mardi 9 mars 2021

La chasse et la pêche

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre II

Le monde de la plaisance et de l’industrie des loisirs

1. Le développement de l’industrie de plaisance

1.1. La chasse et la pêche dans le cadre de l’industrie des loisirs

Le développement de l’industrie des loisirs a un avenir assuré. Les activités sportives stimulantes sont nécessaires pour se détendre des tensions de la vie en milieu urbain. Comment évacuer ces tensions ? Je vois trois manières : la chasse, l’équitation et la pêche à la ligne.

La chasse et l’équitation sont soumises à beaucoup de restrictions. L’équitation reste réservée à des classes sociales bien précises. Ce n’est pas à la portée de toutes les bourses. Tout le monde ne peut donc pas en faire. La chasse, c’est bon quand on est dans la quarantaine, mais passé 50 ans, gare aux efforts trop poussés que demande ce sport ! Et puis, les plaisirs de la chasse restent l’apanage de certains milieux. Mais la pêche à la ligne, on peut en faire jeune, et jusqu’à sa mort. Alors je dis que dans l’avenir, la pêche de plaisance peut devenir une entreprise mondiale. (207-122, 1.11.1990)

Qu’appelle-t-on industrie des loisirs ? Il y a le casino, les sports d’équipe, la chasse et la pêche à la ligne. Je suis en train de préparer tout cela. Dominer l’industrie des loisirs dans le futur, c’est dominer le monde. Il s’agit d’une véritable puissance. Tout ce que j’ai préparé pendant des décennies, je l’ai fait pour l’humanité. Pour ce qui est de la pêche aussi, je le fais sans but lucratif. Pêcher est bon pour se détendre. Les poissons sont bons à manger. Quand on pêche pour se détendre, on peut relâcher les petites prises et manger les gros poissons. Quand on mange, il faut le faire avec les autres. Partager le butin. Les loisirs, c’est fait pour ça. Et on va vers cette époque. (252-295, 1.1.1994)

Le gouvernement canadien nous presse d’agrandir notre ranch de cerfs. Ils fourniront plus de 80 % des capitaux. Si on regarde cela de près, ce sera une source de revenus énorme pour le pays. Le meilleur remède contre le mal de vivre moderne, c’est d’évacuer les tensions, et il n’y a pas de méthode plus sûre pour cela que de pratiquer la chasse et la pêche comme loisir. Ceux qui font de la chasse sont tous des gens qui ont du cran. Il ne faut pas être une femmelette pour aller chasser. Les chasseurs sont des gens qui aiment la bagarre, ils ont l’étoffe des généraux. Leur rayon d’action est large. Quand ils gagnent de l’argent, ils en gagnent pas mal, et pour ce qui est de le dépenser, ils savent aussi le faire. (219-196, 29.8.1991)

La pêche à la ligne se fait surtout l’été, car en hiver on est bloqué. Le problème est d’arriver à pêcher toute l’année. J’emmène donc des gens de Kodiak pour voir ce qu’on peut faire. La pêche est une bonne pratique estivale, alors que l’automne et l’hiver conviennent bien pour la chasse. On peut donc s’adonner aux deux en alternance. Par conséquent, pour couvrir toute cette période de l’industrie des loisirs au sens large, la pêche et la chasse, qui font partie de l’industrie des loisirs, sont absolument nécessaires. La chasse se pratique par temps frais et la pêche quand il fait bon, voire chaud ; alors si on combine les deux, c’est un sacré tremplin pour les loisirs. Qu’on soit en hiver ou en été, on peut s’adonner à l’un ou l’autre de ces loisirs. Les gens aisés du monde entier peuvent s’adonner à ces loisirs toute l’année. (270-300, 7.1995)

La pêche à la ligne et la chasse sont des loisirs. Ce sont en général des loisirs de riches, pour des gens des milieux aisés. Il faut donc développer l’industrie des loisirs. Je créerai une structure de tourisme que je dirigerai moi-même. (269-49, 6.4.1995)

Parmi les loisirs il y a la chasse, la pêche, et les activités où l’on doit faire de l’exercice. Il y a aussi des disciplines plus aventureuses : la grande vitesse, les courses automobiles, le pilotage d’avion. Si on fait un spectacle aérien en Amérique du Sud, avec des milliers d’avions qui ne se télescopent pas, des gens du monde entier viendront s’y rassembler. Ces engins se laissent tomber d’une hauteur de mettons 10 000 mètres dans un temps record, et viennent faire du rase-mottes pour remonter en flèche. Quand vous voyez des exploits pareils, ça vous ôte le stress automatiquement. C’est tout un monde d’aventures qui s’ouvre devant vos yeux. (276-184, 19.2.1996)

Le premier contact avec la pêche ne va pas forcément vous enchanter. Mais vous en goûterez peu à peu le charme ; si vous continuez une fois, deux fois, vous ressentirez une fascination croissante. Pour la chasse, c’est pareil. On commence par attraper des petits oiseaux, et quand on y prend goût, on vise alors plus gros, et de plus en plus gros ; on achète alors un fusil de chasse, puis une arme de plus forte puissance. Il n’y a pas de limite. On ne peut pas faire autrement. Vous voudrez aller de plus en plus haut. La vie de l’être humain est ainsi faite. Voilà donc un secteur où les perspectives de développement mondial sont très réelles.

J’espère que des ambassadeurs viendront plusieurs fois par an. En agissant de la sorte, par le biais des ambassadeurs, vous pourrez donner des conférences et enseigner tous les gens de ces pays. On peut se réunir pour aller à la pêche ou à la chasse ou bien pour faire des banquets. Vous qui êtes dans ce pays, vous pouvez aussi créer des clubs et vous lancer dans les affaires avec vos compatriotes qui sont actuellement dans ce pays. (253-116, 14.1.1994)

On ne fait pas de l’équitation comme on veut, et ceux qui sont un peu âgés ne peuvent pas aller à la chasse. Mais la pêche, c’est bon à tout âge. C’est en ce sens qu’il n’y a pas de restrictions pour la pêche. Si on met des gens sur un bateau et qu’on les éparpille sur la mer, même si on attrape un petit poisson, c’est déjà ça. Alors les tournées en mer peuvent se développer à l’infini. C’est l’Alaska qui offre le plus de possibilités. (205-319, 1.10.1990)

Comme j’ai confié un pays à chacun de vous, je vais amener le gratin mondial à la pêche et à la chasse. On prendra aussi du temps pour chanter et danser tout cela en restant sobres. Notre époque se prête à cela. Je suis en pleins préparatifs pour développer l’industrie des loisirs au plan mondial, et j’ai distribué des bateaux dans 160 nations.

Nous ferons des bâtiments en copropriété, et créerons un système où les gens peuvent vivre ensemble, mais pas dans des maisons séparées ; j’ai aussi planifié d’emmener les personnes âgées du monde entier dans des parcs pour pouvoir les éduquer. Nous faisons en sorte qu’il y ait des bateaux, des terrains de chasse, des aéroports et des hôtels. Je crois que l’on peut guider le monde avec ce genre d’industrie des loisirs. Tout à ces préparatifs, je suis en train de monter une compagnie aérienne. On peut voler partout avec des avions de petite taille et de taille moyenne. Je me suis rendu dans tous les lieux de villégiature célèbres accessibles par des gros porteurs. Je compte me lancer à présent dans un réseau de stations touristiques mondial en préparant des aéroports jusque dans les campagnes.

Je vais rendre populaire l’usage des petits appareils dans le transport aérien. La compagnie aérienne que je suis en train de mettre en place desservira 160 nations. J’ai pu visiter toutes les stations touristiques desservies par les gros avions. J’ai donc l’intention de créer des lacs et des terrains de chasse dans ces lieux. (275-183, 8.12.1995)

Il faut rapprocher les classes moyennes et les classes supérieures par l’industrie du tourisme. Ceux qui font des voyages appartiennent en général à ces classes là. Nous créerons donc beaucoup de lieux de chasse pour les hommes d’affaires et des fermes aquacoles pour la pêche dans le monde entier. Voilà les secteurs où il faut se lancer. (262-256, 1.8.1994)

Ce serait épatant de construire des infrastructures touristiques en creusant un canal jusqu’à l’océan Atlantique et en créant des terrains de chasse et des zones de pêche. Je vais enseigner aux ressortissants des pays où il y a de la terre et de l’eau, afin d’éviter la malnutrition. (246-89, 23.3.1993)

1.2. Un bateau insubmersible, One Hope

Que veut dire One Hope ? Cela veut dire que c’est le premier espoir de la mer. Dans le passé, les constructeurs se sont vantés avec des bateaux de luxe de 10 à 15 mètres ; le nôtre est plus petit, mais rapide. Comme nous filions à toute allure, tout le monde s’est moqué du petit bateau en disant : « Mais c’est dangereux. Ils vont se tuer. » Pourquoi mourir, voyons ! Ils ne savaient pas que ce bateau est insubmersible. (270-64, 4.5.1995)

Pour établir un lien avec la mer, le plus important est un bateau qui permet de flotter sur la mer. Nous devons créer des bateaux qui font honneur à la tradition. L’histoire devra faire l’éloge des bateaux que nous construisons, bien plus que les bateaux fabriqués par d’autres sociétés. (262-243, 1.8.1994)

Que ferons-nous de nos petits bateaux ? Ils serviront à pêcher. La plupart des gens s’intéressent à la pêche à la ligne, mais beaucoup moins à la pêcherie, qui consiste à pêcher les poissons avec un filet. Dans le futur, l’intérêt pour la pêche au filet sur de gros bateaux s’éteindra. C’est pourquoi nous avons construit le New Hope ici. Nous avons construit ce bateau en nous disant qu’il faut concevoir un bateau qui peut aussi bien naviguer dans un fleuve que sur une rivière. Notre New Hope est maintenant célèbre. Lorsqu’on fait de la pêche à la ligne, tout en faisant le guide, on est célèbre. Ce n’est pas un bateau qui navigue uniquement sur l’océan. On peut le transporter n’importe où grâce à une voiture. (262-240, 1.8.1994)

Si vous voulez amener ce bateau d’ici en Floride, vous pouvez facilement le tracter avec une voiture. Par bateau, il faut environ deux jours pour aller d’ici en Floride. En voiture, une grosse journée suffit. La traversée des États-Unis d’est en ouest peut se faire en quatre jours en voiture. Par la mer, vous en avez pour un mois. Le bateau a été conçu pour chevaucher les vagues et pour enjamber deux vagues à la fois. Sa longueur dépasse donc les neuf mètres. Nous avons choisi cette taille car une taille plus petite ne permettrait pas de bien naviguer. En partant de cette longueur de neuf mètres, nous avons construit des bateaux de 11,5 mètres, puis de 16 mètres, de 30 mètres et jusqu’à 33 mètres. Le bateau de 33 mètres est idéal pour manœuvrer sur les mers fortes d’Alaska en tirant derrière nous un chalut. (262-240, 1.8.1994)

Quand on navigue en mer, il faut se renseigner sur sa position pour prendre le bon cap vers la destination. Si on ignore sa position, les manœuvres du bateau deviennent hasardeuses, surtout par temps de brouillard. C’est alors très inconfortable. Il y a une dizaine d’instruments pour ce but. J’ai donné des instructions pour chercher un moyen de regrouper tous les rôles sur un même instrument.

Nous avons donc dépassé le stade de la recherche et sommes en train de fabriquer un appareil dans lequel on regroupe plusieurs jauges sur un système unique ; il est alors possible de connaître la direction et la position du courant, la profondeur de la mer et jusqu’aux mouvements des poissons. Notre système innovant est une synthèse de divers instruments reliés à un ordinateur. En entendant cette nouvelle, les nations du monde entier sont entrées en concurrence et nous demandent de le fabriquer car ils construiront des usines dans leur pays. Mais nous sommes clairs : « Nous devons le faire dans les entreprises de notre mouvement ! »

Connaître la profondeur de la mer et les mouvements des poissons, ce sont des données importantes. Ce qui est mystérieux avec la mer, c’est que lorsqu’on a attrapé beaucoup de poissons avec un filet, il est difficile de revenir au même endroit. Lorsqu’on tire un filet pour pêcher du poisson, on attrape beaucoup de poissons en prenant quel trajet ? Il y a des endroits où à une distance de tout au plus dix mètres un bateau va pêcher le triple de son voisin. Quand à savoir pourquoi, c’est qu’il y a un banc de poissons à cet endroit. Comme il est difficile de retrouver ces endroits pour pêcher, c’est là que notre système entre en jeu. On entre dans l’ordinateur les endroits où l’on a pêché beaucoup de poisson, on peut y retourner même cent fois et le filet sera descendu automatiquement et on sera guidé pour prendre le trajet. C’est du beau travail. (134-237, 20.7.1985)

J’ai préparé tout ce fondement de mes propres mains. Si j’ai besoin d’un bateau, je peux en construire de tous les types. En ce moment, je fais faire des recherches pour créer même un sous-marin, un sous-marin de petite taille. Des recherches sont faites en Norvège et au Japon. Dans le futur, nous construirons des sous-marins familiaux de petite taille. On pourra y vivre à différentes profondeurs de la mer. Il y aura donc des résidences sous-marines au milieu de l’océan pour pouvoir y vivre. (190-100, 18.6.1989)

Nous aurons la famille fourgonnette, la famille sous-marine et la famille vaisseau spatial. On vivra une semaine ici, et une autre semaine en mer, et puis on ira encore ailleurs. Je détiens cette technologie la plus avancée. Je peux créer les fourgonnettes et les sous-marins, la prochaine étape sera le vaisseau spatial. (276-218, 14.2.1996)


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