
Livre VIII
La signification
intérieure du péché et de la chute
Chapitre II
4.2. Le fruit du bien
et du mal, croisement de la vie et de la mort
Dans la Bible, il est dit qu’il était permis de manger les fruits de tous
les arbres dans le jardin d’Éden, mais qu’on ne pouvait même pas regarder ni
toucher ni cueillir ni manger du fruit de l’arbre de la connaissance du bien et
du mal, ni de l’arbre de vie, qui se trouvaient au milieu du jardin. Quelle en
est la signification ? Que représentent « tous les arbres » ?
Comme Adam et Ève étaient frère et sœur, ils pouvaient se serrer les mains ou
s’embrasser, et ils pouvaient cueillir et manger les fruits de tous les autres
arbres, excepté le fruit du bien et du mal et de l’arbre de vie, c’est-à-dire
l’organe sexuel de l’homme et l’organe sexuel de la femme ; Dieu leur a
interdit de les cueillir. C’est de cette façon qu’Il les a avertis. (200-50,
23.2.1990)
Savez-vous ce qu’est le fruit du bien et du mal, qui est devenu l’origine
de la chute des ancêtres de l’humanité ? Ce sont les organes sexuels de
l’homme et de la femme. Si on s’en sert bien, le pays prospère, et si on s’en
sert mal, la nation ira à la ruine. C’est bien ça le fruit du bien et du mal.
Et quand le roi d’une nation l’utilise bien, la nation prospère, mais s’il
l’utilise mal, la nation tombe en décadence. Et suite à cela, les familles se
brisent, la société se détruit, tout se divise entre l’enfer et le Royaume de
Dieu. Là où le fruit du bien aurait dû apparaître, c’est le fruit du mal qui a
surgi. N’est-ce pas là la signification du fruit du bien et du mal ?
Est-ce que vous possédez tous le fruit du bien et du mal ? Les parties
sexuelles des femmes et les parties sexuelles des hommes sont le fruit du bien
et du mal. Il s’agit de la tête d’un serpent venimeux.
Pourquoi Jésus a-t-il appelé Satan un serpent venimeux ? Pourquoi
a-t-il appelé Satan un serpent ? Il s’agit de la tête d’un serpent.
Sachez-le bien ! Une tête de vipère venimeuse. Les femmes comme les hommes
courent bien après ça, non ? N’est-ce pas comme cela pour les hommes et
les femmes ? (227-251, 14.2.1992)
Qu’est-ce que le fruit du bien et du mal ? Mal utilisé, l’amour
engendrera à jamais des fruits du mal ; bien utilisé, l’amour engendrera
des fruits du bien pour l’éternité. Ce fruit du bien et du mal est-il donc
vraiment un fruit ? Que les gens sont fous de dire de telles choses !
Le fruit du bien et du mal signifie les organes sexuels de l’homme et de la
femme. (226-110, 2.2.1992)
Comme la femme est plus apte à chuter que l’homme, Dieu a averti en
disant : « Tu ne mangeras pas du fruit du bien et du
mal ! » Si les parties sexuelles de la femme rencontrent une bonne
personne, de bons fruits seront produits, mais si les parties sexuelles
rencontrent un mauvais homme, c’est un fruit du mal qui en sera produit. Parler
de fruit du bien et du mal, c’est se référer aux organes reproducteurs de la
femme. Cela peut-il s’adresser aux hommes ? Les hommes n’ont pas cette
expérience ! (221-282, 26.10.1991)
Qui Dieu a-t-Il averti quand Il a dit à Adam et Ève de ne pas cueillir et
manger le fruit du bien et du mal ? Il ne l’a pas dit à Adam. Dans son
adolescence, Adam sortait et était occupé à jouer, au retour il était fatigué
et allait vite dormir. La femme, assise, chantait des chants comme ces Taryeongs :
« Oh, les rayons du soleil sont si chauds ! Oh, ces jolies fleurs qui
fleurissent ! Comme l’eau est claire et comme l’air est pur ! »
Et alors, ne trouvez-vous pas qu’elle se disait certainement : « J’ai
tellement envie d’être une beauté comme ces fleurs ! » ? Alors,
qui donc est arrivé à la puberté le plus vite ? C’est la femme qui était
la plus précoce. (221-280, 26.10.1991)
Le fruit du bien et du mal signifie la partie sexuelle, le sexe. Et ceci
peut donner des fruits du bien, et il peut aussi porter des fruits du mal. Si
vous vous mettez ensemble avec une mauvaise personne, il donnera de mauvaises
semences et s’il rencontre une bonne personne, les semences reçues seront
bonnes, n’est-ce pas ? Ceci veut dire les parties sexuelles de la femme.
En chutant, Ève a reçu le sang du diable. Qui est ce diable ? C’est
l’archange. Cet archange était le représentant des serviteurs. (209-285,
30.11.1990)
De quoi Dieu allait-Il avertir ? Pour Dieu qui avait créé Adam et Ève
pour l’idéal, de quelle situation voulait-Il les avertir ? De quoi une
mère et un père avertissent-ils les jeunes gens ? À quoi doivent-ils faire
attention ? C’est la même logique.
À quoi Dieu pouvait-Il demander de faire attention ? Dieu n’a pas
besoin d’argent. Ni de connaissance. Ni de pouvoir. Toutes ces choses, Dieu
peut déjà les posséder avec une liberté parfaite. Mais avec l’amour, même Dieu
ne peut le posséder comme Il le désire. (196-41, 24.12.1989)
Il est dit que « le jour où vous mangerez du fruit du bien et du mal,
vos yeux s’ouvriront ». Ouvrir les yeux, qu’est-ce que cela peut vouloir
dire ? Que les hommes connaissent les femmes, et que les femmes
connaissent les hommes, c’est-à-dire connaître l’autre sexe ; il n’y a
rien de plus grand que cela.
Être né en tant qu’homme et ne pas connaître de femme est une sottise. Quel
est le plus grand idéal ? L’homme doit se concentrer idéalement sur la
femme. Une femme mais quel genre de femme ? Une femme qui lui convient
complètement, lui convient dans sa jeunesse, quand il a vieilli, tout le temps.
N’est-ce pas ce genre de femme ? (178-52, 1.6.1988)
En créant l’être humain, où Dieu S’est-Il donné
le plus de peine, d’après vous ? Est-ce que ce sont les yeux, la bouche ou
les mains ? Les êtres humains n’y pensent même pas ! Il s’agit de la
citadelle originelle de l’amour, oui, la citadelle originelle de l’amour.
Entendez par là « cette chose » de l’homme et de la femme. Et c’était
bien le palais royal originel de l’amour. C’est là que l’homme arrive à
connaître l’amour et que la femme aussi arrive à connaître l’amour ; sans
lui, ils ne sauront pas ce qu’est l’amour. Le propriétaire de l’amour ne
pourrait pas se manifester.
Où est le palais royal de l’amour, de la vie et du lignage ? Ce sont
les organes les plus importants chez l’homme et la femme. C’était le lieu saint
au moment de la création de Dieu. C’était le lieu le plus saint. Et si on le
viole, tout est détruit. (302-220, 14.6.1999)
En ce seul endroit, trois choses précieuses sont liées. Là se trouve
l’amour, là aussi se trouve la vie et là encore se trouve le lignage. Ces trois
éléments de très grande importance jaillissent d’une même source qui passe par
les organes sexuels. (205-328, 2.10.1990)
Du point de vue de l’idéal de la création de Dieu, c’est le saint des
saints. Le saint, le saint des saints. Voilà un endroit où n’entre pas qui
veut. À part le grand prêtre, qui en est responsable, nul n’est censé en ouvrir
la porte à sa guise. C’est « la source fermée, la fontaine scellée »
dont parle le cantique des cantiques. (205-328, 2.10.1990)
Comment payer le prix du péché d’avoir traité quelque chose d’aussi
précieux que le palais royal de la vie, de l’amour et du lignage, comme s’il
était sans valeur, tel l’enfant prodigue ? Ne trouvez-vous pas que le
problème est grave, puisque c’est un lieu sacré ?
C’est le lieu le plus saint ; Dieu le créa comme l’organe le plus
noble et le plus précieux. Et qu’advient-il dans le cas où on le salit ?
Au temps de Moïse, celui qui salissait l’arche d’alliance se faisait tuer
aussitôt, n’est-ce pas ? C’est pareil ici. Salir la citadelle de l’amour,
qui est pareille au lieu saint, est une chose impardonnable. L’homme et la
femme s’embrassent. L’acte d’amour est quelque chose d’universel. C’est la
pierre de touche où se réalise l’unité totale de cœur et de corps entre Dieu et
l’homme. C’est le moment où la relation entre le fini et l’infini se
cristallise. (14.7.1991)
Un enfant qui naît d’un homme saint et d’une femme sainte, qui provient
d’un lignage saint à travers une vie sainte et un amour saint, ira tout droit
dans le Royaume de Dieu. Les religions n’y seraient plus nécessaires et il n’y
aurait plus besoin d’éducation religieuse.
Quand l’esprit et le corps sont à un angle de 90 degrés et que l’amour et
toutes les choses croissent sans dommage et que l’intérieur et l’extérieur sont
en bon ordre, vous comprenez tout sans qu’on vous l’ait enseigné. Nous, les
êtres humains, sommes censés être ainsi. A-t-il fallu que je devienne le
fondateur de l’Église de l’Unification pour apprendre toutes ces choses ?
Non, je les connaissais déjà. Je savais comment les choses se passaient. Je
savais cela sans qu’on me l’enseigne. (211-247, 30.12.1990)
Qu’est-ce que le fruit du bien et du mal ? Jusqu’ici, c’était un
secret. Personne ne pouvait en parler. C’était la faute de nos premiers
ancêtres. Comme ce sont nos ancêtres qui ont commis une faute, ces paroles ne
pouvaient être révélées qu’avec la venue des vrais ancêtres dans le futur. Ni
Dieu ni Satan ne pouvaient le dire ouvertement. (191-232, 25.6.1989)
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