lundi 8 mars 2021

La Terre sainte du Pantanal

Livre XII

La providence du Pacifique

Chapitre premier

Le XXIe siècle sera l’âge de l’océan

2. La providence de l’océan menée par les Vrais Parents

2.2. La providence de l’océan en Amérique du Sud

2.2.2. La Terre sainte du Pantanal

Le Pantanal est une région qui couvre la moitié de la surface de la France. Dans le lac Pantanal, vivent 3 600 variétés de poissons. 3 600 sortes de poissons y vivent. On peut alors se demander combien de lacs et de cours d’eau dans le monde offrent pareilles conditions de températures et d’environnement. Je suis en train d’étudier cela selon des branches et en train de créer des endroits où on peut faire de l’élevage. Ce modèle pourra alors s’étendre au monde entier. (271-39, 15.8.1995)

Le Pantanal regorge d’endroits où la nature primitive est restée telle que Dieu l’a créée. En d’autres lieux, les espèces n’ont pas pu subsister, et ont été exterminées ; les seuls endroits qui restent sont cette région autour du Pantanal et la zone autour de l’Amazone. La nature y est restée telle quelle, et toutes les espèces primitives que Dieu a créées y sont concentrées.

Pourquoi suis-je venu ici ? Je ne suis pas venu seul. Dieu est venu avec moi pour aimer toutes les créatures qui ont été sacrifiées dans l’histoire. À l’époque de Noé, les poissons n’ont pas été jugés par Dieu. Je suis venu au Pantanal ouvrir un chemin afin que les créatures puissent revenir par l’indemnité, en créant un lien avec les poissons, qui n’ont pas été jugés. Il faut aimer tous les êtres que Dieu a créés. J’ai la responsabilité de les protéger. Il faut accroître le nombre des espèces au lieu de les exterminer ce qui reviendrait à en avoir moins qu’au temps où Dieu les a créées. (300-266, 24.3.1999)

Le Pantanal a des poissons et des plantes à foison. Le fleuve Amazone possède 3 000 espèces contre 3 600 pour le Pantanal. Imaginez toutes ces espèces. Il y en a de toutes sortes, des herbes aux céréales et aux arbres ; mais Dieu n’a pas placé les choses à tel et tel endroit en faisant de la magie comme notre héros Hong Gil-dong. Il a tout créé selon le plan qu’Il avait à l’esprit pour que toutes les structures se conforment aux lois de la nature et aux conditions climatiques. (291-164, 11.3.1998)

Le Pantanal peut devenir la chambre forte pour les animaux ou les plantes primitives que Dieu a créés. Je suis en train de lancer un mouvement mondial pour sauvegarder et protéger ceci. Allez-vous coopérer ou non ?

L’être humain est déchu à cause d’Ève. C’est pour cela que j’ai ordonné aux messies nationaux du Japon de venir au Pantanal pour tout faire fonctionner. En êtes-vous reconnaissants ou est-ce que cela vous déplaît ? La mère doit élever ses enfants, même s’il lui faut vendre sa chair. Vous devez aider à élever les plantes et les animaux. Si le Japon peut relier le lignage aux terres de ce monde, cet endroit deviendra tout naturellement la propriété du Japon. (304-255, 8.11.1999)

Il y a 3 600 espèces de poissons dans la région de l’Amazone et dans l’arrière-pays Pantanal. Il y a 3 600 espèces, mais toutes les espèces y sont conservées telles que Dieu les créa à l’origine. C’est le cas dans la région de l’Amazone et dans les zones des rivières du Paraguay. Sur la base de ces 3 600 espèces nous créerons une ferme aquacole. Les personnes qui s’intéressent aux poissons viennent même si on leur dit qu’il ne faut pas venir. Puisque nous avons des journaux, nous pouvons y écrire : « C’est une ferme aquacole où on élève 3 600 espèces. » La nouvelle se répandra. Essayez : « 36 espèces ont été élevées. Maintenant on progresse vers 360 espèces. Dans quelques années on aura élevé 360 espèces. Dans quelques années 3 600 espèces auront été élevées. » Les personnes qui s’intéressent aux poissons, vont-elles venir ou pas ? (292-24, 27.3.1998)

Vous n’avez aucune idée du nombre de poissons dans un lieu comme le Pantanal. Si on y jette quelque chose, ça redevient propre en un rien de temps. La propreté revient aussi vite que l’éclair. Même quelque chose de très sale est nettoyé sur le champ. Il y a plusieurs variétés de poissons, chaque espèce ayant une nourriture différente. Toutes ces espèces se mélangent et n’ont de cesse de nettoyer l’eau. Sachez qu’ils nettoient en mangeant. Ils ne vivent pas pour eux-mêmes, mais vivent en remettant l’environnement en ordre, en nettoyant les environs et en s’entraidant. La structure d’entraide de la nature est ici à l’œuvre.

Il y a à Pantanal une plante qui s’appelle la jacinthe d’eau. Si l’on regarde le dessous des feuilles de cette plante, des insectes la grignotent. Ce sont tous des appâts pour poissons. S’il n’y avait que ces insectes, ils finiraient par ronger toute la feuille, mais puisqu’il y a des poissons qui les mangent, ces plantes vivent. (293-283, 17.6.1998)

Le surubì est un poisson du genre silure ou poisson-chat. Il fréquente les fonds marins. Le boga lui est un adepte de l’eau qui coule. Le dorado se trouve lui aussi dans les courants rapides. Le boga ne prend que la matière de l’hameçon et disparaît. Le dorado ne peut mordre quelque chose et s’échapper, mais le boga le prend simplement comme ça. Dites moi, est-ce que ce sont des poissons faciles ou difficiles à pêcher ? Dois-je commencer par vous enseigner à pêcher les poissons difficiles ou les poissons faciles ? La pêche aux surubìs se fait de nuit. (293-232, 26.5.1998)

Certains poissons ont des habitudes végétariennes. Ce coquin de dorado a du courage, même quand il tourne et tourne (dorado, dorado en coréen) pour aller n’importe où. En mordant, ce voyou fait un bruit : « chut ! ». Quand cinq personnes lancent l’hameçon loin du bateau, on distingue mal les hameçons ; s’ils bougent, on ne sait pas sur lequel ça mord. Après avoir demandé : « à qui est cette ligne, à qui ? », il faut rentrer la sienne complètement, pour savoir : « Ah, c’est la mienne ! » et on est surpris. Vous allez devoir faire cela trois fois, quatre fois, cinq fois, six fois. C’est une sacrée expérience. La vue de ce poisson au coucher du soleil, cette teinte dorée, on ne peut l’admirer que chez le dorado. Ce spectacle vaut la peine au moins une fois dans sa vie. C’est dans la nature humaine de vouloir faire ce genre d’expérience. (293-232, 26.5.1998)

Le Pantanal est un endroit où la terre et l’eau, l’eau et les plantes vivent en symbiose. C’est un lieu exquis. Autour du Pantanal et dans la région de l’Amazone, les êtres vivants sont tous restés tels qu’à l’origine au moment de la création. Depuis la création, ils sont restés tels quels et ont vécu naturellement sans être endommagés et les chaînes selon les espèces sont reliées. Le Pantanal est donc la Terre sainte du monde.

En allant au Pantanal, on verra beaucoup de ces choses. Le pacu mange des bébés caïmans. Lorsqu’il les mange, il ne les mange pas en disant : « Eh, tu as du caca dans ton ventre, n’est-ce pas ? ». Quand ils mangent des insectes, il y a du caca sur leurs ailes, et il y a plein de choses sales qui leur collent dessus, des excréments d’êtres humains ou de chiens. Est-ce qu’ils les mangent après les avoir lavés, ou est-ce qu’ils les avalent en entier ? Quelqu’un qui ne peut pas avaler en entier, ne peut pas unifier le monde. Il faut savoir avaler en entier. Il faut manger les bonnes et les mauvaises choses.

L’être humain déchu jette les mauvaises choses et ne veut manger que les bonnes, pas vrai ? L’amour n’agit pas comme cela. L’amour prend tout jusqu’à l’enfer et l’absorbe. (295-186, 28.8.1998)

Dans le Pantanal, les grands poissons avalent les petits et les mangent. Il y a des excréments, de l’urine, les intestins et des saletés, mais ils les avalent en entier. Ils avalent la tête, l’endroit à la queue qui sent mauvais, ils avalent tout en entier. Une personne qui avale comme ça en entier, ne serait-elle pas un fils de roi dans le monde de la sphère de libération ? Ça devrait être le cas à mon avis. (295-220, 28.8.1998)

Vous devez aller au Pantanal et « avaler en entier, avaler en entier ! ». Vous devez aller dans le monde des poissons et tout avaler. Je vous enseigne donc de tout avaler en entier sur ces terres. Il ne faut pas devenir une personne faible qui ne peut pas avaler sa tribu, sa famille, ses ancêtres, sa parenté en entier. Il faut devenir une personne forte. (295-237, 28.8.1998)

Lorsqu’on va au Pantanal en été, vous verrez le plus gros avaler le plus petit même si la différence n’est pas grande. La morue ne va pas se gêner pour avaler tout cru un bébé requin. Sans hésitation. Tout ce qui est plus petit que soi, on l’avale. C’est fascinant, non ? Si les gros ne mangeaient que les tout petits, ces derniers se plaindraient à Dieu : « Dieu, pourquoi serions-nous les seuls à être mangés ? » Quand Dieu créa toutes les choses en partant de l’eau, Il fit en sorte que les plus gros mangent les plus petits ; quelle que soit l’espèce, il faut l’avaler complètement. Alors quand on est grand, on peut manger les petits, et nul ne s’en plaindra. (296-90, 3.11.1998)

Le Pantanal est le monde des relations où on avale complètement. Pantanal veut dire : « nareul panda (Je me vends) ». Comme je le fais pour un but, c’est sans importance. Par conséquent, l’esprit du Pantanal est d’avaler complètement les bonnes et les mauvaises choses, de les absorber et de grandir pour avoir de l’influence afin de vivre. Quelle est la volonté de Dieu ? N’est-elle pas aussi d’avaler complètement le monde satanique autant que le monde de bien ? (296-305, 18.11.1998)

Dieu rétablira à coup sûr l’être humain dans le monde d’avant la chute. Il doit S’occuper des ennemis pour restaurer le monde parfait de l’Adam non déchu. Il n’y avait pas d’ennemis. Il n’y a pas d’autre concept que celui d’être tous frères et sœurs, d’être une famille. Il s’agit d’absorber. Dans le monde des poissons du Pantanal, les gros mangent les petits. Ils ne font pas attention s’il y a quelque chose de sale ou pas, ils avalent. Que ce soit les excréments, les intestins, ou le reste, ils avalent tout entièrement. (297-170, 19.11.1998)

Quelle est la pensée du Pantanal ? C’est d’avaler, sans faire attention s’il y a de la saleté ou des microbes. Est-ce qu’ils lavent ce qu’ils mangent en enlevant les bactéries avant de manger ? Si on fait comme cela, il n’y a rien à manger. Vous n’avez plus qu’à prendre la fuite. Il faut avoir la mentalité que même si je mange du poison et qu’il entre dans mon ventre et se mélange avec mon corps et que mon corps meurt, je puisse le digérer. Cet état d’esprit est admirable. Puisque la puissance d’absorption est forte, même si on mange des insecticides, même si on mange du poisson qui a mangé du poison, on pense : « Je peux digérer même du poison. »

Je fais maintenant cette activité autour du Pantanal. Dans la sphère idéale d’Adam, nous trouvons Dieu, qui est le Messie de l’univers, puis le Seigneur du second avènement qui est le Messie mondial, le messie national qui est le roi Abel de ce pays, le messie tribal qui est le roi tribal Abel et le messie familial qui est le roi familial Abel ; telle est la sphère idéale d’Adam. Ainsi, il y a Dieu, le Seigneur du second avènement, le messie national, le messie tribal et le messie familial ; parmi eux, si le messie tribal tombe malade, on peut le remplacer au niveau familial, on peut remplacer le messie national s’il tombe malade, et on peut remplacer le messie mondial, s’il tombe malade. Dieu ne peut pas tomber malade, mais s’Il tombait malade, tout doit être prêt pour le remplacer, parce qu’on a un partenariat qui permet au sujet et à l’objet d’avoir un mouvement circulaire. (296-92, 3.11.1998)

Si j’aime le Pantanal, c’est que des poissons divers et variés y habitent. Qu’est-ce que j’y ai appris ? J’y ai appris qu’on avale tout, ceci et cela. Prenons par exemple un alligator, un grand alligator avale une personne. Et au Paraguay il y a un reptile de 14 mètres qui avale des alligators. Certains serpents avalent un être humain comme on prend un haricot avec des baguettes pour le manger. Des bébés de ces serpents, il doit y en avoir de toutes sortes, du plus petit au plus grand. Il y a de tels animaux partout ici. Quand ils avalent une proie, c’est la proie tout entière. Même un petit poisson avalera un bébé baleine, si celui-ci est plus petit. Si quelque chose entre dans la bouche, on avale tout ; fascinant, non ? Moi aussi, je dois devenir expert dans l’art d’avaler tout ce qui passe dans ma bouche. C’est cette chose que j’ai apprise. Si on veut vivre ici, il faut savoir tout avaler. Ce n’est pas vivable pour les femmes qui passent leur temps à chasser les poussières et les saletés. (301-154, 25.4.1999)

Au Pantanal, on peut vivre avec le dixième, le centième, le dix-millième du revenu des Japonais. Je protège le Pantanal pour les Japonais, pour que les insulaires puissent posséder des créatures. Les Japonais ne le savent pas. J’aime la création pour libérer la sphère de lamentation de la création. On lit dans la Bible, au chapitre huit de l’épître aux Romains de Paul, que la création se lamente. La sphère de lamentation de la création est aussi la sphère de lamentation de l’humanité. Qu’est-ce que la sphère de lamentation de l’humanité ? Rien ne peut davantage nous lamenter que de ne pas avoir reçu la Bénédiction en se centrant sur Dieu. (295-199, 28.8.1998)

Il faut détruire toutes les civilisations comme celles qu’on trouve à New York ou Washington, et retourner à l’époque primitive. Il faut retourner à la nature. Je retourne donc à la nature et je vis en aimant la nature en partant du Pantanal. L’océan est un endroit propre. À quel point l’eau est-elle propre ? Il y a de l’eau propre, de l’air propre. Il y a une nature propre. C’est fantastique ! (295-277, 8.9.1998)

Depuis le jour où j’ai compris la volonté de Dieu, j’ai aimé le monde spirituel et j’ai aimé l’humanité. Il faut aimer l’humanité plus que sa famille, plus que son pays. Il faut aimer l’humanité et aussi aimer la création. Il faut aimer toutes les créatures qui sont sur terre, puis il faut aimer le monde qui est sous l’eau. C’est un processus de recréation. À partir de l’amour de Dieu, il faut se lier à l’humanité, à partir de l’amour de l’humanité, il faut se lier avec le globe, et en se connectant au globe, il faut se lier au monde aquatique. C’est pour cela que je travaille de tout mon cœur au Pantanal. (296-17, 1.10.1998)

Je ne puis oublier le Pantanal. J’ai reçu ici de Lee Sang-hun qui est dans le monde spirituel la demande de Dieu concernant la famille de Park Maria, et cet endroit est donc sérieux. Je me suis demandé comment Dieu a bien pu devenir comme ça. Il est plein d’amertume et de ressentiments. Lorsque vous pensez à ceci, vos intestins doivent bouillir et remonter et vos os doivent sortir. (296-43, 11.10.1998)

Qu’ai-je fait jusqu’à maintenant depuis mon arrivée au Pantanal ? J’ai dit aux fidèles de l’Église de l’Unification, et à des personnes de Corée du Nord et de Corée du Sud de venir. Toutes les familles bénies doivent venir. C’est un ordre absolu. Les gens disent ceci ou cela pour ne pas venir, mais si vous n’avez pas d’argent pour prendre l’avion, je dis d’y aller à pied. Si le père est malade, que la femme et le fils le portent sur leur dos. Lorsque vous y allez en ayant mille souffrances, direz-vous : « Oh, je vais m’effondrer ! » ? Allez-vous dire : « Oh, je suis mort. Mourons tous ! » ? Si vous le faites, mieux vaut rentrer immédiatement. Si l’aller était difficile, il se peut qu’il vous reste des forces même si le retour est encore plus difficile, mais les personnes qui ont détesté y aller deviennent des traînards complets au retour. C’est logique. (299-190, 15.2.1999)

On peut conclure que le Pantanal aura aussi une grande influence dans l’histoire du monde dorénavant. Le problème est de le garder intact. Cela peut devenir un champ de bataille. C’est un endroit dangereux ; si l’humanité fait une erreur, elle entrera dans l’abîme de la destruction. Il faut tout faire pour l’éviter. Si j’ai éduqué les messies nationaux au Pantanal, c’est pour faire de la propagande à l’arrière-plan dans les pays. Sur la base de la présente assemblée ou de tout ce que nous allons faire maintenant, il faut se spécialiser dans la protection de l’environnement, et monter la garde dans 180 endroits. Ils devront ensuite faire bouger les savants qui s’intéressent à cela et les directeurs d’université de chaque pays du monde. S’ils se mobilisent alors, on pourra mobiliser n’importe où les dirigeants des pays, les ministères et les administrations centrales. (300-182, 3.3.1999)

En rapport avec le monde aquatique, le Pantanal possède la poudre de poisson. Jusqu’à maintenant les gens n’ont pas réussi à fabriquer des provisions avec le poisson attrapé. Mais sur la base des recherches effectuées à Kodiak, nous pouvons produire des ressources de nourriture. Les pays développés, l’Angleterre et le Japon en tête, la Russie, des endroits comme l’Allemagne étaient tous en concurrence pour étudier comment faire un aliment à base de poudre de poisson, mais ils ont échoué. Ils s’y sont aventurés, puis ont abandonné. (300-185, 3.3.1999)

Le Pantanal se situe exactement aux antipodes de la Corée. C’est vrai par rapport au Japon également. Le Pantanal est le bout du monde. La Terre sainte originelle, la Terre sainte racine, et la Terre sainte de victoire sont là. C’est fantastique. La Terre sainte originelle est installée dans un hôtel au Pantanal. Qu’il y ait de l’eau ou pas, peu importe. Un palais sur l’eau y sera édifié. (304-110, 10.9.1999)

Dès lors qu’une Terre sainte apparaît au Pantanal, les fidèles de l’Église de l’Unification doivent y aller. Ils doivent y aller en amenant leur famille ; puisqu’elle est le point de départ qui permet d’aller dans le Royaume de Dieu, toute la tribu doit y aller. Vous devez amener votre parenté et faire en sorte que vos ancêtres commémorent le jour où vous avez reçu la Bénédiction dans l’Église de l’Unification et offrir votre zèle jusqu’à ce que vos descendants, vos ancêtres dans le ciel et jusqu’aux citoyens de votre nation soient liés à la bénédiction du Ciel grâce à vous en présence du Ciel. Sous cet angle, un nouvel examen de votre vie s’impose. Sans passer par ce jugement, vous ne pouvez aller au Ciel. Les Vrais Parents doivent prendre responsabilité pour tout. (302-250, 14.6.1999)

Le Pantanal est le foyer, l’origine. Ce n’est pas la terre originelle. Les familles de l’Église de l’Unification doivent donc s’y rendre tous les quatre ans. Il faut être prêt à une grande migration. Même maintenant, les touristes ont augmenté de trois à cinq fois. Depuis la tenue de notre assemblée sur le Pantanal, cet endroit est devenu connu mondialement. Si on en organise deux ou trois fois, ce sera énorme. Si on n’achète pas cette terre jusqu’à l’année prochaine selon mon plan, elle deviendra plus que dix fois plus chère. L’indemnité au Japon deviendra alors plus lourde. (303-344, 9.9.1999)

L’être humain, même s’il doit souffrir sans fin, doit absolument préparer une Terre sainte qu’on louera pour l’éternité dans le monde. Le fruit de cet effort apparaîtra alors. Il s’agit simplement de savoir qui commencera à en faire cet effort. Est-ce qu’il faut commencer par le père ou par la mère ? Lorsque le père est debout, est-ce que le père tourne autour de la mère, ou est-ce la mère qui tourne autour du père ? C’est la mère qui tourne autour du pèr

Le Japon doit sauvegarder la Terre sainte et l’élever au nom de Terre sainte. Aussi la responsabilité d’administrer le Pantanal incombe-t-elle aux messies nationaux du Japon. (304-110, 10.9.1999)

Je me suis battu avec les moustiques au Pantanal, j’en ai le corps tout couvert des traces de leurs morsures. Dans le monde des moustiques, ils disent : « Qui a goûté au sang des Vrais Parents ? Dépêchons-nous d’y aller ! » Alors c’est pour cela qu’ils sont en si grand nombre à s’acharner sur moi. Quand je lance mon hameçon, les gros poissons viennent d’abord, et beaucoup d’autres poissons ensuite. C’est curieux. Même Dieu pense que c’est un mystère. (278-97, 1.5.1996)



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