Les derniers jours : l’ordre de l’amour déréglé

Livre XI

L’essence fondamentale de l’univers

Chapitre III

La chute de l’être humain et la restauration

2. Après la chute

2.2. Dompter la culture de la libération sexuelle

2.2.1. Les derniers jours : l’ordre de l’amour déréglé

L’amour vrai est quelque chose de précieux, lui porter atteinte constitue un crime cosmique. L’immoralité, la déchéance morale de la jeunesse, la destruction des familles, les rapports incestueux, l’homosexualité, des crimes sexuels indescriptibles, etc. la réalité actuelle remplit Dieu de douleur.

Le but de la création est de réaliser l’idéal de la famille. Cela repose sur un amour noble et éternel. Mais pourquoi en sommes-nous arrivés là ? C’est que nous sommes dans les derniers jours et que le résultat de la chute des ancêtres de l’humanité porte ses fruits dans toutes ces laideurs de fin de siècle : on récolte ce qu’on sème. (135-12, 20.8.1985)

Les Américains ignorent cela. Aux États-Unis, il n’y a pas de fondement d’amour vrai. L’amour faux finira par les mener à la ruine. Les couples sont détruits, les liens entre frères et sœurs se brisent, les liens entre parents et enfants volent en éclat. L’inceste se répand et jette les gens en enfer. Tout se détruit. On arrive au point zéro, et il faut bâtir à nouveau. Quand on dit « One World under God ! » (Un monde sous Dieu), il ne devrait pas y avoir de barrières de couleurs, ni de murs créés par les coutumes ou les traditions ou quoi que ce soit. Il ne reste que le « parentisme » de la famille. Ce qui veut dire donner et oublier de la même façon que les parents aiment leurs enfants. C’est le concept du Royaume de Dieu. (293-152, 26.5.1998)

Ce qui est la source, Satan l’a détruit à fond. À force de libertinage, d’homosexualité et d’inceste, il ne reste que des ruines. Il faut surmonter cela complètement. Comme l’enfer s’est établi sur terre, allons en sens contraire. Avec un idéal comme le nôtre, nous n’aurons pas de mal à fonder une nation idéale puis un monde idéal sur la base de la famille idéale. Il suffit de prendre la direction diamétralement opposée (261-284, 20.6.1996)

Le libertinage, c’est le diable et sa stratégie destructrice qui vise à effacer toute trace de l’idéal de Dieu pour qu’Il ne puisse pas poser Son pied sur cette terre. Quant à la drogue, elle entraîne des troubles psychiques. Dans ces lieux, vous chercherez en vain des traces de loi céleste ou d’une position favorable aux idéaux d’amour dans le couple. Est-ce une situation pour réaliser l’idéal de la restauration de Dieu ? Je pose la question : pourquoi les États-Unis sont-ils devenus comme cela en 40 ans ? (253-303, 30.1.1994)

Le libertinage et les rapports incestueux sont en train de ronger ce monde. Pourquoi ? Ces problèmes devaient se résoudre du temps de Jésus. De plus, le Seigneur du second avènement doit venir et absolument résoudre les rapports incestueux. Mais puisqu’ils ont chassé le Seigneur qui arrivait, le monde libre tombe maintenant en enfer. Ils font tous la queue au bord d’une falaise et tombent. Ils ne savent pas comment s’en détourner. Si j’avais été là à l’époque, les choses n’auraient pas pris cette tournure. Le monde libre m’a chassé et a abouti à un état lamentable en 40 ans. (252-139, 14.11.1993)

Une femme peut-elle se parfaire toute seule ? Non. Les femmes américaines disent : « Je n’aime pas. Je ne me marie pas. Je ne veux pas me marier. Mais je veux avoir des enfants ! », n’est-ce pas ? Comment en est-on arrivé là ? Elles disent n’avoir pas besoin de grands-parents, de parents, de conjoints, de frères et sœurs, de personne. Ne pouvant vivre seuls, ils vivent en couple entre hommes, entre femmes, pour faire quoi, pour se consoler ? Est-ce un moyen de consolation ? Par où les rapports incestueux ont-ils commencé ? Derrière, on trouve la libération sexuelle. (248-111, 1.8.1993)

Les hommes et femmes sur cette terre se sont retrouvés proches de l’état animal. Pour ce qui touche à la sexualité, on dirait des bêtes. Que voit-on ? Le grand-père vit avec la petite-fille, l’oncle vit avec sa nièce. De cette façon, le monde s’enfonce dans un environnement destructeur qui est inimaginable dans la sphère de l’amour idéal. Sous le même toit que la mère, la fille couche avec le père. On vit ainsi, et l’on passe même à la télé pour une interview. Aux États-Unis, les rapports incestueux dépasseraient les 20 %. (208-304, 21.11.1990)

Dieu ne peut intervenir dans les affaires de l’être humain déchu. Satan lui a pris Sa bien-aimée pour lui faire des enfants ; peut-il Se rendre dans ce genre d’endroit et les aimer dans l’antre du diable ? Ce ne sont pas des paroles en l’air. Rome a succombé à l’immoralité, c’est ce qui attend les États-Unis. Allez voir du côté de Pompéi, elle porte encore les traces de l’immoralité, les traces d’incestes sur trois générations. L’inceste toucherait 20 % de la population aux États-Unis. Cela ne peut plus durer. (197-265, 19.1.1990)

Savez-vous pourquoi les États-Unis courent à leur perte ? Je les ai avertis très tôt. Connaissez-vous le pourcentage de rapports incestueux ? Il s’élève à 20%. Dans ce pays de voyous ! Le grand-père vit avec la petite-fille, le père vit avec la fille, tout en étant marié. Tous les symptômes de destruction sont là : c’est la fin du monde. Une bombe atomique descend tout droit du Ciel sur nous, mais les pays développés n’en mesurent pas le danger. C’est là qu’ils ont besoin de moi et de l’Église de l’Unification.

Sans l’Église de l’Unification, on ne peut remettre les choses en ordre. On ne peut absolument rien faire. (201-165, 30.3.1990)

Les hommes sont dans la position de l’archange. Par conséquent, aux États-Unis ils vont même jusqu’à violer leur fille ou leur mère. Les cas d’incestes par des proches dépassent 20 %. Satan jette la grand-mère, puis la mère, la petite sœur et la fille dans la confusion. Pour terrasser ce règne de Satan, je prépare des stratégies de guerre afin d’assiéger tout l’enfer. (227-71, 10.2.1992)

Avec la mort de Jésus sur la croix, le côté gauche qui est le monde de Satan, triompha. Le Vatican ayant failli à sa responsabilité, on a connu la Révolution Française et l’humanisme avant de tomber dans le matérialisme athée. Expulsant Dieu, Son peuple et jusqu’à Ses biens, les êtres humains sont devenus misérables. Réduits à la famine, ils vivent dans la souffrance. Qui nous a amenés là ? C’est Dieu. Dans ce monde démocratique, les personnes qui se vantaient de la toute-puissance de l’or, qui ignoraient la grâce de la sphère culturelle du christianisme, qui ne savaient pas rembourser devant le Ciel, qui ne pouvaient pas accomplir la responsabilité de l’être humain ont fini par rejoindre l’état de la bête. Comment l’inceste peut-il se faufiler dans des foyers pétris de culture chrétienne ? Ils sont devenus de vrais déchets, des offrandes pour Satan. (214-243, 2.2.1991)

Adam a chuté à l’adolescence. Il a chuté à l’ombre d’un arbre sans le consentement des parents. Telles furent les semailles, telle est la moisson.

Pourquoi ces problèmes de mœurs touchant les adolescents à cette époque et pourquoi est-on entrés dans une époque où ils sont les maîtres et personne ne dit rien ? C’est quelque chose d’inévitable. Le seul moyen de traiter cela est de connaître la voie des Vrais Parents qui arrivent. Autrement, c’est impossible. (262-212, 23.7.1994)

Globalement parlant, l’histoire de la Corée peut s’enorgueillir de sa tradition tribale. C’est un peuple que Dieu a mis à part dans Sa providence pour honorer les ancêtres et garder la tradition d’un lignage pur. Il faut donc s’équiper rapidement pour prévenir l’apparition d’embryons d’immoralité.

Un pays comme les États-Unis doit aujourd’hui affronter le problème de l’inceste. Tout peut arriver, jusqu’au grand-père qui couche avec la petite-fille, le père avec la fille, le grand frère qui vit avec la petite sœur. Un tel vent souffle maintenant et il y a un tel désordre où l’on se marie entre cousins issus de germains. Cela doit être jugé et éliminé. Nous avons la mission cruciale d’y mettre bon ordre. Il nous incombe de garder la tradition d’une tribu d’un lignage pur et de transmettre le sens moral et les concepts éthiques de la race. (213-154, 16.1.1991)