Livre XVI
La vraie famille et La promesse des familles
Chapitre II
Explication des paragraphes de la Promesse
des familles
2. Explication du deuxième paragraphe de la
Promesse des Familles
2.2.1. Le chemin inévitable à parcourir pour
les enfants de piété filiale, les patriotes, les saints et les fils et filles
de Dieu
Quel genre de personne est un fils ou une
fille de piété filiale dans une famille ? Ceux qui veulent aimer leurs parents,
même s’ils doivent y sacrifier le corps et l’esprit, et qui peuvent aller
au-delà, sont des fils et des filles dévoués à leurs parents. Qu’est-ce qu’un
patriote ? Un patriote authentique est une personne qui sacrifie tout à sa
nation, encore et toujours, sans se soucier de son bien-être ; il donne et
donne encore, en oubliant ce qu’il a donné. Voilà le patriote pur jus. Qui est
sujet entre celui qui donne dix fois et oublie, et celui qui donne onze fois et
oublie ? C’est celui qui donne onze fois et oublie. À partir de ce principe,
tout peut se régler dans la paix. Sans amour et sans chemin de vie altruiste,
il n’y a pas moyen d’y arriver. (255-190, 10.3.1994)
La famille a besoin d’enfants dévoués à leurs
parents. D’un fils absolument uni à ses parents on dit que c’est un fils de
piété filiale. Un patriote se doit d’être absolument uni à la personne centrale
du pays. Ainsi le veut la réalité de l’univers. Il y a des saints dans le
monde, et les gens veulent absolument s’unir avec eux. Et encore au-delà, au
ciel et sur terre, des gens brûlent de s’unir absolument avec Dieu, qui est le
centre. (262-128, 23.7.1994)
La piété filiale voudra suivre l’enfant
dévoué à ses parents. Même en prenant de l’âge, un enfant filial s’efforcera de
suivre sa conscience et de vivre au service de ses parents. Du coup, ses
descendants et tous ses frères et sœurs s’appuieront sur cette personne. Nous
ferons en sorte d’établir des familles et un monde pour Dieu, tel qu’Il le
désire. Qui va le faire ? Chacun de nous ! Même si cela est hors de notre
portée, si nous connaissons Dieu comme un Dieu de cœur, qui nous confie des
choses à faire et nous donne Son soutien, il ne peut rien nous arriver.
(263-170, 23.8.1994)
Dieu espère un partenaire d’amour qui soit
plus haut que Lui. Alors ce partenaire peut s’élever à une position où il peut
dire à Dieu ce qu’il faut faire. Si un fils filial dit à sa mère et à son père
: « Venez ! », vont-ils venir ou pas ? Ils viennent, n’est-ce pas ? C’est le
propre d’un fils dévoué à ses parents : il doit faire des choses nouvelles. Et
c’est aussi le chemin d’un patriote, et l’obligation d’un saint ou d’un enfant de
Dieu. (263-183, 23.8.1994)
Le deuxième paragraphe de la Promesse le dit
bien : il faut devenir un enfant filial dans sa famille, un patriote et un
serviteur fidèle dans sa nation. Nous ne parlons pas ici des enfants dévoués du
monde satanique. Nous parlons des fils dévoués à leurs parents qui n’ont jamais
existé dans l’histoire et font pour la première fois leur apparition.
Dieu Se lamente et Se désole d’avoir perdu la
famille d’Adam. C’est ce qui Lui a valu tant de tribulations pour trouver les
Vrais Parents. Alors veuillez comprendre toute l’importance des Vrais Parents.
(263-204, 21.8.1994)
On appelle un vrai fils de piété filiale
celui qui consacre sa vie entière à servir ses parents ; il donne sa vie et
oublie avoir tout donné. Quand on parle d’un vrai fils dévoué à ses parents, on
veut dire qu’il est le plus vrai parmi eux tous.
C’est pareil pour les nations. Si quelqu’un
entend se dévouer loyalement au dirigeant de son pays, il lui faut donner sa
vie encore et encore et oublier qu’il a donné ; on pourra parler alors d’un
vrai citoyen loyal. C’est pour cela que, s’agissant d’un saint, c’est quelqu’un
qui a donné sa vie pour le monde ; et celui qui a donné et donné encore plus
que cela et a oublié, on l’appelle fils ou fille de Dieu. Voilà comment ça se
passe. (263-275, 15.10.1994)
Si une femme trouve un mari qui désire lui
obéir en amour d’une façon absolue, en sera-t-elle heureuse ou fâchée ? Elle
sera comblée de joie. Et si une femme fait de même pour son mari, ce dernier
s’en réjouira absolument.
Celui qui agit en obéissant à ses parents est
appelé un enfant de piété filiale, et celui qui se dévoue à sa nation, sera
appelé un patriote, celui qui peut faire de même pour le monde est un saint et
celui qui agit ainsi devant le ciel et la terre est un enfant de Dieu. Ainsi
soit-il ! Amen ! Et que ceci soit un manuel scolaire pour ma propre éducation,
que ce soit un exemple modèle ! Amen ! Oh ! là, là, et voilà même le bout de ma
langue qui danse, en disant « Men » ! Et la chair de mon ventre, le cuir de mon
ventre qui dansent en disant Men. « Man » veut dire une personne. C’est bien
cela ! Quand on dit « Amen », cela veut dire : « Ah, ces hommes ! » Dites-vous
que « Amen » veut dire : « Ah, men ! » ; je vous demande de dire « Amen » en
pensant à cette signification ! Vous suivez ? (264-140, 9.10.1994)
C’est peut-être difficile. N’empêche que vous
devez trouver tout naturel d’aplanir et de suivre le chemin du fils dévoué à
ses parents, du serviteur loyal, du saint et du fils de Dieu ; on doit avoir
confiance de pouvoir dire que c’est tout à fait naturel. On doit avoir à
l’esprit de se sacrifier entièrement pour ses parents tout au long de sa vie,
en se disant que c’est le chemin de la piété filiale, même s’il faut y
sacrifier non seulement tout son corps mais jusqu’à sa famille, les enfants et
le conjoint.
Si des enfants dévoués et leurs parents se
sacrifient ensemble pour sauver la nation, ils seront des patriotes. Si
ensuite, ces patriotes s’engagent à sacrifier leur nation pour sauver le monde,
ils accompliront leurs devoirs de sainteté. C’est bien l’idéal de la création
qu’Adam devait incarner.
Il faut devenir des fils dévoués, des
patriotes fidèles, et des saints. Même si vous devez sacrifier les membres de
votre famille, vous devez pouvoir dire que vous accomplirez vos devoirs de fils
et filles de Dieu (266-105, 18.12.1994)
Dans une famille, on parle d’un enfant dévoué
à ses parents quand il donne en se sacrifiant plus que tous les autres enfants.
Dans une nation, le patriote donnera davantage à la nation que les autres
tribus ou les autres citoyens. Quant aux saints, ceux sont ceux qui donnent
plus que quiconque pour le monde. Quelqu’un qui a donné plus pour le ciel et la
terre, comme Jésus-Christ l’a fait, peut devenir un prince céleste. À moins de
vivre ainsi, vous n’aurez pas accès au Royaume de Dieu. Le Royaume de Dieu
étant un endroit où vont ceux qui ont vécu de la sorte, si vous n’avez pas vécu
ainsi, vous ne pourrez pas aller au Royaume de Dieu.
Vous ne travaillez pas ici pour gagner votre
pain et réussir au sens profane. Vous êtes réunis ici dans le but de devenir
des citoyens de la nation céleste et remplir nos obligations de piété filiale
dans la famille, de patriotisme dans la nation, de sainteté dans le monde et de
fils et filles de Dieu. Ceux qui ont vécu et sont morts dans une famille que
Dieu recherche et aime, où les membres s’aiment, une famille que Dieu aime et
dont les membres aiment Dieu, deviennent citoyens du Royaume de Dieu sur terre
et au ciel. Il est bon que vous le sachiez. (269-253, 30.4.1995)
Si vous avez confiance d’atteindre la
perfection, et de devenir un fils de piété filiale dans une famille qui
représente l’humanité, un patriote qui représente la nation historique, un
saint qui représente le monde, un enfant de Dieu qui représente la totalité de
la providence céleste, vous pouvez avoir confiance de franchir complètement le
monde satanique à partir du niveau individuel et entrer dans la nation céleste.
Vous êtes de telles personnes. C’est à vous de pouvoir parfaire la position de
fils de piété filiale, de patriote, de saint et d’enfant du ciel et de la terre
; un tel mari et une telle épouse, un tel enfant filial pour le couple, un tel
patriote pour le couple, un tel saint pour le couple, et un tel enfant du ciel
et de la terre. Les familles qui peuvent être considérées comme des familles,
des couples de niveau national, des couples de niveau mondial, et les couples
liés à l’histoire universelle, deviendront des familles qui ont accompli la
volonté de l’idéal de la création ! Amen ! Amen ! Amen ! Ceux qui ont confiance
de fonder une telle famille, levez les mains et promettez-le ! Manse ! Que
signifie manse ? C’est que toutes les choses iront bien pour des millions
d’années. Cette volonté qui ne périra point ! (270-103, 7.5.1995)
Quand il existera sur la terre, le Royaume de
Dieu devra investir dans le Royaume de Dieu du ciel. La Promesse de l’Église de
l’Unification dit que notre famille, en se centrant sur l’amour vrai, va servir
loyalement Dieu et les Vrais Parents, devenir une famille centrale et
représentative du ciel et de la terre, et se consacrera à assumer ses devoirs
de piété filiale dans la famille, de patriotisme dans la nation, de sainteté
dans le monde ainsi qu’une famille de fils et filles de Dieu sur la terre et au
ciel. Sans investissement, c’est impossible.
Devenir un enfant de piété filiale est le
tremplin pour passer à ses devoirs de patriote. Le patriotisme est le
marchepied pour passer au stade de la sainteté ; la sainteté, c’est
l’avant-dernière marche avant d’accomplir son devoir d’enfant de Dieu. On doit
passer par tout ceci pour pouvoir retourner au ciel et devenir un fils de Dieu.
De retour chez nous, nous pouvons y établir le Royaume de Dieu. (274-114,
29.10.1995)
Celui qui vit et se sacrifie pour les autres
est une figure centrale. C’est un fait avéré. Dans une famille, comment
définit-on un fils dévoué à ses parents ? C’est celui qui vit pour eux et à
leur service. Il devient alors la figure centrale de cette famille et il en
sera l’héritier. Il en est de même pour un patriote. Celui qui vit au service
de la nation et donne tout pour elle, se sacrifie et se sacrifie encore pour
elle, devient celui qui peut assumer la responsabilité. Et le Président d’un
pays ou le Premier ministre sont de tels responsables. Ils en deviennent, sans
faute, les figures centrales.
Votre conscience vous pousse donc jusque-là.
Elle vous enseigne à aller jusqu’au chemin de fils dévoué à ses parents dans la
famille et de patriote fidèle à sa nation et en plus, à devenir un saint dans
le monde et un fils de Dieu au ciel et sur la terre. (275-38, 30.10.1995)
Celui qui vit au service de ses parents
jusqu’au don total de sa propre vie, est un fils de piété filiale, celui qui
est résolu à vivre pour sa nation jusqu’au don total de sa vie est un patriote,
celui qui vit pour le monde en voulant sauver l’humanité, celui qui se prépare
plusieurs fois à mourir en chemin pour le monde devient un saint ; celui qui
vit et meurt pour le ciel et la terre, jusqu’à la mort et continue à donner est
un fils de Dieu. L’histoire se souviendra de telles personnes. (275-136,
4.12.1995)
Un vrai fils est le roi dans sa famille,
centré sur Dieu. Aussi devez-vous être, depuis votre plus jeune âge, des
enfants de piété ; et bien sûr ce roi sera élevé à la position de patriote
fidèle. Les patriotes sont les princes et les princesses d’une nation. Et les
saints sont les princes et princesses du monde. Il faut se déterminer à devenir
un saint.
Après cela, quand vous dites que vous visez à
être un fils ou une fille se tenant en position de prince et princesse du ciel
et de la terre, c’est la voie pour devenir des fils et des filles de Dieu.
Voulez-vous devenir un fils de Dieu ou bien un saint ? Pourquoi ? Parce que
vous voulez pouvoir être fier devant les saints. Désirez-vous être un saint ou
un patriote ? Pourquoi ? Parce que vous voulez pouvoir être fier devant un
patriote. Allez-vous devenir un patriote ou un fils dévoué à ses parents ?
Pourquoi ? Parce que vous voulez pouvoir être fier devant un fils dévoué.
Un enfant de piété filiale suit la voie d’un
patriote, un patriote suit la voie d’un saint et un saint suit la voie d’un
fils de Dieu ; un fils de Dieu suit les pas de Dieu. (280-117, 11.11.1996)
C’est bête de limiter sa vie au confort de la
famille. On ne peut que rester confinés au Royaume de Dieu de la famille. D’où
mon insistance pour que vous deveniez des familles représentatives et
centrales. D’où mon insistance pour que vous suiviez la voie des enfants de
piété, des sujets loyaux, des saints, et des fils et filles de Dieu. Voilà le
chemin à suivre obligatoirement.
C’est pour cela que vous devez devenir des
enfants de piété dans la famille ; puis des sujets loyaux dans vos nations. Dès
le moment de sa naissance, le sujet loyal ne s’écarte pas de son devoir. Il
doit continuer à rester concentré jour et nuit. Toute ma vie je n’ai eu de
cesse de viser la volonté de Dieu, sans flancher ; que je sois éveillé ou
endormi, je continue. (283-77, 4.8.1997)
Comme parents, il est encore plus ardu
d’avoir affaire à un vrai fils de piété filiale qu’au dirigeant de la nation.
Il faut faire attention à la moindre parole, au moindre geste. Ce qui veut dire
qu’on doit montrer, en famille, comment on servirait le maître du pays. En
étant honorés de la sorte par leurs parents, les fils et les filles ne pourront
pas non plus considérer leurs parents à la légère. Ces enfants que leurs
parents traitent avec un infini respect tendront à servir leurs parents avec
beaucoup de soin. Ils ne diront pas un mot de trop et y réfléchiront à deux
fois avant de parler. (285-16, 19.4.1997)
Nous parlons d’assumer nos devoirs de piété
filiale dans la famille, n’est-ce pas ? Devenus des fils dévoués à vos parents,
qu’allez-vous faire ? On pourrait croire que le père et la mère qui enseignent à
devenir un fils filial le font dans leur intérêt, mais c’est faux. Ajoutez
l’amour de vos parents à votre amour ! Voilà comment ça doit se passer. C’est
ainsi que la sphère d’amour se développe. Il y a une croissance. Tout ce qui
bouge s’accroît, n’est-ce pas ? Pourquoi ? L’amour qui préside à leurs
interactions les pousse aussi à grandir. (253-234, 30.1.1994)
On ne devient pas aisément le conjoint de
quelqu’un. Vos enfants ne sont pas vos enfants. Ils sont distincts de vous. Ils
sont les enfants du monde. Il n’est pas facile d’être les parents d’enfants du
monde. De plus, il n’est pas facile de devenir un enseignant. Devant de tels
parents, il n’est pas facile non plus de devenir des fils et filles filiaux.
Par conséquent, dans une famille, les
grands-parents et les parents, les conjoints doivent s’entraîner à vivre comme
des exemples d’altruisme devant leurs enfants ; fondez une famille modèle, on
l’accueillera n’importe où dans le Royaume de Dieu au ciel et dans n’importe
quel village ou n’importe quel pays. (252-265, 1.1.1994)
La Bible dit que celui qui voudra préserver
sa vie la perdra et celui qui perdra sa vie la gagnera. Cela ne concerne pas
ceux qui mènent une vie mauvaise. Même à propos des gens qui ont pour devise
d’assumer tous leurs devoirs de piété filiale, de loyauté et de vertu, et
d’offrir leur vie jusqu’à la mort, nous parlons de celui qui est plus filial
que ceux du monde déchu, plus loyal que les gens du monde déchu, bref de ceux
qui se situent du côté du ciel. Ces gens là vivront, même s’ils doivent
affronter la mort et sont prêts à sacrifier leur vie. Quand vous êtes au fond
de l’enfer, même si vous deviez vivre des centaines et des milliers de fois,
vous n’auriez rien avoir avec Dieu. Je vous le dis carrément. (261-58,
22.5.1994)
Tout doit être discerné par rapport à l’idéal
de Dieu pour Sa providence de restauration. Alors que la providence suit son
cours, nous devons avoir un motif particulier de remercier Dieu en Lui offrant
toute notre vie. Il faut dépasser l’histoire de trahison d’Adam et Ève.
Sachez-le bien !
Si Dieu ne vous apparaît pas plus qu’Il
n’apparaissait pas à notre ancêtre Adam avant la chute, vous devez pouvoir
attendre sans manger ni dormir que Dieu nous apparaisse, en allant plus haut
que la position de cœur des fils et filles de piété filiale, des serviteurs
loyaux et des personnes de vertu. (261-55, 2.5.1994)
Un fils dévoué à ses parents ne va pas en
enfer. Même au cas où il devrait aller en enfer, il devra attendre jusqu’à la
venue du Seigneur du second avènement dans un endroit qui n’est pas l’enfer. Le
monde spirituel comporte des niveaux intermédiaires. Allez-vous devenir des
enfants de piété filiale, des patriotes, des saints, ou des fils et filles de
Dieu ? Même si vous ne pratiquez pas la piété filiale envers vos parents, une
fois que vous êtes patriote, vous vous situez au niveau d’avoir pu parfaire la
piété filiale envers vos parents. (246-188, 16.4.1993)
Si, comme membres de l’Église de
l’Unification, vous êtes des patriotes, désirez-vous devenir des patriotes
comme les autres en ce monde ou voulez-vous êtes des patriotes sans pareil ?
Pour pouvoir aimer et servir Dieu, il nous faut accomplir nos devoirs d’enfants
de piété filiale sans pareil, de patriotes sans pareil dans l’histoire, et de
saints et fils et filles de Dieu sans pareils dans toute l’histoire du monde.
Il a suffi d’un seul jour pour que Ève soit
la cause d’un amer ressentiment. Nous le savons bien aujourd’hui, dans l’Église
de l’Unification. Alors ayons conscience de tout le sérieux qu’il faut avoir
pour changer le lignage, changer le droit de propriété et changer la sphère du
cœur.(273-114, 22.10.1995)
En prenant la position objet par rapport à
l’amour vrai, et en rencontrant un partenaire d’amour mille fois meilleur que
Lui, Dieu peut être automatiquement libéré. Voilà qui doit vous faire
comprendre que vous devez devenir les meilleurs enfants de piété filiale, les
meilleures femmes de vertu, les meilleurs de tous les patriotes, des saints
parmi les saints et des fils et filles de Dieu. Sinon, vous ne pouvez pas
libérer Dieu. Sans devenir meilleurs que ces personnes là, la libération ne
peut se faire.
En suivant Jésus, vous ne pouvez viser plus
haut que le paradis. Et cela implique le célibat. Les autres religions parlent
de quitter leur famille et vivre le célibat, mais que dit l’Église de
l’Unification ? Dit-elle de quitter sa famille ? Je vous demande de regagner
votre ville natale, n’est-ce pas ? Et il faut se marier, non ? C’est donc tout
le contraire. Et pourquoi cela ? La religion n’est plus nécessaire. Pour nous,
le cap de la religion a été dépassé. (265-93, 20.11.1994)
Devenons des enfants de piété filiale et des
patriotes dans la nation du ciel, et accomplissons nos devoirs de fils et
filles de Dieu, tout ce qu’Adam n’a pu faire. Mon regret est de n’avoir pu,
dans mon jeune âge, quand j’étais plein de vigueur, accomplir mes devoirs de
piété filiale. J’ai manqué l’occasion.
Je n’ai pas pu suivre le chemin d’un patriote
qui va sur la ligne de front pour affronter n’importe quel risque, si cela peut
sauver la nation et qui, en versant son sang, demeure reconnaissant envers
Dieu. (264-187, 9.10.1994)
Pourquoi dois-je tisser ensemble les fils de
l’histoire, à coup de proclamations si tonitruantes et de formules choc ? La
situation de Dieu est comme cela, et n’est toujours pas résolue. Il n’a pu
soulager tout le ressentiment qu’Il a encore en Son sein. Et la douleur qui
étreint le cœur des parents n’est pas encore apaisée.
N’avoir pu remplir, dans ma jeunesse, le
devoir d’enfant de piété filiale envers Dieu, c’est là mon amer chagrin ! J’ai
aussi l’amertume de ne pas avoir pu vivre l’honneur du patriote car j’ai été
incapable d’avoir une nation ! Sans parler du ressentiment de ne pas avoir pu
remplir mes devoirs de saint comme représentant des multitudes de peuples ! Et
le ressentiment de ne pas avoir pu remplir mes devoirs de fils de Dieu en
acquérant l’hégémonie de la victoire du ciel et de la terre ! De tels
ressentiments sont encore en moi. (264-63, 9.10.1994)
Pourquoi faut-il des fils de piété filiale,
des patriotes, des saints et des enfants de Dieu ? Même si vous faites de votre
mieux pour servir vos parents, c’est pour une centaine d’années tout au plus.
Et encore, nous ne pouvons pas le faire durant toute leur vie. Les parents ne
peuvent vivre des milliers et des dizaines de milliers d’années. Même si vous
êtes au service de vos parents durant toute votre vie, c’est moins qu’une
centaine d’années.
Cependant, un patriote est commémoré sur
plusieurs générations. La tradition d’un patriote est transmise des
grands-parents aux parents et jusqu’à la descendance. Sinon, on ne peut établir
une nation.
L’envergure d’un saint dépasse celle d’un
patriote. Un saint doit vivre avec un amour qui étreint l’univers entier. Le
chemin du saint va donc plus loin que celui du patriote.
La voie du fils de Dieu, dépassant celle du
saint, se trouve à la plus haute de toutes les positions.
Les saints respectent les lois du Royaume de
Dieu au ciel et sur terre, les lois de ces deux nations, gardant l’équilibre
dans les rapports intérieurs et extérieurs, verticaux et horizontaux. (246-188,
16.4.1993)
Quelles personnes sont les Vrais Parents ?
Sachez qu’ils sont les premiers enfants de piété filiale dans la famille à
avoir jamais existé dans toute l’histoire. Ils se tiennent en position de
patriotes représentatifs de la nation céleste. Ils sont ensuite dans la
position d’avoir rempli leurs devoirs de fils et fille de Dieu. Aussi
devez-vous désormais posséder la même pensée que les Vrais Parents. Eux-mêmes
sont passés par les devoirs de piété filiale, de patriotisme, de sainteté et de
fils de Dieu ; à vous de suivre et d’hériter ces traditions et d’avoir à cœur,
comme fils et filles de Dieu, d’être comme les deux seuls êtres au monde.
Le fait de recevoir la bénédiction des Vrais
Parents comme fils et fille représentant le monde, signifie que vous êtes admis
dans une sphère de partenariat avec les Vrais Parents. Sachez que les familles
bénies doivent absolument avoir des expériences de cœur avec ma propre famille
dans leur vie quotidienne. (266-89, 18.12.1994)
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