vendredi 12 mars 2021

Notre schéma : un monde unifié

Livre XVI

La vraie famille et La promesse des familles

Chapitre II

Explication des paragraphes de la Promesse des familles

4. Explication du quatrième paragraphe de la Promesse des Familles

4.3. Un monde de liberté, de paix, d’unité et de bonheur

4.3.1. Notre schéma : un monde unifié

Le quatrième paragraphe de la Promesse des Familles parle de réaliser un monde de liberté, de bonheur, d’unité et de paix en fondant la famille mondiale et universelle de Dieu. En devenant des familles représentatives, nous pourrons tout unifier. C’est bien de cela qu’il s’agit avec les quatre grandes sphères du cœur, non ? Même si vous avez accompli les quatre grandes sphères du cœur unifiées, ce n’est pas fini. Vous avez la responsabilité de ramener le monde par le biais de la famille. Nous devons faire quelque chose pour l’environnement qui n’est pas libre, l’instabilité du monde ainsi que la confusion et le malheur du monde satanique. C’est ce que dit le quatrième paragraphe de la Promesse : « Notre famille promet, en se centrant sur l’amour vrai, d’accomplir l’idéal originel de Dieu, une grande famille universelle, afin de construire un monde de liberté, de paix, d’unité et de bonheur. » (267-151, 4.1.1995)

Le quatrième paragraphe de la Promesse des Familles, c’est « Notre famille promet, en se centrant sur l’amour vrai, d’accomplir l’idéal originel de Dieu, une grande famille universelle, afin de construire un monde de liberté, de paix, d’unité et de bonheur. » C’est là qu’entre en scène la Fédération des Familles.

Chaque famille devra accomplir les quatre grandes sphères du cœur, les trois grandes souverainetés et la sphère de la Famille Royale. Maintenant, les gens du monde de Caïn se trouvent en position de cadet et vous êtes en position d’aîné qui doit les enseigner correctement et établir les traditions. Alors seulement, le côté de Satan sera restauré en une sphère de la Famille Royale. Restaurons le droit d’aînesse perdu pour pouvoir les sauver. En les établissant comme deuxièmes princes, nous devons entrer dans la nation céleste avec le droit de prince héritier. Que les deux fassent ainsi, et la sphère de la Famille Royale sera restaurée. Sinon, ni le droit d’aînesse ni la sphère de la Famille Royale ne seront restaurés. (264-201, 9.10.1994)

« Accomplir l’idéal originel de Dieu, une grande famille universelle », cela veut bien dire que la volonté de Dieu est de fonder une grande famille universelle. Laisser le monde satanique à son sort ? Sûrement pas. On a beau avoir la royauté et tout le reste, nous n’avons pas l’autorité royale de la famille d’Adam ; dès lors, il faut rassembler tous ceux qui sont dans le monde satanique comme une famille élargie et les amener à se tenir en position de liberté, de paix, d’unité et de bonheur pour pouvoir représenter la royauté d’avant la chute. Là, pour la première fois, à la liberté et à la paix nous devons ajouter la notion d’unité. Il s’agit de l’unité et du bonheur. Notre philosophie est bien l’unité et la paix. Nous arriverons à l’unité en assimilant le communisme. (267-151, 4.1.1995)

Tour à tour, des saints ont réfléchi à la façon de s’unir, mais sont restés à l’aspect extérieur. L’Église de l’Unification se distingue en prenant en compte l’aspect intérieur et le maintient de l’unité. Sans unité, pas de paix ni de liberté. La liberté et le bonheur ne peuvent venir que sur la base de l’unité. L’unité, c’est ce qu’il y a de plus important. (227-249, 14.2.1992)

La paix, le bonheur, la liberté et l’espoir, on ne peut les avoir que sur la base de l’unité. Lorsque votre corps et votre esprit sont en désaccord, êtes-vous libres ? Quand vous allez au travail, connaîtrez-vous la liberté si votre esprit et votre corps sont rongés par un conflit qui ne se résout pas ? Ils auront en aversion le mot même de liberté. Êtes-vous heureux quand votre corps et votre esprit sont en lutte ? Pas étonnant que les problèmes de la vie vous torturent. Tout part de cette grande question. Avec un corps et un esprit désunis, où sont le bonheur et où est la paix ? Tous les problèmes partent de là. C’est là que la paix se réalise, et avec elle le bonheur, la liberté et l’espoir. Touchez à cela, et tout sera détruit. Les communistes comme Marx ou Hegel virent bien que le corps et l’esprit aussi sont en lutte. Ils dirent que cette lutte tenait à l’essence même de la condition humaine à cause de la chute. Mais ils ne savaient pas que c’était à cause de la chute. Tout le concept de lutte est venu de là. (242-60, 27.12.1992)

Nous devons établir la grande famille universelle. Chaque unité est la famille mais avec Caïn et Abel, il ne s’agit pas d’une seule famille. Toutes les familles du monde entier doivent exalter l’idéal de la grande famille universelle ; quel que soit leur cadre de vie et l’entourage, sachons nous y adapter, au lieu de créer des petites enclaves repliées sur elles-mêmes.

Comme fils et filles de Dieu, les êtres humains forment une famille élargie. Tâchons d’être cette famille élargie et de ne pas vivre à l’aveuglette. Le monde terrestre qui a formé cette famille élargie doit vivre en satisfaisant au critère du monde spirituel. (266-150, 22.12.1994)

Sans unité, pas de liberté, sachez le ! Pas de liberté, pas de bonheur, pas de paix ni d’espoir. Vous verrez bien si c’est vrai ou pas ! Si votre corps et votre esprit ne sont pas unis, êtes-vous heureux ? Quand votre corps et votre esprit se déchirent, cela vous plaît ? La liberté y trouve-t-elle son compte ? Les deux doivent donc bien s’entendre. La paix se produit quand les deux sont en équilibre mais le sont-ils ? Est-ce que vous vous entendez bien entre mari et femme ? Êtes-vous heureux dans la journée, après une dispute le matin, entre mari et femme ? Non. Vous devez le savoir. La liberté existe sur un fondement d’unité. Sans unité, il n’y a pas non plus de bonheur, de paix, ni d’espoir. (231-269, 7.6.1992)

Sans unité, pas de bonheur. Ni espoir, ni bonheur. Tout être humain doit s’appuyer sur ce fondement pour vouloir l’espoir, le bonheur, la paix et jusqu’à la liberté. L’unité, c’est la base de tout. Même entre parents et enfants, il y aura liberté, bonheur et joie sur la base de l’unité. Réfléchissez-y un peu ! Aujourd’hui, l’humanité recherche la liberté, le bonheur, et la paix. Mais où va-t-elle les trouver ? Et comment ? C’est sur un fondement d’unité et dans la relation sujet-objet, vertical-horizontal, avant-arrière, droite-gauche, et sur la base du lien réciproque entre le sujet et l’objet que le bonheur, la paix et la liberté se produisent. Nous ne le savions pas jusqu’ici. C’est vrai ou pas ? (225-93, 5.1.1992)

La paix ne peut venir sans une base d’unité. Tous ces termes qu’on utilise, comme la paix et le bonheur, ou encore la liberté, tous ces termes n’ont guère de sens sans l’unité.

Un couple qui se dispute est-il en paix ? Pour qu’il y ait la paix, il faut s’unir, n’est-ce pas ? Quand un couple n’arrive pas à s’unir, y a-t-il du bonheur ? Le bonheur va prendre la fuite. Même chose pour la liberté. Si un homme et une femme s’affrontent, sont-ils libres ? Le conflit n’invite guère à la paix ou à la liberté. La liberté se fonde sur l’unité. (229-228, 12.4.1992)

La paix, la liberté, et le bonheur surgiront là où vos enfants s’uniront pour regagner la nation. Même vos maris vont s’y mettre. On dansera par familles entières, la paix et le bonheur naîtront avec leurs danses. Ceux qui dansent exprimeront alors toute leur gratitude. Toute la famille va danser et la nation dansera ; tout le monde doit danser pour que Dieu puisse les déclarer Ses fils et filles de la libération. Alors, tous les peuples de toutes les nations pourront marcher en triomphe comme citoyens du royaume unifié. (234-219, 10.8.1992)

La paix se pose en terrain plat, pas en terrain incliné. Vous cherchez tous la liberté, n’est-ce pas ? Vous êtes là à crier « Liberté, liberté, liberté ! » ? Mais la liberté, où veut-elle vivre ? Elle désire vivre sur le plan horizontal unifié où figurent aussi la liberté, le bonheur, la paix, et l’espoir. Aucune ne se trouve au-dessus de l’autre sur un plan incliné. Où se résident votre espoir individuel et votre liberté personnelle ? Par-dessus l’unité du corps et de l’esprit. Où peut-on trouver le bonheur ? Il se trouve à l’horizontale avec l’unité corps-esprit. Là se trouve aussi l’espoir. (254-252, 15.2.1994)

La liberté doit se situer sur une surface plane, sur une base d’unité. Le bonheur, l’espoir et la paix se situent également sur le fondement de l’unité. C’est intrinsèque à la paix elle-même. Sans l’unité à la base, ces notions restent inaccessibles. (257-141, 14.3.1994)

Si l’amour de Dieu et l’amour humain n’ont pas la même origine, ils iront en divergeant. S’il y a divergence, ils viseront des buts différents. Le monde de paix et d’unité ne pourra se réaliser. Alors la paix, le bonheur, la liberté, la paix et l’espoir, disparaîtraient. (265-262, 23.11.1994)

La liberté est impossible à moins de s’appuyer sur l’unité. Si votre corps et votre esprit se déchirent, pouvez-vous venir avec votre sac à liberté, et le brandir comme un joyeux drille ? La liberté va-t-elle en sortir ? Sûrement pas. Et la paix, où est-elle ? Elle aura les mains libres là où tout se fait en douceur et rien ne manque. Mais quand le corps et l’esprit ne s’entendent pas, la paix peut-elle demeurer quelque part ? C’est pareil pour le bonheur. Le bonheur vous plaît, on dirait ? Si votre corps et votre esprit se disputent, pouvez-vous être heureux ? C’est impensable. (232-189, 6.7.1992)

Qui dit liberté dit union. On se sent de bonne humeur aussi quand les yeux ne regardent qu’une chose. Si le nez se bouche, tout va mal, mais dès qu’il se dégage, vous êtes libre. Et les oreilles aussi doivent être libres, tout comme les mains et tout le corps. Sans unité, pas de liberté, pas de paix, pas de bonheur. La perfection de toutes choses passe par l’équilibre, en terrain plat. Elle ne peut se fixer là où il y a des aspérités. (267-312, 5.2.1995)

Vous savez tout car c’est moi qui vous l’ai enseigné. Les Vrais Parents ont eu la victoire à un niveau mondial ; je dois réaliser le Royaume de Dieu global, mais vous devez le réaliser au niveau de votre famille. Pour devenir de vrais parents, vous devez unir le corps et l’esprit, votre couple doit s’unir et les parents et les enfants doivent s’unir ; vous devez retrouver ce qui a été perdu dans la famille d’Adam, à cause de la chute. C’est le commencement. Il vous faut retrouver la paix, le bonheur, la liberté, l’unité ainsi que le Royaume de Dieu. Tout ira bien. Tout ira dans le bon sens. (259-318, 24.4.1994)

Dans une société ou une nation idéale, tous vivent heureux, par delà les frontières et la couleur de peau ; pour établir l’harmonie, ils coopèrent les uns avec les autres. La communauté est alors une famille élargie où les hommes ont conscience d’être les fils et les filles d’un seul Dieu ; axés sur les Vrais Parents, ils forment une grande famille universelle où ils sont tous frères et sœurs. C’est l’endroit où les familles bénies qui ont restauré le lignage, les possessions et le cœur, réalisent un monde de liberté, de paix, d’unité, sous la culture des Vrais Parents et la langue des Vrais Parents. Les gens vivent sous une culture du cœur de Dieu, dans un monde de communauté solidaire, de prospérité partagée et de valeurs universelles. (269-155, 17.4.1995)

4.3.2. L’Amour, noyau unique de la liberté, de la paix et du bonheur

Si la chute n’avait pas eu lieu, comment la famille d’Adam se serait-elle multipliée dans l’amour vrai ? Adam et Ève seraient devenus un couple idéal selon l’amour vrai et de vrais parents ; et de vrais ancêtres pour leurs descendants et toute l’humanité. Adam et Ève, devenus vrais parents, auraient engendré une humanité qui aurait formé une grande famille élargie et de là un monde de paix sous la sphère culturelle d’Adam. L’histoire de la restauration doit donc aboutir à la formation de la vraie famille. Axée sur les Vrais Parents et l’amour vrai, elle est l’espoir de l’humanité et en même temps, l’espoir de Dieu. Ces vraies familles seront la source de l’amour vrai et de la vraie vie et le point de départ de la paix et du bonheur de l’humanité. (294-67, 17.4.1995)

La révolution de l’amour vrai qui est un besoin urgent pour l’humanité, seuls les Vrais Parents peuvent l’apporter. On ne peut espérer le bonheur de l’humanité ou un monde de paix sans une réforme essentielle. La solution des problèmes actuels passe par une pensée de l’amour vrai de Dieu et un « familisme » axé sur les Vrais Parents. J’ai mis sur pied un mouvement pour la paix international. Un idéal d’amour vrai l’inspire que vous feriez bien d’évaluer sérieusement. N’allez surtout pas voir dans le mouvement de l’amour pur un phénomène confessionnel au sens étroit. Le Mouvement de l’amour pur pour les jeunes et le Mouvement des Valeurs de la Vraie Famille fondés sur l’amour vrai transcendent les frontières, les cultures, la couleur de peau et les religions.

Avant d’avoir la paix dans le monde, il faut d’abord l’avoir dans une nation en paix. Or la paix de nos nations commence avec la quiétude de nos familles. Le pouvoir, la richesse, l’honneur, et le savoir sont très prisés par les gens du monde mais ne peuvent être des conditions nécessaires et suffisantes pour la paix et le bonheur. Le vrai bonheur n’est pas proportionnel aux biens matériels qu’on possède et repose pas sur les commodités extérieures. Quand l’amour vrai est là, on obtient la vraie paix et le vrai bonheur. On ne peut arriver à la paix véritable, à un bonheur sans fin que si l’on se met à servir les autres avec l’amour vrai. Ce dernier fait un tour complet et vous revient ensuite. (294-68, 11.6.1998)

Un péril grave guette l’humanité actuelle. On ne s’en sortira pas avec par ci par là. C’est aux dirigeants de devenir la conscience de leur époque et de montrer la voie. Avant toute chose, ils doivent créer de vraies familles, qui sont les cellules de base d’un monde de paix. Toute ma vie, j’ai donné mon enseignement sur la famille idéale dans le monde entier. Vous en verrez un des fruits dans la première tranche d’une Cérémonie de Bénédiction en mariage de 360 millions de couples que je m’apprête à célébrer. Ceux qui prennent part à cette cérémonie prononcent des vœux de mariage devant Dieu pour bâtir de vraies familles. Ils deviendront de vrais couples et de vrais parents dans l’amour vrai de Dieu. Par le mouvement de la vraie famille, nous faisons avancer fièrement la révolution historique de l’amour vrai. Nous avons pour but de réaliser un monde de paix. (294-68, 11.6.1998)

Quand il n’y a pas d’amour, le bonheur n’est pas là non plus. Et la paix pas davantage. Comment un homme et une femme peuvent-ils être en paix ? Pour être en paix, l’homme et la femme doivent s’unir par ce qu’ils ont de concave et de convexe. On ne peut faire cela qu’entre mari et femme. Pouvez-vous être en paix avec un autre homme ou avec une autre femme ? Ce serait la plus grave erreur. Pouvez-vous être heureux avec un autre homme ou avec une autre femme ? Et c’est pareil pour tout. Vous ne pouvez pas être libres avec un autre homme ou avec une autre femme. Ce serait une faute majeure. Sachez le : sans l’amour, tout est imparfait. (275-17, 30.10.1995)

Tout ce qui est idéal, liberté, paix, unité, bonheur, ne prend vie que grâce à l’amour. Dans le monde des hommes et des femmes, la liberté est impossible sans union dans l’amour. Où se trouve le point de départ de la liberté sur cette terre ? Ce n’est ni l’argent, ni les choses matérielles, ni le savoir. La logique veut qu’ils commencent à partir du point de départ de l’amour. Comme le point de départ est unique, le point d’arrivée et le point de fixation ne doivent pas varier. (270-268, 16.7.1995)

La liberté et la paix sont indissociables. La paix est libre dès l’instant où l’unité se fait. À elle seule, la liberté n’offre aucun terrain où se poser. La liberté est-elle une réalité substantielle ou quoi ? Elle est là pour qu’un homme et une femme agissent en communion, sans entraves. De quoi a-t-on besoin pour réaliser ce but ? Ils ne vont pas s’unir comme ça entre eux. Le problème est là. Qu’est-ce qui va les unir ? Ce n’est pas la liberté qui les unira. Si un homme et une femme veulent être libres, qu’ils partent en courant, non ? Est-ce cela, la liberté ? Est-ce la liberté si la femme, tout en s’éloignant, fond en larmes et veut revenir sans pouvoir oublier son mari ? Non. Tout doit se reposer sur l’amour. Ôtez l’amour, tout se brise. (247-153, 2.5.1993)

Là où le père et la mère s’unissent dans l’amour, le ciel et la terre sont libres. C’est là que la paix et le bonheur entrent en scène. De plus, qu’est-ce qui unit les frères et sœurs ? Ce n’est pas la liberté qui les unit. Pas plus que l’égalité d’ailleurs. C’est l’amour qui les unit. Qu’est-ce qui unit les parents, les enfants, les bébés et les adultes ? Qu’est-ce qui unit les petits-enfants et leurs grands-parents ? Est-ce la liberté ? Une idéologie quelconque ? L’amour, voyons : l’amour, l’amour. C’est pareil pour la nation. Ce n’est pas le président qui fait l’unité du pays. Ce sont les patriotes, ceux qui aiment leur nation. Pareil pour l’humanité. C’est la philanthropie qui unit le genre humain. Rien d’autre. (247-153, 2.5.1993)

Le Ciel a commencé à partir de cet amour originel de Dieu et c’est justement le point de départ du Royaume de Dieu au ciel et sur terre. C’est là que prennent naissance la liberté, le bonheur, l’idéal, la paix et l’unité. Ce sont des paroles surprenantes. Tâchez de les graver dans votre esprit. (267-257, 8.1.1995)

Pas d’amour vrai ? Pas non plus de liberté, de paix, d’unité ni de bonheur. Tout peut se parfaire, à une condition : l’amour vrai. Nous vivons à l’époque de la perfection de la liberté, de la paix, de l’unité et du bonheur, grâce à l’amour vrai. (289-206, 2.1.1998)

L’histoire des luttes prendra fin par un retour à Dieu. Mettant Dieu au centre, l’individu doit d’abord unir son esprit et son corps. Ensuite, un homme vrai et une femme vraie, axés sur Dieu, fondent une vraie famille et amènent Dieu dans cette famille. Par conséquent, c’est la vraie famille d’amour vrai qui permet à Dieu de demeurer sur une base terrestre. Elle est en outre le point de départ d’une vraie nation et d’un vrai monde de paix. Le monde s’ouvrira ainsi à la vraie liberté et au bonheur. (271-88, 22.8.1995)


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