
Livre
XII
La
providence du Pacifique
Chapitre
premier
Le XXIe
siècle sera l’âge de l’océan
2. La
providence de l’océan menée par les Vrais Parents
2.2. La
providence de l’océan en Amérique du Sud
2.2.2.
La Terre sainte du Pantanal
Le
Pantanal est une région qui couvre la moitié de la surface de la France. Dans
le lac Pantanal, vivent 3 600 variétés de poissons. 3 600 sortes de poissons y
vivent. On peut alors se demander combien de lacs et de cours d’eau dans le
monde offrent pareilles conditions de températures et d’environnement. Je suis
en train d’étudier cela selon des branches et en train de créer des endroits où
on peut faire de l’élevage. Ce modèle pourra alors s’étendre au monde entier.
(271-39, 15.8.1995)
Le
Pantanal regorge d’endroits où la nature primitive est restée telle que Dieu
l’a créée. En d’autres lieux, les espèces n’ont pas pu subsister, et ont été
exterminées ; les seuls endroits qui restent sont cette région autour du
Pantanal et la zone autour de l’Amazone. La nature y est restée telle quelle,
et toutes les espèces primitives que Dieu a créées y sont concentrées.
Pourquoi
suis-je venu ici ? Je ne suis pas venu seul. Dieu est venu avec moi pour aimer
toutes les créatures qui ont été sacrifiées dans l’histoire. À l’époque de Noé,
les poissons n’ont pas été jugés par Dieu. Je suis venu au Pantanal ouvrir un
chemin afin que les créatures puissent revenir par l’indemnité, en créant un
lien avec les poissons, qui n’ont pas été jugés. Il faut aimer tous les êtres
que Dieu a créés. J’ai la responsabilité de les protéger. Il faut accroître le
nombre des espèces au lieu de les exterminer ce qui reviendrait à en avoir
moins qu’au temps où Dieu les a créées. (300-266, 24.3.1999)
Le
Pantanal a des poissons et des plantes à foison. Le fleuve Amazone possède 3
000 espèces contre 3 600 pour le Pantanal. Imaginez toutes ces espèces. Il y en
a de toutes sortes, des herbes aux céréales et aux arbres ; mais Dieu n’a pas
placé les choses à tel et tel endroit en faisant de la magie comme notre héros
Hong Gil-dong. Il a tout créé selon le plan qu’Il avait à l’esprit pour que
toutes les structures se conforment aux lois de la nature et aux conditions
climatiques. (291-164, 11.3.1998)
Le
Pantanal peut devenir la chambre forte pour les animaux ou les plantes
primitives que Dieu a créés. Je suis en train de lancer un mouvement mondial
pour sauvegarder et protéger ceci. Allez-vous coopérer ou non ?
L’être
humain est déchu à cause d’Ève. C’est pour cela que j’ai ordonné aux messies
nationaux du Japon de venir au Pantanal pour tout faire fonctionner. En
êtes-vous reconnaissants ou est-ce que cela vous déplaît ? La mère doit élever
ses enfants, même s’il lui faut vendre sa chair. Vous devez aider à élever les
plantes et les animaux. Si le Japon peut relier le lignage aux terres de ce
monde, cet endroit deviendra tout naturellement la propriété du Japon.
(304-255, 8.11.1999)
Il y a
3 600 espèces de poissons dans la région de l’Amazone et dans l’arrière-pays
Pantanal. Il y a 3 600 espèces, mais toutes les espèces y sont conservées
telles que Dieu les créa à l’origine. C’est le cas dans la région de l’Amazone
et dans les zones des rivières du Paraguay. Sur la base de ces 3 600 espèces
nous créerons une ferme aquacole. Les personnes qui s’intéressent aux poissons
viennent même si on leur dit qu’il ne faut pas venir. Puisque nous avons des
journaux, nous pouvons y écrire : « C’est une ferme aquacole où on élève 3 600
espèces. » La nouvelle se répandra. Essayez : « 36 espèces ont été élevées.
Maintenant on progresse vers 360 espèces. Dans quelques années on aura élevé
360 espèces. Dans quelques années 3 600 espèces auront été élevées. » Les
personnes qui s’intéressent aux poissons, vont-elles venir ou pas ? (292-24,
27.3.1998)
Vous
n’avez aucune idée du nombre de poissons dans un lieu comme le Pantanal. Si on
y jette quelque chose, ça redevient propre en un rien de temps. La propreté
revient aussi vite que l’éclair. Même quelque chose de très sale est nettoyé
sur le champ. Il y a plusieurs variétés de poissons, chaque espèce ayant une
nourriture différente. Toutes ces espèces se mélangent et n’ont de cesse de
nettoyer l’eau. Sachez qu’ils nettoient en mangeant. Ils ne vivent pas pour
eux-mêmes, mais vivent en remettant l’environnement en ordre, en nettoyant les
environs et en s’entraidant. La structure d’entraide de la nature est ici à
l’œuvre.
Il y a
à Pantanal une plante qui s’appelle la jacinthe d’eau. Si l’on regarde le
dessous des feuilles de cette plante, des insectes la grignotent. Ce sont tous
des appâts pour poissons. S’il n’y avait que ces insectes, ils finiraient par
ronger toute la feuille, mais puisqu’il y a des poissons qui les mangent, ces
plantes vivent. (293-283, 17.6.1998)
Le
surubì est un poisson du genre silure ou poisson-chat. Il fréquente les fonds
marins. Le boga lui est un adepte de l’eau qui coule. Le dorado se trouve lui
aussi dans les courants rapides. Le boga ne prend que la matière de l’hameçon
et disparaît. Le dorado ne peut mordre quelque chose et s’échapper, mais le
boga le prend simplement comme ça. Dites moi, est-ce que ce sont des poissons
faciles ou difficiles à pêcher ? Dois-je commencer par vous enseigner à pêcher
les poissons difficiles ou les poissons faciles ? La pêche aux surubìs se fait
de nuit. (293-232, 26.5.1998)
Certains
poissons ont des habitudes végétariennes. Ce coquin de dorado a du courage,
même quand il tourne et tourne (dorado, dorado en coréen) pour aller n’importe
où. En mordant, ce voyou fait un bruit : « chut ! ». Quand cinq personnes
lancent l’hameçon loin du bateau, on distingue mal les hameçons ; s’ils
bougent, on ne sait pas sur lequel ça mord. Après avoir demandé : « à qui est
cette ligne, à qui ? », il faut rentrer la sienne complètement, pour savoir : «
Ah, c’est la mienne ! » et on est surpris. Vous allez devoir faire cela trois
fois, quatre fois, cinq fois, six fois. C’est une sacrée expérience. La vue de
ce poisson au coucher du soleil, cette teinte dorée, on ne peut l’admirer que
chez le dorado. Ce spectacle vaut la peine au moins une fois dans sa vie. C’est
dans la nature humaine de vouloir faire ce genre d’expérience. (293-232,
26.5.1998)
Le
Pantanal est un endroit où la terre et l’eau, l’eau et les plantes vivent en
symbiose. C’est un lieu exquis. Autour du Pantanal et dans la région de
l’Amazone, les êtres vivants sont tous restés tels qu’à l’origine au moment de
la création. Depuis la création, ils sont restés tels quels et ont vécu
naturellement sans être endommagés et les chaînes selon les espèces sont
reliées. Le Pantanal est donc la Terre sainte du monde.
En
allant au Pantanal, on verra beaucoup de ces choses. Le pacu mange des bébés
caïmans. Lorsqu’il les mange, il ne les mange pas en disant : « Eh, tu as du
caca dans ton ventre, n’est-ce pas ? ». Quand ils mangent des insectes, il y a
du caca sur leurs ailes, et il y a plein de choses sales qui leur collent
dessus, des excréments d’êtres humains ou de chiens. Est-ce qu’ils les mangent
après les avoir lavés, ou est-ce qu’ils les avalent en entier ? Quelqu’un qui
ne peut pas avaler en entier, ne peut pas unifier le monde. Il faut savoir
avaler en entier. Il faut manger les bonnes et les mauvaises choses.
L’être
humain déchu jette les mauvaises choses et ne veut manger que les bonnes, pas
vrai ? L’amour n’agit pas comme cela. L’amour prend tout jusqu’à l’enfer et
l’absorbe. (295-186, 28.8.1998)
Dans le
Pantanal, les grands poissons avalent les petits et les mangent. Il y a des
excréments, de l’urine, les intestins et des saletés, mais ils les avalent en
entier. Ils avalent la tête, l’endroit à la queue qui sent mauvais, ils avalent
tout en entier. Une personne qui avale comme ça en entier, ne serait-elle pas
un fils de roi dans le monde de la sphère de libération ? Ça devrait être le cas
à mon avis. (295-220, 28.8.1998)
Vous
devez aller au Pantanal et « avaler en entier, avaler en entier ! ». Vous devez
aller dans le monde des poissons et tout avaler. Je vous enseigne donc de tout
avaler en entier sur ces terres. Il ne faut pas devenir une personne faible qui
ne peut pas avaler sa tribu, sa famille, ses ancêtres, sa parenté en entier. Il
faut devenir une personne forte. (295-237, 28.8.1998)
Lorsqu’on
va au Pantanal en été, vous verrez le plus gros avaler le plus petit même si la
différence n’est pas grande. La morue ne va pas se gêner pour avaler tout cru
un bébé requin. Sans hésitation. Tout ce qui est plus petit que soi, on
l’avale. C’est fascinant, non ? Si les gros ne mangeaient que les tout petits,
ces derniers se plaindraient à Dieu : « Dieu, pourquoi serions-nous les seuls à
être mangés ? » Quand Dieu créa toutes les choses en partant de l’eau, Il fit
en sorte que les plus gros mangent les plus petits ; quelle que soit l’espèce,
il faut l’avaler complètement. Alors quand on est grand, on peut manger les
petits, et nul ne s’en plaindra. (296-90, 3.11.1998)
Le
Pantanal est le monde des relations où on avale complètement. Pantanal veut
dire : « nareul panda (Je me vends) ». Comme je le fais pour un but, c’est sans
importance. Par conséquent, l’esprit du Pantanal est d’avaler complètement les
bonnes et les mauvaises choses, de les absorber et de grandir pour avoir de
l’influence afin de vivre. Quelle est la volonté de Dieu ? N’est-elle pas aussi
d’avaler complètement le monde satanique autant que le monde de bien ?
(296-305, 18.11.1998)
Dieu
rétablira à coup sûr l’être humain dans le monde d’avant la chute. Il doit
S’occuper des ennemis pour restaurer le monde parfait de l’Adam non déchu. Il
n’y avait pas d’ennemis. Il n’y a pas d’autre concept que celui d’être tous
frères et sœurs, d’être une famille. Il s’agit d’absorber. Dans le monde des
poissons du Pantanal, les gros mangent les petits. Ils ne font pas attention
s’il y a quelque chose de sale ou pas, ils avalent. Que ce soit les excréments,
les intestins, ou le reste, ils avalent tout entièrement. (297-170, 19.11.1998)
Quelle
est la pensée du Pantanal ? C’est d’avaler, sans faire attention s’il y a de la
saleté ou des microbes. Est-ce qu’ils lavent ce qu’ils mangent en enlevant les
bactéries avant de manger ? Si on fait comme cela, il n’y a rien à manger. Vous
n’avez plus qu’à prendre la fuite. Il faut avoir la mentalité que même si je
mange du poison et qu’il entre dans mon ventre et se mélange avec mon corps et
que mon corps meurt, je puisse le digérer. Cet état d’esprit est admirable.
Puisque la puissance d’absorption est forte, même si on mange des insecticides,
même si on mange du poisson qui a mangé du poison, on pense : « Je peux digérer
même du poison. »
Je fais
maintenant cette activité autour du Pantanal. Dans la sphère idéale d’Adam,
nous trouvons Dieu, qui est le Messie de l’univers, puis le Seigneur du second
avènement qui est le Messie mondial, le messie national qui est le roi Abel de
ce pays, le messie tribal qui est le roi tribal Abel et le messie familial qui
est le roi familial Abel ; telle est la sphère idéale d’Adam. Ainsi, il y a
Dieu, le Seigneur du second avènement, le messie national, le messie tribal et
le messie familial ; parmi eux, si le messie tribal tombe malade, on peut le
remplacer au niveau familial, on peut remplacer le messie national s’il tombe
malade, et on peut remplacer le messie mondial, s’il tombe malade. Dieu ne peut
pas tomber malade, mais s’Il tombait malade, tout doit être prêt pour le
remplacer, parce qu’on a un partenariat qui permet au sujet et à l’objet
d’avoir un mouvement circulaire. (296-92, 3.11.1998)
Si
j’aime le Pantanal, c’est que des poissons divers et variés y habitent.
Qu’est-ce que j’y ai appris ? J’y ai appris qu’on avale tout, ceci et cela.
Prenons par exemple un alligator, un grand alligator avale une personne. Et au
Paraguay il y a un reptile de 14 mètres qui avale des alligators. Certains
serpents avalent un être humain comme on prend un haricot avec des baguettes
pour le manger. Des bébés de ces serpents, il doit y en avoir de toutes sortes,
du plus petit au plus grand. Il y a de tels animaux partout ici. Quand ils
avalent une proie, c’est la proie tout entière. Même un petit poisson avalera
un bébé baleine, si celui-ci est plus petit. Si quelque chose entre dans la
bouche, on avale tout ; fascinant, non ? Moi aussi, je dois devenir expert dans
l’art d’avaler tout ce qui passe dans ma bouche. C’est cette chose que j’ai
apprise. Si on veut vivre ici, il faut savoir tout avaler. Ce n’est pas vivable
pour les femmes qui passent leur temps à chasser les poussières et les saletés.
(301-154, 25.4.1999)
Au
Pantanal, on peut vivre avec le dixième, le centième, le dix-millième du revenu
des Japonais. Je protège le Pantanal pour les Japonais, pour que les insulaires
puissent posséder des créatures. Les Japonais ne le savent pas. J’aime la
création pour libérer la sphère de lamentation de la création. On lit dans la
Bible, au chapitre huit de l’épître aux Romains de Paul, que la création se
lamente. La sphère de lamentation de la création est aussi la sphère de
lamentation de l’humanité. Qu’est-ce que la sphère de lamentation de l’humanité
? Rien ne peut davantage nous lamenter que de ne pas avoir reçu la Bénédiction
en se centrant sur Dieu. (295-199, 28.8.1998)
Il faut
détruire toutes les civilisations comme celles qu’on trouve à New York ou
Washington, et retourner à l’époque primitive. Il faut retourner à la nature.
Je retourne donc à la nature et je vis en aimant la nature en partant du
Pantanal. L’océan est un endroit propre. À quel point l’eau est-elle propre ?
Il y a de l’eau propre, de l’air propre. Il y a une nature propre. C’est fantastique
! (295-277, 8.9.1998)
Depuis
le jour où j’ai compris la volonté de Dieu, j’ai aimé le monde spirituel et
j’ai aimé l’humanité. Il faut aimer l’humanité plus que sa famille, plus que
son pays. Il faut aimer l’humanité et aussi aimer la création. Il faut aimer
toutes les créatures qui sont sur terre, puis il faut aimer le monde qui est
sous l’eau. C’est un processus de recréation. À partir de l’amour de Dieu, il
faut se lier à l’humanité, à partir de l’amour de l’humanité, il faut se lier
avec le globe, et en se connectant au globe, il faut se lier au monde
aquatique. C’est pour cela que je travaille de tout mon cœur au Pantanal.
(296-17, 1.10.1998)
Je ne
puis oublier le Pantanal. J’ai reçu ici de Lee Sang-hun qui est dans le monde
spirituel la demande de Dieu concernant la famille de Park Maria, et cet
endroit est donc sérieux. Je me suis demandé comment Dieu a bien pu devenir
comme ça. Il est plein d’amertume et de ressentiments. Lorsque vous pensez à
ceci, vos intestins doivent bouillir et remonter et vos os doivent sortir.
(296-43, 11.10.1998)
Qu’ai-je
fait jusqu’à maintenant depuis mon arrivée au Pantanal ? J’ai dit aux fidèles
de l’Église de l’Unification, et à des personnes de Corée du Nord et de Corée
du Sud de venir. Toutes les familles bénies doivent venir. C’est un ordre
absolu. Les gens disent ceci ou cela pour ne pas venir, mais si vous n’avez pas
d’argent pour prendre l’avion, je dis d’y aller à pied. Si le père est malade,
que la femme et le fils le portent sur leur dos. Lorsque vous y allez en ayant
mille souffrances, direz-vous : « Oh, je vais m’effondrer ! » ? Allez-vous dire
: « Oh, je suis mort. Mourons tous ! » ? Si vous le faites, mieux vaut rentrer
immédiatement. Si l’aller était difficile, il se peut qu’il vous reste des
forces même si le retour est encore plus difficile, mais les personnes qui ont
détesté y aller deviennent des traînards complets au retour. C’est logique.
(299-190, 15.2.1999)
On peut
conclure que le Pantanal aura aussi une grande influence dans l’histoire du
monde dorénavant. Le problème est de le garder intact. Cela peut devenir un
champ de bataille. C’est un endroit dangereux ; si l’humanité fait une erreur,
elle entrera dans l’abîme de la destruction. Il faut tout faire pour l’éviter.
Si j’ai éduqué les messies nationaux au Pantanal, c’est pour faire de la
propagande à l’arrière-plan dans les pays. Sur la base de la présente assemblée
ou de tout ce que nous allons faire maintenant, il faut se spécialiser dans la
protection de l’environnement, et monter la garde dans 180 endroits. Ils
devront ensuite faire bouger les savants qui s’intéressent à cela et les
directeurs d’université de chaque pays du monde. S’ils se mobilisent alors, on
pourra mobiliser n’importe où les dirigeants des pays, les ministères et les
administrations centrales. (300-182, 3.3.1999)
En
rapport avec le monde aquatique, le Pantanal possède la poudre de poisson.
Jusqu’à maintenant les gens n’ont pas réussi à fabriquer des provisions avec le
poisson attrapé. Mais sur la base des recherches effectuées à Kodiak, nous
pouvons produire des ressources de nourriture. Les pays développés,
l’Angleterre et le Japon en tête, la Russie, des endroits comme l’Allemagne
étaient tous en concurrence pour étudier comment faire un aliment à base de
poudre de poisson, mais ils ont échoué. Ils s’y sont aventurés, puis ont
abandonné. (300-185, 3.3.1999)
Le
Pantanal se situe exactement aux antipodes de la Corée. C’est vrai par rapport
au Japon également. Le Pantanal est le bout du monde. La Terre sainte
originelle, la Terre sainte racine, et la Terre sainte de victoire sont là.
C’est fantastique. La Terre sainte originelle est installée dans un hôtel au
Pantanal. Qu’il y ait de l’eau ou pas, peu importe. Un palais sur l’eau y sera
édifié. (304-110, 10.9.1999)
Dès
lors qu’une Terre sainte apparaît au Pantanal, les fidèles de l’Église de
l’Unification doivent y aller. Ils doivent y aller en amenant leur famille ;
puisqu’elle est le point de départ qui permet d’aller dans le Royaume de Dieu,
toute la tribu doit y aller. Vous devez amener votre parenté et faire en sorte
que vos ancêtres commémorent le jour où vous avez reçu la Bénédiction dans
l’Église de l’Unification et offrir votre zèle jusqu’à ce que vos descendants,
vos ancêtres dans le ciel et jusqu’aux citoyens de votre nation soient liés à
la bénédiction du Ciel grâce à vous en présence du Ciel. Sous cet angle, un
nouvel examen de votre vie s’impose. Sans passer par ce jugement, vous ne
pouvez aller au Ciel. Les Vrais Parents doivent prendre responsabilité pour
tout. (302-250, 14.6.1999)
Le
Pantanal est le foyer, l’origine. Ce n’est pas la terre originelle. Les
familles de l’Église de l’Unification doivent donc s’y rendre tous les quatre
ans. Il faut être prêt à une grande migration. Même maintenant, les touristes
ont augmenté de trois à cinq fois. Depuis la tenue de notre assemblée sur le
Pantanal, cet endroit est devenu connu mondialement. Si on en organise deux ou
trois fois, ce sera énorme. Si on n’achète pas cette terre jusqu’à l’année
prochaine selon mon plan, elle deviendra plus que dix fois plus chère. L’indemnité
au Japon deviendra alors plus lourde. (303-344, 9.9.1999)
L’être
humain, même s’il doit souffrir sans fin, doit absolument préparer une Terre
sainte qu’on louera pour l’éternité dans le monde. Le fruit de cet effort
apparaîtra alors. Il s’agit simplement de savoir qui commencera à en faire cet
effort. Est-ce qu’il faut commencer par le père ou par la mère ? Lorsque
le père est debout, est-ce que le père tourne autour de la mère, ou est-ce la
mère qui tourne autour du père ? C’est la mère qui tourne autour du pèr
Le
Japon doit sauvegarder la Terre sainte et l’élever au nom de Terre sainte.
Aussi la responsabilité d’administrer le Pantanal incombe-t-elle aux messies
nationaux du Japon. (304-110, 10.9.1999)
Je me
suis battu avec les moustiques au Pantanal, j’en ai le corps tout couvert des
traces de leurs morsures. Dans le monde des moustiques, ils disent : « Qui a
goûté au sang des Vrais Parents ? Dépêchons-nous d’y aller ! » Alors c’est pour
cela qu’ils sont en si grand nombre à s’acharner sur moi. Quand je lance mon
hameçon, les gros poissons viennent d’abord, et beaucoup d’autres poissons
ensuite. C’est curieux. Même Dieu pense que c’est un mystère.
(278-97, 1.5.1996)
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