mercredi 10 mars 2021

Loyauté et amour vrai

Livre XIV

La vie des enfants de vraie piété filiale 

Chapitre VI

Loyauté et amour vrai : en avoir, c’est aller au Ciel, en manquer, c’est aller en enfer

On peut tomber sur le pire genre d’environnement social, mais on a tou­jours des parents aimants. Que c’est bon de pouvoir aller vers eux et verser des larmes dans la chaleur de leur étreinte !

Quand vous êtes dans une situation malheureuse, et que personne n’arrive à vous embrasser ou vous réconforter, et que vous allez vers votre mère et votre père en épanchant dans leur giron ce gros paquet de larmes qu’est votre corps, sentant leurs mains qui vous caressent avec douceur, tout l’or du monde ne peut remplacer cela. C’est dans cette situation que vous pouvez avoir un coeur recon­naissant, et un sentiment de joie qui sur­passe même le sentiment d’un comman­dant militaire juste après sa victoire sur les forces ennemies.

Voilà pourquoi je vous exhorte à ten­dre vers la piété filiale. Quand vous vous blessez, papa et maman sont toujours prêts à vous écouter, jour et nuit. Ils sont toujours prêts à vous tapoter l’épaule et à vous embrasser. Même s’ils n’ont pas réus­si à préparer un pansement ou des médi­caments, leur amour vous tiendra lieu de pansement, leur amour sera déjà un remède. C’est franchement étonnant. Cet endroit exhale le parfum de la paix. Il n’est aucun pouvoir plus grand que celui-ci.

Rien ne pourra briser l’espoir brû­lant dans le coeur des parents qui vivent toute leur vie pour leur enfants, tenus par les cordes de l’amour, offrant leur sueur et leurs larmes, l’échine courbée par l’âge et le visage portant les ravages du temps.

Si grands que soient les obstacles ren­contrés, la force qui les anime leur permet de s’en jouer puis de bomber le torse.

Le patriote est sur le même chemin. Les ancêtres de notre nation ont sui­vi la voie du patriotisme, pétris d’un sentiment d’amour profond pour leurs parents. En tant que leurs descendants, il nous tient à coeur d’hériter fièrement cet amour en sachant aimer comme eux le firent.

Ce qui veut dire aimer le pays dont nous sommes citoyens. On ne doit pas vivre dans l’insouciance au détriment de son pays. Vous pouvez faire cela pendant votre croissance ; quand vous êtes encore dans les études et sans maturité, ça peut passer, mais pas quand vous êtes devenus adultes. Les bébés ne sont-ils pas sevrés du lait de leur mère au bout de quelques mois ? Et quand ils peuvent marcher, ce n’est pas un péché pour eux d’aller piquer la nourriture que papa et maman ont mis de côté pour s’en mettre plein la bouche. Quand ils font cela, est-ce que les parents vont leur crier dessus : « Eh toi, petit che­napan ! Tu n’es qu’un voleur. Je vais te donner une leçon ! » Ils vont plus proba­blement lui donner une petite tape sur les fesses et dire : « Sacré filou ! Comment as-tu fait pour savoir où c’était ? Tu es un drô­le de malin ! » Le coeur d’un parent est ain­si fait. (175-207, 17.4.1988)

Adam et Ève chutèrent dans le jar­din d’Éden, et leur péché originel sema des graines que récoltèrent leurs enfants, Caïn et Abel. Comme tels, les parents qui avaient semé les graines du péché devaient être restaurés. En outre, le fon­dement des enfants qui peuvent remplir leur devoir de piété filiale et de loyau­té doit être restauré en s’appuyant sur le fondement des parents historiques res­taurés du ciel et de la terre. C’est seu­lement après que ce critère ait été éta­bli que le Jour de Toutes les Choses put apparaître pour la première fois. (16-259, 19.6.1966)

Aimer, n’est-ce pas vouloir aider votre mère et votre père chez vous ? S’ils vous ont aimé, vous voulez alors les aimer en retour. C’est un principe céleste. Tout ce qui vient du coeur est lié à la relation entre parents et enfants. Tout provient des graines qui furent semées dans votre ville natale.

Mais à cause de la chute, tout est dévié et doit à présent se dénouer sur la terre. Retournez dans votre ville natale et affi­chez l’écriteau déclarant que vous êtes des enfants plus loyaux que les enfants loyaux du côté de Satan ; là-dessus, ce ne sera pas l’archange, mais de bons esprits, qui des­cendront sur terre. Alors les esprits opérant au niveau horizontal d’un coeur aimant viendront chez vous, ici à Séoul, coopé­rer avec vous. Vous pourrez alors étendre votre fondement horizontal de cette façon. C’est la restauration. (175-44, 6.4.1988)

Quand on se retrouve accusé et tra­qué par une bande de gens imbus d’eux-mêmes, qui occupent les hautes sphères de la société, et qu’on se tord de douleur dans les larmes pour se remettre d’aplomb avec un corps éclaboussé de sang à l’arti­cle de la mort, quel est l’ouvrage inache­vé que l’on doit laisser derrière soi, l’hé­ritage que l’on doit léguer et la dernière volonté et le testament qu’on peut lais­ser ? C’est le coeur ardent pour le Ciel et l’esprit d’un enfant filial, d’un sujet loyal et d’une femme vertueuse. Un groupe de gens qui possèdent ces qualités ne périra jamais. (150-153, 9.1.1961)

Savoir distinguer clairement le che­min de la droiture et le suivre est le che­min de la loyauté et de la piété filiale. Alors ne gaspillez pas vos journées en pure perte. C’est comme de s’endetter. Attirez les gens proches de vous et ame­nez-les ici. Si vous n’êtes pas assez fort, vous pouvez même les menacer pour les tirer à nous. Ce n’est pas un péché. Pourquoi faut-il aller jusque-là ? C’est pour pouvoir les éduquer et les amener dans un bon endroit. Quand de telles conditions existent, nous pouvons fai­re ce qu’il faut. À partir de maintenant, nous ne devons pas laisser les gens faire ce qui leur plaît. (243-51, 1.1.1993)

La loyauté que vous montrez sera immortalisée par vos descendants et quand vous irez dans le monde spirituel, vous serez loués pour vos mérites tirés de vos efforts. L’âge de l’indemnité est der­rière nous et, à partir de maintenant, vous allez pouvoir établir une tradition brillan­te en rapport avec le niveau et l’étendue de vos activités. Cela deviendra votre bien. Sachant que nous en sommes là, dévouons-nous à notre tâche avec une sincérité extrê­me. (38-126, 3.1.1971)

En suivant absolument la voie de la loyauté et de la piété filiale, vous entre­rez dans le Royaume de Dieu originel. Mais si vous allez en sens contraire, vous atterrirez droit en enfer.

Sachez tous bien que la permissivité est le domaine d’amour de Satan, plein d’esprits séducteurs pour entraîner l’hu­manité dans la perdition et étendre l’en­fer sur la terre. Du point de vue du Dieu d’amour absolu, la grand-mère et le grand-père sont un ; ils ne peuvent être séparés. Ils doivent absolument s’unir autour de l’amour ; qu’est-ce que l’amour qui s’appuie sur Dieu et sur la grand-mère et le grand-père ? C’est emboîter ensemble le convexe et le concave abso­lument ; le père et la mère, le mari et la femme, le fils et la fille ; tous doivent le faire absolument. C’est ce que Dieu veut. (280-135, 24.11.1996)

Les parents regardent la piété de leurs enfants les larmes aux yeux et leur souhai­tent des bénédictions éternelles. Telles sont les coulisses du domaine du coeur. C’est redoutable. Dans ce monde, beaucoup se comparent aux autres, prient et s’esquivent, pour finalement disparaître. Mais quand les enfants vraiment filiaux deviennent le centre, les larmes coulent alors à la maison entre eux et leurs parents ; ils deviendront les enfants filiaux qui, ensemble avec leurs parents, sou­haitent que la bénédiction de la future nation soit sur leur famille. (247-32, 21.4.1993)

En suivant le chemin de la piété filia­le pour Dieu, même si vous devez mou­rir loin de chez vous, vous devrez proté­ger votre environnement de telle façon que cela vous vaudra l’appréciation de ses habitants. Ce n’est qu’en transmet­tant un tel héritage que vous pouvez aller au Ciel. Sinon, vous n’y arriverez pas. (280-41, 13.10.1996)

Nous croyons en Dieu qui veut réa­liser un monde uni, le monde d’un seul but. Puisque Dieu est Yahvé et le Seigneur de toutes choses, et le cen­tre de tous les centres, quand nous Le voyons de loin, nous voulons être des sujets loyaux devant Lui. Nous sommes nés pour ce devoir et cette responsabili­té. Comprenez qu’en nous rapprochant de Lui, Il devient notre Père envers qui nous avons des devoirs de piété filiale comme Ses fils et filles. C’est notre prio­rité. Ce n’est qu’en ayant vécu ainsi que vous pouvez dire à Dieu : « Si Tu veux m’envoyer en enfer, envoie-moi là-bas. Si tu veux m’envoyer au Ciel, envoie-moi là-bas. Comme Tu veux. » Personne n’est allé en enfer en vivant ainsi. (154-314, 5.10.1964)

Comme représentants nationaux, responsables pour le monde, vous devez atteindre l’unité avec les États-Unis qui a ses responsabilités de nation représen­tant le monde. Il vous faut devenir de vrais Caïns devant moi, comme person­nes qui représentent la nation et le mon­de. Comprenez bien que vous ne pouvez pas avoir vos idées personnelles à ce sujet. Comprenez que dans ce temps excep­tionnel, vous devez vous tenir résolus à représenter l’histoire mondiale, devenir les Caïns représentant de tous les Caïns, les archanges qui peuvent faire honte à l’archange en surpassant sa condition d’indemnité, et devenir des archanges loyaux du Ciel. (88-143, 10.8.1976)


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