cours de 40 ans
grâce à l’arche, à présent, nous, les membres de l’Église de l’Unification,
devons entrer dans le Royaume de Dieu munis de la Promesse des familles. Tout
comme la sortie d’Égypte du peuple d’Israël avait pour but de construire une
nation, nous devons avoir un sens aigu de la construction d’une nation. De
même, nous n’avons maintenant aucune nation dans le monde. L’Église de
l’Unification n’a pas de nation. Où doit se construire cette nation ? En Corée.
(265-293, 27.11.1994)
3. La Promesse des familles et les traditions
des familles bénies
3.1. Accomplir le Royaume de Dieu en servant
Dieu n’est pas une création de nos rêves ou
de notre imaginaire. Ce n’est pas une abstraction ; Il vit avec nous comme
sujet de la vie et comme Seigneur de notre vie. Il n’est pas seulement celui
que l’on sert et que l’on honore. Il vit dans des liens réciproques au sein de
notre communauté. On croirait un rêve. (168-111, 13.9.1987)
Ma conscience, mon intuition, mes organes des
sens et mon être tout entier appartiennent au Père. Tout ce que je sens et tout
ce dont j’ai conscience sont à Dieu. Sans avoir cette conviction chevillée en
vous, vous ne pourrez pas posséder le Ciel qui œuvre par le cœur. (8-294,
14.2.1960)
Sans arriver à servir et honorer Dieu en y
mettant toute l’unité de notre corps et de notre esprit, on ne peut guère
extirper le mal de ce monde. Nous disons donc que nous sommes à l’âge du salut
par le service. C’est grâce à une vie de service que nous obtenons le salut.
Dieu n’est pas le Dieu éloigné dans les
hauteurs. Il vit avec nous et nous devons Le servir quotidiennement. (144-274,
25.4.1986)
Combien de fois par jour êtes-vous conscients
de la présence de Dieu ? Combien de fois en 24 heures sentez-vous Sa présence ?
Si vraiment vous voulez recevoir le salut en servant Dieu et les autres,
suffit-il de ressentir la présence de Dieu une heure ou deux par jour ? Plus
encore que d’air, plus encore que d’eau, vous avez besoin de Dieu. Dieu est
plus précieux que la nourriture. Mais le ressentez-vous vraiment ainsi ?
(33-230, 16.8.1970)
Dorénavant, vous devez vivre une vie de
service. Jusqu’ici, la vie religieuse était une quête du salut grâce à la foi ;
à l’avenir, le salut s’obtiendra en servant. (161-218, 15.2.1987)
Si la chute n’avait pas eu lieu, nous aurions
vécu en servant Dieu. Vous devez servir Dieu avec votre cœur, dans votre vie
quotidienne. (150-213, 15.4.1961)
Nous devons vivre une vie de service. Nous
avons rencontré l’ère du Royaume de Dieu espéré sans pouvoir vivre en pratique
dans le Royaume de Dieu, c’est-à-dire sans arriver à connaître Dieu qui est le
sujet de notre vie. (6-226, 17.5.1959)
Dieu est l’existence centrale de l’univers.
Quand on S’approche de Lui, plus Son règne est fort, et plus on veut encore
recevoir Son règne pendant des dizaines de milliers d’années. Notre devoir
étant de vivre au service de Dieu, rien ne peut davantage combler l’être humain
que la joie d’être dominé par Dieu. Nous n’avons jamais pensé à cela. (77-328,
30.4.1975)
Nous devons vivre en servant. Pourquoi
devons-nous vivre en servant ? Sachons que c’est pour être aimé de Dieu. Alors,
Dieu doit être le premier servi. Nous devons vénérer et servir Dieu. (78-30,
1.5.1975)
Dans une journée de 24 heures, pour qui
devons-nous voir et entendre ? C’est pour Dieu. Vous devez voir, écouter,
ressentir, pour Dieu. Nous vivons notre vie sur terre mais nous devons la
relier à la vie du monde de l’au-delà. (35-284, 25.10.1970)
Quiconque vit en étant sensible à la
tristesse et à la joie de Dieu ne peut devenir mauvais même s’il le voulait, ou
agir à l’encontre des lois célestes même s’il en avait envie. Même si une
beauté voulait séduire un tel homme, il ne se laisserait pas faire. Il ne se
laisserait pas prendre à ce genre de tentation. (40-297, 7.2.1971)
Pourquoi donc, de nos jours, un grand nombre
de jeunes gens malheureux quittent leur famille ? Parce que l’amour qui
concorde avec la loi céleste a été perdu. C’est pour cela que les parents du
ciel et de la terre doivent se manifester pour replacer la réalité du Dieu
vivant dans les familles. (21-155, 17.11.1968)
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