Livre XVI
La vraie famille et La promesse des familles
Chapitre premier
La proclamation de la Promesse des familles
et les conditions préalables
3.2. Faire corps avec les Vrais Parents
Que restera-t-il en définitive ? Dieu et
l’être humain ; une vie entre Dieu et l’être humain, un chemin de vie entre
Dieu et l’être humain. La pensée de la vie est pareille à la pensée du monde de
Dieu avec l’être humain qui est aussi la vue de Dieu et de l’être humain. Je ne
parle pas d’un niveau de connaissance de Dieu qui reste vague, mais d’un niveau
où l’être humain ne peut se séparer de Lui pour l’éternité. Originellement,
Dieu et l’être humain n’auraient pas dû être séparés. Nous devons atteindre une
position plus haute qu’à l’origine. Et de là, nous devons chercher la scène de
la vie, la scène mondiale où Dieu et l’être humain ne font qu’un. (65-127,
5.11.1972)
En cet âge de service où nous vivons, il faut
être concentré. Il existe une loi pour servir et adorer Dieu. Agir contre cette
loi, c’est provoquer le courroux de Dieu. Tout comme un seul mot désagréable de
leurs enfants enfoncerait un clou dans le cœur des parents bien-aimés, de même,
comme Dieu aime les être humains, Il peut ressentir beaucoup d’indignation. La
moindre erreur que nous faisons, Dieu en ressent de l’indignation. D’où mon
désir de rendre Dieu heureux. (17-287, 15.2.1967)
Vous aussi, vous recherchez quelqu’un qui
veille sur vous ? C’est pareil pour Dieu. Le chemin pour captiver le cœur de
Dieu est de penser à Lui plus qu’à n’importe qui d’autre et à nous consacrer à
Lui. Dieu cherche ce genre de personne. (128-172, 12.6.1983)
Le premier commandement est d’aimer Dieu.
Faut-il l’aimer pour l’éternité ou pour un petit moment ? Allez-vous aimer Dieu
à en mourir ou sans prendre de risque ? Il faut L’aimer même si la foudre nous
tombe dessus. Nous devons aimer Dieu au risque de notre vie. Si vous aimez Dieu
à en mourir, alors, il n’y aura rien que vous ne puissiez faire. (37-25,
22.12.1970)
Il faut être un peu dérangé pour suivre ce
chemin. En regardant bien, les serviteurs loyaux furent plutôt des fous. Ils
avaient l’air un peu stupide, avec un caractère d’ours. Vous devez être du
genre un peu lourdaud, à telle enseigne que si l’on vous coupe le bras, cela
vous fera dire simplement : « Oh, ce n’est pas une coupure, ça. Encore plus,
s’il vous plaît. » Un ours ou un sanglier atteint par balle est ralenti par la
blessure. Il va se trancher le membre blessé d’un coup de dent et fuir en
courant. La dernière chose à laquelle il pense est la mort, et la première
chose qu’il a à l’esprit est la blessure qui le ralentit. Ayez donc ce genre de
lourdeur. Les patriotes et les héros furent un peu fous. Sachez être un peu
stupide. (26-143, 19.10.1969)
Quelle sorte de personne est le révérend Moon
? Je ne me connais guère d’autre talent que celui d’aller bêtement tout droit.
Si je me taisais et allais où bon me semble, cela ne dérangerait personne ;
pourquoi continuer et s’attirer des reproches sans fin ? Ce n’est qu’en
essuyant les persécutions de nombreuses personnes que je peux franchir le col.
Mais vous, vous cherchez à le contourner, non ? Pourquoi faut-il se détacher du
reste du monde ? C’est parce que vous ne pouvez pas aller tout droit si vous
vous laissez entraîner par l’amour de vos parents. Jusqu’ici, Dieu a cherché le
droit chemin, nous devons donc aller tout droit. (97-257, 19.3.1978)
Dieu est une personne très solitaire et
puisqu’Il est ainsi très délaissé, j’ai décidé de donner ma vie pour élargir
Son domaine ; je savais que c’était ma mission de réunir des gens qui vivent
pour servir Dieu, ne serait-ce qu’un peu, pour accomplir Ses espoirs et Sa
volonté.
Je suis né fils de Dieu : même si j’essuie
des insultes, même si on me frappe, j’endure avec amour et je n’ai pas à cœur
de me venger ; en fait j’ai la responsabilité d’établir Sa volonté. Ne songeant
qu’à établir cette tradition, je me suis battu avec la détermination de laisser
au moins cette tradition derrière moi, même en luttant et titubant, en courbant
la tête ou en rampant sur le ventre. (82-47, 30.12.1975)
À présent, vous devez vivre avec les Vrais
Parents. C’est pourquoi, les Vrais Parents sont dans la position de
grands-parents et de parents et vous êtes dans la position de fils aîné. Voici
la différence. En conclusion, trois générations doivent vivre ensemble. Vous
devez vivre en sentant que Dieu, les Vrais Parents et vos parents sont avec
vous. Vous êtes entrés dans l’âge où il est inconcevable de penser que « Dieu
n’existe pas » ou encore que « Dieu est mort ». (131-97, 16.4.1984)
Que faire pour recevoir l’amour des parents ?
Nous devons aimer tout ce que les Vrais Parents aiment. Et ce n’est qu’après
que nous serons aimés d’eux. Pour ce qui est de vos familles, si un fils désire
être aimé de ses parents, sachez que c’est après avoir aimé tout ce que ses
parents ont, qu’il sera aimé. Celui qui veut être aimé sans agir de la sorte
est un voleur. Si vous cherchez à prendre tout ce que vos parents chérissent de
façon irresponsable, vous ne pourrez être aimés. (133-26, 1.7.1984)
Vous êtes des gens rachetés au prix de mon
sang et de ma sueur. Mon corps a servi de rançon. Dès lors, vous devez faire le
même travail que les Vrais Parents. Je désire être fier de vous !
Engageons-nous publiquement ! (11-164, 20.7.1961)
Vous devez pleurer d’une envie irrépressible
en voyant les Vrais Parents qui sont en position de Dieu substantiel. Vous devez
avoir sans cesse envie de les voir. Vous devez avoir envie de les aimer et de
les servir en préparant un bol de riz ou un minuscule verre d’eau. Vous devez
avoir un désir aussi ardent. Il suffit d’avoir le cœur au bord des larmes. Ce
faisant, votre cœur et le mien seront unis, et vous et moi agirons de concert ;
vous saurez sur quel modèle je m’appuie, le passé qui l’éclaire, et les raisons
et situations dont il relève. Vous pourrez en outre en hériter. (38-75,
1.1.1971)
Dans le jardin d’Éden, Adam et Ève ont chuté,
et parce qu’ils ont vécu à l’intérieur de ce domaine déchu, ils n’ont jamais eu
l’expérience de vivre directement une vie de service et d’adoration. Les êtres
humains qui n’ont pu vivre une vie de service ne sont pas qualifiés pour entrer
dans le Royaume de Dieu.
Cependant, vous qui avez reçu le lignage de
la chute, il vous est donné de vivre au service de Dieu et des Vrais Parents
sur la terre, ce qu’Adam et Ève n’avaient pu faire, en indemnisant le cours de
la restauration. Et voilà comment vous acquérez la citoyenneté dans le Royaume
de Dieu. (150-233, 15.4.1961)
Comment vivre sa vie au service de Dieu ? Si
je vis en me disant que Dieu et moi sommes un, que je suis uni avec les Vrais
Parents et avec toutes les choses, je dois alors me dire : « Toutes ces choses
appartiennent à Dieu et, en même temps, elles sont à nos Vrais Parents et ce
qui est aux Vrais Parents appartient à la nation des Vrais Parents et ce qui
est de la nation des Vrais Parents est à moi ».
Cet univers appartient aux Vrais Parents et
cette maison appartient aux Vrais Parents, cette nation aussi est celle des
Vrais Parents et le monde également est celui des Vrais Parents. En conclusion,
parce que je suis le fils des Vrais Parents, toutes les choses sont les
miennes. (161-231, 15.2.1987)
Dans l’âge du Testament Accompli, Dieu
Lui-même revêtira l’apparence des Vrais Parents aux yeux de tous. Les
puissances politiques qui veulent faire plier l’Église de l’Unification s’y
casseront les dents. De nos yeux, nous voyons directement Dieu qui est vivant.
Par nos sens, nous pouvons faire l’expérience profonde de Sa présence et aller
de l’avant. Telle est la voie que suit l’Église de l’Unification. (La volonté
de Dieu et le monde, p. 286)
L’espoir des être humains est de rencontrer
les Vrais Parents. Même si nous devons passer par le chemin de la mort, nous
devons rencontrer les Vrais Parents. Même si vous perdez toute l’histoire et
toutes les périodes de temps de votre descendance, si vous rencontrez les Vrais
Parents, vous retrouverez l’histoire, votre âge et votre futur. Telle est la
valeur des Vrais Parents. (35-237, 19.10.1970)
Quand on pense à ces trois mots Cham Bu Mo,
les Vrais Parents, l’histoire est guidée par les Vrais Parents. Ils sont le
point de départ pour retourner au monde nouveau. À travers les Vrais Parents,
une relation intérieure est formée par laquelle Satan peut être subjugué et le
centre pour libérer Dieu de Satan, qui lui possède le monde extérieur, est
décidé. Ainsi, pour la première fois, le centre qui peut libérer Dieu et mener
cette œuvre à bien est fixé. Aussi doit-on commencer par être reconnaissant
pour cette grâce singulière : pouvoir vivre ensemble avec les Vrais Parents et
pouvoir bouger selon les directives des Vrais Parents. (43-144, 29.4.1971)
Nous devons libérer Dieu. Avec l’autorité du
vrai Dieu, nos premiers ancêtres devaient servir Dieu ; Il aurait pu vivre avec
eux au milieu d’un concert de louanges d’une félicité infinie. Il aurait dû
avoir une autorité absolue dans un environnement idéal, mais ce ne fut pas
possible. Mais après avoir compris que Dieu est devenu malheureux par nos
mains, nous devons donc Le libérer de nos propres mains. C’est une proposition
étonnante. Dieu est comblé de joie en recevant cette bonne nouvelle émanant des
milieux religieux. C’est le plus grand de tous les évangiles. Vu sous cet
angle-là, c’est à Dieu que l’on doit la fondation du bouddhisme ; c’est Lui qui
est à l’origine du confucianisme ; C’est Lui qui a établi la foi de l’islam ;
et c’est Lui qui a fondé le christianisme. Toutes les religions doivent
l’acclamer en levant les bras. (176-242, 11.5.1988)
Quand vous serez complètement unis avec les
Vrais Parents, les vrais nations, tribus, peuples et familles en viendront à
exister. Les Vrais Parents sont les êtres substantiels dont la valeur égale
toute la gloire du ciel et de la terre. Iriez-vous échanger les Vrais Parents
contre de l’argent ? Seriez-vous capables de les échanger contre votre vie ?
Voilà où se situe la différence par rapport aux jours d’antan.
Qu’importe où vous allez, vous devez trouver
votre chemin vers la Corée pour servir les Vrais Parents. Ce sera pareil pour
vos fils et filles et pour vos descendants dans des dizaines de milliers
d’années. L’Église de l’Unification est par conséquent différente et unique.
(30-237, 23.3.1970)
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