Livre XIV
La vie des enfants de vraie piété filiale
Chapitre VI
Loyauté et amour vrai : en avoir, c’est aller au Ciel,
en manquer, c’est aller en enfer
On peut tomber sur le pire genre d’environnement
social, mais on a toujours des parents aimants. Que c’est bon de pouvoir aller
vers eux et verser des larmes dans la chaleur de leur étreinte !
Quand vous êtes dans une situation malheureuse, et que
personne n’arrive à vous embrasser ou vous réconforter, et que vous allez vers
votre mère et votre père en épanchant dans leur giron ce gros paquet de larmes
qu’est votre corps, sentant leurs mains qui vous caressent avec douceur, tout
l’or du monde ne peut remplacer cela. C’est dans cette situation que vous
pouvez avoir un coeur reconnaissant, et un sentiment de joie qui surpasse
même le sentiment d’un commandant militaire juste après sa victoire sur les
forces ennemies.
Voilà pourquoi je vous exhorte à tendre vers la piété
filiale. Quand vous vous blessez, papa et maman sont toujours prêts à vous
écouter, jour et nuit. Ils sont toujours prêts à vous tapoter l’épaule et à
vous embrasser. Même s’ils n’ont pas réussi à préparer un pansement ou des
médicaments, leur amour vous tiendra lieu de pansement, leur amour sera déjà
un remède. C’est franchement étonnant. Cet endroit exhale le parfum de la paix.
Il n’est aucun pouvoir plus grand que celui-ci.
Rien ne pourra briser l’espoir brûlant dans le coeur
des parents qui vivent toute leur vie pour leur enfants, tenus par les cordes
de l’amour, offrant leur sueur et leurs larmes, l’échine courbée par l’âge et
le visage portant les ravages du temps.
Si grands que soient les obstacles rencontrés, la
force qui les anime leur permet de s’en jouer puis de bomber le torse.
Le patriote est sur le même chemin. Les ancêtres de
notre nation ont suivi la voie du patriotisme, pétris d’un sentiment d’amour
profond pour leurs parents. En tant que leurs descendants, il nous tient à
coeur d’hériter fièrement cet amour en sachant aimer comme eux le firent.
Ce qui veut dire aimer le pays dont nous sommes
citoyens. On ne doit pas vivre dans l’insouciance au détriment de son pays.
Vous pouvez faire cela pendant votre croissance ; quand vous êtes encore dans
les études et sans maturité, ça peut passer, mais pas quand vous êtes devenus
adultes. Les bébés ne sont-ils pas sevrés du lait de leur mère au bout de
quelques mois ? Et quand ils peuvent marcher, ce n’est pas un péché pour eux
d’aller piquer la nourriture que papa et maman ont mis de côté pour s’en mettre
plein la bouche. Quand ils font cela, est-ce que les parents vont leur crier dessus
: « Eh toi, petit chenapan ! Tu n’es qu’un voleur. Je vais te donner une leçon
! » Ils vont plus probablement lui donner une petite tape sur les fesses et
dire : « Sacré filou ! Comment as-tu fait pour savoir où c’était ? Tu es un drôle
de malin ! » Le coeur d’un parent est ainsi fait. (175-207, 17.4.1988)
Adam et Ève chutèrent dans le jardin d’Éden, et leur
péché originel sema des graines que récoltèrent leurs enfants, Caïn et Abel.
Comme tels, les parents qui avaient semé les graines du péché devaient être
restaurés. En outre, le fondement des enfants qui peuvent remplir leur devoir
de piété filiale et de loyauté doit être restauré en s’appuyant sur le
fondement des parents historiques restaurés du ciel et de la terre. C’est seulement
après que ce critère ait été établi que le Jour de Toutes les Choses put
apparaître pour la première fois. (16-259, 19.6.1966)
Aimer, n’est-ce pas vouloir aider votre mère et votre
père chez vous ? S’ils vous ont aimé, vous voulez alors les aimer en retour. C’est
un principe céleste. Tout ce qui vient du coeur est lié à la relation entre
parents et enfants. Tout provient des graines qui furent semées dans votre
ville natale.
Mais à cause de la chute, tout est dévié et doit à
présent se dénouer sur la terre. Retournez dans votre ville natale et affichez
l’écriteau déclarant que vous êtes des enfants plus loyaux que les enfants
loyaux du côté de Satan ; là-dessus, ce ne sera pas l’archange, mais de bons
esprits, qui descendront sur terre. Alors les esprits opérant au niveau
horizontal d’un coeur aimant viendront chez vous, ici à Séoul, coopérer avec
vous. Vous pourrez alors étendre votre fondement horizontal de cette façon.
C’est la restauration. (175-44, 6.4.1988)
Quand on se retrouve accusé et traqué par une bande
de gens imbus d’eux-mêmes, qui occupent les hautes sphères de la société, et
qu’on se tord de douleur dans les larmes pour se remettre d’aplomb avec un
corps éclaboussé de sang à l’article de la mort, quel est l’ouvrage inachevé
que l’on doit laisser derrière soi, l’héritage que l’on doit léguer et la
dernière volonté et le testament qu’on peut laisser ? C’est le coeur ardent
pour le Ciel et l’esprit d’un enfant filial, d’un sujet loyal et d’une femme
vertueuse. Un groupe de gens qui possèdent ces qualités ne périra jamais.
(150-153, 9.1.1961)
Savoir distinguer clairement le chemin de la droiture
et le suivre est le chemin de la loyauté et de la piété filiale. Alors ne
gaspillez pas vos journées en pure perte. C’est comme de s’endetter. Attirez les
gens proches de vous et amenez-les ici. Si vous n’êtes pas assez fort, vous
pouvez même les menacer pour les tirer à nous. Ce n’est pas un péché. Pourquoi
faut-il aller jusque-là ? C’est pour pouvoir les éduquer et les amener dans un
bon endroit. Quand de telles conditions existent, nous pouvons faire ce qu’il
faut. À partir de maintenant, nous ne devons pas laisser les gens faire ce qui
leur plaît. (243-51, 1.1.1993)
La loyauté que vous montrez sera immortalisée par vos
descendants et quand vous irez dans le monde spirituel, vous serez loués pour
vos mérites tirés de vos efforts. L’âge de l’indemnité est derrière nous et, à
partir de maintenant, vous allez pouvoir établir une tradition brillante en
rapport avec le niveau et l’étendue de vos activités. Cela deviendra votre
bien. Sachant que nous en sommes là, dévouons-nous à notre tâche avec une
sincérité extrême. (38-126, 3.1.1971)
En suivant absolument la voie de la loyauté et de la
piété filiale, vous entrerez dans le Royaume de Dieu originel. Mais si vous
allez en sens contraire, vous atterrirez droit en enfer.
Sachez tous bien que la permissivité est le domaine
d’amour de Satan, plein d’esprits séducteurs pour entraîner l’humanité dans la
perdition et étendre l’enfer sur la terre. Du point de vue du Dieu d’amour
absolu, la grand-mère et le grand-père sont un ; ils ne peuvent être séparés.
Ils doivent absolument s’unir autour de l’amour ; qu’est-ce que l’amour qui
s’appuie sur Dieu et sur la grand-mère et le grand-père ? C’est emboîter
ensemble le convexe et le concave absolument ; le père et la mère, le mari et
la femme, le fils et la fille ; tous doivent le faire absolument. C’est ce que
Dieu veut. (280-135, 24.11.1996)
Les parents regardent la piété de leurs enfants les
larmes aux yeux et leur souhaitent des bénédictions éternelles. Telles sont
les coulisses du domaine du coeur. C’est redoutable. Dans ce monde, beaucoup se
comparent aux autres, prient et s’esquivent, pour finalement disparaître. Mais
quand les enfants vraiment filiaux deviennent le centre, les larmes coulent
alors à la maison entre eux et leurs parents ; ils deviendront les enfants
filiaux qui, ensemble avec leurs parents, souhaitent que la bénédiction de la
future nation soit sur leur famille. (247-32, 21.4.1993)
En suivant le chemin de la piété filiale pour Dieu,
même si vous devez mourir loin de chez vous, vous devrez protéger votre
environnement de telle façon que cela vous vaudra l’appréciation de ses
habitants. Ce n’est qu’en transmettant un tel héritage que vous pouvez aller
au Ciel. Sinon, vous n’y arriverez pas. (280-41, 13.10.1996)
Nous croyons en Dieu qui veut réaliser un monde uni,
le monde d’un seul but. Puisque Dieu est Yahvé et le Seigneur de toutes choses,
et le centre de tous les centres, quand nous Le voyons de loin, nous voulons
être des sujets loyaux devant Lui. Nous sommes nés pour ce devoir et cette
responsabilité. Comprenez qu’en nous rapprochant de Lui, Il devient notre Père
envers qui nous avons des devoirs de piété filiale comme Ses fils et filles.
C’est notre priorité. Ce n’est qu’en ayant vécu ainsi que vous pouvez dire à
Dieu : « Si Tu veux m’envoyer en enfer, envoie-moi là-bas. Si tu veux m’envoyer
au Ciel, envoie-moi là-bas. Comme Tu veux. » Personne n’est allé en enfer en
vivant ainsi. (154-314, 5.10.1964)
Comme représentants nationaux, responsables pour le
monde, vous devez atteindre l’unité avec les États-Unis qui a ses
responsabilités de nation représentant le monde. Il vous faut devenir de vrais
Caïns devant moi, comme personnes qui représentent la nation et le monde.
Comprenez bien que vous ne pouvez pas avoir vos idées personnelles à ce sujet.
Comprenez que dans ce temps exceptionnel, vous devez vous tenir résolus à
représenter l’histoire mondiale, devenir les Caïns représentant de tous les
Caïns, les archanges qui peuvent faire honte à l’archange en surpassant sa
condition d’indemnité, et devenir des archanges loyaux du Ciel. (88-143,
10.8.1976)
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