mercredi 3 mars 2021

La Bénédiction réside dans la perfection de la famille idéale

Livre IX

Les familles bénies

Chapitre premier

Les Vrais Parents et la Bénédiction

3. Les responsabilités des familles bénies

3.4. La Bénédiction réside dans la perfection de la famille idéale

La volonté de Dieu par rapport au genre humain est de réaliser l’idéal de la création par la perfection du but de création. L’accomplissement de l’idéal de la création ne s’arrête pas avec le mariage d’un homme et d’une femme qui se marient et ne font plus qu’un dans l’amour ; après cela, ils doivent avoir des enfants. 

Les lois de nature stipulent en effet que les liens du haut et du bas, de devant et derrière doivent s’harmoniser. Si hier a existé, il doit y avoir un aujourd’hui, et s’il y a un aujourd’hui, il doit y avoir un lendemain. Tous doivent se lier entre eux. C’est pourquoi, s’il y a seulement le mari et la femme, il peut y avoir un aujourd’hui mais il n’y aura pas de lendemain. Et s’il n’y a pas de lendemain, tout s’arrêtera. Voilà pourquoi, selon les lois de la nature, il ne peut y avoir de droite et de gauche que lorsqu’il y a le haut et le bas. (85-178, 3.3.1976)

L’idéal de Dieu qui devait être accompli par les premiers ancêtres était d’avoir un homme et une femme réunis ensemble, qui auraient ensuite fondé une famille idéale. À cet égard, le centre d’une famille idéale n’est ni l’homme ni la femme. Une famille est un groupement formé par l’union du mari et de la femme, des parents et des enfants ; au centre de ce groupe se trouve l’amour de Dieu.

Nous pouvons en conclure que la volonté de Dieu est de parfaire une famille où l’amour de Dieu est au centre. (La famille bénie et le Royaume de Dieu idéal I, p. 301)

L’idéal de Dieu peut poindre sur la terre à partir de la famille ; c’est aussi là que le bonheur de l’humanité peut prendre forme sur terre. L’œuvre de l’humanité y trouve son point d’aboutissement, et l’œuvre de Dieu y est accomplie. (La famille bénie et le Royaume de Dieu idéal I, p. 934)

Pourquoi les familles sont-elles bonnes ? C’est que la famille est la base de toutes les activités libres axées sur l’amour des parents. (99-305, 1.10.1978)

Une famille doit comporter les parents, les conjoints et les enfants. Alors seulement le bonheur s’invitera dans cette famille. Sans nul doute, Dieu cherche ardemment à restaurer l’humanité pour y trouver Son propre bonheur. 

Aussi, quand Dieu essaie de bâtir un fondement pour le bonheur, un tel idéal ne peut avoir de sens sans l’humanité. Il ne peut arriver à ce terrain d’entente qu’en forgeant un lien avec l’être humain. Nous ressentons le bonheur dans nos familles seulement quand elles regorgent d’émotions et de sentiments. C’est aussi le genre d’endroit où Dieu veut ressentir le bonheur. (32-198, 15.7.1970)

Quand vous atteignez l’unité et que Dieu est au centre, des figures et des formes en tout genre se mettent à tourner avec vous. C’est pourquoi, lorsqu’il s’agit d’amour entre frères et sœurs, l’aîné doit aimer le cadet de la même façon que les parents aiment leurs enfants. Dans une famille unie par ces liens affectifs, l’amour s’épanouit, et devient alors l’amour de la société, se développant ensuite en amour de la race et amour du monde. (28-170, 1.11.1970)

Une vraie famille est là où le mari aime son épouse et vit pour elle comme s’il s’agissait de sa mère, et où l’épouse aime son mari et vit pour lui comme s’il s’agissait de son père, et où le mari et la femme s’aiment l’un l’autre comme s’ils étaient frère et sœur. Un monde où le mari aime son épouse comme il aime Dieu, et l’épouse aime et respecte son mari comme elle aime Dieu, est le Royaume de Dieu, peuplé de familles idéales. Voilà la tradition qui doit s’établir ici sur la terre. (La Famille Bénie et le Royaume de Dieu idéal I, p. 920)

Dans une famille idéale, l’amour éternel des parents, l’amour éternel entre mari et femme, et l’amour éternel des enfants, axé sur Dieu, peuvent trouver leur place. (La famille bénie et le Royaume de Dieu idéal I, p. 913)

Dans la vie d’une personne, les moments les plus importants sont ceux de sa naissance, de son mariage, et de sa mort. Alors, quand un être naît, comment doit-il naître ? Il doit être bien né. Dans le langage de l’Église de l’Unification, il doit naître sur la base des liens du cœur. Autre moment important : le mariage. Avec le mariage, la vie commence à se répandre.

Autrement dit, on se marie pour accomplir le fondement des quatre positions. C’est seulement quand une loi publique de l’univers s’établit sur terre que la volonté de Dieu et la volonté du genre humain, peuvent s’accomplir. Les familles sont là pour qu’à travers elles, de telles lois de l’univers puissent s’établir dans la forme comme dans le fond. (24-230, 17.8.1969)

Où commence la vie dans le Royaume de Dieu ? Dans la famille, pas ailleurs. Le Royaume de Dieu est une version amplifiée de la famille, et n’est donc pas hors de portée de la sphère de la famille. Alors, en embrassant votre conjoint, gardez à l’esprit que par ce geste, tous les hommes et toutes les femmes dans le monde se sont réunis. S’il est un endroit où vous pouvez établir la condition d’avoir aimé toute l’humanité de cette façon, c’est la famille. (30-83, 17.3.1970)

Quand vous atteignez l’unité et que Dieu est au centre, des figures et des formes en tout genre se mettent à tourner avec vous. C’est pourquoi, lorsqu’il s’agit d’amour entre frères et sœurs, l’aîné doit aimer le cadet de la même façon que les parents aiment leurs enfants. Dans une famille unie par un tel amour on peut trouver l’amour de la famille, qui peut alors devenir l’amour de la société, et se développer ensuite en amour de la race et amour du monde. Toutefois, ce n’est qu’une vision brumeuse dans le monde d’aujourd’hui. (28-170)

Le lien d’amour vrai entre parents et enfants est de haut en bas, le lien d’amour vrai entre mari et femme est de gauche à droite et le lien d’amour vrai entre frères et sœurs est d’avant en arrière. Dieu espérait ainsi accomplir l’idéal de l’amour vrai sous forme d’une sphère en rotation. Autrement dit, au point central où se croisent la verticale du haut en bas, l’horizontale de gauche à droite et la médiane d’avant en arrière, l’unification se produit. Ce point joue le rôle de centre de la sphère. Quand les quatre grandes sphères du cœur, à savoir celles des enfants, des frères et sœurs, des conjoints et des parents, peuvent-elles s’unir ? Là où deux êtres humains se marient et font l’amour pour la première fois en mettant Dieu au centre, devient le point d’aboutissement et le centre de toute la perfection. Le mariage est donc l’assemblement de toutes les personnes du ciel et de la terre, et la perfection du vertical et de l’horizontal, de la gauche et de la droite, de l’avant et de l’arrière. Le mariage est un lieu de perfectionnement de l’idéal des vrais enfants, des frères et sœurs, des conjoints, et des parents, par l’amour vrai. (259-42, 27.3.1994)

Dans une famille, si quelqu’un demande quel est le meilleur aspect de cette famille, ce n’est pas à vous d’en décider. Qui a la plus grande valeur dans une famille ? Ce sont les parents. Vous-même, à titre individuel, il se peut que vous attachiez de l’importance au pouvoir, à la connaissance, aux honneurs ou à l’argent, mais rien ne saurait avoir plus de valeur que vos parents. Ensuite viendraient votre conjoint, puis vos enfants.

Franchement, y a-t-il chez vous quelque chose de plus précieux que vos parents, le conjoint, ou les enfants ? Certes non. Alors, qu’est-ce qui fait que les parents sont les plus précieux dans une famille ? Pourquoi le mari et la femme, et les enfants seraient-ils précieux dans une famille ? C’est l’amour qui leur donne ce prix. L’amour parental est absolument nécessaire pour la relation des conjoints avec leurs enfants. 

L’amour entre frères et sœurs et le cœur de piété filiale que les enfants témoignent à leurs parents sont absolument nécessaires dans une famille. (La famille bénie et le Royaume de Dieu idéal I, p. 915)

Dieu étant la substance de l’amour vrai, quand on se lie à l’amour vrai, tout le monde devient une partie d’un seul corps. Les parents sont des dieux vivants qui représentent Dieu, le mari et la femme sont des moitiés de Dieu, et les fils et filles sont de petits dieux. Une structure familiale formée par trois générations axées sur l’amour vrai de cette façon est la base du Royaume de Dieu. Il faut parfaire de telles fondations pour que le Royaume de Dieu puisse s’établir. La famille est le centre de l’univers. La perfection de la famille est la base pour la perfection de l’univers, et s’il y a l’amour dans une famille et l’amour dans l’univers, vous pouvez aller où vous voulez. Dans ce cas, Dieu se tient dans la position complexe de centre de l’amour comme parent de l’univers entier. (298-306)

Le fondement des quatre positions qu’enseigne le Principe divin de l’Église de l’Unification se rapporte aux sphères du cœur de trois générations. L’idéal de la création de l’univers ne peut se réaliser que si trois générations vivent dans l’amour et l’harmonie sous un même toit. 

Il va sans dire que le mari et la femme doivent s’aimer l’un l’autre, mais la famille ne peut vivre en harmonie et dans le bonheur que quand les parents prient aussi avec amour pour leurs enfants et veillent sur eux avec zèle. 

L’amour parfait passe par ces liens verticaux et horizontaux. La sphère de l’amour peut alors s’accomplir et être parfaite, seulement quand les cousins et cousins issus de germains sont aussi de la partie. (La famille bénie et le Royaume de Dieu idéal I, p. 947)

L’amour idéal est une affaire de famille. Or Dieu n’a pas pu avoir de vrais fils et filles. Il n’a pas pu avoir de vrais frères et sœurs, ou de vrais conjoints. Et Il n’a pu devenir un Parent. C’est donc la volonté de Dieu d’accomplir cela. Et là où Il y parvient, l’amour peut demeurer. Les gens accourront à cet endroit, où un tel amour est accompli, laissant derrière eux tous leurs biens. (19-314, 17.3.1968)

Dieu est le centre de la famille, et ce monde devrait venir sous le règne de Dieu. Les familles bénies devraient s’efforcer de se relier au Royaume de Dieu. C’est seulement quand elles vivent pour les autres au nom de Dieu que des tribus, des races, des nations et le monde peuvent se former. La famille doit donc remplir sa responsabilité d’établir un monde centré sur Dieu. L’Église de l’Unification autour des Vrais Parents est comme une grande tribu, une grande race. 

L’Église de l’Unification a pour but de réunir les cinq grandes races en une seule ; à partir de là de fonder une nation qui peut servir le monde plus que tout autre nation ; c’est aussi le but que je poursuis et le but que Dieu poursuit par le biais des Vrais Parents. (100-310, 22.10.1978)

Dans l’Église de l’Unification, nous croyons que le Royaume de Dieu commence au niveau de la tribu. Quand les parents et les frères et sœurs s’unissent entre eux, et que même les cousins et cousins issus de germains s’unissent entre eux centrés sur le grand-père, alors, on peut arriver à l’accomplissement de trois générations. Quand cet amour prendra forme dans la sphère de la tribu ici sur terre, avec Dieu au centre, le monde entier deviendra un monde d’amour en union avec Dieu : ce sera le Royaume de Dieu.

C’est comme pour une femme mariée. Le grand-père et le beau-père représentent Dieu et son mari, elle doit les servir avec amour. En outre, elle doit vivre en bonne entente affective avec ses beaux-frères et belle-sœur. Avec l’extension de ces liens d’amour à la société, au peuple, à la nation et au monde, la paix et l’amour rempliront ce monde en lieu et place du péché et de la guerre. Ce monde serait alors le monde idéal, le Royaume de Dieu qui manifeste concrètement l’idéal de Dieu. (La famille bénie et le Royaume idéal I, p. 947)


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