mercredi 10 mars 2021

Loyauté et piété filiale

Livre XIV

Chapitre premier

Loyauté et piété filiale

1. La loyauté et la piété filiale sont au centre de la pensée coréenne.

Une personne de piété filiale pense­ra d’abord à ses parents quand quelque chose de bon arrive dans sa vie. Dans le monde déchu, en voyant quelque cho­se de bon, beaucoup de gens penseront d’abord à leur épouse ou à leur mari. Toutefois, si vous n’achetez pas quel­que chose de précieux pour vos parents d’abord, alors, vous ne devriez rien ache­ter pour votre épouse.

De même, les hommes devraient d’abord acheter des vêtements pour leurs parents avant d’en acheter pour eux-mêmes. Alors, ils peuvent aussi acheter pour leur épouse ou leurs enfants. Veillez à servir et honorer vos parents quand vous êtes à table. Même dans le mon­de de Satan, la coutume coréenne vou­lait qu’une personne honore ses parents pendant trois années de deuil après leur mort. C’est pourquoi, en Corée, une per­sonne qui n’honore pas ses parents avec ferveur pendant au moins trois ans, ne peut se prévaloir d’une ascendance coréenne quand elle va dans le monde spirituel.

Il y a longtemps, notre étiquette voulait qu’un fils dévoué veille sur ses parents décédés pendant trois années de deuil, n’est-ce pas ? Ne devait-il pas planter une cabane de boue séchée près de la tombe afin d’y vivre et témoigner de son devoir filial ? Nous devons sur­passer ce parangon. Nous, les familles bénies, devons partager les bonnes cho­ses entre nous, tout en vivant auprès de nos parents pour les servir et veiller sur eux. (26-297, 10.11.1969)

Les Coréens forment un peuple qui préserve très scrupuleusement les ver­tus de loyauté et de piété filiale depuis des temps anciens. Je fus invité une fois à assister à la cérémonie du Jour des Forces Armées sur la place du Yoido. Je garde le souvenir d’une grande satis­faction en voyant défiler avec dignité ces jeunes hommes des forces armées. L’impression était à son comble quand les colonnes de soldats passaient devant les tribunes en criant tous : « Loyauté et piété filiale ! » (chunghyo !).

Je me suis dit : « Ce slogan, on dirait une révélation pour le peuple que Dieu a choisi. » Je ne crois pas que d’autres for­ces armées dans le monde aient un slo­gan similaire.

Parce que le peuple coréen affiche sa loyauté et sa piété filiale envers le Ciel, l’esprit de loyauté et de piété filiale est devenu la pensée centrale de la nation. La piété filiale que Sim-cheong a mon­trée envers son père aveugle, la fidéli­té que Chun-hyang a gardée pour son mari, la loyauté que Jeong Mong-ju a montrée envers le roi, l’esprit montré par Yu Gwan-sun quand elle fut mar­tyrisée pour son pays, autant d’illustra­tions de l’esprit coréen de loyauté et de piété filiale. Vous ne les trouverez pas au même degré dans un autre pays ou dans un autre domaine.

Ce genre de loyauté, de piété filiale et de chasteté immuables deviendra la pensée centrale et l’esprit pour créer le Royaume de Dieu sur terre dans l’avenir. Le Royaume de Dieu étant la nation de Dieu, il vous faut être loyal à ce pays pour l’éternité, et parce que Dieu est le père de toute l’humanité, il vous faut montrer une piété filiale éternelle au Père céles­te. Dieu a choisi la Corée car, même s’Il devait le vérifier, Il ne trouverait pas le même esprit sincère de loyauté, de pié­té filiale et de fidélité dans aucun autre pays. (100-252, 19.10.1978)

Un fils ou une fille de piété filiale ne devrait pas quitter ses parents, même après cent ans ou mille ans. Vous devez vous dire : « Je veux toujours être avec mes parents ! J’aimerais pouvoir rester à jamais avec vous ! » Tâchez de deve­nir quelqu’un qui émeut le coeur de vos parents de cette façon. Si vous ne le faites pas, alors vous n’êtes pas un fils ou une fille de piété filiale.

L’amour parental est tel que, quoi que fasse l’enfant, les parents veulent être avec cet enfant. On dit donc qu’il est vrai. Mais qu’en est-il d’un enfant qui manque de piété filiale ? Il déteste être avec ses parents. On peut même trouver des allégories de ce genre dans la Bible, n’est-ce pas ? Certains ne voulaient pas être avec leurs frères. Ils voulaient vivre et agir comme bon leur semblait. Quelle sorte de graine est-ce là ? C’est la graine de l’impiété. (147-292, 1.10.1986)

L’enfant dévoué ne pensera pas à sa propre situation, mais pensera d’abord à ses parents. Il vivra toujours pour ses parents, le coeur plein de larmes. Un sujet loyal est une personne qui, en temps de crise, oubliera ses soucis per­sonnels, et se souciera d’abord des dif­ficultés du roi. Le royaume de loyauté et de piété filiale commence avec une per­sonne qui s’oubliera elle-même et sacri­fiera son intérêt propre pour le but plus élevé. (37-33, 22.12.1970)

Dans la famille, tout le monde veut tendre vers la piété filiale, qu’il soit hom­me ou femme, ou bien frère ou soeur. Axés sur l’amour, il leur faut devenir comme un seul corps. Pour que la famille soit un seul corps, il doit y avoir des fils et des filles de piété. Cela vaut aussi pour la nation. Autour du père et de la mère de la nation, le roi et la reine, et de leurs enfants, les sujets doivent avoir des liens réciproques qui conviennent. Entendons par là les relations entre les conjoints, les frères et soeurs, les fils et filles dans cha­que direction, à savoir : dessus et des­sous, gauche et droite, devant et derrière. S’il n’y a pas de « devant » et « derrière », alors les parents et les enfants ne peu­vent pas établir de relation. C’est pour­quoi on parle de dessus et dessous, gau­che et droite, devant et derrière. Vous avez absolument besoin des frères et soeurs. Les mariages se font par des ren­contres entre les frères et soeurs. (286-268, 13.8.1997)

Vous parlez de loyauté et de pié­té filiale, mais sans savoir vraiment de quoi il s’agit. Les enfants doivent mettre les parents au centre de la famille dans la même position que Dieu, et en unissant leur esprit et leur corps devant l’amour immuable que les parents ont pour leurs enfants, ils reçoivent toujours cent pour cent par leur coeur et leur corps et s’adap­tent à cent pour cent. Comment appelle-t-on les fils et filles qui prennent une tel­le position ? Nous parlons de fils et filles filiaux. On parle aujourd’hui de loyauté et de piété filiale, mais sans connaître le vrai chemin. (101-13, 28.10.1978)

Quel est l’espoir des parents ? Avec seulement la mère et le père, il n’y a pas de racine unifiée de la lignée. Il leur faut des enfants pour que la lignée continue.

Quand les fils et filles aiment leurs parents, alors les lignées non reliées des parents s’unifient par l’enfant. Les parents peuvent se parfaire en ayant des enfants. Le père et la mère peuvent deve­nir parfaits par la piété filiale des fils et filles.

C’est un réel bonheur d’avoir des parents à qui vous pouvez montrer votre piété filiale. Chacun de nous a hérité la vie des parents, l’amour des parents et la lignée des parents. L’amour des parents est reproduit en nous, il est devenu le noyau. Votre amour, votre vie et votre lignée en sont devenus les incarna­tions. Ainsi, oeuvrer à la perfection de vos parents, c’est aussi pouvoir oeuvrer à votre propre perfection. En grandissant, nous devons atteindre notre unité, com­me notre maman et notre papa l’ont fait. Les deux atteignent la perfection par ce biais. (223-174, 10.11.1991)

Quel genre de monde veut la famille ? Elle a besoin d’une nation. La famille doit aller tout droit à la nation ; et la nation, où doit-elle aller ? Vers le mon­de. Et le monde, vers quoi doit-il aller ? L’endroit vers lequel le monde va aller, où le Royaume de Dieu sur terre ira, est le Royaume de Dieu dans le monde spi­rituel. Un sujet loyal de la nation signifie un fils et une fille de piété d’une nation. Qu’est-ce qu’un sujet loyal du monde ? Qu’est ce qu’un saint du monde ? Il s’agit des fils et filles du monde. Qu’est-ce qu’un fils ou une fille du ciel et de la ter­re ? Cela signifie des fils et filles de piété pour le ciel et la terre. Pris séparément, les mots « filial » ou « fils » n’ont pas de valeur. (280-107, 11.11.1996)

2. Les saints et les fils de Dieu sont ceux qui ont parfait leur loyauté et leur piété filiale.

La philosophie coréenne de loyauté et de piété a une vraie grandeur. Mais devons-nous entendre que la loyauté des Coréens se limite à la seule Corée ? Je pose la question. Les Japonais doivent-ils être loyaux à l’empereur, point final ? Les Allemands doivent-ils être loyaux envers leurs dirigeants, et c’est tout ? Ou encore, pouvons-nous dire que les Américains ont rempli leurs devoirs de loyauté en se montrant loyaux au seul président des États-Unis ? Ce n’est pas tenable.

Demandez donc à un Coréen : « Voulez-vous devenir un saint ou un sujet loyal ? » S’il répond : « Bon, la loyauté et la piété filiale sont au coeur de la pensée coréenne, quant à être un saint, je n’en suis pas sûr. Je me contente­rai d’être un sujet loyal », il se trompe.

Bien sûr, le chemin de la loyauté est important pour chacun, mais il reste encore le chemin du saint. Et donc, s’il y a un peuple qui s’engage sur la voie de la sainteté, ce peuple pourra amener une bénédiction d’envergure mondiale à l’humanité.

Qu’est-ce qu’un sujet loyal ? C’est quel­qu’un qui apporte la bénédiction de niveau national à tout le peuple de la nation. Un fils ou une fille de piété est une personne qui amène la bénédiction à la famille. Que ceci soit bien clair. (101-16, 28.10.1978)

Quelle est la différence entre un patriote loyal et un saint ? Le sujet loyal est toujours prêt à sacrifier sa vie pour sa nation, et il vit en se donnant pour le bien public. Voilà ce qu’est un sujet loyal.

Allant au-delà de son peuple, le saint vit pour toute l’humanité ; plus encore, il vit pour Dieu : pour ce Dieu qui est public. Un saint est quelqu’un qui s’en­gage à remplir plus que le devoir de pié­té filiale dans la famille, ou de loyauté dans la nation, de façon à suivre la voie de la piété filiale devant toute l’humani­té. C’est quelqu’un qui, pour cet objectif, est prêt à renoncer à sa position de sujet loyal, prêt à oublier son pays et son roi. Même si le roi le prend par la main et le retient de toutes ses forces en disant : « Notre pays va à la ruine si tu pars », la position du roi laissera le saint de mar­bre. D’avoir rempli son devoir de saint dans le monde lui attirera la reconnais­sance du Ciel pour être allé bien au-delà des obligations de la simple loyauté à son roi. (101-150, 29.10.1978)

Parmi les patriotes, on compte de nombreux enfants de piété. Quelqu’un qui a la piété filiale, mais ne devient pas un patriote, ne pourra accéder au rang de patriote. Mais si vous êtes un patrio­te, le rang de la piété filiale vous revient automatiquement, même si vous n’êtes pas en mesure de le mettre en pratique.

De la même façon, quand vous pou­vez devenir des fils et filles de Dieu, vous pourrez gouverner les saints. Si vous n’avez pas pu être un enfant filial ou bien un patriote ou un saint, mais avez acquis la position d’un fils ou d’une fille de Dieu, vous couvrirez tout ce qui se trouve au-dessous. Toutefois, il n’est pas facile de devenir un fils ou une fille de Dieu. Pour devenir une telle personne, vos oeuvres doivent surpasser toutes les épreuves pour devenir le patriote suprê­me de tous les patriotes… si c’est pour la piété, alors en tant qu’enfant de piété, si c’est pour la patrie, alors en tant que patriote, tout du long jusqu’à la sainte­té, vous devez passer par toutes sortes de difficultés. Pour ouvrir le chemin de fils ou de fille de Dieu, il faut pouvoir sur­monter par soi-même un niveau encore plus élevé de difficultés. Qui n’a pas tra­versé chacune des étapes de ce cours doit recevoir la persécution à l’échelle mon­diale dans une brève période de temps. (196-125, 31.12.1989)

La voie de la piété filiale, la voie du sujet loyal, la voie du saint et la voie des fils et filles de Dieu s’imposent absolu­ment à tous. Nous avons besoin de saints à cause de la chute. C’est ce qu’il nous faut accomplir pour être fils et filles de Dieu. Ainsi, tout ce à quoi Dieu est lié peut se rapporter à soi ; du ciel, du mon­de, de notre famille à moi. Il nous faut l’accomplir de notre vivant. C’est la route vers la perfection. Alors, pour le pays, le roi est l’essence du père et de la mère. Les gens veulent se greffer à cela et se déve­lopper. Sans avoir ma propre famille, je ne peux me tenir devant mon pays. La famille est incluse dans la nation. Face à la nation de Satan, la famille court à sa perte. (285-91, 21.4.1997)

La voie des enfants de piété filiale est d’aimer la famille, qui baigne dans la for­ce vitale de l’amour. La voie du sujet loyal est de donner l’amour, sur la base de la for­ce vitale du pays. La voie du saint est de relier la force vitale du monde à l’amour. Avec cet éclairage, les concepts moraux humains qui ont été enseignés jusqu’ici peuvent être clarifiés. Sachez bien que ceci est la voie juste. La voie d’un saint est d’aimer le monde. Tel a été le modèle de l’éducation morale humaine. Vous com­prenez à présent pourquoi ce n’était pas erroné, mais correct. (111-173, 15.2.1981)

Dans les vies des personnes axées sur l’amour, la piété filiale est le premier cercle, devenir un sujet loyal est le cer­cle élargi qui suit aussitôt après. Les cer­cles sont de plus en plus larges. Même si le point de départ est modeste, on va vers des choses toujours plus grandes. Le cercle du saint est encore plus grand et le cercle des fils et filles de Dieu est même encore plus grand que cela. Le point cen­tral du cercle est la piété filiale. La piété filiale est la première étape. Puis le sujet loyal, le saint, et les fils et filles de Dieu. Les étapes sont au nombre de quatre.

Le centre de tous ces niveaux est la verticale. Ils sont axés sur le vertical. Le point central de tous ces cercles est un, pas deux. L’amour n’a qu’un seul centre, qui est un. C’est pourquoi les enfants qui sont filiaux envers leurs parents n’iront pas en enfer. Une personne qui est loyale à sa nation n’ira pas en enfer. Même s’ils ne croient pas au Messie, tout se résou­dra de façon naturelle quand ils décède­ront. Voilà pourquoi un saint n’ira pas en enfer.

Ce que je veux dire, c’est qu’une per­sonne sans piété filiale envers ses parents ne peut pas devenir un sujet loyal. Alors que se passe-t-il quand vous voulez pra­tiquer la piété filiale envers vos parents mais n’avez pas de mère ou de père ? « Je veux vraiment être un enfant filial, mais je n’ai pas de mère ou de père. Que faire ? C’est un sérieux problème. Père céleste, donne-moi une mère et un père, je T’en prie ! » Même si vous en faites la deman­de, bien sûr, cela ne peut pas se produire, car c’est contraire aux lois de l’univers. Mais votre mère et votre père pourraient mourir, quelque chose pourrait arriver.

Alors, même en voulant devenir un fils ou une fille de piété, pouvez-vous y parvenir ? Si cela ne va pas, alors qu’al­lez-vous faire ? Vous pouvez devenir un sujet loyal, ou bien un saint. Un saint est en position plus élevée qu’un fils filial ou un sujet loyal. (197-44, 7.1.1990)

Un enfant filial est une personne qui aime ses parents et ses fils et filles. La première page est l’amour, le développe­ment est l’amour et le mot de la fin est l’amour. La famille ne peut pas devenir le noyau. Au-dessus du noyau familial se situe le noyau du pays. Et le noyau du pays est le devoir de sujet loyal. Qu’est-ce à dire ? Cela signifie en fait : aimer le pays.

Le sujet loyal, le saint et les fils et filles de Dieu sont tous des types de noyau, mais sur quel genre de noyau s’ap­puient-ils ? Faute d’avoir des idées clai­res à ce sujet, l’humanité n’a pas su que c’était l’amour, et que cela signifiait que le point central autour duquel nous pou­vons nous établir dans les derniers jours à venir est l’amour, rien d’autre.

De ce fait, le mari et l’épouse doivent s’aimer l’un l’autre pour pouvoir devenir un fils ou une fille de piété filiale. Vous ne pouvez devenir un sujet loyal qu’après être devenu une personne de piété filia­le. Et vous ne pouvez devenir un saint qu’après être devenu un sujet loyal. Et ce n’est qu’après être devenu un saint que vous pouvez devenir des fils et filles de Dieu.

Après être devenus des fils et filles de Dieu, vous avez alors tous les droits d’héritage. Et après être devenus de vrais fils et filles de Dieu, Dieu devient alors vôtre, également. Alors, tout ce qui est à Dieu devient aussi à vous, et tout ce que Dieu créera dans le futur deviendra le vôtre. Tâchez de vous tenir dans la posi­tion d’être des fils et filles de Dieu pour que toutes les choses du passé, du pré­sent et du futur vous soient données.

Tenez-vous dans cette position, et la création toute entière ne sera pas en mesure de se plaindre. Vous pourrez alors évoquer en conclusion le ciel et la terre unifiés. (206-175, 7.10.1990)

Pensons au chemin que nous devons suivre dans la vie : le chemin de la pié­té filiale, le chemin d’un sujet loyal, le chemin d’un saint, et le chemin de fils et filles de Dieu. Quel est l’aspect principal dans tous ces chemins ? Ils veulent vivre ensemble pour toujours. Ils veulent vivre ensemble comme le niveau supérieur et le niveau inférieur. Ne deviendraient-ils pas des gens motivés, au plus profond de leurs coeurs, pour vivre ensemble toute leur vie en avant et en arrière, à gauche et à droite, au-dessus et en dessous, le jour et la nuit. C’est une conclusion raisonna­ble. (148-258, 11.10.1986)

Alors que vous faut-il devenir devant Dieu ? D’abord, il vous faut devenir des enfants de piété. Ensuite, il vous faut devenir des sujets loyaux et des patrio­tes. Et qu’y a-t-il au-dessus ? Les saints.

Un enfant de piété dans la famille est une personne qui est absolument loyale à ses parents. Un patriote est quelqu’un d’absolument loyal envers son pays.

Alors, quelle sorte de personne est un saint ? Ce sont des personnes comme Jésus, Bouddha et Confucius. Ces per­sonnes ne mettaient pas en avant leur propre point de vue. Ces saints met­taient en avant le point de vue de Dieu. Ils vécurent leurs vies en étant axés sur Dieu. Ils ne firent aucun mal à l’humani­té, mais cherchèrent à apporter des bien­faits. En outre, ils ne furent pas nationa­listes, mais eurent une philosophie qui embrassait le monde. (54-214, 24.3.1972)


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