vendredi 12 mars 2021

Le vrai chemin à suivre pour l’être humain

Livre XVI

La vraie famille et La promesse des familles

Chapitre II

Explication des paragraphes de la Promesse des familles

2. Explication du deuxième paragraphe de la Promesse des Familles

2.2.3. Le vrai chemin à suivre pour l’être humain

Le plus grand désir de l’être humain est ce qui se réalise par l’amour. Tous les espoirs de Dieu se réalisent aussi par le biais de l’amour. Si Dieu devait prendre le rôle du fils de piété filiale, Il voudrait S’unir à l’amour parental. S’Il était un couple, Il voudrait l’être dans l’amour, puis Il voudrait accéder à l’amour parental. Voilà ce que Dieu désire. (263-309, 27.10.1994)

Ceux qui ne s’épargnent aucun effort en se sacrifiant deviennent les flambeaux de leurs familles. On peut alors parler de piété filiale. Ceux qui rayonnent en se sacrifiant pour leur nation deviendront des patriotes. Ceux qui se sacrifient pour le monde sont connus comme des saints, et ceux qui le font pour le ciel et la terre sont des fils et filles de Dieu. (276-159, 18.2.1996)

Vous devez savoir que ceux qui peuvent vivre entièrement au service de l’univers, en unissant l’esprit et le corps, sont les figures centrales de l’univers. Si on parle d’un « fils dévoué à ses parents », c’est quelqu’un qui, dans sa famille, vit pour ses parents plus que n’importe qui ; un patriote est celui qui, dans sa nation, vit plus que quiconque pour le peuple et ses dirigeants ; un saint est celui qui vit plus que n’importe qui pour le monde ; un fils de Dieu est celui qui vit plus que quiconque pour le ciel et la terre. (276-180, 19.2.1997)

Les enfants de piété filiale n’ont pas de dettes envers leurs parents. C’est plutôt les parents qui s’endettent. Celui qu’on appelle un patriote, ne doit rien à son pays, mais son pays contracte une dette envers lui. Les saints n’ont pas d’obligations envers le monde, mais le monde en a envers eux.

Comme je n’ai pas de dette envers le ciel et la terre, le temps est venu pour le monde de bouger en direction des parents. Dans le monde, il y a eu les obligations de piété filiale du monde satanique, de patriotes du monde satanique, de saints et de fils de Dieu du monde satanique, mais nous n’avons pas de critère pour les obligations de fils de piété filiale, de patriote, de saint et de fils de Dieu de la nation céleste. Sachez que c’est ce que nous devons établir. (266-103, 18.12.1994)

Vous devez savoir que votre famille a plus de valeur que si elle avait été achetée au prix du ciel et de la terre. Vous ne saviez pas que les familles bénies sont si extraordinaires, n’est-ce pas ? Vous ne devez pas vous disputer ni vous donner des coups. Ici sur la terre, nous avons la tâche étonnante de devoir préparer le fondement des fils de piété filiale, le fondement des patriotes, le fondement des saints et le fondement de fils de Dieu du Royaume de Dieu. Sachez que de cette façon, le monde idéal que Dieu espérait réaliser avec Adam se traduira dans les faits.

Les Vrais Parents se trouvant dans une telle situation, quand ils se rendront dans le monde de l’au-delà, ils seront le « plus » central ou le sujet de tous les enfants de piété filiale, de tous les patriotes, les sujets des saints et les sujets des fils de Dieu.

Grâce à vos indemnités – plus que votre mère et votre père, plus que les patriotes de vos nations, plus que les saints du monde et plus que le ciel et la terre – le vœu de Jésus se réalisera, et la libération sera possible. Ce sera le principe de base de l’idéal pour établir la nation (266-105, 18.12.1994)

Qui désire que vous deveniez un fils de Dieu ? C’est Dieu qui le veut. Et devenir un saint ? C’est le monde qui le désire. Ce que la nation désire, ce sont des patriotes. Et les familles, elles souhaitent des fils de piété filiale. Voilà la vraie voie de la vérité ! De vrais parents ne vont pas aller dire à leurs enfants : « Toi, comme tu es un fils de piété filiale, ne deviens pas un patriote, ne suis pas cette voie-là ! » De vrais parents enseigneront à leur fils dévoué : « Toi, il te faut rechercher Dieu ! Tu dois sacrifier ta famille au service de ta nation ; sacrifier ta nation pour accomplir tes devoirs de sainteté et sacrifier la sainteté elle-même pour suivre la voie que le Ciel désire ! »

Une telle idée n’est venue à l’esprit de personne ! Nous devons nous donner et nous sacrifier ! Sinon, un monde uni et une nation unie ne pourront jamais exister. (285-218, 19.5.1997)

Il faut sans cesse enseigner comment avancer vers la piété filiale, le patriotisme, la sainteté pour devenir des fils de Dieu afin d’être des personnes idéales, des personnes parfaitement épanouies. Il faut enseigner aux enfants comment remplir leurs devoirs d’enfants dévoués, de patriotes, de saints, de fils de Dieu. Après, ils pourront atteindre Dieu.

Si les parents enseignent cette voie à leurs enfants, Dieu va penser : « Eh, ces gens font ce que des parents doivent faire, ce que des enseignants doivent faire, ce que les maîtres doivent faire ! ». Non, Il ne va pas penser cela ? S’ils sont qualifiés pour être parents ou enseignants, ils seront aussi qualifiés pour être des maîtres. De plus, ils seront le genre de père qui peut devenir un roi. Les Occidentaux ont-ils concept de fils de piété filiale ? Ils n’ont pas de concept de patriote. Ils n’ont pas de concept de saint. Ils n’ont pas de concept de fils et filles de Dieu. Alors forcément, le déclin est là. (285-218, 19.5.1997)

Nous devons nous sacrifier. Pour trouver l’amour, il n’y a pas d’autre moyen que le sacrifice. Un enfant de piété filiale va servir loyalement ses parents toute sa vie. Il suivra une voie de sacrifice pour ses parents, mais seulement pour eux. Un patriote va se sacrifier et sacrifier sa famille aussi au service de son pays. Non seulement il donnera de sa personne, mais il sacrifiera son épouse et ses enfants. Ceux qui ne voient pas la valeur du sacrifice, qu’ils ne viennent pas nous parler de piété filiale ou autre chose.

Ils n’arrivent pas à mordre au cœur de la restauration, or il le faut pourtant bien. Quand vous êtes accroché à une famille et que le crochet est plus qu’égal à la tâche, vous pouvez devenir un enfant filial dans une famille. Si on accroche une nation, même si elle s’enfuit en courant, il ne faut pas que le crochet se redresse et fiche le camp. Le crochet de Dieu est aussi épais qu’un pieu, et il ne va pas flancher. Il ne suffit donc pas de bien accrocher, mais de résister à la traction. Sans sacrifice, l’affaire se présente mal. (283-21, 8.4.1997)

Vous souhaitez être meilleurs que Dieu, n’est-ce pas ? L’ambition est ainsi faite, non ? Nous pouvons l’être. Si Dieu pleure de tristesse et que vous êtes un fils dévoué capable de réconforter, la capacité de votre cœur pour Le réconforter ne doit-elle pas surpasser la Sienne ? Comment voulez-vous réconforter Dieu si vous êtes moindres que Lui ? C’est logique. Le monde qui a ce modèle est bien notre terre natale d’origine éternelle où nous voulons revenir. Avez-vous envie d’y aller ou pas ? Vous n’êtes pas censé pouvoir y aller. Avec votre caractère têtu, vous ne pouvez pas vous mouvoir dans les quatre directions. Si vous n’arrivez pas tourner à 360 degrés en surface plane, comment pourrez-vous le faire de façon sphérique ? Vous n’êtes pas arrivés à la position où vous pouvez tourner librement à 360° sur l’axe est-ouest. (280-119, 11.11.1996)

Nous devons parfaire nos familles, notre parenté, notre nation, le monde et l’univers et, pour finir, libérer Dieu ! Il nous faut sauver Dieu ! Nous devons devenir le meilleur parmi les fils de piété filiale de façon à pouvoir apaiser le cœur des parents meurtri par l’ingratitude de Ses enfants déloyaux.

Dieu, qui a dû embrasser le monde déchu, était si accablé, et nous ne le savions pas. En pensant que c’était notre Père qui a nourri de l’amertume dans des situations affreuses, sachons que la responsabilité de ceux qui reçoivent aujourd’hui le salut sur la terre, est d’accomplir leurs devoirs de piété filiale ; même s’il leur faut se traîner sur le ventre en gémissant à n’en plus finir. C’est très sérieux. Qui d’autre enseigne ce contenu ? (283-215, 12.4.1997)

Même si vous devez commencer à suivre un chemin d’épreuves et terminer votre vie dans les épreuves, l’attitude à prendre comme enfants célestes qui vont vers le Ciel, est d’arriver à soulager le cœur de Dieu ; et vous devez chercher à vous dévouer pour le Ciel. En faisant cela, je veux laisser un esprit de patriotisme dans le Royaume de Dieu. Au nom du fils de Dieu, je souhaite léguer au monde ce qui n’a pas pu être réalisé par les saints et les fils de Dieu et emmener ceux-ci dans la sphère de la perfection. C’est le sérieux qui m’anime. (258-106, 17.3.1994)

Si Dieu est suffisamment encouragé en vous regardant, pour entamer le démantèlement du monde du mal, à cet instant, vous aurez créé la scène pour que Dieu agisse en vous. Ce sera pour vous la plus haute forme de joie. Vous ne l’échangeriez pour rien au monde, pas même un lieu aussi prestigieux qu’un trône, ou une position glorieuse ; même pas contre une vie entière ou plusieurs vies. Je pense que le chemin à suivre par les fils et filles de piété filiale qui représentent l’histoire éternelle doit pouvoir se jouer des persécutions, même pour un temps illimité. C’est sûrement la route à suivre pour se dévouer à la nation éternelle. (255-121, 10.3.1994)

Pas de libération de Dieu par l’amour sans l’être humain. Cela signifie que le cœur des parents sera libéré en ayant des enfants de piété ; les rois seront libérés en ayant des patriotes. Les saints libéreront le président du monde ; Dieu sera libéré si des fils et filles de Dieu remplissent toutes leurs obligations de piété filiale. Tout ce qui représente l’amour doit être fait pour que Dieu soit libéré. Quel merveilleux message ! (283-173, 8.4.1997)

Je ne me suis jamais plaint de toute ma vie. Je n’ai jamais critiqué. Sur le chemin de la piété filiale et du patriotisme, on ne peut pas se plaindre. On ne peut pas critiquer. Tant que nous avons une relation d’amour avec le partenaire sujet parfait, nous ne pouvons pas nous plaindre ni critiquer.

Si votre mari va de travers, dites-vous que c’est votre faute. « C’est ma faute ! » Si votre épouse ne fait pas ce qu’il faut, c’est de votre faute. On ne peut pas dire : « Moi, je te déteste ». (263-105, 21.8.1994)

Dans l’avenir, j’ai le plan de faire des statistiques sur vos résultats individuels d’évangélisation. Que veut dire établir fermement l’âge des Vrais Parents et du Testament Accompli ? Nous devons tous vivre en ramenant Dieu et L’établir chez nous, Lui qui errait de-ci de-là.

Il faudra payer des taxes pour vivre dans cette nation. Il faudra des patriotes loyaux et des enfants dévoués à leurs parents. Les enfants dévoués à leurs parents sont nécessaires dans une famille, et une nation a besoin de citoyens fidèles. La voie de la loyauté et de la fidélité est un pilier de base pour former une nation, n’est-ce pas ? Même si nous traversons des épreuves comme la faim ou même la mort, nous devons servir le Ciel et ne pas laisser périr notre nation, d’accord ? (254-119, 2.2.1994)

Ce que nous devons absolument faire, c’est accomplir les devoirs familiaux de piété filiale dans la famille, de patriotisme dans la nation, de sainteté dans le monde et de fils et filles de Dieu sur la terre et au ciel ; à cause de la chute, nous avons besoin de saints. Nous devons parfaire la voie des fils et filles de Dieu. C’est pourquoi, tout le domaine de réciprocité de Dieu peut se lier jusqu’à nos familles à partir du moi, à partir du Ciel et à partir du monde. C’est quelque chose qui doit s’accomplir durant notre vie. C’est le chemin pour la perfection. C’est la première fois que vous entendez ça, non ? J’ai déjà parlé de ces choses en détail, aux États-Unis mais c’est la première fois que j’en parle ici en Corée.

C’est pour cela que nous devons absolument devenir un enfant de piété filiale, un patriote, un saint et un fils de Dieu. Où se trouve le moi ? Possédez-vous un moi ? Vous ne possédez que les os de votre père et de votre mère. Quand on parle d’une nation, son dirigeant représente les os du père et de la mère. Les gens veulent se greffer à cet os et croître. On ne peut pas se tenir devant la nation sans fonder une famille. Pour cette raison, les familles peuvent aussi être brisées par la nation de Satan. Est-il nécessaire d’avoir une nation ou pas ? (285-91, 21.4.1997)

L’amour s’étiole peu à peu et prend la fuite devant les prétentions de l’ego. L’amour est quelque chose qui grandit graduellement dès qu’on vit pour autrui. C’est pourquoi, l’amour vrai existe dans le don. Vous devez savoir qu’un vrai mari vit pour sa femme, de vrais parents vivent pour leurs enfants, de vrais enfants vivent pour leurs parents ; pareillement, un vrai roi vit pour sa nation et une vraie nation existe pour son peuple. Nous devons bien comprendre cela. (268-259, 2.4.1995)


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