mardi 9 mars 2021

En apprenant à pêcher, on ne meurt pas de faim

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre II

Le monde de la plaisance et de l’industrie des loisirs

1. Le développement de l’industrie de plaisance

1.3. L’industrie de loisir du futur qui sera en vedette – la pêche à la ligne

1.3.3. En apprenant à pêcher, on ne meurt pas de faim

Connaissez-vous l’agriculture ? Moi, je m’y connais. Il faut que je vous l’enseigne. Un membre de l’Église de l’Unification doit savoir faire trois choses : l’agriculture, la pêche, la chasse. Vous pouvez aller les mains vides dans un village d’Afrique et au bout d’une semaine vous pourrez les nourrir et créer un fondement pour vivre vous-mêmes. Donnez leur à manger pendant un an et au bout d’un an, c’est eux qui vous nourriront. (262-256, 1.8.1994)

Il y a beaucoup de bêtes dans les zones tropicales. Un membre de l’Église de l’Unification doit savoir chasser et pêcher. Pourquoi ? Vous devez enseigner la pêche et la chasse pour survivre et sauver ainsi les gens du péril de la faim. Je garde donc ma dignité même en voyant du sang.

Jadis les grands-prêtres abattaient leurs offrandes. Je prends des animaux pour faire des membres de l’Église de l’Unification des prêtres (sacrificateurs). C’est un travail sacré. Lorsque vous aurez appris à chasser et à pêcher, j’ai l’intention de former des équipes qui peuvent aider en Afrique. Je les envoie les aider en faisant de la mission de chasse et de la mission de pêche et ceci doit être diffusé dans le monde entier. Où que l’on aille, il y a un moyen de les sauver par la pêche et par la chasse. (262-255, 1.8.1994)

Un temps viendra où un lac pourra nourrir des milliers, des dizaines de milliers de foyers. Le poisson est à nous, il suffit de savoir le pêcher. Qui pêcher ? C’est aux femmes d’y aller. Pourquoi ? Parce que la femme a des hanches larges comme un coussin. C’est confortable, et on peut rester assise pendant longtemps. Un homme en a assez au bout de trois heures seulement. Si une femme attrape ne serait-ce que trois poissons, elle peut nourrir et faire vivre trois enfants ; si elle en attrape quatre, elle peut même nourrir le père. Quand on pêche, on peut attraper dix poissons en une heure, voire deux douzaines.

S’il y a cent maisons dans un village, les cent femmes peuvent créer un club. En se disant qu’elles vont attraper cent poissons aujourd’hui, elles en attraperont cent, et si elles disent qu’elles en attraperont deux cents, ça ne pose aucun problème d’en attraper deux cents. Il suffit de mobiliser quelques personnes, ce n’est pas nécessaire d’y mettre tout le monde. Il suffit d’une fois par mois pour nourrir le village. (262-251, 1.8.1994)

La pêche est simple. Même dans la brousse d’Afrique, les femmes ont toutes des aiguilles. On allume la bougie, et la flamme suffit à transformer l’aiguille en hameçon. J’ai déjà fait tout cela autrefois. On n’a même pas besoin d’acheter une ligne de pêche. Ce n’est pas les fils de nylon qui manquent. Cette ligne n’a pas besoin d’être en fil de soie comme jadis. Puis pour avoir un poids on accroche un bout de plomb et pour avoir un flotteur, il suffit d’accrocher une tige de sorgho. Puis on accroche l’appât, et le bras sert de canne à pêche ; si on jette le tout, on peut attraper autant de poissons qu’on veut. Une chose qui existe en quantité illimitée est le poisson. Il n’y a aucun problème puisque les poissons existent n’importe où.

Le problème c’est que les épouses ne savent pas pêcher. Elles n’ont personne pour les diriger. Alors je dois pêcher ou chasser. On peut travailler à regrouper les villages et répartir les tâches ; quelques personnes se mettent ensemble pour attraper les animaux et vivre. Personne ne leur a enseigné cela. (263-45, 16.8.1994)

La faim tue en Afrique ou au Tiers Monde car les gens ne savent pas pêcher. Si la mère sait pêcher, ils ne mourront pas de faim. Il y a de l’eau et des lacs partout, des poissons en quantité infinie. On doit donc enseigner aux gens la pêche et l’aquaculture. Je suis déjà en train de faire un tel travail. Il suffit d’avoir du fil pour pêcher. Des aiguilles, ça se trouve partout. On allume une bougie, et on chauffe l’aiguille pour la tordre. Après, on attrape autant de poissons qu’on veut. Les appâts, on en trouve partout. Une personne peut sans problème nourrir dix enfants en une journée, car au bout du fil, il y aura des poissons gros comme eux. Alors qu’ils ont tout sous la main à côté d’eux ils meurent de faim, car ils n’ont pas de personne qui les dirige. (262-100, 23.7.1994)

Il faut avoir le sens des affaires. Vingt millions de personnes meurent de faim chaque année, il faut pouvoir leur sauver la vie. Il faut enseigner l’agriculture là où il y a de la terre et la pisciculture où il y a de l’eau et faire en sorte qu’ils ne meurent pas de faim. Les femmes et les enfants peuvent pêcher, pourquoi meurent-ils alors de faim ? Il y de l’eau et autant de poissons qu’il faut, pourquoi meurent-ils alors ? Nous faisons donc de la pêche. Vous devez enseigner la pêche. De plus, vous devez enseigner la chasse. Combien de crocodiles, de bêtes y a-t-il ? La Fédération du Tourisme et de la Chasse pour la Paix Mondiale est aussi une association pour la paix mondiale. Pourquoi faire de telles activités ? J’ai travaillé à perte pendant 20 ans pour préparer ce fondement jusqu’à maintenant. Les Vrais Parents doivent prendre responsabilité pour ceux qui meurent de faim dans le monde. Les êtres humains du monde entier sont nos frères et soeurs, nous ne pouvons donc pas les abandonner. Imaginez que 20 millions de personnes chaque année adhèrent au Mouvement de l’Unification !

En dirigeant ces activités à l’échelle mondiale, combien de personnes pourra-t-on sauver ? L’agriculture, la pêche s’apprennent rapidement même en une heure. Pourquoi faut-il faire cela ? Pour sauver les personnes qui meurent de faim. Apprenez donc les méthodes ici et repartez dans vos pays. (253-109, 9.1.1994)

La mère doit savoir pêcher pour ne pas laisser ses enfants mourir de faim. Combien d’eau, de poissons, de bêtes y a-t-il ? Il y a des rivières partout. Il suffit de pêcher un gros poisson pour en vivre pendant une semaine. Si l’on attrape un crocodile, on peut même en vivre pendant un mois. La viande séchée d’hippopotame vous nourrira pendant un an. Puis on peut vivre en chassant. J’ai créé une association de chasse et une association de pêche touristiques pour la paix mondiale. On peut organiser un tournoi de pêche et amener des femmes américaines désœuvrées et leur enseigner la pêche. Si on enseigne la pêche aux mamans qui meurent de faim, elles ne mourront pas de faim, où qu’elles aillent. Il leur suffit d’avoir de la terre et de l’eau. Il suffit de cultiver la terre. Les Blancs ne le leur ont pas enseigné. Ils ne leur ont même pas enseigné comment cultiver la terre et n’ont fait que les exploiter. Au final, ils ont été poignardés et chassés.

Mais on ne traite pas nos missionnaires de cette façon. Tout le monde les accueille. Pourquoi ? Parce qu’ils vivent pour les autres. Je construis donc des fermes au Texas et des terrains de pêche. Et j’organise pour tout le monde des sessions d’entraînement pour cultiver la terre. On peut également attraper dix sangliers, 100 sangliers en faisant des pièges. (254-305, 6.2.1994)

Si les femmes du Tiers Monde avaient au moins su pêcher, si elles avaient su faire des palangres, les gens ne mouraient pas de faim. Les lacs et les rivières regorgent de poissons. Faute d’avoir reçu un enseignement, les gens meurent de faim. Or un fusil au village suffit pour faire de la chasse, il y a tellement de moyens pour sauver les personnes qui meurent de faim. Je commence ce genre d’éducation maintenant dans le monde entier. Pour enseigner comment élever des poissons lorsqu’il y a de l’eau et comment faire de l’agriculture lorsqu’on a une terre, je prépare en ce moment une ferme au Texas comme lieu d’entraînement. On doit y envoyer beaucoup de gens. Les Blancs n’ont guère enseigné aux Africains à cultiver la terre. (255-70, 5.3.1994)

Il y a beaucoup à manger dans les montagnes. Même des lapins y survivent, les êtres humains ne peuvent-ils faire de même ? Si vous allez à la campagne, il y a la mer et des rivières. Les rivières et les mers ont beau regorger de poissons, vous ne savez pas les attraper. Je vous enseigne tout. À la saison de la chasse vous pouvez aussi chasser. Savez-vous tirer au fusil ? On peut également vivre de la chasse. Il suffit d’attraper un ours pour en vivre pendant un an. Pourquoi ne faites-vous pas d’études là-dessus ? (132-214, 1.6.1984)


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