mardi 2 mars 2021

Le cours d’indemnité du Vrai Père

Livre VIII

Le péché et la restauration par l’indemnité

Chapitre III

La formule de l’indemnisation et de la restauration

2. Le cours historique d’indemnité du Vrai Père

2.1. L’attitude dans le cours d’indemnité

Il y a 40 ans, j’ai prédit ce qui allait arriver aujourd’hui. À ce moment-là, je ressemblais à un mendiant. N’ayant pas de quoi me vêtir, je n’avais pour tout pantalon qu’un pantalon doublé traditionnel coréen. Pour en faire bon usage, j’avais fait teindre en bleu l’intérieur et l’extérieur ; n’ayant pas de veste, je portais les treillis verts des soldats américains ; en outre, un Japonais m’avait offert des tennis pour me chausser. Je portais ainsi des vêtements provenant de trois nations. En les portant, je me disais : « C’est toute la restauration par l’indemnité. Je m’en vais, portant le haillon américain, la guenille coréenne et le lambeau japonais, car je dois restaurer et indemniser. » N’est-ce pas magnifique ? (164-61, 3.5.1987)

Notre Église a suivi le cours de la restauration par l’indemnité. Pour tout restaurer par l’indemnité, j’ai préparé un fondement solide en passant jusqu’ici par toutes sortes de chemins. Je n’ai pas sombré, ne puis pas tombé dans les pièges de Satan, et je suis encore ici. Et pour qui ai-je préparé ce fondement ? Ce n’était pas pour moi que je l’ai préparé. C’était pour l’humanité et ce fondement ne doit devenir propriété de l’Église de l’Unification. Il appartient à l’humanité. L’Église de l’Unification doit disparaître dans le futur. Tout doit s’établir sous une seule souveraineté. Toutes les religions en forment le vœu. (161-86, 2.1.1987)

Ce qui a commencé avec Jacob, le pionnier de la sphère victorieuse d’Israël, et s’est prolongé par l’histoire de la culture chrétienne a bâti un fondement en 4 000 ans. Mais il y a eu un échec, qui doit être restauré en 400 ans ; le révérend Moon ne pouvant le faire sur un espace de 400 ans, il doit, conformément à la restauration par l’indemnité le faire en 40 ans, dans sa génération. Et cela, même s’il doit être au comble de l’humiliation. Ce cours représente les 40 ans dans le désert. (149-59, 2.11.1986)

L’histoire d’Israël, ce sont les 4 000 ans de Jacob à nos jours, en passant par Jésus. Si nous ne pouvons pas restaurer par l’indemnité ces 4 000 ans en un cours de 40 ans, tout s’écroulera. Tout sera détruit.

Nous devons tout indemniser en condensant cette histoire de 4 000 ans en 40 ans. Le monde entier ira donc contre nous. Chaque pays, sans exception, doit s’opposer. À commencer par le judaïsme, le christianisme, les États-Unis, les communistes, tous se sont mis contre moi. (148-288, 25.10.1986)

Le cours d’Israël suivit la voie de la restauration par l’indemnité. Il leur suffisait de suivre Moïse. Mais Moïse a pris responsabilité pour la vie et la mort de 600 000 Israélites, en embrassant le ciel et la terre, et il a réussi. Ces 40 jours de Moïse, sur le mont Sinaï, à jeûner et prier pour recevoir les tables de pierre, ce fut très pénible, non ?

Moïse avait-il le cœur tranquille ? Et vous, que faites-vous ? Vous qui prenez vos aises comme de véritables polissons…

Vous êtes entrés et vivez dans une grande famille et vous ne savez même pas son histoire, vous êtes ignorants de ce qu’elle fait et de tout, et vous vivez seulement aux crochets de cette grande famille. Comment les autres vous voient, on dirait que c’est la seule chose qui vous intéresse. Vous devriez avoir honte ! (141-197, 9.2.1986)

Si voyez quelqu’un de rude, il a de grands pieds et de grosses mains, mais si en regardant mes mains et mes pieds, d’aucuns diraient que je n’étais pas né pour toutes ces épreuves. Une personne née avec un corps si précieux ne devrait pas souffrir, quelqu’un qui n’aurait pas du souffrir, mais qui en réalité, en a tant bavé, vous trouveriez drôle. C’est que vous ne connaissez pas la restauration par l’indemnité. (140-186, 9.2.1986)

Vous êtes tous faux. Faux, vraiment faux ! Arriver au vrai, vous trouvez ça facile ? Il faut entrer et sortir du haut fourneau des centaines de fois, sachez-le. Quand vous devenez un père qui doit envoyer ses enfants sur le lieu de l’exécution, dans le but de la restauration par l’indemnité, pour restaurer la sphère du cœur, pensez à Abraham ! Cela ne peut se faire sans verser de larmes. En restant assis pépères comme vous l’êtes, vous ne pouvez pas suivre les grands principes moraux, libérer Dieu et entrer dans la sphère de Son amour.

Votre place ici à présent ne doit rien au hasard. Le fondement de l’Église de l’Unification s’est bâti en suivant un cours plein de larmes amères, un cours jonché de larmes et de sang. Si vous connaissez ce fondement, vous saurez qu’on ne peut pas rester assis là sans larmes. Vous ne pouvez pas rester assis tranquillement ici sans un profond repentir ! (169-131, 29.10.1987)

J’ai peiné toute ma vie et si j’ai décidé d’indemniser l’histoire ce ne fut pas avec l’intention d’en tirer une position noble et privilégiée. J’ai mis de côté toutes les bénédictions dont j’aurais pu jouir… Je veux souffrir avec vous et vous mettre dans une haute position où je peux avoir l’estime de la nation en même temps que vous… Vous devez savoir que mon espoir est de voir le jour d’allégresse où notre nation sera libérée. (181-66, 28.8.1988)

Tous ces gens qui sont jetés en prison se sentent désespérés et découragés dès qu’ils entrent. Mais l’homme qui est devant vous s’intéresse beaucoup à ce qui vient après l’incarcération. Ayant tous des notions sur la restauration par l’indemnité, vous comprendrez sans doute. Que s’est-il passé après avoir franchi chaque col ? Les peines subies alors ne furent pas un problème mais je me demandais sans cesse quel nouveau cadeau historique me serait donné après ces souffrances. C’est encore vif dans ma mémoire. (133-300, 1.1.1985)

À cause du péché de nos ancêtres qui n’ont pas accompli leur part de responsabilité, le domaine de l’amour satanique a gagné jusqu’aux limites des portes du Ciel ; le précipice de la mort s’est creusé. Donc, même en recevant l’opposition du monde entier, j’ai parcouru le cours de la restauration par l’indemnité en allant au-delà du niveau national. Ainsi, sur la base des conditions d’indemnité au plan mondial, Caïn et Abel doivent établir la restauration par l’indemnité. C’est pour cela que les États-Unis, avec comme base la sphère culturelle chrétienne du monde démocratique, doivent s’unir avec la ligne horizontale originelle, qui marque le règne direct de Dieu. (137-249, 3.1.1986)

Le cours de la restauration par l’indemnité est très sérieux. Ce qui avait été perdu doit être retrouvé en 40 ans, il n’y a pas à y couper. Il y a 40 ans, si le christianisme uni aux États-Unis avait soutenu l’Église de l’Unification en embrassant la Corée, la restauration mondiale se serait terminée en sept ans. Aujourd’hui, voilà 40 ans que je suis sur ce problème. Pendant 40 ans, j’ai tiré des familles pour restaurer par l’indemnité les 4 000 ans d’histoire depuis Jacob jusqu’à l’âge du second avènement. Il me fallait absolument liquider et unifier, en subissant toutes sortes d’épreuves et de privations, notamment la prison parce que j’ai reçu cette mission, cet appel. J’ai risqué ma vie et combattu pour cette cause. Et vous, coquins, en plein pendant ce cours historique, vous ne pensez qu’à vous-mêmes, vous vous amusez à faire toutes sortes de choses qui vous plaisent ! Repentez-vous ! À partir de maintenant, je ne verrai plus ces gens-là. La loi s’occupera d’eux à présent. (137-38, 1.1.1986)

Si je m’étais plaint sur la route de l’indemnité, j’aurais disparu depuis longtemps. Mais je sais très bien à quoi tient le cours de la restauration par l’indemnité. Durant le cours de l’indemnité, on doit recevoir des persécutions mondialement.

Qu’importe si, un à un, chacun des cinq milliards d’individus dans ce monde, veulent aller contre moi, je dois absolument prendre la décision de faire mieux que chacun de ces cinq milliards de gens, pour ne pas être vaincu ; impossible d’y arriver autrement. (138-134, 19.1.1986)

Directement après la deuxième guerre mondiale, le monde entier aurait pu restaurer le droit d’aînesse. Si le christianisme s’était uni au fondateur de l’Église de l’Unification, nous n’aurions pas eu cette histoire de 40 ans et en ce jour et le communisme aurait déjà disparu. Si seulement on avait écouté ce que je disais, la Corée n’aurait pas été divisée. Si les cercles spirituels chrétiens m’avaient écouté… Or tous ces groupes qui avaient été préparés pour restaurer le nouveau jardin d’Éden, furent réduits au même sort que Jean le Baptiste, par leur façon de penser profane. Depuis l’indépendance de la Corée, avec l’opposition contre l’Église de l’Unification, les 2 000 ans d’histoire du christianisme et les 4 000 ans d’histoire depuis Jacob se sont répétés dans un processus de restauration par l’indemnité qui a pris 40 ans. (138-214, 21.1.1986)

Moi seul ai parcouru le cours de la restauration par l’indemnité. Le monde n’en sait rien. Ainsi, restaurer par l’indemnité l’individu, la famille… je n’ai fait que cela. Le monde satanique récolte les fruits comme il les a semés, et ce monde avec de tels fruits n’a aucun moyen d’en sortir sans recevoir le salut par la venue du Messie.

S’ils s’étaient unis avec moi directement après la libération, j’aurais pu restaurer en une fois, par l’indemnité le Caïn individuel, le Caïn familial, le Caïn tribal, le Caïn du peuple, le Caïn national, le Caïn mondial et le Caïn à tous les niveaux en une période de sept ans. Ils ne crurent pas mes paroles, et le cours fut prolongé pendant 40 ans. (138-216, 21.1.1986)

En recevant l’opposition du christianisme, des États-Unis et de la Corée, j’ai été dans la situation d’être une personne sans nation. Je n’ai pas de nation. Sans nation, je n’avais pas non plus de peuple, de tribu, ou de famille. J’étais comme un orphelin.

À partir de là, il fallait tout restaurer en 40 ans, pour se tenir sur le fondement d’un territoire spirituel aux plans national et mondial. Cependant, un territoire spirituel étant insuffisant, j’ai dû restaurer par l’indemnité toute la sphère culturelle chrétienne substantiellement à un niveau mondial et sur ce fondement, j’ai retrouvé cette sphère culturelle substantiellement à un niveau national et j’ai hérité de cette base de territoire spirituel à partir de cette sphère culturelle chrétienne. (143-176, 18.3.1986)

L’histoire d’Israël remonte à l’époque de Jacob. L’histoire traditionnelle appelée Israël, par le biais de la sphère culturelle chrétienne, a abouti à une sphère victorieuse mondiale unifiée, mais en allant contre moi, la séparation a eu lieu et j’ai dû restaurer par l’indemnité les l’Église de l’Unification ans en une période de 40 ans.

Si on n’y arrive pas en 40 ans, le problème sera aggravé. Cette période historique de 40 ans est un âge de grande transition. Ainsi, juste après la deuxième guerre mondiale, Satan aurait du battre en retraite de partout. Il avait alors les plus grandes craintes ; or Satan a dominé le monde entier, répandant des horreurs sur l’Église de l’Unification qui se trouve du côté de Dieu. (161-220, 15.2.1987)

Le cours de séparation de Satan par la souffrance intérieure en vue de la séparation commence à partir du niveau de serviteur de serviteur. Une fois posées toutes les conditions d’indemnité verticales requises par le monde satanique, alors même si Satan veut attaquer, il n’aura plus de condition pour le faire. C’est pourquoi, j’ai dû mené à bien la restauration par l’indemnité en étant traité comme un serviteur de serviteur, puis un serviteur, ensuite un enfant adoptif et un enfant naturel. La position de fils direct devait ensuite être restaurée, la position de mère puis la position d’Adam. Ayant posé les conditions pour s’élever à la position suprême en tant qu’homme et à la position suprême en tant que femme, nous pouvions nous élever à la position de parents. On n’accède pas comme ça à la position de parents. Il faut des conditions d’indemnité intérieures très concrètes. (161-208, 4.2.1987)

Pour accomplir la restauration, il faut continuer avec une détermination inébranlable, sans faire attention aux interférences d’autrui. Nous sommes trop pris par notre propre cheminement pour savoir quel chemin suit les autres. Les autres peuvent dire ce qu’ils veulent dans notre dos, nous n’avons pas le temps de nous en occuper ; pas le temps de dormir, pas le temps de manger, de nous asseoir confortablement. Sans ressentir cette urgence au cœur, on ne peut pas suivre le cours de la restauration. (22-211, 4.2.1969)

Pour ma part, j’ai affronté Satan des dizaines, des centaines, des milliers de fois en frôlant les frontières de la mort. Même si des difficultés indescriptibles surgissaient de partout par vagues incessantes, je n’ai jamais fait de concession sur ce que j’avais fixé. On peut me rompre les jambes, m’arracher la prunelle des yeux, me couper le cou, mon cœur restera invariablement ce qu’il est depuis le départ. Par conséquent, je mourrai, mais je gagnerai la victoire. (22-184, 2.2.1968)

Toute ma vie était un combat où j’ai risqué ma peau. Dans le monde ordinaire, si ça fait trop mal, on peut esquiver ; pas moi. Et je ne m’en sors pas par la violence ou la force. À moins de suivre la règle du Principe, je ne peux éviter les flèches qui pleuvent de partout. Je pense que cette lutte est encore bien plus difficile que l’œuvre de Dieu en créant le ciel et la terre. J’ai du établir des conditions d’indemnité en faisant ce travail et préparer un fondement intérieur. Vous ne pouvez sans doute pas vous en rendre compte, même pas dans vos rêves. Avec ce fondement comme base, avoir atteint ce point de transition est une victoire universelle. (35-166, 13.10.1970)

Si je devais mourir maintenant, mon plus grand souci serait de savoir si quelqu’un sur terre peut aimer Dieu autant que je L’aime et aimer l’humanité autant que moi. Dans ce sens, je dois vivre longtemps. Comme ce serait formidable si, parmi vous, une telle personne se manifestait rapidement. Sachez que c’est ce que j’espère en vous fixant des yeux ! Si Dieu désirait me donner des bénédictions, son plus grand cadeau serait de m’offrir une telle personne. Dieu jusqu’ici a souffert et a peiné à cause du manque de foi, mais si quelqu’un se manifeste dans l’heure, en disant qu’il s’efforcera d’aimer ce Dieu là plus que moi et de libérer l’humanité plus que moi, ce sera un jour de gloire ! (La volonté de Dieu et le monde, p. 437)

Un spiritualiste avait prié pour savoir si j’étais vrai ou faux, et se mit à pleurer très fort. Il pleurait si amèrement, malgré lui. Il pleura un jour, puis deux, puis trois. Pourquoi donc ? Me connaître, c’est goûter le cœur qui se lamente. Sans quoi, on ne peut me connaître. Si quelqu’un devait dire quelque chose sur ma vie, j’éclaterais en sanglots, avec l’amer chagrin de millénaires entiers qui m’oppresse. Si je n’avais pas connu Dieu, je n’aurais pas été vilipendé de la sorte. À cause de mon « crime » de connaître Dieu trop bien… Que c’est triste pour Dieu qui ne peut placer Sa confiance qu’en moi ! En vingt ans, je dus restaurer par l’indemnité l’histoire qui était emmêlée depuis deux mille ans. Est-ce si simple ? Est-ce si facile à dire ? (137-183, 1.1.1986)

Par le principe fondamental de l’indemnité, nous devons soulager Dieu de Sa douleur et de tous les griefs qui L’ont attristé au cours de l’histoire. Ne savez-vous pas que vous êtes des fils sans piété filiale, qui ont fait souffrir Dieu à cause de vos fautes ? Ne devriez-vous pas alors devenir un vrai enfant de piété filiale envers les Vrais Parents, avec le caractère d’un enfant filial capable de plus grande dévotion et de respect qu’un enfant sans piété filiale ?

C’est pourquoi, en servant Dieu, vous devez savoir combien le Parent a tout sacrifié et combien Il a travaillé dur et souffert tout au long de l’histoire. Peu à peu, pas à pas, nous sommes entrés dans un âge où tout peut être réglé et nous devons servir Dieu. Alors, à partir de maintenant au moins, prenons sur nous les épreuves de Dieu pour Le libérer. (144-274, 25.4.1986)

Que vient donc faire le sauveur du monde ? Il ne vient pas faire de la politique. Certains chrétiens disent qu’au temps de la venue du Seigneur, eux s’envoleront dans les airs, mais ceux qui sont sur terre périront… Mais ça ne se passe pas ainsi. Ils disent que le Seigneur vient pour juger mais il ne vient pas pour juger. Il est le fils de Dieu et vient en même temps comme parent de l’humanité.

Quelqu’un qui vient comme parent de l’humanité, avec un cœur de parents, pourrait-il s’emporter avec ces fils et filles qui gémissent de maladie à en mourir, en leur disant : « Eh, dis donc, toi, va dans cet enfer ! » ?

Dans le monde déchu, s’ils voient leurs enfants mourir misérablement, les parents gémissent à haute voix et sanglotent, le cœur fendu, et même s’ils devaient perdre leur vie, ils ont le cœur prêt à faire n’importe quoi pour les faire vivre. Voilà bien la nature parentale. Alors imaginez un peu le sauveur qui a le cœur originel de parents ! Il ne peut pas penser à un jugement ! Pas vrai ? (222-150, 3.11.1991)

À votre avis, si Dieu et le révérend Moon se rencontrent, ce sera dans la joie ou dans les larmes ? Réfléchissez un peu ! Quand j’y pense, je crois que je tomberais dans les pommes. Si je devais pleurer, je devrais pourtant garder ma dignité et si je mourais, je perdrais aussi la face. Je suis gêné. Même si j’ai fait de mon mieux pendant 40 ans, je n’ai pas de quoi être fier. Je pense que je serais quand même honteux. Voilà ce que je ressens. (193-77, 20.8.1989)

C’est une chance que le révérend Moon de l’Église de l’Unification soit venu dans ce monde ! Vous ne savez pas tout ce j’ai dû endurer comme difficultés pour redresser les ressentiments de l’histoire humaine et les choses enchevêtrées et embrouillées de plus de 1,5 millions d’années ! Cette histoire pourrie qui poursuit sa course sans arrêt, il s’agissait de trouver quelqu’un qui ouvre la voie pour la ramener vers le Ciel.

Derrière l’histoire récente de l’Église de l’Unification, s’étendent des milliers d’années d’histoire, en fait plusieurs centaines de milliers d’années de générations passées. N’oublions pas que l’Église de l’Unification a pris à bras le corps l’amère indemnité pour redresser l’histoire douloureuse. (143-36, 15.3.1986)

Je suis devenu le partenaire de l’amour Dieu car, après avoir été mis au monde comme être humain, j’ai aimé les choses de la création sur la terre originelle comme Dieu les a aimées, aimé les animaux comme Dieu les aime et aimé les êtres humains comme Dieu les aime. Nous venons de Dieu, et devons retourner à Dieu. Dieu veut vous voir devenir infiniment meilleur que Lui de votre vivant. Il est donc bien certain que Dieu espère vous voir revenir auprès de Lui comme des enfants bien plus merveilleux que Lui. (268-291, 3.4.1995)

Mon nom est très intéressant. Le caractère chinois « Moon » (), s’il est écrit rapidement, devient () qui veut dire « père ». Puis, le caractère chinois « Sun » () comporte deux caractères : « agneau » () et « poisson »(). Donc, la terre et la mer sont réunies centrées sur le père. Et le troisième caractère « myung » () signifie le soleil et la lune.

Celui qui réunit la mer et la terre, qui enseigne la vérité de l’unification entre Caïn et Abel, la vérité de l’unité entre le soleil et la lune représente Dieu, la vérité. Dieu est le Roi de la sagesse. En même temps qu’Il est le Roi de la sagesse, Il est aussi le Parent. (268-289, 3.4.1995)


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